House of Dreamers – rêver éveillé

Vous avez envie d’oublier la grisaille et le froid ? De renouer avec l’enfant qui sommeille en vous ? Plongez dans l’univers enchanté de l’exposition House of Dreamers !

House of dreamers Paris
House of dreamers Paris

House of Dreamers – tour d’Europe du rêve

L’exposition immersive « House of Dreamers » s’installe au Carrousel du Louvre à Paris. Elle vous offre une expérience inédite intégralement dédiée à l’univers des rêveurs. Après avoir déjà attiré plus d’un million de visiteurs à Milan, Madrid et Rome, cette exposition conçue par les designers italiennes Elena et Giulia Sella pose ses décors dans la capitale. Avec ses 18 installations immersives, « House of Dreamers » invite ses visiteurs à plonger dans un environnement féerique, riche en couleurs et en ambiances variées, propice à l’émerveillement et à la découverte.

House of Dreamers – sons et lumières

Chaque installation de l’exposition propose une expérience unique, dans des univers enchanteurs et merveilleux.

House of dreamers
House of dreamers

Parmi les œuvres phares, on trouve « Changer de perspective« , « Reach for the stars« , « Sparkle more » et « Enjoy today« . Les participants peuvent explorer une piscine à boules géante aux teintes rose bonbon, découvrir une chambre suspendue au plafond ou se promener dans une forêt enchantée.

House of dreamers - forêt enchantée
House of dreamers – forêt enchantée

Chaque espace est conçu pour stimuler les sens grâce à des projections, des ambiances sonores et des jeux de lumière. Comment ne pas retomber en enfance lorsque l’on vous offre l’occasion de plonger dans une piscine à balles !

Quant à moi, je me défoulerais volontiers sur ces superbes punching ball rose bonbon !

Retrouver son âme d’enfant

On va donc se lâcher sur un dancefloor multicolore, s’installer confortablement dans un salon renversant, ou en déambulant dans des allées parfumées croulant sur des tonnes de fleurs !

Après son passage à Paris, l’exposition continuera sa tournée à Londres, offrant à un nouveau public la possibilité de vivre cette expérience sensorielle unique. Alors, prêts à embarquer pour un voyage au cœur de vos rêves et à découvrir un monde où l’imagination n’a pas de limites ? direction la House of Dreamers !

House of Dreamers jusqu’au 12 janvier 2025
Carrousel du Louvre
99, Rue de Rivoli, 75001 Paris

Amedeo Modigliani – un peintre et son marchand

Il est des rencontres qui marquent une vie. C’est ce que l’on peut dire de la relation entre Amedeo Modigliani et son marchand Paul Guillaume. L’exposition présentée au Musée de l’Orangerie,  « Amadeo Modigliani – un peintre et son marchand » est bien plus qu’une simple présentation de l’artiste dont la renommée n’est plus à faire aujourd’hui. Elle permet d’explorer les liens tissés entre Modigliani, alors artiste émergent, et le marchand détecteur de talents, Paul Guillaume.

Amedeo Modigliani – un peintre et son marchand : le marchand

Le poète et écrivain français Max Jacob est un ami proche de Modigliani.

Max Jacob par Amedeo Modigliani
Max Jacob par Amedeo Modigliani

L’artiste a d’ailleurs peint son portrait. C’est Jacob qui organise la rencontre entre  l’artiste et le galeriste Paul Guillaume. Ils fréquentent ensemble les cercles artistiques de la capitale, partagent une passion pour les arts africains. On observe clairement l’influence de ces arts dans les oeuvres de Modigliani.

Paul Guillaume contribue à la reconnaissance et au succès de l’artiste en assurant sa promotion et en exposant ses oeuvres. Il le soutient également financièrement, et lui loue même un atelier à Montmartre afin de lui permettre de se recentrer sur la peinture. Devenus amis, Modigliani réalisera plusieurs portraits de son marchand.

Leur relation demeurera inébranlable jusqu’à la fin de la vie de Paul Guillaume, fervent défenseur et promoteur de l’oeuvre de l’artiste.

Amedeo Modigliani – les oeuvres présentées

Le style de Modigliani est reconnaissable entre mille. Simplicité des couleurs, élégance et modernité des silhouettes et des visages caractérisent ses oeuvres.

On peut ainsi admirer bon nombre de ses portraits, dans lesquels on perçoit à chaque fois une certaine mélancolie. Regards tristes ou perdus dans le vide, décor intimiste sont autant de caractéristiques que l’on retrouve dans chacun de ces tableaux. La modernité est l’un des attributs marquants des oeuvres de Modigliani qui demeurent ainsi intemporelles.

Paul Guillaume – la collection

Paul Guillaume a non seulement joué un rôle essentiel dans la carrière de Modigliani, mais aussi dans celle de Brancusi ou encore Soutine. Connu pur sa capacité à découvrir de jeunes talents, il fut également un soutien de nombreux artistes émergents.

Soutine
Chaïm Soutine

C’est dans sa galerie qu’il les expose et leur permet de rencontrer collectionneurs et amateurs d’art.

Paul Cézanne
Paul Cézanne

L’exposition consacre plusieurs salles à la découverte des oeuvres de ces artistes alors méconnus devenus des références absolues de l’art du XXème siècle.

Renoir - bouquet de roses
Renoir – bouquet de roses

Musée de l’Orangerie
Exposition Amedeo Modigliani – un peintre et son marchand
Du 20 septembre 2023 au 15 janvier 2024
Jardin des Tuileries, Place de la Concorde (côté Seine) 75001 Paris

Offrez-vous un costume de la Comédie Française

Vous rêvez de vous parer de vos plus beaux atours ? Ceux de la romantique Roxane lorsqu’elle succombe au charme des paroles de Cyrano ? Ou encore ceux de la séduisante Célimène qui sait rendre fou d’amour et de jalousie Alceste ? C’est désormais possible. Pour cela, il faudra réserver votre pause dej’ du jeudi. Et vous pourrez vous offrir un costume de la Comédie Française.

La magie d’un costume de La Comédie Française

Un costume raconte une histoire. Plus encore ceux  des réserves de la Comédie Française. Chacun d’entre eux qui, de pièce en pièce, ont pris vie portés par les acteurs du Français et par les textes qu’ils interprétaient.

Les réserves de la Place Colette comptent plus de 10 000 vêtements. Certains de ces costumes remontent à 1750 ! Parmi ces pièces, certaines ont été créées par de grands couturiers tels que Doucet ou Paquin. Pourtant la majeure partie des tenues sont l’oeuvre des ateliers de la Comédie Française elle même. Le talent des petites mains qui y exercent leurs talents n’a rien à envier à celles que l’on peut rencontrer dans les ateliers de haute couture.

Dernière occasion de s’offrir la magie

Depuis plusieurs mois maintenant, la Comédie-Française propose à la vente, tous les jeudis dès midi, une sélection des costumes de ses réserves. Au fil des ans, après avoir été utilisés sur scène, ils peuvent tout d’abord encore servir pour les répétitions. Généralement utilisés jusqu’à l’usure, ils peuvent également servir de bases pour de nouveaux costumes. Les plus précieux d’entre eux sont conservés. Pourtant, certaines pièces ont été sélectionnées, offertes pour des sommes presque dérisoires si l’on considère leur qualité et l’histoire qu’ils racontent.  Jeudi prochain sera la dernière occasion de repartir avec une tenue mythique.

Et pour finir en beauté, il s’agira cette fois d’une sélection hors normes ! En effet il s’agira, en plus des tenues « traditionnelles », de cuirasses, armures, cottes de mailles, et de casques. De quoi ravir tous les amateurs du genre.

Alors soyez prêts, la file d’attente risque d’être longue.

Jeudi 27 avril à partir de 12h
Vente uniquement à la boutique de la Comédie-Française
1 place Colette, 75001 Paris

 

42nd street au Châtelet

Avec la comédie musicale 42nd street , le meilleur de Broadway s’installe au théâtre du Châtelet ! Un feu d’artifice visuel qui contraste merveilleusement avec la morosité ambiante. Le spectacle de fin d’année à ne pas manquer.

42nd street – lever de rideau

Tout commence par un lever de rideau. Probablement le plus célèbre lever de rideau de Broadway, qui dévoile les pieds dansant de trente danseurs déjà en action alors que le spectacle n’a pas encore commencé. Au commencement était un livre, puis un film : 42nd street, réalisé par Lloyd Bacon en 1933. L’histoire se déroule à New York. Sur fond de dépression économique, un producteur, Julian Marsh, qui a connu la gloire, tente de retrouver sa place à Broadway. Il décide de monter une nouvelle comédie musicale : pretty lady. Nous allons suivre les coulisses de ce projet, à commencer par les auditions, puis les répétitions, jusqu’à la première. Mais il faudra surmonter de multiples obstacles pour en arriver là !

42nd street - théâtre du Châtelet
42nd street – théâtre du Châtelet

42nd street – un spectacle époustouflant

Le théâtre du Châtelet nous offre un spectacle extraordinaire pour cette fin d’année tourmentée. On plonge directement dans le show avec ce premier tableau d’audition des danseurs qui apparait sous nos yeux dès la première seconde. Puis les tableaux s’enchaînent, rappelant l’extravagance des comédies musicales hollywoodiennes des années trente et quarante.

Des dizaines de danseurs sur scène révèlent leur talent dans ce show digne de Hollywood.  Aux commandes, le chorégraphe et metteur en scène Stephen Mear, dont on ne compte plus les succès entre Londres et New-York. A la direction musicale, Gareth Valentine. Entre autres spectacles, il a dirigé le « Singin’ in the rain » produit en 2015 au Théâtre du Châtelet. Des danseurs et chanteurs hors pair, 300 costumes, des décors à couper le souffle sont autant d’éléments qui rendent ces deux heures trente de spectacle inoubliables. On citera Rachel Stanley qui interprète Dorothy Brock, une star sur le retour qui obtient le premier rôle grâce à la générosité financière de son riche protecteur du moment.

Emily Langham (Peggy Sawyer) (c)Thomas Amouroux.jpg
Emily Langham (Peggy Sawyer) (c)Thomas Amouroux

 

Ou encore Emily Langham, dans le rôle de Peggy Sawyer, jeune talent venue de sa province et dont le potentiel de star va se révéler au fil des séquences.

Une fois le show terminé on s’étonne de ne pas se retrouver sur Times Square en passant les portes de sortie théâtre. Quant aux mélodies, elles continuent à tourner dans nos têtes, donnant une furieuse envie d’esquisser quelques pas de danse.

42nd street du 7 décembre 2022 au 15 janvier 2023
Théâtre du Châtelet 1 place du Châtelet 75001 Paris
réservations en ligne

crédit photos (c)Thomas Amouroux

Pâtisserie TAKUMI

La pâtisserie Takumi a ouvert ses portes il y a quelques semaines à peine. Cela a pourtant suffi pour que cette adresse devienne la référence parisienne du cheesecake en cette rentrée. Il fallait donc tester ! C’est chose faite.

Pâtisserie Takumi – l’excellence poussée à l’extrême

Au Japon, les TAKUMI sont des maîtres-artisans. Dans un pays où l’on exige rien de moins que la perfection, ils doivent avoir passé pas moins de 60 000 heures à perfectionner leur art. Ils ont pour obsession la qualité absolue. Leur vie entière est ainsi dédiée à ce savoir-faire sans pareil. C’est donc ce talent qui s’offre aux parisiens dans la pâtisserie installée rue des Pyramides depuis la fin du mois de mai.

pâtisserie Takumi
pâtisserie Takumi

Pâtisserie Takumi – des cheescakes et du pain

Commençons par le cheesecake. Proposé nature, mais aussi matcha, chocolat, framboise ou yuzu, il constitue en théorie le clou de la dégustation. Amateurs de cheesecake New-yorkais, passez votre chemin. Ici, le cheesecake est aéré, spongieux. Pas de base biscuit, il est beaucoup moins sucré. Le déguster est ici un rituel. Il parait même que lorsqu’il sort du four on sonne une cloche pour marquer l’évènement.

Celui dont on parle moins, c’est le pain de mie. Son nom : Shokupan.

Ses atouts : un moelleux incomparable, une texture légère, et un goût subtil et pourtant finalement proche de celui d’une brioche. Bref, vous l’aurez compris, j’ai adoré ! Néanmoins, il faut préciser que son prix est de 9€. Cela peut stopper quelques ardeurs …

Pâtisserie Takumi 29 Rue des Pyramides, 75001 Paris

Bourse du commerce – une seconde d’eternité

Il m’a fallu du temps, beaucoup de temps, avant de finalement décider de me rendre dans ce que le Tout Paris qualifie de nouveau temple de l’art contemporain. C’est fait. On ne m’y reprendra pas de si tôt.

Bourse du commerce – l’Histoire

On peut remercier François Pinault. La Bourse du Commerce qui végétait dans ses vieux oripeaux de lieu d’échange mercantile renaît enfin. Et on peut s’émerveiller de sa beauté. La verrière qui culmine à quarante mètres de hauteur.

La coupole et son extraordinaire fresque dont les cinq auteurs, qui se sont partagé les 140 mètres, glorifiaient alors le capitalisme naissant. Les ferronneries des balcons intérieurs.

L’escalier à double révolution du Camus de Mézières qui permettait de faciliter la circulation entre stockage et déstockage des sacs de céréales. La salle des machines en sous-sol. Bref, ce véritable manifeste de l’architecture parisienne du 16e au 19e siècles méritait de briller de nouveau. Il fallait pour cela lui trouver une nouvelle fonction … et pas mal d’argent. Cela tombait bien, le richissime François Pinault cherchait un lieu pour y montrer le fruit de six décennies de collections d’art contemporain … et sans doute aussi pour répondre du tac au tac à la Fondation de son alter ego Bernard Arnault dans le bois de Boulogne.

Bourse du commerce – art contemporain ?

Va donc pour un musée d’art contemporain ! Pour cela, la seule rénovation de ces lieux historiques ne suffisait pas, il fallait y poser « un geste architectural ». On fit donc appel à Tadao Ando … et on bétonna. Un énorme cylindre de béton fut construit à l’intérieur du bâtiment. Par chance, il est invisible de l’extérieur. Le lieu devenait ainsi « propice », comme on peut le lire sur les panneaux explicatifs, à y exposer des œuvres d’art de notre temps. Et c’est là que je prends le risque de m’attirer les foudres de beaucoup d’admirateurs et de penseurs de la modernité. Parce que soyons clairs, là aussi, ça bétonne ! S’il y a bien une qualité que l’on peut accorder à ce lieu, c’est la cohérence.

Dans les salles d’exposition se succèdent des œuvres conceptuelles, la plupart du temps exemptes de toute quête de beauté, et dont le point commun est de nécessiter un discours pour y accéder.

Un discours que l’on trouve dans la signalétique du musée dont la rédaction est à elle seule une œuvre d’art.

Ou en écoutant les médiateurs  qui commentent allègrement le lien rarement évident des créations avec la domination patriarcale, la fluidité de l’eau et de la matière, la lumière qui éclaire le monde.

J’en passe. Je ne résiste pas au plaisir d’évoquer cette œuvre monumentale composée d’ampoules dont la notice explique qu’elle peut être installée avec les ampoules éclairées ou éteintes. Et ça, ça change tout !

Bourse du commerce – une seconde d’éternité ?

Alors bien sûr, pendant une seconde d’éternité, on se dit que notre niveau intellectuel ne doit pas être suffisant pour comprendre ces sommets artistiques.

Et puis, on lève à nouveau la tête vers la coupole, les encorbellements, la subtilité des balcons.

On admire au détour d’une fenêtre la vue sur les bâtiments du Paris alentour, et on prend la décision de ne plus jamais se déprécier de la sorte.

Qu’une partie de l’art contemporain ait décidé de nous surplomber avec mépris ne nous rend pas stupides pour autant. On a le droit de trouver tout cela prétentieux et souvent laid. L’écrin méritait tellement mieux.

Bourse du commerce 2 Rue de Viarmes, 75001 Paris

N.B je partage cette opinion à 100%, mais le texte a été écrit par Clui avec qui j’ai effectué la visite.

mode parisienne – trois adresses so chic

La mode parisienne n’a plus à faire ses preuves depuis bien longtemps. Célèbre dans le monde entier elle attire toutes les fashionistas de la planète. Pourtant, il est moins aisé qu’on ne le croit de trouver ces créateurs à la signature unique, reconnaissables entre mille, et qui continuent à produire en France. Voici donc trois adresses qui vous garantiront le look parfaitement  parisien !

Margareth & moi

Margareth & moi illustre à la perfection l’élégance parisienne.  Une tenue de cette jolie marque de prêt à porter de luxe vous garantira un look parfait en toute circonstance. Qu’il s’agisse d’un pantalon, d’une robe ou d’un trench, tout est dans le souci du détail et les coupes parfaites.

La robe ceinturée demeure une valeur sure.

Les versions boule, foulard ou trapèze sont tout aussi élégantes , mais avec un twist qui les rend uniques.

Pour une silhouette parfaite à l’élégance discrète, les tops parfaitement structurés se marieront tout aussi aisément avec un jean qu’un pantalon de tailleur ou encore une jupe crayon.

Pour cet été, sahariennes, vestes et tuniques, en matières nobles et teintes naturelles donnent une touche militaire à la collection, adoucie par leurs lignes si féminines.

Margareth & Moi
Margareth & Moi

Margareth & moi
popup jusqu’à la fin du mois de mai 19 rue Duphot 75001 Paris
puis sur rendez-vous dans l’atelier du 12eme arrondissement ou sur le site de la marque

Maison Coudert

Stéphanie Coudert sculpte ses étoffes pour donner vie à des créations tout en volumes et mouvements.

Les coupes de ses vestes sont parfaitement structurées, le tomber de ses robes est souple,  les lignes définitivement graphiques.

Maison Coudert - robe
Maison Coudert – robe

Entre collections permanentes, inventions saisonnières et sur mesure, chaque pièce de la Maison Coudert est un voyage dans un univers à la frontière de la mode, de l’architecture et du design.

Maison Coudert 40 rue Vaneau 75007 Paris / 25 rue des Envierges 75020 Paris
de 11h à 19h du mardi au samedi

Koshka

Mari SAMVELYAN crée la Maison Koshka en 2007, au coeur de la capitale, rue de Poitou. Elle propose des pièces colorées et joyeuses, inspirées des oeuvres de son père, artiste peintre, mais aussi de ses rencontres et même de ses clientes.

Ce qui est certain, c’est qu’elle est la reine du pantalon, tout particulièrement à pont.

Ses pantalons, déclinés dans de multiples tissus, suivent les lignes du corps pour s’adapter à chaque morphologie. Ils se marient à merveille avec un chemisier, une blouse ou un pull. La garantie d’une tenue parfaite en toute circonstance. Autre coup de coeur : ses pulls, tricotés à la main dans une coopérative de femmes en Arménie, dont elle est originaire.

Maintenant qu’elle a deux adresses, une sur chaque rive, il est si simple d’aller à la découverte de ses créations, toutes réalisées dans son atelier parisien !

Koshka 36 rue de Poutou 75003 Paris et 12 rue Saint-Sulpice 75006 Paris

 

 

Isabelle Langlois – nouvel écrin

La joaillière Isabelle Langlois vient d’inaugurer son nouvel écrin rue Danièle Casanova. Un décor intimiste, aux armoires-vitrines chinée et au parquet massif,  cadre idéal pour découvrir ses créations, ses pièces signature ainsi que toute ses nouveautés.

Isabelle Langlois – nouvel écrin, nouvel vitrine

Cette nouvelle adresse à quelques pas de la Place Vendôme est à l’image de l’élégance discrète de la créatrice. Le salon qui accueille les clientes est baigné de lumière grâce à la baie vitrée qui donne sur la rue.

Le parquet pointe de Hongrie en chêne ajoute une touche chaleureuse, appuyée par le mur de pierres et le velours des assises. Au fond, un splendide escalier en colimaçon façonné en fonte mène aux bureaux à l’étage. Les bijoux sont exposés dans de superbes vitrines, où les coussins de velours font ressortir les couleurs acidulées des créations d’Isabelle Langlois.

Isabelle Langlois – les gemmes avant tout

Descendante d’une lignée de lapidaire, Isabelle Langlois vit les gemmes comme une évidence.

Isabelle Langlois
Isabelle Langlois

Que ce soit dans sa collection « pétales » , « macarons« , ou encore « émotions coussin« , les couleurs s’entremêlent,   joyeuses, omniprésentes.

Améthystes, péridots et saphirs roses allient la puissance de leurs teintes chatoyantes, citrines et saphirs jaunes déclinent toutes les teintes orangées pour des bijoux solaires.

Dans sa toute dernière collection, Isabelle Langlois introduit le lapis lazulis autour duquel elle crée bagues, pendentifs et boucles d’oreille.

Sans oublier ses coeurs, pièce que tout joaillier se doit de proposer, déclinés en trois tailles pour répondre à toutes les envies et tous les budgets !

coeurs Isabelle Langlois
coeurs Isabelle Langlois

Pour plonger dans l’univers d’Isabelle Langlois, rendez-vous dans sa nouvelle boutique boudoir.

Isabelle Langlois 29 rue Danielle Casanova 75001 Paris
Tél : 01 42 46 75 00
Horaires d’ouverture : lundi au vendredi : 12h00 – 18h30
samedi : 12h00 – 18h00 sur rendez-vous

Thierry Mugler, colorissime – exposition au MAD

Plus qu’un couturier de talent, Thierry Mugler était un créateur de génie qui a révolutionné la mode et la haute couture. L’exposition Thierry Mugler, colorissime au MAD en fait la démonstration et on aime.

Thierry Mugler, colorissime
Thierry Mugler, colorissime

Thierry Mugler – le parcours

À la fin des années 70 Thierry Mugler casse les codes en proposant une femme bien éloignée de la mode hippie de l’époque. Elle est glamour, chic et moderne, et surtout elle ose tout. Jusqu’en 2002, année qui met un terme à son parcours dans la mode, Thierry Mugler s’illustre par sa créativité et son inventivité.

Il met en scène, photographie, propose des univers fascinants et inédits.

Sa signature mode : des silhouettes graphiques qui subliment la femme et lui redonne le pouvoir. Ses défilés sont de véritables shows, ses mannequins sont les personnalités les plus iconiques du moment. L’exposition permet de découvrir la puissance de ses créations et la multiplicité des facettes du personnage.

Thierry Mugler, colorissime – l’exposition

L’exposition s’articule autour des univers les plus forts et marquants de Thierry Mugler.

D’un bestiaire fantastique on enchaîne sur des créatures robotisées aux tenues proches de carrosseries aérodynamique.

Une salle est dédiée à la découverte de ses parfums dont son jus emblématique : Angel.

À l’étage c’est la photographie de mode qui est mise à l’honneur, elle qui fait son entrée dans cet univers à la fin des années 1960.

Des images superbement scénarisées, et une salle dédiée aux prises de vue du créateur lui-même. La visite se poursuit avec des images des défilés spectacles en musique. Dans ce même  espace sont exposées les tenues « too funky »  portées par les plus grandes stars.

La visite est une expérience multisensorielle que je vous recommande absolument.

Exposition Thierry Mugler, colorissime du 30 septembre 2021 au 24 avril 2022
Musée des Arts Décoratifs 107, rue de Rivoli 75001 Paris

Top de la semaine : restaurant le Tout-Paris

La course à la nouvelle adresse trendy de Paris ne porte pas toujours ses fruits. Souvent les nouveaux spots ouvrent bien avant d’être en situation d’accueillir leurs clients et régulièrement l’expérience est calamiteuse. Heureusement, il arrive aussi que l’expérience aille au delà des attentes. C’est précisément le cas du restaurant Le Tout-Paris qui a ouvert ses portes il y a une semaine.

Le Tout Paris - carte d'été
Le Tout Paris – carte d’été

Restaurant le Tout-Paris – bienvenue sur les toits du Cheval Blanc

Quel plaisir de passer la porte de cette nouvelle adresse parisienne attendue depuis si longtemps : l’hôtel Le Cheval Blanc.

Un personnel attentionné se charge de l’accueil et de guider vers l’ascenseur qui mène à l’étage du restaurant.  L’accueil est parfait, souriant sans être guindé. Une fois installés, c’est un plaisir de se sentir si bien pris en charge.

Le tout-Paris
Le tout-Paris

La décoration est joyeuse, une explosion de couleurs du sol aux murs. La vue est spectaculaire, mais le ciel pluvieux de cette soirée ne m’a pas permis de l’immortaliser. Pourtant, la Tour Eiffel était bien là, scintillante à heures fixes comme il se doit.

Quant à la prise de commande, qu’il s’agisse de vins ou encore de pâtisseries, les experts sont intarissables et naturellement enthousiastes. Et pour patienter, une délicieuse bouchée au fromage est proposée.

Le Tout-Paris – à table !

La carte se lit en plusieurs temps.

Première étape , « tout commence par… » . Huitres, betteraves, rillettes ou encore gratinée à la louche font partie des propositions pour commencer le repas. On passe ensuite au plat, qui se décline en  » Tout pour un » ou « Tout pour deux« .

Qu’il s’agisse de viande ou de poissons, vous avez le choix de cuisson. Original ! Et tout est délicieux. Comme par exemple ces langoustines.

Ou ce poulpe parfaitement moelleux et sa sauce aux petits légumes.

Sans compter  adorable tian de légumes.

Pour une raison mystérieuse, l’île flottante a toujours été mon dessert favori au restaurant. Quand je la vois dans la liste des desserts proposés à la carte, mon coeur se gonfle de bonheur. Et quand elle est aussi délicieuse que celle-ci, le bonheur est parfait !

île flottante - le Tout-Paris
île flottante – le Tout-Paris

Pour un moment plaisir dans un cadre d’exception, je vous recommande donc le Tout-Paris. Seul bémol : le niveau sonore trop élevé qui finit par nuire à l’expérience. Mettons ça sur les ajustements à apporter par la site. Après tout, le restaurant a ouvert ses portes il y a à peine deux semaines !

Le Tout-Paris Hôtel le Cheval Blanc 8 quai du Louvre 75001 Paris