Eurobear Caroline Lisfranc – les gagnantes !

Vous avez  joué, puis voté, et voici les résultats tant attendus !

Encore merci à toutes pour vos participations touchantes, drôles, émouvantes !

Les 6 gagnantes sont donc, dans l’ordre, et sans nécessité de faire appel au jury pour départager ( merci à Sandra d’avoir accepté la mission même si au final cela n’a pas été necessaire !) :

pour les trois ours géants …

Les ptites mimines avec 125 points, qui remporte le grand ours rose poilu qu’elle souhaitait …

Lyaudin, avec 79 points , qui a le choix entre le grand rouge poilu et le grand rouge velours

Chouquette avec 58 points qui gagne donc le grand ours que Lyaudin n’aura pas choisi

Le Journal de Chrys avec 44 points, Zaza avec 42 points et Franny avec 31 points …

qui remportent chacune le petit bleu !

Il ne vous reste plus qu’à m’envoyer votre adresse par mail à nathalie@theparisienne.fr !

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Basquiat … ce sera pour une autre fois … je l’éspère

aujourd’hui nous devions profiter des vacances pour découvrir l’exposition Basquiat …

et j’attendais avec impatience de voir ceci …

ou cela …

et finalement, c’est cela qui m’attendait :

Alors que dire ? Que je rage d’avoir perdu mon temps … et puis aussi mon argent , puisque j’avais eu l’idée brillante d’acheter des billets coupe file … Ne faisant pas dans le blog politique, je ne m’exprimerai pas, mais il n’en demeure pas moins que je suis déçue, et pas sure du tout de pouvoir finalement voir un jour cette exposition qui me tentait tellement. Et du coup, le musée Guimet, sur lequel nous nous sommes rabattus, n’a pas su retenir mon attention …

J’y retournerai un jour, histoire de mieux apprécier ces regards qui m’observaient et que je n’ai pas su voir …

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Elle s’appelait Sarah – la parole est à LUI !Attention: histoire complète inside!

Nous sommes allés voir  » elle s’appelait Sarah  » …

Bien sur, j’ai été bouleversée par les images, dès le début. bien sur, une boule s’est nouée dans mon estomac pour y rester … bien sur .

Mais quand l’émotion me submerge de la sorte, c’est souvent au détriment de mon sens critique, et c’est pourquoi, ensuite, je sens comme un doute qui s’insinue dans mon esprit .. Ce film est-il vraiment aller là où on l’attendait. Apporte-t-il quelque chose de plus au travail de mémoire , dee la france et des français ? Toutes ces questions , et d’autres encore, qui me font douter. Alors, aujour’hui, c’est LUI qui prend la plume, pour donner son analyse des faits…

Que faire de ce matériau instable, inflammable, quelquefois explosif qu’est la mémoire ? La rejeter dans les abysses de l’oubli, la cultiver patiemment comme une fleur sauvage, la conserver comme une relique ou bien encore la décortiquer jusqu’à en extraire tantôt une sève nourricière, tantôt un poison mortel. Tel est au fond le thème du film « Elle s’appelait Sarah ».

Victimes, bourreaux, complices et témoins lointains de la tragédie s’entrecroisent et se heurtent finalement aux mêmes lancinantes questions. Que faire de ce passe dont nos destins sont tissés ? Comment doser l’indispensable oubli et la nécessaire mémoire pour se donner la force d’inventer son propre chemin ?

L’histoire : Christine Scott-Thomas est une journaliste américaine, mariée a un français dont les grands-parents se sont installés en août 1942 dans un appartement du quartier du Marais, laissé vacant par une famille juive raflée par la police de Vichy. Sauf q

père de famille français découvre alors, en même temps que Sarah, le corps sans vie du petit Michel.

L’enquête journalistique mène alors notre américaine de Paris a Florence en passant par Brooklyn. Pour retrouver la trace de ce spectre du passé qui n’est même pas le sien, elle prend le risque de malmener sa vie rangée, son couple, sa famille.

On pleure très vite. L’horreur de la violence banale et totalement absurde d’aveuglement et de bêtise donne des frissons. Les histoires parallèles à soixante ans de distance se font écho. Et pourtant … plus les heures passent après que l’on soit sorti de la salle obscure, plus les questions s’accumulent et plus le malaise s’installe. Gagnés par une émotion somme toute compréhensible, on échappe d’abord au pathos et aux clichés d’un cinéma de sentiments, des clichés qui envahissent l’histoire et la vampirisent.

Fallait-il vraiment une américaine, fut-elle amoureuse de Paris, pour déterrer les fantômes français et s’offrir en victime expiatoire de la honte ? La recherche de la vérité n’était-elle possible que par le truchement de ce syndrome du journaliste entêté ?

Et puis, les images convenues d’une impossible tentative de pardon. L’Amérique comme une redemption facile pour une Europe engluée dans son passe. La France coupable mais les français innocents : en dehors d’une méchante concierge, tous les coupables sont anonymes et tous les vrais acteurs de ce film sont des héros du quotidien : le nouvel occupant de l’appartement qui envoie Sarah en zone libre et subvient à ses besoins, le surveillant du camp qui la laisse manger une pomme, puis s’enfuir, le paysan revêche qui en fait sa fille adoptive. Comment un peuple au si grand coeur a-t-il pu engendrer Vichy et le Vel d’Hiv ?

Le vrai moment d’émotion, ce sont finalement ces images d’archive du discours de Jacques Chirac venu enfin, cinq décennies trop tard, accepter simplement la responsabilité de la France.

Et puis cette accumulation de mensonges, comme si la vérité n’était bonne à dire pour personne. Cette famille française qui croit se protéger par le déni, Sarah qui s’oublie jusqu’au suicide, son mari qui se mure dans le silence jusqu’à son lit de mort, son fils qui découvre à cinquante ans que sa vie est un mensonge, constat malheureusement bien banal même pour ceux qui n’ont pas à supporter le fardeau d’un secret de famille. Un enchevêtrement de secrets, sans doute utile à la trame romanesque, mais qui finit par tout mettre sur le même plan.

Et puis enfin cette histoire bizarre d’enfant miraculeux qui arrive quand on ne l’attend plus et qui fait exploser le couple de la journaliste américaine. Une histoire un peu cousue de fil blanc, pour qu’une petite Sarah naisse de ce parcours initiatique et prolonge artificiellement une famille qui s’est en vérité bel et bien envolée en fumée quelque part dans les plaines de Pologne. Étrange collision de prénom et de destin. L’héroïne journaliste, qui se croyait trop vieille pour avoir un enfant, accueille le miracle de la vie, comme Sarah, l’épouse de Jacob.

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un petit programme pour le weekend – qui n’engage que moi !

Bien , commençons par le commencement … ce sont les vacances ! Alors prenez le temps de prendre votre temps … !

Bon, pour le weekend, bien sur, il y a l’unique, l’exclusive et incontournable … FIAC !

seul petit bémol : le billet à 28€ !

Cela dit, mieux vaut ça que payer 10€ ou 15€ pour les  » foire off  » que l’on trouve sur les Champs Elysées ou encore sous le pont des Invalides … Un peu cher, non, pour du  » off » ?

Par contre, l’occasion unique, enfin , de découvrir Docks en Seine …

En effet, ce lieu étrange et quasiment à l’abandon depuis sa construction ,va abriter la Chic Art Fair, dernière née, qui inaugurera le nouveau site de la Cité de la Mode et du Design. Elle va recevoir une cinquantaine de jeunes galeries avec une ouverture vers le design ; ouverture du 22 au 25 octobre de 12h à 20h, au 28-36 quai d’Austrelitz, Paris 13e.

Et, si la Fiac ne vous tente pas, c’est l’époque des brocantes, à Paris aussi ! Alors je vous suggère le
vide-greniers de Mouffetard samedi 23 octobre de 6h à 18h .

Je ne reviendrai pas bien sur sur l’exposition VUITTON au musée Carnavalet, boulat au Petit Palais , et les autres !

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Pour mes lecteurs fidèles … et mes lectrices aussi ! Super concours !

Une fois n’est pas coutume … Je parle aujourd’hui aux hommes ! Directement , pour ceux qui me lisent, ou au travers des yeux de leurs femmes, amies, soeurs, cousines , et toutes les autres, qui me lisent aussi !

En effet, mon ami  » the new man in the city  » organise un concours pour vous, pour eux, les hommes ! Et pas n’importe quel concours ! Jugez vous même …

Chaque lot se compose du Masque Éclat Anti-Stress d’Académie Scientifique de Beauté (32,40 €), du soin Hydratant Energisant Visage de Nickel Bio (30 €), du Gommage Capillaire de K pour Karité (13,90 €), de la Douche Exfoliante de Clarins Men (25,80 €) et du rasoir Series 3-350cc de Braun (140 €) !!!!

vous y croyez vous ?! Et il y a 10 lots à gagner ! Alors, allez-y , jouez ! Et puis parlez-en, partout où vous pourrez !

Donc, pour jouer, c’est LA !!!

Bonne chance à TOUS …. et à toutes !

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Octobre – le mois de la prévention et de la lutte contre le cancer du sein !

Le mois d’octobre est désormais connu comme le mois rose, ou mois de la sensibilisation à la prévention contre le cancer du sein .

Initiatives locales et campagnes d’affichage nationales, toutes avec pour objectif de faire passer un message simple :

la mammographie, après 50 ans, c’est une fois tous les deux ans !

Nombreuses sont les marques qui s’associent et s’impliquent dans la démarche de sensibilisation.

La presse, mais aussi des marques de beauté telles que …

Marionnaud, qui communique, met à disposition informations et dépliants dans ses boutiques

Clinique, et son ravissant porte clés multi gloss collector

Et GHD,  qui depuis 4 ans déjà participe activement à ce mois si particulier et a déjà reversé en 3 ans plus de 40000€  à  la Ligue nationale contre le cancer.

Cette année, c’est avec ce superbe styler et son coffret collector que GHD participe :

Et, il faut le savoir, les produits GHD, que l’on trouve exclusivement chez les coiffeurs, ont une réputation qui les précède ! Je le sais, Mini Moi est arrivée à me convaincre de lui en offrir un il y a quelques années, sous prétexte que c’était LE lisseur qu’il lui fallait, celui qui rend les cheveux lisses et soyeux sans les abîmer !

Alors, faites vous plaisir , et , ensuite, n’oubliez pas :

une première mammographie après 40 ans, histoire d’avoir une image de départ !

Alors, vous êtes encore là ?! Mais vous attendez quoi pour prendre rendez vous avec votre gynéco ?!!!

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VUITTON s’expose au musée Carnavalet

tout d’abord, rentrer dans le musée Carnavalet, et traverser la salle des enseignes que j’aime tant … !

Et me voilà attentant patiemment que l’on m’autorise à entrer ( et oui, il y a 5 minutes d’attente au moins !).

Spotted :  un Chanel frétillant  , un Longchamp pas vraiment dans son élément, et un Vuitton triomphant !

Je pénètre donc dans l’exposition : une superbe malle bombée trône sous une enseigne VUITTON en vitraux multicolores.

Un peu d’histoire sur Louis, son fils et son petit fils.

Le premier arrive à Paris à 14 ans en 1835,  ouvre son prmeier magasin dans un quartier en plein réaménagement grâce aux travaux du baron Haussmann, puis démenage en 1871 au rez de chaussée de l’hôtel Scribe, face au grand hôtel.

Il va bénéficier ainsi de la proximité de riches clients potentiels, mais aussi des gares en plein essor, associées à une révolution industrielle qui boulverse les déplacements des touristes français.

voici donc pour la dimension  » historique » . On comprend donc que le coup de maître de Vuitton sera de s’adapter , vite, d’inventer des malles plates, empilables, où linge et objets en touts genres sont parfaitement rangés et protégés ( serrure inviolable mise au point en 1890)  et facilement accessibles.

La toile damier date de 1888, et la  » Monogram  » de 1896.

Vuitton sera également présent sur toutes les expositions universelles.

On voit donc des dizaines de malles, de toutes tailles, contenant de la trousse à pharmacie au lit de camp en passant par Barbie et sa garde robe.

Une tentative est faite de projeter Vuitton dans l’art avec l’installation qui clôt l’exposition, à base de malle et de vidéos qui en animent l’intérieur . Si vous me demandez mon avis : bôf !

Si je devais résumer cette visite : une ocasion de redécouvrir le Musée Carnavalet, en glanant au passage quelques informations sur la génèse De VUITTON et l’inventivité dont ses créateurs ont su faire preuve à l’époque.

Est ce que Marc Jacobs fait renaître VUITTON à mes yeux : sans aucun doute .. .

D’ailleurs, pour en apprendre au moins autant sur VUITTON, je vous invite à aller faire un tour du côté du Flagship des Champs elysées : les vitrines y laissent rarement indifférent !

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French Factory – des bijoux bercés d’enfance

Envie d’enfance… French factory

Son univers est fait de roudoudous, chamallows et chupa chups…. Et mieux que tout ce sont ses bijoux qui nous parlent d’enfance… La notre plutôt que celle de nos enfants … !

The Parisienne :  Alors, French Factory, une histoire qui a commencé quand précisément ?

Erika:  » En 2006. C’est depuis 2006 que French Factory est véritablement née telle que la marque existe aujourd’hui. Avant ça, elle était en « gestation » « !

TP : vous avez des pièces emblématiques, telles que les petits lapins, les cages aux oiseaux, et bien sur, les sautoirs macarons. Quelle est l’histoire de chacun de ces objets ?

Erika:  » le lapin, c’est un souvenir d’enfance; j’en avais un de ma maman, que j’ai retrouvé dans un petit coffre où je gardais mes trésors d’enfance « 

Le lapin est une pièce centrale de son univers: il a une histoire, de celles qui parlent de souvenirs, d’objets transmis par une maman aimante, objet enfoui dans un coffre à trésor, et qui revient par surprise au moment où Erika se lance dans l’aventure French Factory; alors on le retrouve partout et pour longtemps!

Et puis il y a aussi Alice aux Pays des merveilles, et toutes les pièces uniques qu’elle créé autour de ce thème . Pour les voir, pas d’autre possibilité que de se rendre dans son atelier !

Et puis il y a LE macaron! Pourquoi un macaron? Parce qu’Erika est gourmande, et le sautoir macaron était pour elle une évidence!

the Parisienne:  » et le macaron, quelle est son histoire ? »

Erika :  » je suis gourmande, alors bien sur j’avais déjà des religieuses, mais il y a trois ans et demi, j’ai décidé de faire le macaron! « 

The Parisienne :  » Vous aimez les macarons, alors, vos macarons préférés .. ? « 

Erika :  » Pierre Hermé, sans hésiter « 

The Parisienne :  » Quel parfum ? « 

Erika :  » caramel au beurre salé ! « 

Simple, mais une vraie valeur sûre !

Le sautoir macaron, lancé par elle, a depuis été copié et recopié, mais jamais égalé! Elle le décline désormais en version fine et discrète sur chainette dorée .

Parmi les pièces phare, il y a également le sautoir appareil photo : une merveille.

Sachez que l’appareil est une réplique parfaite des appareils argentiques d’antan, et qu’elle a chiné un stock de ce modèle, dont elle arrive en fin de course ! Alors, si vous le voulez, c’est maintenant, sans hésiter !

Et puis il y a aussi ces petites cages charmantes, référence à son enfance, encore une fois !

Chez French Factory, vous trouverez le bijou pour toutes vos humeurs: le sautoir volumineux, la chainette discrète, la petite broche et la grosse bague …

Je laisse Erika qui s’affaire dans son atelier, pour faire face à la production d’objets nécessaires pour les salons à venir, mais aussi les commandes sur mesure que l’on peut passser chez elle .. Imaginez: une pièce unique, à votre goût, rien que pour vous !

Mais avant de partir, une dernière question …

The Parisienne :  » votre prochaine étape, une boutique à vous, vous aimeriez ? « 

Erika:  » ce serait mon rêve ! Une boutique à moi, peu importe le quartier « 

Souahitons lui de voir son rêve se réaliser au plus vite !

Et pour devenir l’heureuse propriétaire d’une de ces petites pièces de rêve, vous savez ce qu’il vous reste à faire, non ?!

http://www.thefrenchfactory.com/

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