Les Galeries Lafayette sont le grand magasin parisien par excellence. une proposition de marques de renom, associées aux produits « galeries Lafayette » qui , saison après saison, deviennent de plus en plus pointu en design comme en qualité.
Voici donc la présentation des tendances de cet hiver, et je vous le dis, ça donne envie !
Du noir et du blanc venus de pays du Nord …
Et une touche de couleur d’Antik Batik , qui donne le ton
Puis on part à la découverte de l’ensemble de la collection, par petites touches . En carreaux …
carreaux
Et en imprimés …
prints
avec la robe couleur de ciel de mon chouchou, Manish Arora
Manish Arora
On n’oublie pas qu’i s’agit d’hiver, et que le douillet et le chaleureux enveloppant doivent être de mise …
Avec ce manteau de la collection propre des Galeries Lafayette qui a soulevé l’enthousiasme …
Manteau collection Galeries Lafayette
Et vous, plutôt zèbre ou plutôt girafe ?
Noir c’est noir Galeries Lafayette
Et un de mes coups de coeur…
blouson fétiche Galeries Lafayette aw2013
En hiver la couleur se doit d’être présente, ne serait-ce que pour contrer la grisaille extérieure … Ca vaut aussi pour aujourd’hui d’ailleurs !
rouge
Et puis il y a un des évènements qui se prépare : l’arrivée en exclusivité de la marque Urban Outfitters, qui n’avait jusque là pas encore franchi les frontières françaises. La voici qui s’installe aux Galeries Lafayette, joyeuse et insolente !
exclusivité Maria Luisa au Printemps – collection Automne Hiver 2013
Maria Luisa … Elle a découvert Manish Arora, et pour cela, je lui serai toujours reconnaissante ! Mais elle ne s’est pas arrêtée là bien sur …
Et elle ne cesse de traquer les talents, identifier ces pièces uniques qui font qu’un vêtement vous transforme pour toujours.
En découvrant la collection Automne Hiver 2013 du Printemps, c’est aussi les pièces sélectionnées en eclusivité par Maria Luisa que j’ai pu admirer, et j’ai été séduite, définitivement !
Roland Mouret pour Maria LuisaPeter Pilotto chez Maria Luisa en exclu au Printemps
Et, comme tout défilé qui se respecte, on le clôture sur une superbe robe de mariée …
ou préfereriez vous celles ci …
L’esprit de la collection automne hiver du Printemps sera définitivement british …
Je ne sais pas pour vous, mais personnellement je revêtirais volontoers ce peut blouson « The Kooples » !
Et pour les nostalgiques, un bon vieux Polaroid revu et modernisé …
ou encore des dock Martens métallisés …
Mais en ce qui me concerne, les chaussures seront des Manolo Blahnik, et rien d’autre 😉
Alors, vivement l’hiver … Ah, mais en fait, on y est déjà, non ?!
prix indicatif : menu carte entrée plat dessert 39€
cadre
L’atelier Rodier est un petit restaurant dans une rue de SOPI … South of Pigalle ! Un ancien restaurant, réaménagé avec un décor fait de pierre brute, de toiles arty et avec la cuisine apparente derrière une baie vitrée au fond de la salle. L’atmosphère est chaleureuse, le nombre de tables suffisant pour garantir un niveau sonore permettant de profiter de la conversation avec ses amis … 4 mois d’existence, et le lieu commence déjà à avoir une âme, et sans doute quelques habitués !
cuisineinteriorsla salle
service
Après mure réflexion, je qualifierais le service de « farfelu » ! Un serveur charmant, souriant, prompt à la discussion avec les clients, et quelques couacs dans l’enchainement que l’on oublie aisément, et qui, j’en suis sure, disparaitront avec l’expérience !
les plats
C’est bien là que réside l’essentiel .
carte de printemps Atelier Rodier
Des alliances de saveurs et de textures parfaites comme par exemple l’acidulé des légumes qui équilibre si bien la richesse du foie gras…
foie gras Atelier Rodier
Les ingrédients sont toujours de saison, et c’est la carte de printemps que nous avons inaugurée .
maquereaux Atelier Rodiercoquilles saint Jacques Atelier Rodier
Toujours dans l’alliance des saveurs, le kumquat confit et sa réglisse qui se marie parfaitement avec le magret de canard …
magret de canard Atelier Rodier
Et pour finir un soufflé au chocolat, accompagné de son coulis fruits de la passion.
soufflé chocolat Atelier Rodier
Certes, la carte des vins est à revoir: un choix restreint même si les produits proposés sont de qualité. D’ailleurs, le patron le dit lui même : cette carte, ce n’est pas lui. Alors s’il le dit, qui serais je pour le contredire ?! Mais on sent le potentiel, on perçoit l’inventivité derrière chaque plat. Les classiques se réinventent sans sombrer dans la prétention comme c’est souvent le cas dans la quête de l’originalité.
Pour conclure donc, je dois donc décerner un coup de coeur spécial à cet endroit qui m’a prise par surprise et je vous invite à aller découvrir l’Atelier Rodier avant qu’il ne soit parfaitement rodé et inscrit dans la liste des meilleures tables du quartier et plus !
Et j’ajoute une mention spéciale à Santiago, le jeune chef d’origine colombienne, qui apporte sa touche toute personnelle à la cuisine bien sur, mais aussi à l’ambiance si chaleureuse de l’endroit !
D’ailleurs, je lui recommanderai de postuler au « restaurants de qualité » car, à mon sens, il en remplit sans aucun doute les critères.
du nouveau chez les hommes aux Galeries Lafayette !
Dans la série » les grands magasins parisiens se refont une beauté », c’est le Rez de chaussée des Galeries Lafayette Hommes qui a été totalement revu. Un nouveau choix de marques, de matériaux, de circulation. Une diversité de produits, du grand luxe au parfaitement abordable, des allées spacieuses, bref, un endroit qui vous donne envie de faire quelques emplettes, et de continuer dans les étages supérieurs !
Pierre Marcolini a eu la gentillesse de m’accueillir dans sa boutique de la rue Scribe.
Pierre Marcolini chocolatier
Charmant et attentionné, il m’accueille en me proposant un café pour me faire oublier la frénésie de l’agitation dans les rues de ce quartier si fébrile à l’approche de Noël.
Et voilà qu’il me parle de mon blog ! Et de ce dernier article, publié le matin même, sur ce bar spécialisé en cocktails innattendus, et en whisky. Parce que Pierre Marcolini est un grand amateur de Whisky !
Et le voilà parti à me décrire ses nouveautés de l’hiver, à base de whiskys et de rhum ! Déjà la gourmandise et la passion sont perceptibles dans son discours. Il vibre quand il décrit arômes et textures : déjà, l’envie de goûter ces créations s’installe, insidieuse…
The Parisienne : le chocolat, vous êtes dedans depuis toujours ; quel est votre moteur pour continuer, encore et encore ?
Pierre Marcolini : » la gourmandise ! Quand on a 9 ou 10 ans et qu’on se rend compte qu’on mange tous les desserts des gens autour de soi, c’est assez clair« . Et il ajoute, en parlant de son arrivée dans l’école où il fait ses premières armes « il y a comme une évidence. c’est dans les tripes . C’est comme une histoire d’amour« .
Il raconte son métier « je m’amuse, je découvre » . Parce que, comme il le dit, quand il croit avoir fait le tour, il ouvre la porte du fond, et repart à la découverte.
C’est il y a dix ans qu’il a donné un vrai tournant à son métier : le nouveau mouvement « bean to bar » l’a inspiré, cette volonté de quelques artisans de se réapproprier leur métier, de reprendre la main sur leur création. Cette prise de conscience que le fait d’utiliser, comme tous les chocolatiers, le même produit de base, même de qualité, lui ôte en quelque sorte l’essentiel.
» la note aromatique de base n’était pas la mienne ».
Et puis il décrit le déclic : la rencontre avec M. Bernachon, chocolatier à Lyon. « viens gamin, je vais te montrer« . Il décrit le patriarche qui lui montre les sacs de fèves, la fabrication du chocolat, du début jusqu’au produit fini.
Il a désormais cette certitude qu’il faut se réinventer. Parce qu’il a voulu prendre la main sur son produit, du choix des fèves, à la torréfaction, jusqu’au chocolat en boutique. Il a parcouru le monde, et graduellement il a modifié le goût de ses produits en insérant ses fèves, ses cacaos, ses découvertes.
» Et je ne suis qu’aux balbutiements. Je continue à découvrir ou à redécouvrir des fèves, et quand ça se produit, je dis waou ! Je m’amuse, c’est ça qui est génial«
« le chocolat du XXIème siècle sera comme les vins . Aujourd’hui on fait des dégustations pour voir comment un syrah est interprété par différents vignerons. On devrait pouvoir faire la même chose pour les fèves de chocolat. ». » Les chocolatiers devraient se réapproprier leur métier. Aujourd’hui en France, c’est Ducasse qui se lance et qui va faire son propre chocolat . C’est ça notre avenir : on est à la recherche d’authenticité ».
The parisienne : si je vous demandais de me donner votre chocolat emblématique aujourd’hui ? Si vous deviez m’en conseiller un seul dans la boutique ?
Le voilà qui se lève, disparait, et revient avec, en main , deux de ses « carrés 2 chocolat « . Sur chacun d’eux, le pays de provenance des fèves, mais aussi le nom de la plantation . D’ailleurs, pour chaque tablette acheté, il donne un fascicule pour expliquer comme lire l’emballage de ses chocolats. Parce que chacun provient d’une bien finca précise, chaque chocolat porte la signature de son producteur . Comme Urbano par exemple, cet octagénaire cubain , à qui il fait découvrir le monde et le chocolat fini grâce à Internet et aux tablettes qu’il lui fait déguster.
Pierre Marcolin peut vous mettre l’eau à la bouche en décrivant simplement les fèves, leurs saveurs, leurs parfums et leur notes aromatiques. Il peut vous tirer une larme quand il raconte Urbano qui lui rend hommage en lui offrant … une chanson, pour le remercier des univers qu’il lui a permis de découvrir.
The Parisienne : Et Noël ? Pour vous ?
Pierre Marcolini : » Noël est un moment de création. C’est aussi un moment où on peut s’amuser. Il y a bien sur, un vrai enjeu économique, mais ce qui compte avant tout, c’est de ne pas décevoir. D’ailleurs, à Noël, le mot d’ordre , c’est tout le monde en boutique «
Il pense aux personnes qui viennent uniquement » A la Noël » . Comme il est capital d’être à la hauteur, chaque année, à Noël, le mot d’ordre est « tout le monde dans les boutiques ».
Une occasion unique de renouer avec les clients . Et le voilà qui raconte une anecdote, qui lui est arrivée quand lui même était en boutique en renfort . Cette grand mère, hésitante devant le choix proposé. Il lui propose de l’aider à choisir, comprend vite que ses moyens ne lui permettent pas d’offrir ce qu’elle voudrait vraiment, et finalement, c’est lui qui lui offrira une boite de chocolats. Elle le remercie chaleureusement, et conclue en disant » j’éspère que vous n’allez pas vous faire gronder par votre patron !«
Alors, entre vous et moi , et c’est lui qui le souffle : « envoyez les mamies « ! On ne sait jamais !
The Parisienne : être présent à Paris, qu’est ce que ça représente pour vous ?
Pierre Marcolini : « Etre à Paris quand on veut être une maison internationale, c’est une étape incontournable mais pas facile »
The Parisienne : Nous sommes rue Scribe, vous avez une autre boutique rue de Seine, et la prochaine ?
PM : « La prochaine boutique sera différente, parce que chaque boutique doit être inspirée par l’âme du quartier. »
Et, en exclusivité, il livre l’adresse : ce sera rue du Bac. Qu’on se le dise, dès le début de l’année prochaine , Pierre Marcolini aura un nouveau joyau parisien.
Et le voilà parti à décrire le merveilleux petit fromager à proximité : Nicole Barthélémy . De nouveau, la gourmandise transparait dans ses propos , et cette fois c’est en décrivant les saveurs d’un comté qu’il me fait saliver !
Nous finissons l’interview en faisant un tour dans la boutique. Une cliente est là, entrain de choisir ses chocolats .
« souhaiteriez vous goûter quelque chose en particulier ? » Elle lève la tête, reconnait celui qui vient de lui poser la question et ses yeux s’écarquillent d’émotion. Il arrivera à la convaincre de déguster un praliné.
En cette veille de Noël, et au delà des superbes chocolats qu’elle ramène chez elle, Pierre Marcolini vient de lui faire un superbe cadeau !
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Alors, pour Noël, prendrez vous une sphère de Noël, cette sphère rouge ornée d’un ceinturon qui rappelle furieusement la bedaine d’un père Noël rondouillard, ou bien la tablette géante avec une tête de père Noël, histoire de pouvoir » casser la gueule au père Noël », ou encore ces charmants petits sapins en riz soufflés ? Et puis, Noël ou pas, ne manquez pas, je répète, ne manquez pas les orangettes : une tuerie totale et absolue !
Merci encore à Pierre Marcolini pour son accueil et sa disponibilité, et à Eva qui a organisé cette rencontre extraordinaire .
Les grands magasins parisiens se réinventent tous depuis plusieurs mois .
diamants Machalka Galerie Lafayettebracelets Maharani by Chanti Galeries Lafayette
Pour les Galeries Lafayette, c’est le premier étage qui frémit et s’épanouit. Une circulation simplifiée, comme l’ensemble des passages en bord de l’encorbellement qui entoure la coupole, des volutes, des perles et des bulles en harmonie avec la superbe coupole quifête ses 100 ans !
Du luxe, des créateurs, dans la mode comme dans les accessoires, artistes et artisans, créateurs connus ou en passe de le devenir, ils sont les invités de ce premier étage pas comme les autres .
Et puis il y a des bijoux, des bijoux, encore des bijoux !
L’introduction des accessoires à l’étage du luxe marque ce premier étage , et qui plus est, dans le luxe abordable .
Dans ce tout nouvel espace dédié au bijoux haute fantaisie, joaillerie et bijoux talisman se côtoient pour garantir à chacune de trouver son bonheur.
2 contours de coupole donc, juste à côté du bar qui porte si bien son nom : le Premier !
Ici, vous trouverez donc qui une offre hippique chic de luxe, qui mélange le brut et les métaux précieux, et puis de la fantaisie, voire même de la haute fantaisie, de l’abordable au rêve …
Dans ces présentoirs vous trouverez des pièces discrètes et fines, ornées de petites pierres telles que les bagues dont la taille s’adapte à votre doigt par Chantal Simard, ou encore les petits bracelets que l’on aime tant cumuler sur nos poignets par Little Pepite, qui réalise tous ses bijoux avec de l’or recyclé : de la joaillerie engagée, j’en redemande !
Il y a aussi les bijoux qui détournent les codes des bijoux anciens pur les faire rentrer dans le XXIème siècle, comme ces sautoirs inspirés des camés de vos grand mères, ou de leurs si sages colliers de perles, transformés pour les adapter au nouveau chic.
bijoux ethniques Harpo Galeries Lafayette
Les bijoux ethniques, comme ces splendides parures de bijoux Navarro, argent et turquoises, dénichés pour nous par la marque Harpo dans le fin fond du sud ouest des Etats Unis.
Le luxe est présent, version rock, avec Repossi et ses spectaculaires bijoux d’oreille ou encore sa discrète bague de phalange. Et puis Gripoix, directement issu de la haute couture puisque la marque confectionnait les célebrissimes camélias de Chanel
Mais mes coups de coeur sont indéniablement les fameux bars à ….
En effet, après les bar à ongles, à chignon, à maquillage, à eaux et à bulles, voici les bar à bijoux !
Bar à bagues et bars à bracelets se côtoient, dans de grosse bulles translucides mettant en scène des bijoux de créateurs différents pour vous permettre d’inventer votre look, de vous faire plaisir facilement et sans hésitation, et de faciliter la tache à celui ou celle qui voudrait vous faire un cadeau en passant !
Bagues multicolores superposables ou encore stackables, bracelets tissés, ornés de pierres semi précieuses comme les merveilles de Maharani by Chanti, ou encore les bracelets brésiliens ornés de pièces vinage, par Hypso Paris. Sans oublier les bracelets multicolores sur des présentoirs qui se prennent pour nos bras et arborent fièrement des dizaines de modèles multicolores : MO by Monica .
bagues Carole Guez Galeries Lafayette
Et puis vous ai je parlé de mon coup de coeur en ce qui concerne les bagues cabochon : Carole Guez présente des pièces spectaculaires, qui pourraient receler un secret, elixir de mouvance, ou encore poison mortel .. A vous d’imaginer !
Je pourrais continuer à parler de ces merveilles, mais ne vaudrait-il pas mieux que vous alliez vous rendre compte sur place ?
Et, en attendant, des images, encore des images, pour rêver , à l’approche de Noël, et peut-être donner des idées ….
Les Galeries Lafayette ont donc présenté à la presse la collection printemps été 2013.
Avec une petite escale en Saint Valentin !
Car Swarovski et plusieurs grandes marques de lingerie, de La Perla à Etam en passant par Triumph, collaborent pour réinventer les cadeaux de la Saint Valentin: finis les coeurs , bienvenue à la lingerie sexy et scintillante ! Avec un modèle pensé pour moi, rien que pour moi !
Galeries Lafayette Saint Valentin 2013
dentelles et cristaux pour la St Valentin 2013 : panties bar Galeries Lafayette
Swarovski pour la St Valentin 2013 : panties bar Galeries Lafayette
Des couleurs pétantes, un subtil mélange de grandes marques installées, créateurs en devenir, et la marque des Galerie Lafayette , avec mon coup de coeur : leur perfecto !
Les Galeries Lafayette ont mis en place un partenariat avec l’association Paris Capitale de la Création, et les créateurs sélectionnés seront mis en scène en magasin avec des pop up stores et des pièces choisies.
Ainsi, concernant la mode, du 9 janvier au 2 février 2013, les IT produits des salons membre de l’association Paris Capitale de la Création – Who’s Next, Tra Noï,MAISON&OBJET,etc ..-seront exposés dans les vitrines du magasin boulevard Haussmann, et disponibles dans deux pop up stores dédiés au sein du magasin.
Pour le meilleur de la création Design, ce sera du 1er au 9 février 2013, dans les vitrines du Lafayette maison !
Revenons en donc à la tendance SS13 !
Cet été, le cuir se met dans tous ses états : des couleurs comme nous n’avons jamais vues, sur Perfectos, vestes sans manche, et le tout dans des cuirs d’une souplesse unique !
Mon préféré : celui de la marque Galeries Lafayette : un peu plus long, un peu plus cintré, il me le faut !
perfecto Galeries Lafayette SS13
Cet été, les sweats auront une nouvelle vie : finis les sempiternels sweats de sport, le sweat devient type : effets de matière, de couleurs et de formes ! Avec un modèle de cette marque dont je vous vantais il y a peu les mérites, et que j’avais découverte aux Galeries, lors de la présentation de leur première collection ! EachXother !
Le graphique fait son retour, mais les associations sont osées, décomplexées . Tout en gardant élégance et raffinement.
graphic printemps été 2013 mode
Le nude est toujours à l’honneur, et le blanc bien entendu , été oblige !
C’est ce soir que s’est déroulé le lancement officiel du sapin des Galeries Lafayette . Un sapin exceptionnel, à la hauteur de l’anniversaire associé puisqu’il s’agit de fêter les 100 ans de la coupole !
Pour ce qui concerne les illuminations, ce sont celles déjà dévoilées il y a quelques jours et dont je vous ai déjà parlé .
Pour le sapin donc, Swarovski, et le plus grand sapin jamais créé en Europe puisqu’il mesure 21 mètre de haut, soit environ la hauteur d’un immeuble haussmannien !
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Les vitrines ne sont pas en reste puisque le partenaire en est la marque Louis Vuitton ! Des vitrines pour faire rêver et voyager …
La question qui demeurera cependant dans mon esprit est la suivante : qu’en penseront les enfants qui viennent,encore plus que les grands, chercher du rêve devant ces fameuses et célébrissimes vitrines ?
Est-il fini le temps où le Noël des grands magasins s’adressait en priorité à nos chères têtes blondes – brunes ou rousses ?
Nostalgie, quand tu me tiens !
Et vous, le sapin et les vitrines, vous les rêvez comment ?
Depuis deux jours maintenant, la façade des Galeries Lafayette Haussmann s’est parée de couleurs. Des tubes lumineux disposés tels une chrysalide et qui , toutes les minutes, changent de couleur, donnant vie au bâtiment.
Et l’effet est aussi spectaculaire, si ce n’est plus imposant, vu de l’intérieur .
Car la coupole elle même bénéficie de ses effets de lumière et elle se métamorphose ainsi au grè des tons et nuances de bleu, rouge, vert …
Une fois encore, ce bâtiment centenaire, temple du commerce, nous impressionne pour d’autres raisons que la simple richesse de ses rayonnages !
La mode 24h/24h, la mode du matin au soir , la mode pour tous et partout : c’est ce qu’illustrait hier le plus grand défilé du monde organisé par les Galeries Lafayette en plein coeur de Paris ..
400 anonymes, qui se sont prêtés au jeu du casting, de la sélection, pour finalement passer une journée exceptionnelle durant laquelle ils ont été coiffés, maquillés, coachés, pour pouvoir vivre cette expérience unique : un défilé, devant la presse et les photographes.
La mode du matin au soir donc, du » matin urbain « aux » oiseaux de nuit » en passant par la pose » Tea Party« .
Ils se sont lancés, ils ont osé, ont surmonté leur trac pour partager avec nous des tenues aussi variées qu’originales, spectaculaires ou encore parfaitement parisiennes.
Bien entendu stars et paparrazzi étaient là également, et une autre star est demeurée invisible pendant le défilé, puisqu’elle était aux manettes de la playlist musicale. Mais c’est elle qui a fait le show de clôture : Rossi de Palma !
Voici donc, en images, le » plus grand défilé du monde » !
L’émotion et la joie des participants qui attendent que tout commence …
le parterre de célebs’ qui admirent et jugent avec bienveillance …
et puis les voilà qui se lancent …
Ils sont jeunes .. Ou moins jeunes ! Assurés, ou hésitants . Certains ont osé les tenues les plus extravagantes, d’autres encore plus osées.
Les sourires côtoient les regards sérieux et concentrés ..
Et des looks, encore des looks, portés par des mannequins si accessibles, de tout âge , aux silhouettes représentatives de celles que l’on croise dans la rue !
Et puis il y a une de celle qui restera sans doute comme la chouchoute des photographes …
Et toujours Julie qui sourie …
sans oublie LA robe Galerie Lafayette : il fallait oser !
Et, pour finir, Rossy …
Et surtout ne manquez pas le reportage de Dame skarlette sur ce défilé !
