J’ai eu le plaisir de découvrir la gamme Olympus dans un lieu mythique de la photographie : les studios PINUP.
Mais si, vous avez forcément croisé un de ces camions chargé de promesses de shooting au coeur de Paris, de superbes mannequins, d’équipes qui s’activent avec enthousiasme tels des abeilles dans une ruche.
C’est donc là que j’ai découvert la gamme Olympus, en situation.
Et surtout là que j’ai eu mon vrai coup de coeur : l’Olympus Stylus 1 .
Un compact, qui permet tant et tant ! choisir le point de focus par un simple contact sur l’écran, prendre la photo en touchant l’écran.
Sur exposer ou sous exposer juste en tournant un simple bouton.
Des modes programme bien sur, mais aussi manuels, pour ceux qui ont envie de se faire plaisir.
Et puis l’application smartphone qui vous permet de récupérer vos photos en wifi et de les partager immédiatement sur vos réseaux sociaux préférés.
Alors vous aurez remarqué que le Salon de la Photo, c’est maintenant. L’occasion unique de vous rendre sur place pour découvrir ce petit bijou qui est devenu mon meilleur ami !
D’année en année, le sapin des Galeries Lafayette me prend par surprise.
Qu’il soit scintillant aux couleurs changeantes en Swarowski, semblable à un coucou suisse géant ou plus traditionnel chargé de cadeaux, il ne m’a jamais déçue.
Depuis l’enfance, la mienne, celle de mini moi, un mythe, avec toujours l’émerveillement à la clé.
Et cette année, la surprise est de taille !
Cette année, le sapin des Galeries Lafayette rend hommage à la superbe coupole dont il est inspiré aussi bien en ce qui concerne ses couleurs que ses décorations colorées, cabochons et volutes.
Cette année, il s’appuiera sur la couple par ses racines, pour tomber en piqué, tête retournée !
J’ai pu assister à son montage, un vrai moment extraordinaire comme je les aime !
Découvrir des pans de ce sapin en devenir dans un grand magasin vidé de la foule habituelle….
Puis l’admirer, en place déjà, mais pas tout à fait abouti, laissant deviner la merveille que nous pourrons tous admirer dès demain matin.
Il sera visible dès demain puisqu’à l’heure où j’écris, tout le monde s’active à le terminer, pour qu’il soit totalement installé pour accueillir ses premiers admirateurs dès 09h00.
Et là, il sera orné de ce qui lui manquait lorsque je l’ai découvert : sa pointe !
Sachez aussi que des animations visuelles et sonores se dérouleront pour lui donner vie.
Quant aux vitrines, elles seront inaugurées le 5 novembre. Alors, vous savez ce qu’il vous reste à faire !
Voilà venu le temps de la FIAC, et avec elle cette nouveauté, la fiac OFF … officielle.
Voilà des années que je pars à la découverte de la FIAC. Au Grand Palais, et parfois hors les murs, comme par exemple dans les jardins des Tuileries, ou ailleurs.
La FIAC donc, ce grand rassemblement international de galeries du monde entier qui partagent avec nous les oeuvres des artistes contemporains. Ceux en passe de devenir célèbre, ceux qui ne le seront peut-être jamais, et ceux qui ont déjà une réputation et une visibilité bien, très bien installée.
Ce qui m’a toujours frappée, c’est la dimension volontairement élitiste, réservée à une population de happy few, qui peuvent pour commencer se permettre de payer 25€ l’entrée à l’évènement du Grand Palais, et qui surtout, peuvent éventuellement s’offrir une de ces oeuvres.
Et après tout, pourquoi pas, si des artistes talentueux parviennent à continuer à exercer leur art grâce à ces généreux mécènes .
Là où cela se corse c’est que le constat a été, année après année, que je ne parvenais pas à m’émouvoir devant la plupart des oeuvres exposées. J’ai d’abord attribué ça à un manque de culture artistique,
Bien sur, année après année, un, deux, voire trois artistes attiraient mon regard, et leur création remuait quelquechose au plus profond, me donnaient envie de m’arrêter pour admirer, observer, savourer. Mais il s’agissait toujours d’oeuvres perdues dans la multitude de ces autres, celles qui ne m’inspiraient rien, mais entrainaient des envolées intéressantes de la part des visiteurs se voulant plus avertis;
« Quel travail de restructuration de la matière ». « tout est dans la nonchalance du pinceau », voilà ce que j’ai pu entendre, mais la phrase qui domine est certainement « c’est intéressant, très intéressant », appuyé d’un « là, j’aime bien » !
Alors, si vous faites un tour du côté de la cité de la mode et du design qui abrite la Fiac Off, vous verrez du street art en bas.
Et le reste à l’étage.
La tendance est claire : la nonchalance du pinceau, et parfois du crayon, est partout !
Je veux croire que ce visiteur était plongé dans la même perplexité que moi ! A moins qu’il n’examinait d’un oeil expert.
Et bien sur, le meilleur est toujours ailleurs, pas sur les murs !
Et puis pour le street art, il y a la street, parce que ne l’oublions pas, nous sommes dans le XIIIème, l’arrondissement des amoureux du street art !
Et pour ce qui concerne la FIAC au Grand Palais, dont l’inauguration a eu lieu hier, je me suis laissée dire que les toilettes avaient la côte. Et si vous voulez mon avis, trop de toilettes tue les toilettes.
Cinq S – un service de VTC pas tout à fait comme les autres
J’ai été invitée à tester un nouveau venu dans l’univers des VTC : CINQ S.
Quand on demande a la responsable marketing et communication de CINQ S ce qui les différencie des autres VTC, la réponse est multiple.
Cinq S
Tout d’abord le service : une garantie d’homogénéité systématique de l’accueil, de l’offre pendant le trajet ( ipad, wifi, musique, lecture, eau saint Georges, bonbons) J’ajouterai même un détail qui m’a marquée : à l’aller comme au retour, le conducteur avait les deux mains positionnées parfaitement symétriquement sur le volant !
Posture parfaite donc, loin des gesticulations de certains chauffeurs qui tiennent nonchalamment le volant d’une main pour vaque a d’autres occupations avec l’autre ! Revenons en donc aux atouts annoncés de CINQ S.
Une garantie de toujours disposer du même véhicule: en effet CINQ S avec son partenariat Audi dispose d’une flotte de véhicules de la marque exclusivement : aujourd’hui 50 véhicules à Paris, demain 150 et très bientôt ailleurs dans le monde.
La possibilité du paiement dans le véhicule si on le souhaite : pratique pour les touristes qui prendront ce service mis à disposition par des grands hôtels parisiens et qui pourront régler sans passer par un abonnement.
Une possibilité également de disposer de son véhicule pour la journée dans le cadre d’une folle virée shopping. La réservation à l’avance sera possible bientôt et pour l’instant l’application permet de localiser le chauffeur et de connaître le temps d’attente, qui ne peut pas dépasser 15 minutes
Des atouts qui ciblent donc principalement une clientèle haut de gamme, potentiellement étrangère.
Mais les parisiens ne sont pas en reste.
Par exemple, les véhicules CINQS acceptent les chiens et disposent dans leurs coffres d’une couverture pour protéger la propreté du véhicule : il suffit de préciser la demande dans l’application ! vous vous doutez bien que j’ai posé cette question de façon tout à fait intéressée …
Et puis il y a le tarif, et là, dans la mesure où les tarifs se maintiendront à ce qui m’a été décrit, c’est un atout majeur ! Bien sur, on imagine un coût élevé quand il s’agit d’un service de qualité. Et d’ailleurs, c’était le cas avec UBER avant qu’ils ne diversifient leur offre de types de véhicules. Mais là, je dois dire que la surprise a été de taille : Le tarif vous est annoncé à l’avance, et ne bougera pas même si les aléas du trafic parisien s’en mêlent. Et je fois dire sur le prix m’a très agréablement surprise ! 17€ pour traverser Paris , un jour de pluie, particulièrement favorable à des bouchons inattendus, c’est juste parfait ! Et j’ai pu comparer très aisément car le lendemain je faisais appel à un taxi G7 en commande immédiate ( sans frais de réservation donc) et je payais 20€ en plein jour, sous le soleil, pour un trajet équivalent en dist ce et nettement plus fluide ! Sans parler de samedi, de nouveau commande immédiate de G7, et le taxi est arrivé avec déjà 10€ au compteur…
Que dire de plus: CINQs dispose de sa propre école de formation, officiellement reconnue par l’état.
Un point que je pourrais discuter : l’usage de googlemaps pour le choix du trajet : à l’aller, cela a donné lieu à une petite visite superflue de rues minuscules de Paris qui, je pense, n’était pas indispensable !
Globalement donc, je suis tout à fait conquise, et je compte bien faire appel à eux pour voir comment ce service s’installe et se développe dans les semaines à venir.
Ce qui importera au début est la disponibilité et les délais d’attentes en commande immédiate, et bien sur les tarifs que je suivrai de près !
Voilà ; et vous, quelle est aujourd’hui votre appli préférée quand vous avez besoin d’être conduit vite et bien dans Paris ?
Le Mondial de l’automobile n’est pas à priori le lieu où je me rends habituellement. Pas de passion voiture, sauf pour la mienne, pas vraiment envie d’arpenter le parc des expositions, et je m’applique donc, année après année , à éviter ce lieu.
Et pourtant ! Il suffisait d’un nom sur une invitation, et j’ai sauté de joie à cette perspective !
De qui s’agit-il ? De Manish Arora. Voilà des années que je vous parle de lui , que je le croise et le croise encore. Toujours de merveilleuses collaborations, toujours son sourire, toujours sa joie de vivre.
Alors quand cette année on m’a proposé d’aller le rencontrer pour découvrir sa collaboration avec la marque italienne de tissus Alcantara, Manish Arora pour Alcantara, je n’ai pas hésité une seule seconde.
Et du coup, oh surprise, cela m’a permis de découvrir l’univers de l’automobile avec un autre regard ! Comme quoi, finalement, même les plus récalcitrants peuvent changer d’avis. La création de Manish Arora pour Alcantara se trouve dans le Hall 8, au nom évocateur : L’automobile & la mode !
C’est là que je l’ai rencontré, et c’est là, à l’intérieur même de sa création, que j’ai pu lui poser quelques questions, ainsi qu’à M.Boragno, le CEO d’Alcantara.
Et il a répondu avec le coeur, comme il le fait toujours !
Voilà donc leurs réponses à mes questions.
Question : « How did you meet and who agreed first to this expérience ? » M.Boragno : « We met, we talked, and it clicked. It was like for love at first sight you know «
Manish Arora : » That is what happened and what made me decide to go for it «
Question : « It is not your first collaboration out of the fashion field. Why do you choose to do those ?« Manish Arora : « I like to explore new fields, not restricting myself to fashion«
Question : « Did you ever use alcantara before in your fashion work?« Manish Arora: « No, it was my first time using alcantara. And I discovered the many ways to use it. It was an opportunity to go exploring different technics. It has endless possibilities«
Et sur ce point, le CEO d’Alcantara acquiesce !
Question : « You usually are surrounded by women so dis it change something suddenly being surrounded by men ?« C’est lui qui finit ma question, tout en mimant la conduite d’une voiture, en ponctuant sa phrase du vrombissement d’un moteur !
Manish Arora : « it did not change a thing « .
And the truth is that it shows. Joyeuse, colorée, alliant collage, brodiers et coutures, l’oeuvre de Manish Arora lui ressemble !
Question : « And here is my last question : we are here, in Paris. How important is it to both of you ? »
M.Borigno : « There are strong connection between alcantarara and design in a large range of areas and especially strong connection with cars. The mondial de l’automobile being held in Paris it was important to be here, especially in this hall dedicated to cars and fashion ! «
Manish Arora : « Being in paris is important to me; that is where I do my shows « Et il finit en affirmant : « Fashion was born in Paris«
We certainly would agree on that !
Et pour finir, une image d’une des trois robes confectionnées pour l’occasion par Manish Arora !
Comme quoi, même le Mondial de l’Automobile peut réserver des surprises inattendues !
Mondial de l’automobile 1 place de la Porte de Versailles 75015 Paris
Cristina Cordula – Styles & Allures : un livre qui parle d’elle
Tout le monde connait son rire, son célebrissime « ma chériiiie » , ses compliments en formes de magnifaiiiique.
Relooking, coach shopping, et même grande prêtresse du fait main avec sa nouvelle émission « cousu main », elle a plus d’une corde à son arc.
Après plusieurs livres pour nous aider, toutes autant que nous sommes, que nous soyons A, H, ou toutes les autres lettres de l’alphabet, à trouver le style qui nous va au mieux, elle se lance cette fois dans une aventure inédite : un livre où elle parle d’elle, de son style, de ses goûts, et nous livre un peu de sa vie.
Styles & Allures Cristina CORDULA
Un ouvrage qui nous guide au fil des pièces emblématiques d’une garde robe impeccable . Elle nous donne son éclairage, son regard, marqués par son élégance et son style unique.
Le livre est illustré de superbes photos prises dans tout Paris,par son ami brésilien qu’elle fait venir spécialement en France parce que c’est avec lui, et lui seul qu’elle voulait travailler : Vicente de Paulo.
De superbes croquis réalisés par Julien Pomer ajoutent une touche artistique à l’ouvrage.
Ce livre est donc une superbe promenade dans les rues de PARIS sur les pas de la plus parisienne des brésiliennes !
Dans les pièces classiques, vous trouverez bien sur le jean, les ballerines, ou encore la robe fourreau mais aussi le cabas, le panama ou la jupe crayon.
Mais la touche Cristina apparait quand elle nous parle de ses créoles.
Ou encore d’un élément indispensable de sa garde robe auquel nous ne penserions pas systématiquement, françaises et parisiennes que nous sommes : les tongues !
Elle nous a bien expliqué qu’au Brésil, sans tongues, on n’est rien !
Cristina Cordula – Style & Allures
Le livre sera commercialisé dès aujourd’hui aux Editions Larousse. Faites vous plaisir, offrez le, offrez le vous !
La nouvelle MINI 5 portes vient de sortir. J’ai eu la chance de pouvoir la tester dans les rues de Paris, puis d’avoir le droit à une rencontre officielle avec présentation en bonne et due forme au Mondial de l’automobile.
C’est Vincent Salimon, Directeur MINI France, qui a répondu à mes questions et m’a donné un nouvel éclairage sur l’offre MINI mais aussi sur l’esprit de cette marque, et l’enthousiasme et la fidélité de sa communauté. Et j’ai apprécié chaque instant de cette découverte !
J’ai une relation paradoxale avec ma voiture. Il s’agit en fait d’un lien quasi affectif. Le plaisir de la retrouver, l’impression d’y être chez moi. Bien sur, il faut qu’elle soit suffisamment nerveuse, au moins pour la ville, histoire que la conduite soit un vrai plaisir ! Et puis j’aime qu’elle me donne la sensation d’appartenir à une sorte de famille.
La MINI m’a toujours attirée, même si je n’en avais jamais conduit jusqu’à aujourd’hui. Sans doute parce qu’elle répond si clairement à mes critères ! Et je ne connaissais donc que la version 3 portes. Voilà donc venu le jour de la naissance de sa grande soeur, la MINI 5 portes !
Portes ouvertes, elle semble me murmurer » alors, tu viens ? » .
la MINI 5 portes
Premier constat : la nouvelle MINI 5 portes ressemble comme deux gouttes d’eau à sa petite soeur. On la reconnait immédiatement, mêmes lignes, même regard enjôleur, tout est là. Avec en plus donc deux portes à l’arrière et un habitacle spacieux et confortable.
Selon l’angle d’observation, vous la verrez qui vous lance une oeillade invitant au voyage…
Ou vous percevrez la puissance et la force dont elle est capable, et cela même sans entendre le vrombissement de son moteur.
J’ai donc découvert la MINI , mais aussi tout l’univers MINI, que je ne connaissais que de très loin.
J’ai donc pu examiner de plus près l’intérieur, les accessoires, les détails et les finitions.
Un tableau de bord digne d’un cockpit d’avion. Des cadrans aux formes arrondies, qui changent de couleur au gré de vos actions : bleu lors de l’activation de la clim, rouge en cas de freinage forcé, l’arc en ciel sous vos yeux. Les finitions sont élégantes, boutons chromés tout en rondeurs. Et ces sièges ! D’un confort rare pour une citadine. Le siège vous englobe, et une fois installée, j’étais si bien calée que j’aurais pu traverser la France sans hésitation.
En arrivant au Mondial de l’automobile, Hall 5, c’est tout l’univers MINI qui vous accueille. Dynamique, enthousiaste, riche et coloré.
On y retrouve l’ensemble de la gamme, incluant le cabriolet, mais aussi le crossover, Countryman .
Et puis il y a la découverte de toutes les dimensions de personnalisation, et elles sont bien plus nombreuses qu’on pourrait l’imaginer !
Toit et rétroviseur bien sur, avec ce nouveau modèle « So British » .
Mais aussi tant d’autres possibilités…
Jusqu’aux ouïes… Et oui !
Sans compter la couleur, que vous pourrez réinventer à l’occasion du Mondial.
Et pour compléter cette signature unique que vous donnerez à votre voiture, vous pourrez transporter cet univers même lorsque que vous la quittez, avec les accessoires MINI !
Mon préféré ? Le matelassé noir. Peut-être qu’il s’agira de mon premier pas dans cet univers… Il faut bien commencer quelque part !
Alors, pour découvrir la communauté MINI,et la MINI 5 portes, direction le Mondial de l’automobile, HALL 5 ! vous y apprendrez bien sur tout ce que je ne vous ai pas dit, c’est à dire les puissances moteur, les caractéristiques techniques, les options et les nouveautés telles que l’affichage tête haute, l’appel d’urgence automatique en cas de déclenchement d’un airbag, le téléservice avec votre concessionnaire pour les révisions indispensables.
Je tiens d’ailleurs à remercier Sébastien Forget, marketing MINI, qui m’a donné cet éclairage plus technique sur les différents modèles, toujours avec le sourire.
Et le spectacle aussi donc. D’ailleurs, on dirait qu’il était temps, si l’on en juge par tous ces privilégiés, pourtant installés en front row, mais très concentrés sur leurs portables !
Voici donc, en clin d’oeil, des images du seul défilé auquel j’ai assisté, et qui pour moi, était un superbe spectacle !
