FFC : la chaussure, une passion française

C’est la FFC, Féderation Française de la chaussures de France, qui vous propose cette exposition qui vous permettra de tout savoir et de tout comprendre !

Ce sont les chaussures estivales qui vous accueillent à peine passée la porte : tongs, claquettes, sandales, nus pieds, tropéziennes et spartiates : vous saurez désormais faire la différence, et pourtant , elle est subtile !

Puis la chaussure se ferme et donne les ballerines, telle que la fameuse cendrillon de Repetto, ou encore la baby…

Et puis il y a les : »ghillie  » : personnellement je ne connaissais pas !

Ou encore celles que j’avais déjà croisées, sans savoir qu’elles se nommaient  » lamballe « !

Un parcours vous explique les différentes étapes de fabrication d’une chaussure : elles sont au nombre de 150 à 180!

Technologies de pointe , procédés traditionnels et tâches manuelles, tout y est !

Création ,coupe, piquage , montage, talonnage, dont le fameux talon Richelieu, et bien sur « cousu » , qu’il soit mocassin ou Blake !

La chaussure d’homme n’est pas en reste : derby, derby à boucle ou encore à plateau !

Et les célébrissimes one cut …

 

Toutes les activités ont des chaussures adaptées …

Je n’y avais personnellement pas vraiment pensé , mais il existe autant de types de modèles et de chaussure que d’activités ! Nature, industrie ou construction elles ont toutes leurs normes et leurs exigences techniques.

La chaussure s’adapte à nos loisirs et à nos plaisirs ( aigle, espadrilles)

Après avoir parcouru la diversité incroyable de modèles, courbes, lignes, et finitions, direction .. Le labo !

On y découvre matières nobles, modes de fabrication, et en plus, on peut toucher !

Les chaussures vertes dont désormais très présentes …

Mais c’est à l’étage que vous prendrez la mesure de la relation fusionnelle mode-chaussures !

Le bottier : entre couture et industrie, c’est la courroie de transmission de la mode

Des modèle mythiques jalonnent l’histoire de la mode : on les doit à des tandems tels que :

La ballerine élastiquée créée en 1954 par la maison Massato pour Madame Grès, ou encore l’escarpin à bout noir, créé par la même maison pour Chanel.

Et puis il y a aussi l’escarpin à boucle fruit du binôme Roger Vivier  et Yves Saint Laurent .

 

Vous croiserez une armée de bottes …

Des merveilles masculines …

Et , pour finir, la petite … chaussure noire !

Je concluerai donc cette visite par celle qui, pour moi, incarne LA chaussure française …

 

 

Alors, n’hésitez pas : aller faire un tour dans cette caverne d’ali baba des amoureuses de chaussures !

L’exposition est gratuite, ouverte jusqu’au 4 novembre, de 10h00 à 20h00 !

Article sponsorisé

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5 Comments

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    Ca me rappelle la visite du célèbre musée de Romans. Je m’étais régalée.
    Là, j’aime le concept de présenter les chaussures liées aux métiers.
    Mais qu’avez-vous toutes à ovationner Louboutin ? Franchement, niveau confort, j’en ai essayé et je suis mieux dans d’autres marques toutes aussi élégantes. Si c’est la semelle rouge, ok, je m’incline, il n’y a que lui !

  3. 5

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