New Look – ou l’art du marketing

New Look .. Une enseigne à la frontière de Pimkie et de Jennyfer .. en apparence !

Figurez vous qu’à l’occasion de ces vacances parisiennes j’ai décidé de m’aventurer dans le ventre de Paris …

Le Forum des Halles !

Il faut dire que mini MOI fantasmait depuis des semaines sur le site Internet de New Look, et il fallait donc absoluuuuuument se rendre sur place afin d’acheter le manteau de ses rêves !

Quand on arrive chez New Look, après s’être enfoncé dans l’antre du shopping parisien, après avoir quitté la lumière du jour et le soleil parisien, on découvre un espace où tous les signes sont là pour vous murmurer, ou plutôt hurler à vos oreilles :  » vite, vite, il y a des affaires à faire ! « . 

Seulement voilà, quand on y regarde de plus près, tout n’est que leurre …

Les prix bas .. loin d’être si bas que ça …

La qualité .. Des matériaux médiocres, des tailles qui fonctionnent selon un système non pas anglais mais plutôt propre à New Look .. le 10 équivaut à ce qui pourrait être un 36 .. ou un 42 ?

Quoiqu’il en soit, dans les deux cas, les manches seront trop courtes, alors, finalement , peu importe !

Pour résumer, nous sommes reparties avec un pull, suffisamment photogénique pour qu’il apparaisse sur ma photo !

Mais ma conclusion sera la suivante:

vous cherchez des petits modèles bon marché, allez chez Jenyfer, et sinon, quasiement au prix de New Look, je vous invite à vous diriger vers le ZARA le plus proche de chez vous !

voilà !

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Les petits mouchoirs … la parole est à LUI !

vous l’avez plébisicté, et j’ai donc décidé de lui redonner la parole !

Que les choses soient claires pourtant : tout d’abord, je ne le publie que lorsque je partage le fond de sa critique, il a bien sur toute liberté sur la forme !

Ensuite, que les choses soient claires : s’il s’avère que son succès me fait de l’ombre, je l’inviterai, poliement, mais fermement, à aller poster ailleurs !

voilà donc la critique du film  » Les petits mouchoirs  » , par LUI !

C’est l’histoire d’une confrontation entre un bavardage humain stérile et incessant et le légendaire silence des huîtres. A la fin, on a une furieuse envie de plonger tout habillé et de se noyer dans un bassin d’ostreiculture.

Je vais essayer de rendre un peu la trame de l’histoire, mais cela risque d’être confus parce que je n’ai retenu aucun des prénoms de cette bande d’adolescents attardés qui passent l’essentiel de leur temps à se tomber dans les bras les uns des autres pour se montrer à quel point ils sont heurrrrreux d’être ensemble.

Les pauvres, ils sont surtout gravement paumés.

Panorama rapide de cette faune de trentenaires : il y a l’acteur raté de séries télévisées, plaqué par sa femme un an plus tôt et qui s’accroche désespérément à elle comme une arapète sur un rocher ; sa femme justement, qui oscille entre le je t’aime et le moi non plus et lui envoie des sms pour le moins ambigus ;

et puis il y a le beau gosse incapable de se caser, qui virevolte d’histoires en histoires et s’imagine à soixante piges en train de se taper encore des gamines de vingt-cinq ;

il y a aussi l’une de ses rencontres d’un soir, toute heureuse de le voir debarquer avec son pote et qui leur demande s’ils ont déjà essayé une « double » ;

et puis, l’ostheopate, marié sans conviction, un enfant, qui découvre qu’il est fou amoureux d’un homme de vingt ans son ainé ; et sa femme précisément, manifestement délaissée par son homosexuel refoulé de mari, qui s’imagine actrice de scènes de cul grace à son logiciel de cyber sexe ;

et puis, il y a la môme, la Cotillard, toujours aussi mignonne, dont le personnage est totalement à côté de la plaque, la tête en Amazonie, les fesses en France, prête a toutes les expériences pourvu qu’elles soient sexuellement éphémères.

Et enfin le héro du film, Brice de Nice sans sa tunique jaune, dont le scooter se fait « niquer » par un camion des les premières minutes du film à la sortie d’une boite de nuit.

Survivra-t-il ? C’est le seul suspens se ces « petits mouchoirs » … jetables.

Cet ensemble nous donne une image plutôt désespérante d’une génération sans attache et sans projet. Pas étonnant que ce soient les deux personnages de vieux qui émergent dans cette médiocrité.

L’ostreiculteur, cliché du paysan éloigné de la cite décadente et bourgeoise, fidèle au terroir, un vrai, un pur, limite mystique, est a vrai dire un peu ennuyant, voire pathetique.

Non, la vraie réussite de ce film, c’est incontestablement le personnage survolté joué par un remarquable Cluzet. Pétages de câbles a volonté : des hurlements à peine arrivé dans sa maison de vacances parce que la pelouse n’est pas tondue, délire obsessionnel lorsqu’il entend des fouines sur le toit de la maison, grands coups de hâches dans le mur, agression hallucinante du gamin de ses invités parce qu’il triche à « 123 soleil ».

Magnifique. Époustouflant. Certes, on ne peut pas dire qu’émane de lui un bonheur serein, mais sa rage dévastatrice est tellement plus drôle que les déambulations des jeunes mollusques …

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Quand j’ai froid …

à Paris, c’est bien connu, il fait toujours froid et gris …

en tous cas, c’est ce qui se dit dans le reste du pays…

alors quand je commence à avoir froid chez moi, naturellement , c’est vers le sud ensoleillé que me guident mes pas …

Et bien qu’on se le dise, on ne m’y reprendra pas …

Parce qu’en guise de sud ensoleillé, voilà ce à quoi j’ai eu le droit !

Alors, froid ou pas, je retourne arpenter mes rue à moi ! Voilà !

Ceci est ma participation au concours de Me myself and I !

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Vous m’aimez ? Prouvez le !

Oui, j’avoue , j’ai besoin d’amour , de reconnaissance !

alors .. vous m’aimez ? Vous m’aimez ? Vous m’aimez ? Vous m’aimez ?

Prouvez le moi, en votant pour moi, là, derrière l’image …

je vous serai éternellement reconnaissante !!!

!!!! MERCI !!!!

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Oral B – les dents dont vous rêvez …

du moins, la brosse à dents dont vous rêvez !

Regardez là, comme elle est belle …

Elle est radieuse, entourée d’un hâlo de lumière qui laisse présager la blancheur de vos dents quand vous l’aurez découverte, utilisée et adoptée !

Une rotation efficace tout en restant douce, une brosse suffisamment petite pour se glisser partout et garantir un nettoyage exhaustif des moindres cavités …

Et, ce qui n’est pas négligeable, un choix de couleurs permettant de l’assortir à votre intérieur puisqu’elle existe aussi en orange et en vert !

Je vous avais parlé de l’évènement organisé par OralB dans 4 villes française, dont PARIS , pour vous permettre de la découvrir .. J’éspère que vous avez pu en profiter … Le déplacement valait la peine …

Et vous, brossage électrique ou manuel ?

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Eurobear Caroline Lisfranc – les gagnantes !

Vous avez  joué, puis voté, et voici les résultats tant attendus !

Encore merci à toutes pour vos participations touchantes, drôles, émouvantes !

Les 6 gagnantes sont donc, dans l’ordre, et sans nécessité de faire appel au jury pour départager ( merci à Sandra d’avoir accepté la mission même si au final cela n’a pas été necessaire !) :

pour les trois ours géants …

Les ptites mimines avec 125 points, qui remporte le grand ours rose poilu qu’elle souhaitait …

Lyaudin, avec 79 points , qui a le choix entre le grand rouge poilu et le grand rouge velours

Chouquette avec 58 points qui gagne donc le grand ours que Lyaudin n’aura pas choisi

Le Journal de Chrys avec 44 points, Zaza avec 42 points et Franny avec 31 points …

qui remportent chacune le petit bleu !

Il ne vous reste plus qu’à m’envoyer votre adresse par mail à nathalie@theparisienne.fr !

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 » LE SPA  » rue de Saint Antoine – un havre de paix

Le rythme effréné du quotidien vous stresse ?

La ville vous épuise  ?

Non, je ne vais pas vous faire l’article de Sédatif PC … !

Je vais vous parler d’un endroit découvert grâce aux offres de Dealissime ( vous savez, ces mails qui vous tennet encore et encore en proposant des offres plus attrayantes les unes que les autres !)

SPA Paris – rue Saint Antoine

Rendez vous pris pour 14h30, j’arrive exactement à l’heure, et je suis accueillie et prise en charge immédiatement; opremier bon point !

Le lieu, qui n’a pas d’entrée sur rue, se dissimule derrière une porte qui ne laisse en rien présager cette verrière et cette vaste pièce baignée de lumière.

Je vais donc faire, enfin, un soin visage … Chaque étape est détaillée et epliquée d’une voix douce et paisible par Monica . Lumière tamisée, musique zen, la demi heure passe si rapidement …

Ma peau est repulpée … Si, si ! C’est le terme technique, mais aussi la sensation que j’éprouve … Comme plus ferme, plus dense. Et puis rien de tel qu’une pause de ce type pour se détendre, se relaxer …

Les produits utilisés sont de la marque Carita, mais le SPA propose également les produits cinq Mondes.

Bien ur, difficle de resister à la tentation d’acheter un petit produit de la marque pour prolonger l’effet chez moi … Je reviendrai ! 

Alors pour tout savoir sur ce petit coin de paradis …. cliquez LA !

Et vous, vous accordez vous régulièrement des moments de ce type, rien que pour vous ?

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Basquiat … ce sera pour une autre fois … je l’éspère

aujourd’hui nous devions profiter des vacances pour découvrir l’exposition Basquiat …

et j’attendais avec impatience de voir ceci …

ou cela …

et finalement, c’est cela qui m’attendait :

Alors que dire ? Que je rage d’avoir perdu mon temps … et puis aussi mon argent , puisque j’avais eu l’idée brillante d’acheter des billets coupe file … Ne faisant pas dans le blog politique, je ne m’exprimerai pas, mais il n’en demeure pas moins que je suis déçue, et pas sure du tout de pouvoir finalement voir un jour cette exposition qui me tentait tellement. Et du coup, le musée Guimet, sur lequel nous nous sommes rabattus, n’a pas su retenir mon attention …

J’y retournerai un jour, histoire de mieux apprécier ces regards qui m’observaient et que je n’ai pas su voir …

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Elle s’appelait Sarah – la parole est à LUI !Attention: histoire complète inside!

Nous sommes allés voir  » elle s’appelait Sarah  » …

Bien sur, j’ai été bouleversée par les images, dès le début. bien sur, une boule s’est nouée dans mon estomac pour y rester … bien sur .

Mais quand l’émotion me submerge de la sorte, c’est souvent au détriment de mon sens critique, et c’est pourquoi, ensuite, je sens comme un doute qui s’insinue dans mon esprit .. Ce film est-il vraiment aller là où on l’attendait. Apporte-t-il quelque chose de plus au travail de mémoire , dee la france et des français ? Toutes ces questions , et d’autres encore, qui me font douter. Alors, aujour’hui, c’est LUI qui prend la plume, pour donner son analyse des faits…

Que faire de ce matériau instable, inflammable, quelquefois explosif qu’est la mémoire ? La rejeter dans les abysses de l’oubli, la cultiver patiemment comme une fleur sauvage, la conserver comme une relique ou bien encore la décortiquer jusqu’à en extraire tantôt une sève nourricière, tantôt un poison mortel. Tel est au fond le thème du film « Elle s’appelait Sarah ».

Victimes, bourreaux, complices et témoins lointains de la tragédie s’entrecroisent et se heurtent finalement aux mêmes lancinantes questions. Que faire de ce passe dont nos destins sont tissés ? Comment doser l’indispensable oubli et la nécessaire mémoire pour se donner la force d’inventer son propre chemin ?

L’histoire : Christine Scott-Thomas est une journaliste américaine, mariée a un français dont les grands-parents se sont installés en août 1942 dans un appartement du quartier du Marais, laissé vacant par une famille juive raflée par la police de Vichy. Sauf q

père de famille français découvre alors, en même temps que Sarah, le corps sans vie du petit Michel.

L’enquête journalistique mène alors notre américaine de Paris a Florence en passant par Brooklyn. Pour retrouver la trace de ce spectre du passé qui n’est même pas le sien, elle prend le risque de malmener sa vie rangée, son couple, sa famille.

On pleure très vite. L’horreur de la violence banale et totalement absurde d’aveuglement et de bêtise donne des frissons. Les histoires parallèles à soixante ans de distance se font écho. Et pourtant … plus les heures passent après que l’on soit sorti de la salle obscure, plus les questions s’accumulent et plus le malaise s’installe. Gagnés par une émotion somme toute compréhensible, on échappe d’abord au pathos et aux clichés d’un cinéma de sentiments, des clichés qui envahissent l’histoire et la vampirisent.

Fallait-il vraiment une américaine, fut-elle amoureuse de Paris, pour déterrer les fantômes français et s’offrir en victime expiatoire de la honte ? La recherche de la vérité n’était-elle possible que par le truchement de ce syndrome du journaliste entêté ?

Et puis, les images convenues d’une impossible tentative de pardon. L’Amérique comme une redemption facile pour une Europe engluée dans son passe. La France coupable mais les français innocents : en dehors d’une méchante concierge, tous les coupables sont anonymes et tous les vrais acteurs de ce film sont des héros du quotidien : le nouvel occupant de l’appartement qui envoie Sarah en zone libre et subvient à ses besoins, le surveillant du camp qui la laisse manger une pomme, puis s’enfuir, le paysan revêche qui en fait sa fille adoptive. Comment un peuple au si grand coeur a-t-il pu engendrer Vichy et le Vel d’Hiv ?

Le vrai moment d’émotion, ce sont finalement ces images d’archive du discours de Jacques Chirac venu enfin, cinq décennies trop tard, accepter simplement la responsabilité de la France.

Et puis cette accumulation de mensonges, comme si la vérité n’était bonne à dire pour personne. Cette famille française qui croit se protéger par le déni, Sarah qui s’oublie jusqu’au suicide, son mari qui se mure dans le silence jusqu’à son lit de mort, son fils qui découvre à cinquante ans que sa vie est un mensonge, constat malheureusement bien banal même pour ceux qui n’ont pas à supporter le fardeau d’un secret de famille. Un enchevêtrement de secrets, sans doute utile à la trame romanesque, mais qui finit par tout mettre sur le même plan.

Et puis enfin cette histoire bizarre d’enfant miraculeux qui arrive quand on ne l’attend plus et qui fait exploser le couple de la journaliste américaine. Une histoire un peu cousue de fil blanc, pour qu’une petite Sarah naisse de ce parcours initiatique et prolonge artificiellement une famille qui s’est en vérité bel et bien envolée en fumée quelque part dans les plaines de Pologne. Étrange collision de prénom et de destin. L’héroïne journaliste, qui se croyait trop vieille pour avoir un enfant, accueille le miracle de la vie, comme Sarah, l’épouse de Jacob.

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