Restaurant gastronomique avenue Victor Hugo, ce restaurant à la décoration Art Déco et connu pour sa carte aux parfums d’océan ?
Enseigne spécialisée en caviar ?
Ou peut-être le restaurant-café, place de la Madeleine…
Mais auriez vous l’idée d’associer le nom de Prunier à un sandwich, un encas à emporter ? Non ? Et bien pourtant, c’est possible !
Vous avez envie d’un petit sandwich à déguster sur le pouce, en vous promenant du côté de la Madeleine ?
Désormais, quand vous ferez un tour du côté dans ce quartier, et que vous passerez devant la façade de Prunier, prenez le temps de vous arrêter.
Pour admirer les superbes boites de caviar qui sont la signature de la maison bien sur …
Et tout particulièrement celle ci, coup de coeur absolu… Normal, elle est signée Yves Saint Laurent .
Chez Prunier, spécialisé en produits de la mer, vous pourrez également acheter du saumon fumé, le saumon BALIK, en filet pour deux ou en fines tranches.
C’est un saumon élevé dans les fjords norvégiens selon des critères écologiques et durables, puis fumé à la main, et vous n’aurez pas la recette : c’est un secret bien gardé.
Place de la Madeleine vous pourrez également déjeuner à l’étage, confortablement installés avec vue directe sur la Madeleine.
Mais vous pourrez aussi prendre un délicieux petit sandwich et continuer à vous promener : c’est vous qui voyez !
Une femme hors du commun, un destin qu’elle a créé et modelé de ses mains.
Superbe jeune femme, mannequin au début de sa vie d’adulte, elle a su transformer les épreuves de sa vie, ses cassures et ses blessures en une énergie extraordinaire au service de son art.
Ce premier auto portrait donne le ton : morcelée, cassée, elle utilise ses morceaux d’elle même pour les assembler et en créer ce qui la représente.
Des rencontres qui marquent son style, telles que Gaudi ou encore Pollock.
Gaudi qui lui donne cette envie irrépressible d’oeuvres gigantesques, de celles que l’on connait le mieux.
Et puis une vision de la femme, des femmes, auxquelles elle veut donner le pouvoir.
La première « nana » sera sans doute la plus spectaculaire : une installation gigantesque ( 27 mètres de long et 6 mètres de haut) qui accueille en son seing les visiteurs qui y découvriront un cinéma, un milk-bar ou encore une galerie de faux tableaux ! Intitulée « HON », elle sera exposée à Stocholm en 1966 et surprendra le public qui la découvrira ; imaginez : une structure de femme géante dans laquelle on pénètre par son sexe…
Niki de Saint Phalle représente les femmes libres, indépendantes, merveilleusement féminines, délivrées d’un société qui les a reléguées dans un seul rôle, celui de mères.
Selon l’angle d’observation, on voit la femme féminine …
Forte et puissante …
Voire même combattante !
Niki de Saint Phalle cherche à calmer ses démons, « peindre calmait le chaos qui agitait mon âme . c’était un façon de domestiquer ces dragons qui ont toujours surgi dans mon travail ».
Et on le perçoit dans la puissance et la force de ses sculptures, qu’elles soient les « nanas » dominatrices, les mères dévorantes, et toujours le père, qu’elle tue encore et encore, pour l’achever pendant sa phase » Tirs », cette période de dix ans durant laquelle elle animera ces performances artistiques consistant en des séances de tirs sur des tableaux dans lesquelles les sacs remplis de couleur exploseront pour faire naitre la version ultime de l’oeuvre.
C’est dans cette oeuvre qu’elle viendra à bout du père …
Pour tout comprendre, il faut aussi l’entendre, et là, tout est dit .
Je vous conseille donc vivement d’aller découvrir cette artiste et son oeuvre qui va bien au delà de celle que l’on connait, du côté de Beaubourg.
Pensez-y aussi lors de la Nuit Blanche, le 4 octobre, l’exposition sera gratuite de 20h00 à minuit !
Niki de Saint Phalle – Grand Palais
17 Septembre 2014 – 02 Février 2015
Tous les jours de 10h à 22h (fermeture à 20h le dimanche et lundi) Fermeture hebdomadaire le mardi
Le Plaza Athénée, c’est tout d’abord sa façade, majestueuse, qui croule sous les géraniums, et qui illumine l’Avenue Montaigne toute entière.
Plaza Athénée façade
Puis c’est le sourire de celui qui vous ouvre la porte et vous permet de pénétrer dans le lieu, en vous donnant déjà cette impression indicible d’être chez vous.
Plaza Lobby
Laisser tous les menus tracas du quotidien sur le perron et pénétrer dans une bulle de douceur. Se laisser apaiser par les sourires, une harpe qui égrène ses harmonies mélodieuses dans le lobby. Laisser la beauté et la lumière apaiser les sens. Changer de souffle. Changer de rythme.
Voilà en quelques mots ce que j’ai ressenti en passant le pas du Plaza Athénée qui vient de réouvrir ses portes après plusieurs mois de travaux d’agrandissement et de renouveau, pour que tout change et que rien ne change à la fois.
Tout est là. L’élégance discrète, l’intimité et la certitude d’être comme protégée, à l’abri.
Chaque instant prend une autre dimension au Plaza. Chaque minute compte.
Celle ou j’ai poussé la porte de cette suite, celle ou j’ai ouvert la fenêtre pour la découvrir, elle dont je savais qu’elle était là et pourtant, que j’ai vue surgir avec autant d’émotion que si c’était la première fois.
Chaque action revêt une importance unique, chaque minute passée dans ce cadre tout à la fois somptueux et accueillant, a des parfums de toujours. Enfiler le peignoir, chausser les pantoufles,ouvrir grand fenêtres et rideaux et accueillir cette vue extraordinaire, comme si elle était désormais mienne pour toujours.
Rester a la fenêtre, sourire au portier quand il lève la tête et me fait un petit signe de la main portée à sa casquette en souriant, comme si nous nous connaissions depuis toujours
Et sourire aux passants qui ne peuvent s’empêcher de s’arrêter pour admirer la façade.
Et partir encore une fois à la découverte de chaque recoin, en respirant profondément, en admirant chaque détail, du moelleux des coussins à l’écran du téléviseur dissimulé dans le miroir.
Pousser la porte de la chambre et céder à l’émerveillement.
Le temps arrête son envol, le bien-être est total, le canapé moelleux m’accueille pour feuilleter nonchalamment l’ouvrage de M. Ducasse qui livre ses adresses parisiennes préfèrées.
Il est justement déjà l’heure de dîner !
La cour jardin, havre tranquille, à l’ombre du lierre qui caractérise cette cour et qui a survécu aux travaux. Et des géraniums aussi, qui font écho à ceux de l’avenue donnant couleur et vie à l’élégance du lieu.
C’est Michaela et son léger accent d’Europe de l’est qui nous accueille pour nous mener a notre table. C’est elle aussi qui, plus tard dans la soirée, viendra me proposer un châle pour me protéger de la fraîcheur de cette fin d’été qui sent déjà bien l’automne. Et cela avant même que je ne donne le moindre signe d’inconfort.
Comme une mère qui est là et veille, discrètement, au bien être de ses protégés. Puis vient Serge, et il donne vie et sourire à ce repas raffiné et délicieux, en l’agrémentant de conseils éclairés et d’anecdotes sympathiques et drôles, à son image.
C’est d’ailleurs lui qui me recommandera ce dessert qui a couronné un moment de plaisir gustatif.
Bien sur il y a le bar, entièrement réinventé, que nous découvrirons une autre fois car la journée a été longue et riche en émotions. Il est déjà devenu un des hauts lieux de la nuit parisienne, et son décor ainsi que l’offre musicale sont sans aucun doute une parité des explications de ce succès fulgurant.
J’aurais aimé pouvoir vous parler du petit déjeuner et vous décrire en détails le buffet proposé, mais c’est la version « en chambre » que je vous livrerai, parce qu’une chambre comme celle là, on ne la quitte pas aisément et nous avons donc préféré continuer a profiter du lieu .
J’ai eu du mal à m’arracher à cet endroit extraordinairement élégant, accueillant, et qui , grâce à un accueil hors du commun fait de mille et une attentions discrètes, m’a laissé cette sensation indélébile d’avoir désormais une deuxième adresse parisienne, un autre chez moi dans ma ville .
Alors, si vous voulez gouter à cette atmosphère unique, pensez-y, venez prendre un café dans la galerie, une pâtisserie, un verre, voire même un repas à l’abri des regards, et vous comprendrez.
Certaines rues de Paris portent un nom qui, dès qu’il est prononcé, fait écho à l’inconscient, celui des parisiens, et celui de tous ceux qui ont entendu prononcer ce nom, ne serait-ce qu’une fois dans leur vie.
La rue Saint-Honoré … Le luxe à la parisienne ? Ou ne faisons nous pas un amalgame rapide avec la non moins célèbre rue du Faubourg Saint-Honoré ?
En effet, la rue Saint-Honoré fut avant tout « la rue des révolutions » (Wikipédia). Barricades au XVIème siècle , 3 glorieuses en 1930, réunions secrètes en 1848.
Et puis elle a aussi été la rue qui a accueilli le plus grand nombre de malletiers à l’époque où le voyage en train représentait un véritable art de vivre.
rue Saint Honoré Goyard
D’ailleurs, il en reste certaines, puisque Goyard expose fièrement ses malles devant le pas de sa porte, et Moynat a réouvert il y a déjà plus d’un an.
Il s’agit là bien sur d’une autre époque, et la Rue Saint-Honoré est effectivement aujourd’hui un des hauts lieux de la mode et de la branchitude, Colette oblige !
Elle a donc évolué, s’est réinventée, et héberge donc une variété d’enseignes assez extraordinaire, et inattendue finalement.
Parce que rue Saint Honoré se côtoient luxe absolu, mais aussi enseignes plus abordables, et nouvelles marques.
Un petit tour m’a donc permis de prendre ces quelques images, et de redécouvrir cette rue.
J’y ai admiré les vitrines de Chantal Thomass.
Observé la vitrine sobre et élégante de Theory.
Découvert la présence d’un ZARA.
J’ai constaté une divergence de tendance entre Longchamp, qui organise sa vitrine autour du concept des célèbres cadenas parisiens, ceux là même dont on sait les dégâts qu’ils créent sur les ponts parisiens, et contre lesquels la Mairie de Paris propose maintenant une alternative numérique !
Et pour finir, je m’autorise un focus sur cette marque que je ne connaissais pas et dont je suis devenue adepte au premier regard : un coup de foudre vestimentaire en somme : &OtherStories !
Et pour finir, un café sur la place du marché, c’est toujours un plaisir !
Alors, la rue Saint-Honoré, vous la connaissez bien ? Quelle est votre boutique préférée ?
C’est au coeur d’un hôtel parisien contemporain, que j’ai découvert les instants précieux Omnisens.
Hôtel La Maison Champs Elysées
Ce qui a toujours caractérisé Omnisens, c’est tout d’abord l’esprit SPA. Des soins conçus dans un esprit de bien être, de relaxation, de moment précieux.
C’est donc tout naturellement dans un hôtel que s’est effectuée la découverte de « reflets de soie » , la poudre parfumée irisée de la marque, qui appartient à l’univers « Instants précieux » .
Cet hôtel propose en effet des soins à ses clientes à la carte et sur mesure, pour un moment parfait dans la quiétude de leur chambre.
Une poudre donc, raffinée, dans le conditionnement, ce joli écrin qui accueille également la houpette qui permettra une application légère, élégante.
Reflets de soie : c’est le nom de cette poudre, et c’est la sensation ressentie lors de l’application puis, plus tard, en observant le résultat sur le visage.
Des paillettes, un reflet irisé qui éclaire le teint, et ce parfum léger qui plonge nécessairement dans des souvenirs, précis, ou plus flous, plus subtil, aux parfums d’antan.
L’hôtel La Maison champs Elysées se prête parfaitement à la présentation de cette gamme raffinée et complète.
Car cette poudre est accompagnée dans la gamme « Instants précieux » par une huile sèche satinée et une brume parfumée d’ambiance.
Omnisens vous propose 5 univers à découvrir selon vos envies, qu’elles soient marines, gourmandes ou toniques !
Et Publicis révolutionne une fois encore la vie des parisiens !
Je m’explique : c’est le créateur de Publicis, Marcel Bleustein-Blanchet, fondateur de l’agence de publicité Publicis, qui s’est installé là,en haut des Champs- Elysées et qui a ouvert en 1958 au rez-de-chaussée de ses bureaux, le premier drugstore européen, le drugstore publicis – un bar, restaurant, cinémas, boutique, kiosque à journaux, tabac et pharmacie ouverts « toute la nuit » (jusqu’à 2 heures du matin), révolutionnant ainsi la vie parisienne .
Depuis toujours le drugstore Publicis a été pour moi un symbole de la ville même si pendant quelques années il s’était un peu égaré et avait perdu de son aura.
La façade du bâtiment, toute de verre et de métal, créée en 2004 par un architecte californien d’origine italienne ne m’avait pas vraiment convaincue, je dois l’avouer. Et puis, petit à petit, visite après visite, j’ai su apprécier la sélection si pointue et la grande variété des produits proposés au sein de la boutique. entre l’espace librairie, presse, les vernis Kure, les champagnes POP, les produits Kiehls, la petite maroquinerie, bref, tout ce dont on a impérativement besoin quand on passe du côté des Champs Elysées vers 01h00 du matin !
Et voilà que maintenant, Maurice Levy nous offre les illuminations de Noël, mais tous les jours !
Et là, je dis oui, et encore oui !
Jugez par vous même : tous les soirs, dès le coucher du soleil, la façade, qui a été recouverte de 17 000 LED , va s’illuminer pour le plaisir de nos yeux. Et la magie de la lumière va s’inviter soir après soir sur la plus belle avenue du monde !
Chaque fois différentes, ces illuminations s’inspireront des évènements, et de l’imagination de ceux qui les activent !
Et bien que Noël et le nouvel an soient encore loin, je ne peux que vous conseiller d’aller voir, pour la premier fois ou une fois encore, les voeux de de Maurice Levy qui se prête au jeu année après année pour mon plus grand bonheur depuis que je l’ai vu pour la première fois ! Mes préférés : ceux de 2013 !
Il ne me reste plus qu’à vous donner rendez-vous devant le Drugstore Publicis !
L’agence Cultival ouvre au public des lieux tenus secrets de Paris à travers des visites guidées insolites et inédites. C’est grâce à ce concept unique que j’ai eu le plaisir de découvrir l’ancienne maison de couture Yves Saint Laurent, dans laquelle il s’était installée en 1974 et qui deviendra en 2002 la fondation Bergé Yves Saint Laurent.
Un voyage dans la mémoire de celui qui a participé au changement de la vie des femmes en leur donnant le pouvoir. Un grand moment d’émotion pour la fan et l’admiratrice absolue que je suis.
La mémoire puisque ce lieu abrite un fond d’archives, 40000 dessins de sa main, 5000 vêtements, des accessoires, rubans et dentelles conservés dans des conditions muséales.
La visite commence par le salon de défilés et le lieu d’essayage. Un salon d’accueil pour la clientèle couture, qui prenait rendez-vous après les défilés pour pouvoir admirer à nouveaux certains des modèles dans la quiétude de ce boudoir.
Les séances d’essayage se déroulaient dans la salle attenante derrière de grands paravents que l’on peut toujours découvrir en passant la porte. Les couleurs et les étoffes sont celles qu’Yves Saint Laurent avait lui-même sélectionnées.
Cette cabine d’essayage qui s’apparente plutôt à un salon disposait même d’un passage secret derrière une porte miroir pour accéder directement aux ateliers, permettant ainsi au personnel d’aller et venir entre la cliente et les ateliers sans traverser les salons ni emprunter l’escalier principal.
Après cette première immersion dans l’univers de la maison, c’est le moment de pénétrer dans l’antre du maitre , et dans l’histoire de la haute couture. Quelques marches, une porte à code qui s’entrouvre, et nous voilà dans le bureau du maitre. Soudain, le silence se fait, et nous avons toutes ce sentiment diffus de passer de l’autre côté du miroir.
C’est là aussi Yves Saint Laurent lui même qui a décidé des objets laissés sur ce bureau quand YSL Haute couture a cessé son activité en 2002.
Même les crayons sont les siens, laissés là pour la postérité. On y aperçoit aussi une canne de M. DIOR, du blé, symbole qui suivra Yves saint Laurent tout au long de son existence. Et puis des figurines de bouledogue français, son chien fétiche; Mujik 4 est d’ailleurs toujours vivant, et il vient encore régulièrement dans ce lieu où il a passé tant de temps avec son maitre qu’il ne quittait jamais.
Les célèbres smoking sont là, omniprésents. Chaque modèle a sa signature, son style, ses particularités.
Le tout premier, né en 1966, créé pour Catherine Deneuve qui lui sera fidèle toute sa vie.
Tous les smokings sont là, du premier en 62 à la robe smoking de 2001. Ils sont tous différents. On découvre ce travail sur le noir par les matières qui rend chacun d’entre eux unique.
En fait, Yves Saint Laurent était le Soulage de la haute couture.
Dans cette pièce se trouvent également « les toiles ». Cette promesse des tenues en devenir.
Chacune des 81 collections Haute Couture Yves Saint Laurent est archivée ici. Des archives papiers conservés dans des boîtes spécifiques anti acide. Nous avons la chance de pouvoir découvrir celle de la collection 2001.
Les croquis tout d’abord.
Des croquis si simples et pourtant on perçoit déjà le mouvement, l’élégance du modèle.
Puis vient la bible, dans laquelle les croquis sont déclinés, accompagnés de bouts d’étoffes, suggestions pour la création finale.
Si vous rêvez de posséder l’intégralité des croquis, vous le pouvez, grâce à ces coffrets dans lesquelss vous retrouverez l’ensemble des collections.
Je pourrais continuer pendant des heures à vous décrire les pièces emblématiques, de la saharienne à la robe Mondrian, ou encore à vous conter l’atmosphère qui se dégage de la vidéo tournée lors d’une séance de confection des robes, en présence du maitre et de tous ceux qui l’ont accompagné.
Je ne peux que vous recommander de faire cette visite si vous avez ne serait-ce qu’un dixième de la passion que j’avais pour les créations de ce génie qui aimait les femmes.
Et pourtant, il avait un regret, qu’il a exprimé clairement : ne pas avoir inventé le jean. Si je l’avais rencontré, je lui aurais dit que tout ce qu’il a offert aux femmes, le pouvoir, l’élégance, la féminité, grâce à ses tenues, vaut bien plus que cette étoffe, certes magique !
Vous cherchez un bar au coeur du triangle d’Or ? Marta le bar !
Marta. C’est le prénom de la femme de Lucien Barrière. Le bar qui porte aujourd’hui son nom lui rend hommage, lové contre le lobby de l’Hôtel Fouquet’s Barrière. J’ai toujours été sensible aux hommages et déclarations d’amour publiques, mon côté fleur bleue sans doute!
Vous pourrez y goûter des cocktails réalisés par Stéphane Ginouves – Meilleur Ouvrier de France Barman 2011 – et grignoter en cas de fringale nocturne.
Alors cet été, c’est le Sud qui s’invite au Marta Le Bar grâce à Gérard Bertrand, vigneron passionné du Languedoc Roussillon et propriétaire exploitant de 8 domaines viticoles.
Des vins de plaisir aux vins d’exception, vous pourrez déguster les crus les plus remarquables en provenance des propriétés Gérard Bertrand et découvrir les vieux millésimes de la Collection Legend Vintage : ambiance Before autour des rosés ou After avec les bulles de Code Rouge et l’étonnant Elixir de Cigalus.
Marta Le Bar sera totalement re-designé aux couleurs de la Maison Gérard Bertrand.
Instants gourmands, sélection de vins au verre, découverte des terroirs : Marta Le Bar by Gérard Bertrand propose une expérience de dégustation dans un cadre chic, contemporain et intimiste souligné par les œuvres de l’artiste Olll. La possibilité de découvrir des vins d’expression du Sud de la France et aussi le bar de l’Hôtel Fouquet’s Barrière.
Envie d’un verre ? Envie de voir un des matchs de la Coupe du Monde, Marta le Bar by Gérard Bertrand est là pour vous jusqu’au 13 juillet ! Pensez-y !
Du 12 juin au 13 juillet
Marta Le Bar – 46 avenue George V – 75008 Paris – Ouvert du lundi au dimanche, jusqu’à 1h.
Et là, bien sur, se pose la question : l’homme idéal, comment le définiriez-vous ?
Allez, on se lâche ! Beau, attentif, riche, intelligent, unique, aux multiples facettes ? Génereux, altruiste, imprévisible, drôle, fiable en toutes circonstances ? Ou bien n’existe-t-il juste pas ?
Faute de certitudes sur son existence, certains se sont immortalisés pour être dans la photo idéale !
Il est assez rassurant de se dire que finalement, il y aura toujours le parfum !
Ce parfum qui est sorti hier, 23 juin, et que je vous invite bien sur à aller tester là où je l’ai découvert, au sein du flagship des Champs Elysées dont je ne me lasse pas.
Du parfum je vous dirais qu’il est frais, aux notes d’agrumes avec en arrière plan une légère fragrance d’amande … Le visuel le dit d’ailler mieux que mes mots .
Ce fut également l’occasion de redécouvrir la multitude de superbes flacons que GUERLAIN crée et réinvente au fil des années.
Mon favori, ce somptueux flacon Shalimar et ses cabochons de couleur sur ce qui pourrait être une superbe manchette que je porterais volontiers à mon poignet !
Tant de raisons donc de faire un tour du côté des Champs-Elysées !
Et puis n’oubliez pas de vous rendre sur la page Facebook de Guerlain pour découvrir en avant-première le film publicitaire de Michel Gondry qui y sera diffusé le 29 juin .
Harry Benson – le photographe des Beatles pendant leur tournée parisienne de 1964
C’était en 1964, il y a précisément 50 ans. Les Beatles, en concert à Paris, séjournent au Georges V, et c’est Harry Benson qui immortalise des moments de complicité du groupe le plus connu au monde.
C’est en souvenir de ces moments uniques que le Georges V dédie une exposition intitulée » I feel fine » aux Fab Four !
Et Harry Benson était là en personne pour inaugurer cette exposition.
Cette exposition qui porte le nom de cette chanson dont la légende dit qu’elle a été composée là, précisément, dans ce palace parisien.
Harry Benson, grand reporter, n’avait pas prévu de suivre le groupe et pourtant, un coup de fil au milieu de la nuit, et le voilà à photographier ces 4 grands gamins dans leurs moments les plus libres et naturels, comme sur cette célèbrissime photo dans laquelle on les voit se livrer à une bataille de polochons.
Ce photographe qui a photographié tous les présidents américains, de Einsenhower à Obama, a pu ainsi passer des moments uniques avec ce groupe mythique.
Il était présent pour l’inauguration, probablement ému d’être ainsi plongé dans le passé.
Ces superbes clichés vous accueillent dès que vous passez le seuil de ce somptueux palace et j’avouequ’il s’agissait là d’une première pour moi : je n’avais jamais pénétré dans ce lieu. Une vraie révélation !
Vous traversez le lobby, et la charmante cour intérieure vous acceuille, avec le plus spectaculaire jardin suspendu que j’ai jamais vu ! Des orchidées par dizaine, en suspension, des compositions florales extraordinaires, un lieu apaisé qui donne envie de s’installer là, et de profiter du moment.
Chaque membre du personnel croisé vous sourit, comme s’il vous connaissait depuis toujours, et la sensation est si agréable, rassurante et chaleureuse.
Alors bien sur, dans les vitrines sont exposés des joyaux que ni vous ni moi ne pourrons jamais nous offrir, mais nous pouvons prendre le temps de prendre un verre dans un lieu hors du temps, où luxe et raffinement riment avec sourire.
Prendre un verre, diner au restaurant Le Cinq, tester le SPA, et pourquoi pas, passer une nuit inoubliable , voilà les options que je vais explorer, mais je reviendrai.
L’exposition dure jusqu’au 30 juin : vous savez ce qu’il vous reste à faire.