Le Printemps loves New york … so do I !

J’ai une passion de longue date pour New York …

Alors quand le Printemps annonce l’ouverture de sa boutique éphémère sur ce theme, je me prends à rêver…

« Carry Bradshaw meets Audrey Hepburn » ou encore « Tiffanys meets Magnolias bakery« !

J’imagine des décors dignes des studios hollywoodiens, des mises en scène spectaculaires!

La statue de la libeté nous accueillant à la porte du Printemps Haussman …

Times square reconstitué au cœur de Paris!

Mais non ! rien de tout ça  !

Quelle déception! A peine un petit corner au rez de chaussée où cohabitent quelques tshirts et deux ou trois mugs Pantone… Et quand je pars à la recherche du mug Warhol  » Campbell soup  » … Épuisé !

Le sautoir « cupcake rose » sur chaîne dorée… Épuisé! Pourtant, difficile d’imaginer que l’opération a été dépassée par son succès…. Il n’y a personne en ce Mercredi après midi !

Continuant donc ma quête de la ville qui ne dort jamais, je descends au sous sol… Une décoration un peu plus présente, et puis un corner de cabas customisés qui donnerait presque envie d’être là le samedi matin quand les artistes customisent en direct !

En attendant, j’ai pu rencontrer Superman …

évidemment , Coca Cola était de la partie …

et puis , plus original …

et les superbes cabas Coach, customisés…

alors, c’est jusqu’au 10 octobre… Si vous y allez, vous me prenez le sautoir ou le mug ? On ne sait jamais, ils en ont peut être commandé !


Caroline Lisfranc – by The Parisienne

Nul doute, elle créera un jour la  » légion du bonheur  » … elle a déjà inventé le concept !

En attendant, c’est de la légion d’honneur qu’elle a été décorée ! Et quand  je l’ai rencontrée, elle l’arborait, de ce rouge qui se détache si bien d’une veste noire!

Toute de noir vêtue,donc,  avec d’autres touches de rouge , car c’est depuis longtemps la couleur qui la caractérise, et puis ce qui est depuis toujours sa touche personnelle …

Alors, pour celles qui par hasard ne la connaitraient pas, Caroline Lisfranc, pour moi, c’est depuis toujours …

Mais venons en à l’essentiel  …

L’interview de Caroline by The Parisienne

Plantons le décor ; tout d’abord, c’est grâce à la charmante Agnès, de la boutique Abis, Galerie Vivienne , que cette rencontre a pu avoir lieu . J’ai fait sa connaissance à Noël, et j’ai découvert son univers, dont l’étage entier dédié à Caroline Lisfranc ! Et elle m’a proposé de me permettre de rencontrer Caroline !

C’est donc là que nous nous sommes rencontrées !

Caroline Lisfranc arrive, et déjà elle rentre dans le vif du sujet , en évoquant son actualité, très riche :

C. F :

 » nous venons de sortir du salon  » Maison et objets « , déjà se profile celui de janvier . Dans ma nouvelle collection, j’ai une collection matelassée style doudoune , douce, pratique ! Comme des porte monnaies, annotés « je gère », ou « je craque » ! Et puis un sac géant, pour que chacun dans la maison puisse ranger ses batteries et chargeurs, avec des poches séparables, pour pouvoir les déplacer et les ranger à nouveau. Ou encore la toute nouvelle « pochette de mon homme pour mon grand sac », qui permettra à ces messieurs de ranger leurs affaires personnelles dans notre sac, mais dans une pochette qui leur appartiendra « 

Et la voilà qui s’enthousiasme, qui décrit objet après objet, parce que pour elle chaque objet est une création, une façon de saupoudrer le quotidien de sourires , le fruit de l’observation du quotidien, de la vie . Parce qu’elle cherche, c’est  » positiver les actes du quotidien « .

The Parisienne : Avez vous toujours su que ce que vous faites serait votre métier ?

Caroline :  » Oui ! depuis l’âge de 4 ans j’ai toujours voulu arranger les choses à ma façon; maman ramenait des choses à la maison ,et je les modifiais, je les restructurais ! J’essaie de transformer un peu le monde, je regarde, j’essaie de trouver ce qui va aider à améliorer le quotidien « 

The Parisienne : Parlez moi un peu de vos objets : l’ours Eurobear  …

C.F :  » J’aime l’idée que les peuples se réunissent. au moment du passage à l’Euro j’ai créé 37 objets, dont l’eurobear. Nous n’avons pas assez d’étreintes! C’est bon de le reconnaitre , de reconnaitre qu’une étreinte fait du bien ! L’eurobear a eu un démarrage difficile, parce qu’il était difficile de le mettre dans une catégorie: pas vraiment pour enfant, pas tout à fait  pour adulte …  »

Et il a eu le succès que l’on connait, décliné en couleurs, tailles, matières différentes ! Personnellement, j’adore ! au Japon, il suscite des émeutes, surtout quand Caroline est là pour le dédicacer ! Des heures de file d’attente, et surtout une émotion palpable face à cet objet qui rentre dans une sphère si personnelle en proposant des calins !

T. P. : Et cette phrase ,  » La vie est belle « , pourquoi ?

C.F :  » Parce que la vie n’est pas belle tout le temps, la vie n’est pas belle pour tout le monde ; j’ai toujours pensé que l’homme est seul , l’homme a peur, l’homme n’a pas confiance, et c’est avec la pensée que chaque jour, dans la vie quotidienne, je peux faire quelquechose pour mettre un sourire sur un visage, quand les yeux tombent sur un objet qui dit  » la vie est belle «   que j’ai créé ces objets« 

T. P : Et vos clients, qui sont-ils ?

C.F :  » des adultes, des enfants, et même des hommes pour qui d’ailleurs je commence à créér des objets spécifiques, discrets, pratiques, comme un porte billets d’avions ou ce porte care de visite à deux compartiments  » mes cartes  » et  »  » les autres  » ! « 

T.P. : Vous et Paris ?

C.F : « Je suis parisienne, depuis toujours. J’adore ma ville. J’aime sa diversité .Si je pouvais, j’achèterais un vieux Zinc, pour le garder, le préserver. J’aime les atmosphères de la ville, le marché d’Aligre, la mosaïque parisienne. »

Elle me parle aussi de sa passion pour le SLAM, et ce café parisien où viennent se produire toutes les semaines des jeunes passionnés de cette nouvelle forme de poésie …

T.P Votre endroit préféré ?

C.F :  » Le prochain, celui que je vais découvrir « 

elle m’évoque aussi cette soirée si particulière qui a marqué sa semaine : mercredi 15 septembre

C.F  :  » j’ai reçu la légion d’honneur, des mains de François Barouin. Pourtant, ce concept n’est pas forcément dans mon univers; mais quand j’ai appris que j’étais proposée pour la légion, j’ai réflechi, et j’ai finalement accepté. Cela m’a donné l’occasion de m’arrêter, me poser, prendre cosncience de ce que j’ai fait, mon entreprise, ma vie professionnelle.Un moment fort .  Et la céremonie a été toute en émotion, très forte. « 

Agnès, qui était présente lors de cet évènement, confirme !

Puis Caroline continue à me décrire tous ces objets du quotidien dont elle croit dur comme fer qu’ils vont nous faire sourire au quotidien .. . et elle a raison , jugez vous même !

Alors il ne me reste plus qu’à vous inviter à aller rendre visite à Agnès dans sa si jolie boutique pour y découvrir la collection entière, avec, dès novembre, les nouvelles pièces présentées au salon Maison et objets.

aBis

24 Galerie Vivienne

75002 PARIS

         01 42 96 54 76       

Et , parce que vous le valez bien, je vous prépare également un concours qui vous permettra de remporter … des tonnes de câlins !

Un grand merci à Agnès qui a permis cette rencontre et un grand merci à Caroline qui a eu la grande gentillesse de m’accorder cet interview malgrè son emploi du temps si chargé !

Mosko et associés

Vous souvenez vous ? Je l’avais rencontré, par hasard, au détour d’une promenade dans mon quartier !

Il avait accepté de poser pour moi ! Alors j’ai pris mon courage à deux mains …

Et , très bientôt, mieux encore… mais je ne vous en dis pas plus ! Patience !

En attendant , une vidéo … Parce que la ville est sa toile !


Rendez-vous sur Hellocoton !

ce que Nespresso et Olivia Putman nous ont prévu pour Noël

Nespresso nous a habitués à créér des tasses pour chacune de se séries limitées café … mais cette fois, Nespresso va plus loin, et s’adresse à l’une des icones du design : olivia Putman, et cette fois, pour une collection complète d’objets aussi élégants que fonctionnels.

Des verres pour accompagner son café, agrémentés de la mosaïque emblématique de la maison Putman …

des tasses, de quatre tailles différentes, et même un mug, pour s’adapter à chaque café , avec les accessoires indispensables, tels que les petites cuillers, et surtout, l’élegantissime porte chocolat … un véritable bijou !

et bien sur, des machines élégantes, qui, grâce à l’aéroccino , m’ont permis de déguster ceci …

Alors, pour Noël, si vous recherchez un cadeau élegant, raffiné, une vraie valeur sure … vous savez cz qu’il vous reste à faire !

I was in … PARIS !

Edit janvier 2014 :

Plus de boutique dédiée, mais des corners, par exemple dans le Monop’ des Champs Elysées .

Alors, si vous cherchez une de ces jolies Tour Eiffel en plexiglas, que vous pourrez transporter partout avec vous, faites un tour là bas !

and I still am … !

Touristes, collectionneurs, amateurs d’objets et de vêtements tendance soyez prêts …

 » I WAS IN  » arrive !
Un succès fulgurant, et cela ne fait que commencer.

Moi, la parisienne, qui cède à la tentation de rentrer dans une boutique de souvenirs ! Pourquoi ? Parce que j’ai tout de suite vu qu’il s’agissait là d’autre chose, d’un concept, d’une idée !

Alors de quoi s’agit-il?

Deux hommes aux talents complémentaires : un créatif, l’autre animé par une passion du développement, de l’aller de l’avant ! A eux deux , les voyageurs ayant déjà fait plusieurs fois le tour du monde, ils inventent une expérience shopping inédite dans le marché du souvenir de voyage …

Je les ai rencontrés, François et Philippe, et leur énergie transpire de leurs paroles ! Ils sont passionnés, prêts à conquérir Paris, où ils sont déjà très bien installés : deux boutiques, une au Carrousel du Louvre et une Rue du renard,et des corners dans les plus grands monuments de Paris comme l’Arc de Triomphe , notre Dame, et même la sainte Chapelle !

Il leur manque pourtant ce lieu qui leur a inspiré leur visuel emblématique, simple et percutant …

Déclinée sur des souvenirs dits  » classiques « , mais aussi sur des vêtements, étoles, carnets, blocs notes … une collection complète en somme !

Comment ?!

Vous n’avez pas sur vous l’emblématique Tour Eiffel en Plexiglas ?!

Sachez pourtant qu’elle est en passe de devenir l’objet tendance du moment …

Si, si, je vous assure : elle sera distribuée dans le pavillon français de l’exposition universelle de Shangai lors de la soirée de clôture le 20 octobre, Inès de la Fressange l’a choisie pour décorer la vitrine de Roger Vivier à Paris à Noël dernier et maintenant à Londres et le ministre du tourisme en aurait une dans son bureau !

Alors, qu’attendez vous ?!

Et puis, qui sait, cette tour Eiffel emblématique pourrait être la première conquête du duo de  » I WAS IN  » , le monde étant leur objectif !

Alors, vous , quand vous faites du tourisme, les souvenirs, vous en ramenez ? Pour vous ? Pour ceux que vous aimez ?

Le métro se raconte …

figurez vous que j’ai découvert que le métro se racontait … Alors j’ai décidé de vous faire partager ma découverte !

Et oui, dès le début de son existence, le métro a accueilli des  » réclames « , sous forme d’affiches ou de faïence , dans de jolis cadres prévus à cet effet ….

Joli, non ?

Bouquinistes – mais d’où vient ce mot ?

C’est vrai, je vous ai déjà parlé de ces panneaux historiques que l’on croise dans PARIS …

C’est vrai je vous ai dit à quel point je les appréciais ….

Et bien en voici une preuve ! C’est grâce à l’un de ces panneaux que j’ai enfin appris l’origine du mot  » bouquiniste  » !

Et vous, vous la connaissez ? Bon, allez, vous insistez, je vous dis tout !

Le terme de  » boucquain  » fait son apparition en 1459 , attesté sous la forme  » bouquin  » vers la fin du XVIème ( il est probablement dérivé du flamand  » boeckjin » – petit livre ) .

Quant à la tradition des bouquinistes, elle débute aux alentours du XVIème siècle avec des petits marchands colporteurs. Sous la pression des libraires, un règlement de 1649 interdit les boutiques portatives et l’étalage de livres sur le Pont Neuf. Le pouvoir à l’époque était assez soucieux de limiter les marchés parallèles non soumis à la censure. Les libraires ambulants sont donc, selon la période, chassés puis réintégrés sous agréments

En 1859, des concessions sont mises en place par la ville de Paris et les bouquinistes peuvent s’établir à des points fixes. Chacun a droit à 10 mètres de parapet pour un droit annuel de tolérance de 26,35 F et 25 F de patente. Les ouvertures se font du lever au coucher du soleil. Enfin, c’est en 1930 que les dimensions des « boîtes » sont fixées.

Installés sur plus de trois kilomètres le long de la Seine et déclarés patrimoine mondial de l’UNESCO, les 240 bouquinistes parisiens exploitent 900 « boîtes vertes » où sont exposés quelque 300 000 livres anciens d’occasion et un très grand nombre de revues, timbres et cartes de collection …

Alors, est ce que désormais vous regarderez différemment ces commerçants d’un autre genre ?.