Bijoux Fantaisie – avons-nous capitulé ?

La bijouterie fantaisie connaît un essor d’autant plus marqué que le prix de l’or a explosé ces dernières années. Achat compulsif, petit cadeau que l’on s’autorise quand on cherche un plaisir éphémère à prix abordable. De nouvelles marques sont apparues, toutes plus tentantes les unes que les autres. Mais devons nous pour autant capituler ? Faire semblant que ce type d’achat n’a aucun impact sur le monde qui nous entoure ?

Louyetu – le premier

Il y a eu l’affaire Louyetu. On découvrait soudainement que le « made in Paris » revendiqué haut et fort était un simple assemblage d’éléments qui provenaient bien de Chine. Les témoignages d’anciens salariés pleuvent, les langues se délient. Le tout sur un fond de maltraitance salariale. C’est comme si Louyetu devenait soudainement l’exemple même de ce qui se fait de pire dans l’univers des startups et de la consommation débridée. Et puis, comme souvent dans notre monde de zapping, un scandale en chasse un autre. Louyetu a certes perdu quelques dizaines de milliers d’abonnés sur Instagram, masi pour le reste ? Difficile à dire ? Est-ce que depuis ces révélations la boutique emblématique de la rue Volney désemplit ? Je ne crois pas ! La vie a repris son cours, Louyetu continue  à exceller dans son narratif. Et la vie continue… Démonstration est faite que l’indignation est passagère lorsqu’elle se confronte à l’envie.

Purelei

J’avoue avoir été séduite par le design des bijoux Purelei. Soudain, ils ont envahi les posts des influenceuses mode que je suis depuis longtemps et j’avoue, j’ai été tentée. Mais cette fois, échaudée par l’expérience de Louyetu, j’ai décidé de creuser. Sur le site, les visuels sont superbes. Les bijoux sont proposés dans les trois teintes de l’or : jaune, blanc et rose. La recherche se fait par type de bijou, par tendance, par collection. Par contre, impossible de trouver l’origine des bijoux. Où sont-ils fabriqués ? Mystère ! Alors j’ai contacté leur service client. Première information : le design est réalisé en Allemagne. Il a fallu plusieurs relances, pour que je reçoive enfin l’information : tout est fabriqué en Chine. Finalement, pourquoi être étonnée ? De tels prix pour de tels bijoux, jamais ils n’auraient pu être fabriqués en Europe. Pas de surprise, mais simplement l’évidence que l’on s’emploie si souvent à ne pas regarder en face.

Zag – la cerise sur le gâteau

Les bijoux ZAG sont an acier inoxydable. On les trouve dans tous les concept stores et autres boutiques multi marques de bijoux tendance et abordables. L’acier inoxydable n’étant pas un matériau précieux, on aurait pu imaginer qu’ils provenaient d’une usine européenne. Seulement voilà, la marque revendique clairement sa provenance.  Et c’est bien la première fois que je vois une marque qui revendique une « fabrication artisanale….en Chine » ! Ou l’art et la manière de créer l’association la plus improbable pour utiliser le mot « artisanat ». En insultant au passage tous ceux qui peuvent réellement prétendre à cette qualité.

La question demeure : avons nous capitulé ? Allons nous nous laisser guider par des impulsions et des envies, aussi passagères soient-elles, en connaissance de cause. Ce sautoir parfait pour la dernière petite robe noire achetée, ces petites bagues addictives ou ces bracelets aux pierres soit disant porteuses de vertus apaisantes : nous sont-ils indispensables ? Ne pourrions nous pas nous en passer ? Et participer ainsi, à notre petite échelle, à la diminution du délire de consommation qui nous a responsables de collaboration aveugle avec des méthodes de production indignes.

 

Madame Rêve, le restaurant – fail en trois temps

photo officielle dossier de presse

Mea culpa : j’ai cédé à la tentation de la nouveauté, et je l’ai payé cher. Au propre et au figuré ! Bilan de notre dîner chez Madame Rêve.

Madame rêve le restaurant – 1er temps : la réservation

Ça avait si mal commencé ! J’aurais du m’en douter et abandonner immédiatement ! Mais je n’avais pas réussi à réserver ailleurs, j’étais tentée par la découverte, je portais la responsabilité de réserver pour notre dîner avec des amis. Bref, je n’avais pas le droit d’échouer.  Alors quand j’ai vu que tous les créneaux horaires étaient disponibles pour dîner ce samedi soir, je me suis réjouie. J’attire votre attention sur le fait que tous les créneaux étaient disponibles  : 20:00, 20:30, 21:00, etc

J’ai donc validé la réservation et là, premier choc ! Pour réserver, il faut laisser une carte bleue. Pourquoi ? Parce que si on annule moins de 24 heures avant l’heure H, une somme forfaitaire est débitée, pour chaque convive ! (60€ par personne il me semble mais je ne peux plus vérifier) ! J’aurais du comprendre, j’aurais du laisser tomber, mais non, j’ai persévéré ! Comment un établissement qui se positionne haut de gamme peut-il traiter ainsi ses clients ?

Je sais, beaucoup de restaurateurs sont confrontés au problème du « no-show ». Des clients mal éduqués qui réservent et ne se présentent pas, je sais que cela existe. Et c’est pour ça que les systèmes de réservation comme TheFork sont faits, avec rappels les jours précédents, et annulation facile en un clic. Et si cela ne suffit pas, pour les établissement haut de gamme qui ont largement assez de personnel pour passer un coup de fil de confirmation, c’est simple aussi, et respectueux du client ! Tout simplement.

Temps 2 – le repas

L’accueil est assez souriant, même si nous ne comprenons pas l’insistance à vouloir prendre nos manteaux à tout prix. Pourquoi répéter la « proposition » jusqu’à ce qu’elle ressemble à s’y tromper à une injonction ? Puis vient le temps de la commande et de la dégustation. Le grand âge m’a sans doute rendue intolérante à la musique poussée à de tels extrêmes qu’on ne s’entend plus parler, pas plus d’ailleurs que le serveur qui peine à comprendre ce que nous lui disons. La carte est d’une telle banalité qu’on pourrait en sourire. Si j et vous dis poulpe grillé, pouvez-vous faite le compte du nombre d’adresses où ce plat est proposé dans les restaurants parisiens ? Là, le choc réside dans le rapport « prix/taille de l’assiette «  ! Si je résume, et pour une note positive dans ce déluge de critiques, c’était plutôt bon. Et aucun risque d’excès vu la taille des portions. Quant aux desserts, était-ce Hermé, Michalak ou Grolet ? Je ne saurais dire ! Aucune surprise en vue là non plus. disons plutôt des « valeurs sûres ».

Temps 3 – le départ en fanfare

Comme dit précédemment, les réservations se font exclusivement en ligne. Les seules informations sont donc les créneaux horaires disponibles. Dans le cas présents, toutes les demi-heures dès 19:30. Imaginez donc notre surprise quand le serveur arrive à 22h00, soit deux heures après notre arrivée, et, d’un ton tout à fait souriant, nous « rappelle » qu’il va falloir libérer la table pour le service suivant ! Le choc, troisième édition ! Il me rassure pourtant en affirmant que j’aurai le temps de finir mon thé ! Mais 20 minutes plus tard, il revient et se fait plus insistant. Nous avons donc quitté les lieux, comme des voleurs. Sauf que dans ce cas, avant de partir, les voleurs doivent s’acquitter d’une note plus que salée!

En résumé, j’ai compris la leçon. Les lieux branchés et les adresses trendy que tout le monde s’arrache sous prétexte de nouveauté, c’est fini !

Pour l’adresse, et les informations pratiques, je vous laisse vous rendre sur leur site ….

Tarifs Belib – le grand délire

Je suis parisienne, et j’ai une voiture éléctrique. La Mairie de Paris n’a jamais caché sa volonté d’éradiquer la voiture thermique de la capitale. Lorsque le moment est venu, j’ai donc choisi de me faciliter la vie … Enfin, c’est ce que je pensais naïvement. L’offre de chargement était multiple et complexe,  mais j’avais la chance de disposer à proximité de mon domicile de bornes vestiges d’autolib, très simples d’usage, et à la tarification limpide. Elles ont été remplacées par Belib. Et c’est là qu’à commencé le voyage kafkaïen dans l’univers obscur des tarifs Belib.

Tarifs Belib – un tableau aux entrées multiples

tarifs Belib - les abonnements
tarifs Belib – les abonnements

La première étape consiste à choisir le type d’abonnement. On notera que les tarifs sont différents également selon les arrondissements, selon le même principe que le stationnement résidentiel. Mais surtout, j’en appelle à vous concernant la différence entre l’abonnement « non résident », et la version « résident ». Parce que cela doit être du à la fatigue, mais je n’en vois aucune… Bref.

Vous remarquerez l’importance de chaque colonne. Il y a FLEX, MOTO, BOOST et BOOST+. Alors que MOTO semble désigner le type de véhicule, le reste est loin d’être aussi limpide !

 

tarifs Belib
tarifs Belib

A la lecture des définitions pourtant, je m’étais dit que tout ceci était très simple. Sauf que, une fois devant les bornes, impossible de dire laquelle répond à ces critères. Comment savoir si je suis sur une BOOST, une FLEX, ou même une BOOST+ ?

Sans oublier un détail important : les différents câbles ! Faut-il un Type T2 ou un type E/F ? Et d’ailleurs, quels sont les câbles qui m’ont été fournis avec la voiture ?

Puis est venu le premier jour d’utilisation. Je me suis branchée sur une borne rue Médicis. Quel type de borne ? Je ne sais pas ! Et à mon retour, 3 heures après, la voiture était totalement chargée, mais j’avais été facturée de 25,5€ ! Vu la somme, je suppose maintenant qu’il s’agissait d’une BOOST+, mais rien ne l’indiquait. J’ai donc décidé de contacter le service client pour tenter de comprendre… Et là, on peut dire que l’aventure continue !

BELIB – le service client ( le plus calamiteux que j’ai croisé depuis longtemps)

Pour commencer, il faut faire preuve de patience, de beaucoup de patience. Au premier appel, j’ai raccroché après 10 minutes d’attente sur le choix 2, qui semblait le plus adapté, puisqu’il évoquait les tarifications. Puis deux autres tentatives infructueuses. J’ai donc choisi le choix 3, intitulé « autres », celui que l’on fait en cas de situation désesperée ! Et là, j’ai eu quelqu’un. Deux personnes successivement en fait. Et je le regrette encore ! La première m’a asséné des vérités telles que  » la borne du milieu est toujours en FLEX« . Ou encore  » je ne peux pas accéder à vos factures ni vous les expliquer ». Et enfin  » il faudrait que vous investissiez dans un câble E/F pour pouvoir utiliser les bornes BOOST » ! Mais alors comment se fait-il que j’ai eu une facturation de BOOST si mon câble ne fonctionne pas ?!  alors que je commençais vraiment à perdre patience, ça a coupé ! Ou bien aurait-elle raccroché ? Je ne le saurai jamais. Du coup, j’ai appelé à nouveau. Et là, l’échange se résumerait en ceci : « je ne peux pas vous dire combien ça vous coutera, ni quelle borne il faut choisir, ni combien de temps ça prendra. Parce que ça dépend de votre voiture, et c’est à vous de la connaitre ! »

Alors je le dis ici et maintenant, je n’appelerai plus jamais ce « service client ». Total Energies, qui a repris la gestion de Belib, ferait bien de mettre un peu d’ordre dans ses services !

 

Une voiture électrique à Paris : la solution ou le début des problèmes ?

Naïvement j’imaginais que la voiture électrique à Paris était l’avenir. Après tout, l’autonomie moyenne des petits modèles électriques convient si bien aux trajets d’une citadine ! Et puis, il y a des bornes pour la recharger partout dans la capitale…Oh, wait!!

Véhicule électrique à Paris – l’abonnement

Dans un élan d’optimisme absolu, je pensais que tous les bornes Autolib avaient été remplacés par un nouveau système qui était devenu la norme unique de la capitale. Et bien pas du tout ! Certes les prises Autolib ont été remplacées et c’est la mairie de Paris qui a repris tout (ou partie) de ce dispositif.
C’est donc une première option pour charger son véhicule : les bornes BELIB. Pour y avoir accès, il faut prendre un abonnement sur paris.fr. Ou pas, et cela a un impact sur le tarif à la minute (nous y reviendrons)
Cela étant dit, on a pas forcément une station à proximité de chez soi, le nombre de places disponibles est limité, et puis c’est si pratique de charger son véhicule dans un parking.
Nous en venons donc au deuxième dispositif : les parkings Indigo et leur offre de recharge Alizée.
Là encore, il faut prendre un abonnement sur un autre site encore.
Si toutefois vous trouvez pratique de garer votre véhicule dans la rue pour le charger, il y a encore une autre option : les « bornes de recharge » Mairie de Paris. Attention, il s’agit là d’un dispositif différent des Belib, pourtant aussi gérées par la ville.
Nous en sommes donc à 3 abonnements potentiels. Alors vous me direz : il suffit d’en prendre un, le plus proche de chez moi. Après tout, il n’est pas nécessaire de la charger si souvent que ça !
Certes, mais là nous avons mis le doigt sur un second sujet : les places disponibles et compatibles pour charger son véhicule.

Véhicule électrique à Paris – chargement de la batterie

On peut effectivement rêver de charger sa voiture simplement, toujours au même endroit. Sauf que… Chaque station a un nombre très limité de places. Impossible de réserver, et le nombre de voitures électriques augmentant de façon exponentielle, les places sont souvent, très souvent, toutes occupées. Par ailleurs, comme si tout cela ne suffisait pas, la norme de branchement a évolué cette année. La prise T3, qui était la norme précédente, a été remplacée par la prise T2. C’est sans doute l’inspiration des techniques de changement de connectique en mode Apple qui a inspiré cette évolution. A moins que ce ne soit une obscure norme européenne. Quoiqu’il en soit, l’évolution a bien été répercutée dans les véhicules vendus en 2020 (une ZOE dans le cas présent). Sauf que les bornes publiques ont peu suivi. Du coup, même quand on trouve une place, elle correspond rarement au bon branchement ! Et il m’a fallu acheter un « vieux câble » pour être parée à toutes les éventualités.
Un jour peut-être le dispositif permettant un chargement aisé, uniforme et fluide sera en place. La question qui demeure est simple : QUAND ?

Charge éléctrique – les tarifs

BElib ( anciennement Autolib).

Alors là, je vous demande de vous concentrer, parce que ce n’est pas simple. Parce que le prix dépend de la possession ou pas du badge Belib, mais aussi de la durée du stationnement. Et c’est là le problème !

C’est d’ailleurs si confus, que cela peut aboutir à des sommes astronomiques pour un chargement, si, comme nous, on ne fait pas l’analyse détaillée de la tarification !

Parking INDIGO

Là, la tarification est un peu plus lisible. Le prix est donc de 0,25€ / 15 minutes, et pour 4€ maximum par session de charge. Quant à la carte elle vaut 10€.

Voiture électrique à Paris – les bornes en panne

J’ai évoqué la multitude de propositions d’abonnements, les problématiques de câblage, les coûts plus que confus des différentes propositions d’abonnement mais aussi de charge selon la durée et le dispositif choisi.
Mais il reste la cerise sur le gâteau : la gestion des bornes en panne. Là, le grand prix revient à la Mairie de Paris, pour ces deux dispositifs. Après tout, autant faire preuve de cohérence. J’ai deux exemples que chacun pourra vérifier. Le premier : la borne Belib de la rue Medicis. En panne depuis des mois, elle semble définitivement abandonnée à son sort. Deuxième cas : la borne « borne de recharge Mairie de Paris » place Jean Delay. Là, la durée du dysfonctionnement est pour l’instant plus courte. Mais par contre, impossible de le signaler à qui que ce soit. Quand on appelle le numéro qui est affiché sur la borne, il nous renvoie au 3975. Mais quand on appelle le 3975, aucune des propositions de choix ne concerne ce type de problème. quand au site paris.fr ou parisjecoute, il impose de fournir une adresse complète pour signaler un problème. Oui mais voilà, impossible de trouver une adresse avec un numéro pour cette borne qui est au milieu d’une petite place sans numérotation !
Vous l’aurez compris, mon enthousiasme des débuts s’est érodé.

Louyetu – chronique d’une mort annoncée ?

Louyetu est une marque de bijoux fantaisie qui revendique des valeurs de transparence et de bienveillance. Un moto : le made in France. Une philosophie de vie avec des bijoux « espiègles », mais aussi de qualité, qui résistent à la vie. Et j’avoue avoir cédé à ce marketing parfaitement ficelé. Oui mais. Louyetu va-t-elle résister au cataclysme Instagram, elle qui est née grace à ce réseau ?

Louyetu – quand le doute a commencé à s’installer

La marque a basé toute sa communication sur la provenance française (voire même parisienne) de ses bijoux, les prix abordables, et la dimension exclusive et rare de chacune de ses « créations ».

Avec la possibilité de s’inscrire aux alertes de retour en stock des bijoux les plus convoités.

Process parfaitement pensé qui entretient l’envie, doublé d’un feed Instagram impeccable, et ça a marché ! Des files d’attente dans les boutiques, un buzz ultra positif sur les réseaux sociaux. Bref, j’ai cédé, et je n’étais pas la seule.

Et puis un jour, j’ai vu exactement le même bracelet, le même maillon, tout pareil en fait, mais ailleurs ! Et puis une fois encore, pour un collier, et un médaillon. Quand finalement en regardant les vitrines de grossistes de bijoux j’ai vu précisément les mêmes modèles ! C’est à ce moment précis que j’ai arrêté d’acheter. Le doute s’était installé et j’avais le sentiment diffus que cette marque était bien moins pure et innocente qu’elle le revendiquait.

Et voilà qu’hier, la boite de Pandore s’est ouverte. Et elle n’est pas prête de se refermer !

Louyetu – témoignages effarants sur Instagram

Depuis hier, grâce au compte @balancetastartup, une déferlante de messages et de témoignages de salariés et de leurs proches s’est abattue sur Instagram.

Deux axes majeurs : le management par la terreur et les bijoux made in China.

Suite à cette libération de la parole, la marque a perdu des dizaines de milliers d’abonnés en un temps record. Et la fondatrice Camille Riou a fermé son compte.

Je l’ai déjà dit, j’ai toujours été très prudente face aux séismes des réseaux sociaux. Mais il s’agit là de dizaines de témoignages qui relatent les mêmes faits, les mêmes pratiques internes violentes. Quant à la provenance des bijoux, il est désormais acté qu’ils proviennent de bien plus loin que la marque ne voulait le faire croire.

Louyetu – et nous, et nous, et nous ?

Louyetu n’est ni la première ni la dernière marque qui dissimule un fonctionnement toxique derrière un rideau de marketing lisse et efficace.

Et la question demeure : comment continuons-nous à nous laisser manipuler ? La conclusion majeure à en tirer en ce qui me concerne est que la vigilance doit être de mise avant tout. La révolution du made in France et des marques éthiques est vraiment en marche, à nous (à moi) d’accompagner ses jolies marques qui sont malheureusement parfois moins visibles alors qu’elles mériteraient tellement de l’être.

Et pour conclure j’espère sincèrement que les salariés bafoués et maltraités iront plus loin pour se retourner contre cet employeur toxique et avoir gain de cause. Souhaitons leur ce succès pour tourner la page !

 

Edit du soir 20 janvier 2021

La fondatrice a fermé son compte Instagram, mais on note également que les commentaires ont été désactivés sur le compte de la marque, et que le flagship rue Volney n’a pas ouvert ses portes. Par ailleurs la presse s’est emparée du sujet aussi.  A suivre donc.

Nouveau développement : Louyetu a répondu au compte « balancetastartup ». Et je dois dire que je ne suis pas vraiment convaincue. Tout particulièrement en ce qui concerne la provenance des bijoux. Prenons un bracelet, soit donc une chaine et un fermoir.  si on lit leur réponse de près, on comprend que la chaine (achetée au mètre) vient de Chine ou d’ailleurs, le fermoir aussi, mais l’assemblage des deux est bien effectué à Paris ! Seriously ?!

 

Réveillon du jour de l’an 2021 dans un palace parisien ?

En cette fin du mois de décembre, alors que l’année plus épouvantable qui soit arrive à son terme,  faute de pouvoir voyager, je me prends à rêver. Et si on passait le réveillon du jour de l’an 2021 dans un de somptueux nos palaces parisiens ?

Le Plaza Athénée – le plus emblématique

Il garde pour toujours une place toute particulière dans mon cœur. Parce que c’est là que j’ai vécu ma première expérience du luxe absolu. Parce qu’au Plaza, le luxe est synonyme de sourire et de discrétion, de multiples attentions qui font de chaque minute un instant mémorable. A tout seigneur tout honneur, c’est donc avec lui que je commencerai.
le Plaza Athénée
le Plaza Athénée
Pour le réveillon du jour de l’an, vous aurez donc le choix.
Dès que l’on choisit la date du 31 décembre sur le site du Plaza Athénée, une multitude de possibilités s’offre à nous. Pour ceux qui souhaitent fêter le réveillon du jour de l’an 2021  en famille, il y a l’offre version familiale. Là, les enfants sont couverts de cadeaux, peuvent accéder à la patinoire. Leur chambre est à demi tarif. Et les parents trinqueront au champagne pendant que les enfants se régaleront des gâteaux qui les attendront.  Pour les amoureux,  la version romance a pensé à tout. Surclassement, petits déjeuners tels que le Plaza sait les concocter, champagne, chocolats et bouquets de fleurs. En d’autres mots, le rêve commence alors que la réservation n’est encore qu’un doux songe. Et le Plaza est là pour le concrétiser et offrir Paris et ses merveilles sur un plateau.

Le Georges V – le plus gourmand

En ce qui me concerne, le Georges V est avant tout synonyme de plaisirs des papilles.
Georges V Paris
Georges V Paris

Après tout, c’est le seul palace qui, à lui seul, compte 5 étoiles au guide Michelin avec ses 3 restaurants, tous étoilés.

J’y ai dégusté le meilleur croque monsieur aux truffes, proposé au bar, et l’Italie s’invite dans votre assiette dans ses restaurants tout en saveur et en générosité.
Quant à ce dessert tout en délicatesse est clairement un bonheur pour tous les sens !
C’est donc avec gourmandise que j’ai simulé une réservation pour cette date pas comme les autres.
réveillon du jour de l'an : Offre Georges V
réveillon du jour de l’an : Offre Georges V
Là aussi, une offre « parisian romance« , mais surtout, une offre spécifique aux fêtes : « Festive treats » ! Et là, tout y est : surclassement late checkout, et surtout et avant tout : petits déjeuner ET repas festif en chambre ! Plus précisément : « In-room three-course gastronomic menu by our Michelin-starred chef, Alan Taudon « 
Autant dire que c’est la promesse d’un séjour proche de la perfection !

Le Ritz – le plus mythique ?

C’est ce que j’ai toujours pensé. Et j’en étais toujours convaincue après avoir pris un petit déjeuner quelques jours après sa réouverture, alors que nous étions accueillis comme si nous revenions chez nous. Ou encore les quelques fois où nous avons pris le temps d’un cocktail dans le jardin à la française. Mais honnêtement, aujourd’hui, permettez moi d’émettre un doute.
Parce qu’ici, contrairement au célèbre adage, pour le réveillon de la Saint Sylvestre, au Ritz, qui dort ne dîne pas. Et d’ailleurs, pour le réveillon de la Saint Sylvestre, qui dort ne fera que ça.
Et pourtant, tout avait bien commencé ! Parce qu’à première vue, une offre de parenthèse enchantée était au programme : l’offre « Puttin’ on the Ritz« 

Puttin’ on the Ritz ?

Chargée de promesse, Puttin’ on the Ritz parlait de surclassement, de cadeaux et de spa. Le paradis pour quitter 2020 ! Mais voilà que quelques instants après, l’offre disparaissait !
Le Ritz - réveillon 2020
Le Ritz – réveillon 2020

Et là, il ne restait plus que deux choix : Room only et breakfast included !

Incrédule,  je m’en suis émue auprès de la direction du service clientèle. Parce que dans un établissement de cette envergure, tout se règle toujours avec le sourire ? Pas vraiment.
En effet, la réponse a été très claire : suite à un bug informatique, cette offre,  qui n’aurait pas dû apparaître , a été visible pendant quelques instants.

« Chère Madame,

Merci pour votre message et je comprends votre surprise….toutes nos excuses pour le malentendu mais je vous confirme que l’ offre n’est pas disponible le 31 décembre 2020 (elle ne devrait plus apparaitre sur notre site, le problème technique a été résolu)

Vous remerciant pour votre compréhension,

Bien cordialement »

Et au téléphone, on m’a confirmé que rien, absolument rien, n’était prévu pour le soir du réveillon. En d’autres termes, on peut dormir dans ce palace mais pour le reste…  Dans tous les cas, la bulle de rêve avait disparu en un instant. Parce que mon interlocutrice n’avait pas l’air particulièrement émue de la tristesse de la proposition du palace préféré de Chanel, Hemingway ou encore Lady DI ! Sérieusement ? Room only ? Ca ne fait pas rêver pour un réveillon d’exception, même si la « room » est au Ritz !

Au passage, elle semblait aussi oublier que  séjourner dans un palace doit être une expérience unique. Et ce, de la réservation, à la dernière minute passée sur place. Alors, quand dans une conversation concernant la réservation d’une chambre au Ritz pour le réveillon qui clôt la pire années de nos vies, on parle de bug informatique et de room only, je crois qu’il n’y a plus rien à ajouter.
Mais tout ça n’est pas bien grave, après tout, nous passerons quand même le réveillon dans la plus belle ville du monde !

Laissez pas tomber mon Monoprix !

Monoprix est une référence shopping pour tous les parisiens. Depuis quelques années l’enseigne revendique un renouveau absolu. Il y a eu l’ouverture du flagship  sur les champs Élysées, puis des travaux de grande envergure à Montparnasse pour un nouveau magasin qui a les codes du luxe de l’épicerie et du commerce de bouche. Alors pourquoi le Monoprix avenue d’Italie est-il à l’abandon ?

Monoprix aujourd’hui

Ces dix dernières années Monoprix s’est résolument tourné vers une nouvelle clientèle. En étoffant toujours et encore son offre déco et vestimentaire, en modernisant certaines de ses adresses . Puis est venue l’étape ultime : penser et implémenter le nouveau Monoprix, celui qui deviendra la référence du city marché de la capitale et de toutes les grandes villes de France. Nous avons d’ores et déjà deux illustrations les plus criantes de cette révolution. La première, c’est le flagship des Champs Élysées. Ici pas de zone alimentaire mais un magasin mode beauté et décoration qui donne envie de tout acheter.
Puis l’apothéose : Montparnasse Bienvenue.
Là, on touche vraiment à l’essence même de l’enseigne et à son histoire depuis sa création. Parce que le Monoprix de Montparnasse, c’était d’abord et avant tout le INNO référence à Paris. Tous les anciens du quartier continuent d’ailleurs à lui donner ce nom.
Alors je l’ai visité dès qu’il a rouvert ses portes. Et je peux l’affirmer, mission accomplie. Plus qu’un citymarché, Monoprix a voulu créer ici un lieu de vie, qui a même sa « Plaza ». Et ça marche ! Certains s’y installent pour un déjeuner sur le pouce, d’autres pour passer un coup de fil, voire même lire quelques pages.
Dans la partie alimentation, on parle légumes de saison, production locale, et offre de plats cuisinés de qualité.
Alors je pose la question : pourquoi les autres Monoprix de Paris n’ont-ils pas le droit au même traitement ? Mais pire encore, pourquoi certains sont-ils laissés à l’abandon ?

Monoprix avenue d’Italie – avant

On ne parle bien que de ce que l’on connait vraiment. Et le Monoprix de l’avenue d’Italie, je le connais vraiment !
Je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans.... au commencement était Prisunic. Et je dois l’avouer, je m’en souviens comme si c’était hier. Toujours une petite course à faire, souvent un passage pour le plaisir, ce supermarché à bercé mon enfance avant que les hypermarchés n’aient existé dans l’esprit des visionnaires du shopping de masse.
Puis vint le temps de Monoprix. Et voilà que ce Prisunic devenait le même mais en mieux. Même s’il faut l’avouer, c’est avec un pincement de cœur que nous avons vu disparaître cette jolie enseigne si parisienne. Je ne suis pas la seule à ère nostalgique et j’en veux d’ailleurs pour preuve la capsule Prisunic sortie par Monoprix il y a un ou deux ans !
Voilà, le décor est posé. Alors, que s’est-il passé ?

Monoprix avenue d’Italie – maintenant

Tout a commencé il y a environ 2 ans. D’abord, ce fut un congélateur défaillant et des glaces dégoulinant doucement. Puis des produits laitiers à la date de péremption dépassée. Alors j’ai commencé à signaler les problèmes, à interpeller la direction. J’ai bien sur essayé les réseaux sociaux. Le tout sans effet.
Je me suis alors promis de cesser de la jouer Don Quichotte et d’aller ailleurs. Mais la force de l’habitude, l’attachement à cette marque ont pris le dessus. Et rien n’a changé, rien ne s’est amélioré.
Aujourd’hui quand on passe les portes de ce Monoprix qui a passé toutes les époque et résiste à tous les changements, on se demande rapidement si ce magasin vit ses dernières semaines.
Tous les frigidaires semblent cassés, défaillants ou en passe de rendre l’âme.
Quant à l’hygiène, elle est visuellement alarmante, comme vous pouvez en juger par vous même.
Monoprix avenue d'Italie
Monoprix avenue d’Italie
 Les rayons sont régulièrement semi vides, comme si le confinement avait laissé des traces indélébiles.
Alors je lance ici un dernier cri d’alarme et je demande solennellement à Monoprix : sauvez le Monoprix de l’avenue d’Italie !
P.S j’ai bien tenté de contacter le directeur du magasin qui la joue « proche de ses clients » en affichant sa photo et son 06 à l’entrée. Deux messages vocaux, et le silence radio en retour ! 

Monoprix avenue d’Italie – la suite

Nous sommes aujourd’hui le 15 janvier 2021. Voici ce qui s’est produit depuis cet article.
1. le directeur de u moment a pris contact avec moi et s’est même présenté un jour que je faisais mes courses. Il semblerait que mon article ait suscité une certaine émotion au siège.
2. Il était visiblement de bonne volonté, prêt à m’expliquer de vive voix difficultés et pistes d’amélioration
3. Ce monsieur a pris sa retraite fin 2020 !
4. un nouveau directeur a pris ses fonctions au début de 2021
5. les réfrigérateurs qui avaient du scotch de chantier en guise de portes ont finalement été réparés
6. néanmoins, aujourd’hui , j’ai y ai encore trouvé des produits frais dont la date était dépassée d’une semaine
Alors je concluerai en disant que je suis très étonnée qu’un magasin en perdition soit confié pour 6 mois à un directeur dont la carrière se termine, et ceci malgrè toute sa bonne volonté. Quant à la suite, on verra. Mais les monceaux de cartons empilés dans les allées, les rayons encore vides si régulièrement et les produits périmés ne me rassurent pas plus que ça. Comme je le disais, on verra !

Notre-Dame de Paris – rien ne changera

C’était il y’a un peu plus d’un an maintenant. En fin d’après midi,  les premières informations envahissaient d’abord les réseaux sociaux puis les écrans de télévision. La plus belle cathédrale de Paris prenait feu sous nos yeux. Nous étions tous hébétés, impuissants. La vision de ce symbole de la capitale qui menaçait de s’envoler totalement en fumée laissait les parisiens sans voix, mais aussi la France et le monde entier. Notre-Dame de Paris brûlait.

Notre-Dame de Paris – l’histoire d’une architecture tournée vers le futur

Dès 1160, 3 ans avant la pose de sa première pierre, Notre-Dame est le fruit d’un rêve de modernité. C’est à l’évêque de Paris, Maurice de Sully, que l’on doit le style gothique flamboyant de la cathédrale. C’est lui qui osa ce pari architectural, à cette époque où le style roman dominait encore. En 1250, la cathédrale est considérée comme terminée. Elle subit quelques modifications au fil des siècles. Lors de la Révolution, elle servira d’entrepôt. Les statues de la galerie des rois sont détruites, la flèche du XIIIème siècle démontée.  Tombée dans l’oubli et laissée à l’abandon, c’est en 1844 que sa restauration est lancée. C’est Eugène Viollet-Le-Duc qui en est chargé. Il apposera sa touche personnelle, faite de gargouilles et de cette nouvelle flèche si différente de la première construite.

Notre-Dame de Paris – et maintenant ?

En cette année 2019 le destin donnait à la France une occasion unique de reprendre le flambeau de l’audace architecturale. Parce qu’un drame tel que l’incendie qui ravagea la cathédrale n’a de sens que s’il permet d’avancer, de progresser, de se réinventer. Rapidement un concours international est annoncé pour une nouvelle flèche, digne du XXIème siècle.
Et puis le Covid a éteint la nation. La rentrée est annoncée sous le signe d’une crise économique et des tensions qui l’accompagneront.
Le président Emmanuel Macron a donc décidé de ne pas donner suite à cette belle idée de concours qu’il avait lui même lancée. Notre-Dame de Paris sera reconstruite à l’identique. Figée dans ce qu’elle a été depuis Viollet Le Duc. Elle qui était le symbole d’une vision, elle est désormais celui de l’immobilisme.

Notre-Dame de Paris – je voulais que rien ne change, et pourtant …

Il y a quelques jours un ami me posait la question : « et toi, tu en penses quoi de Notre-Dame ?« . Et comme souvent ma réponse a été mitigée.  « Toujours tentée par le choix frileux de ne rien changer et en même temps parcourue par ce sentiment diffus qu’il faut saisir le moment pout aller de l’avant ». J’aurais donc du être satisfaite. Notre-Dame ne changera pas d’un iota. On s’appliquera à effacer des mémoires cet incendie qui a ébranlé la cathédrale, et tous ses amoureux. Dont moi. Qui l’aime depuis si longtemps.
Et puis je suis tombée sur cet article de Paris Match. Voila ce qu’écrit Gilles-Martin Chauffier, son auteur.
« On fait de Notre Dame la sépulture de l’audace française. Si l’inspiration des archives du XIIe siècle avait eu la même circonspection, ils nous aurait élevé une bonne grosse basilique Romane «
A la lecture de ces mots, tout est devenu clair. Notre-Dame aurait du être au centre d’un projet tourné vers l’avenir. Elle aurait du accueillir une de ces multiples créations que de nombreux architectes du XXIè siècle avaient déjà imaginées dès l’annonce du concours.
Pour que cet incendie s’inscrive dans l’histoire si riche de cet édifice séculaire.
Il n’en sera pas ainsi. Peut-être alors que Notre-Dame aura retrouvé son aura à la date tant attendue des jeux Olympiques de 2024. Mais il restera un sentiment d’amertume. Celui de ne pas avoir été à la hauteur.
 » Notre-Dame jalouse immobile et sévère du haut de toutes ses pierres nous regardera sans doute très longtemps de travers... »
(vers remanié extrait du chant de la Seine par Jacques Prévert)

Jour 49 – stylée en été avec un masque

Chère Cristina (Cordula) , en ce jour 49 de confinement, j’ai un nouveau thème à proposer pour ton émission « Les reines du shopping » . Stylée en été avec un masque . Et en plus made in France !

Jour 49 – assortissez vos masques à vos espadrilles !

L’eté arrive à grands pas. Et qui sait si nous pourrons partir. Mais il est quand même temps de penser à ce que nous allons porter en ces temps de confinement assoupli et ensoleillé ! Une certitude, pour chacune de nos tenues, il faudra a un masque. Alors je sais, Cristina a toujours dit : « assortir, c’est mémérisant » ! C’est sans doute le cas quand il s’agit d’avoir chaussures et sac dans la même teinte, surtout s’il s’agit d’un beige du siècle dernier.

espadrilles Payote et masque assorti
JOUR 49 : porter des espadrilles Payote et le masque assorti

Mais certainement pas dans ce ca : avec ces superbes espadrilles  Payote ! Cette jolie marque française a été créée en 2016 à Mauléon au pays basque. Autrement dit, au coeur du haut lieu de l’espadrille française. Les modèles sont variés, pour tous les gouts. Des plus grands classiques aux plus exotiques. POur le plus grand plaisir de vos pieds.
Payote a compris que le masque deviendrait un incontourable accessoire de mode. Et voilà donc pourquoi depuis quelques jours, pour l’achat d’un de leurs modèles les plus trendy , on reçoit un masque offert du même tissus !

J’ai craqué ! Et vous, lesquelles choisiriez-vous ?

Jour 44 – j’attaque les papiers

En ce jour 44 du confinement, si l’on fait un premier bilan, on peut lister nombres d’activités tout à fait adaptées à la situation. Cuisine, pâtisserie, sport en salle salon, lecture. Ou encore engloutissage de séries et de films. Toutes ces activités ont envahi nos vies, et nos réseaux sociaux. Et puis il y a l’opération rangement

à ranger, scanner, organiser
à ranger, scanner, organiser

Jour 44 – je vais mettre de l’ordre

Vous remarquerez l’usage volontaire du futur. Parce que je n’ai pas encore commencé. Et pourtant c’était un de mes objectifs majeurs. Enfin, j’exagère. Je me suis attaquée à quelques tiroirs, quelques placards, et aussi quelques étagères.

J’ai le plaisir de vous faire découvrir mon tiroir de tote bags en mode Marie Kondo !

un tiroir rangé
un tiroir rangé

Mais si les vêtements sont un sujet que je n’ai pas encore totalement réglé, les papiers en sont un que je n’ai pas encore abordé du tout. Et je peux vous dire qu’il y a du pain sur la planche.

Depuis quelques jours j’entends le Tic Tac du compte à rebours qui annonce la fin du confinement tel que nous l’avons connu jusqu’à présent. Et une voix me dit que je DOIS en finir avec ce chantier administratif.

Alors que les choses soient claires : tant que je n’aurai pas fini ce rangement qui me pèse bien plus que le confinement et ses contraintes, je n’écrirai plus. Absolument ! Je me concentrerai sur cette tâche ingrate et rebutante avant de venir ici vous retrouver ! Alors à bientôt ! J’espère …

Et vous, avez vous atteint tous les objectifs que vous vous étiez fixés au début du confinement ?