J’attends avec impatience Monumenta, année après année. J’ai été désespérée l’an dernier quand cet événement n’a finalement pas eu lieu au Grand Palais.
Quelle joie cette année donc à la perspective de cette découverte. Pénétrer dans la nef, découvrir l’installation, la façon dont les artistes ont occupée l’espace, c’est toujours un grand moment d’émotion !
Que vous dire ? Que cette » étrange cité » ne m’a pas véritablement inspirée. Que j’en ai gardé un sentiment mitigé, une sorte d’impression d’avoir plongé, l’espace de la visite, dans les temps révolus de l’URSS où ont vécu les deux artistes à l’origine de ce projet, et dont leur esprit et leur créativité ne se sont visiblement jamais échappés.
Ils nous mènent dans un univers qui serait un mélange de la cité telle qu’ils l’ont connue, avec des vestiges palpables de la vie d’avant, et de la ville du futur, qui n’est qu’une prolongation linéaire de leur passé. Pas de rupture, pas de saut dans l’imagination.
Cette cité circulaire sorte de labyrinthe duquel on ne s’échappe que par d’étroites ouvertures, donne l’impression que ses créateurs en sont prisonniers jusqu’à la fin des temps.
Monumenta 2014
Ilya et Emilia Kabakov
jusqu’au 22 juin 2014
Grand Palais Paris avenue Winston Churchill, Paris 8ème
Tiffany&Co m’a toujours fait rêver. J’attendais avec impatience que cette merveilleuse marque s’installe à Paris.
Et je vais pouvoir rêver encore et toujours, mais en restant à Paris, sans avoir à prendre un long courrier pour aller à New York sur la 5ème avenue !
Le flagship parisien de Tiffany&Co a donc ouvert officiellement ses portes. Une façade imposante, il se déploie sur 3 étages, avec un splendide escalier qui s’enroule autour d’une suspension majestueuse en cristal.
Le décor est donc posé !
Dans ce flagship, vous accéderez au rêve, ou vous vous contentera de rêver, mais en étant toujours accueillis avec courtoisie et avec le sourire.
Au rez de chaussée, vous trouverez quelques pièces emblématiques, et la dernière collection ATLAS.
Montez au premier étage et c’est là que s’offrent à vous des vitrines qui présentent la pièce emblématique de Tiffany&Co : la bague de fiançailles, et plus précisément,toutes les déclinaisons de solitaire dont vous pouvez rêver !
La plus célèbre d’entre toutes, celle créée en 1886 par Charles Lewis Tiffany, est la Tiffany setting. On l’appelle aussi » the ring of ring » !
Je peux vous dire qu’il ne faut pas sous estimer les effets secondaires de la présence de ce genre de merveille à votre annulaire… Envie de chanter, bonne humeur irrépressible, attirance vers les miroirs, besoin immédiat d’agiter frénétiquement sa main !
Et pour les différents modèles et tailles présentés, en voici un échantillon.
Dans cette somptueuse boutique, vous pourrez aussi vous offrir les grands classiques de Tiffany&Co, mais cette fois, des pièces bien plus abordables !
Je ne sais pas vous, mais personnellement, j’aime beaucoup ces clés. Et pourquoi ne pas en avoir plusieurs sur une longue chaine ?
Ou encore, les iconiques charms de Tiffany&Co. tant de fois copiés, imités, mais jamais égalés !
J’ai toujours été fascinée par ce concept : un bracelet, que l’on offre dès le plus jeune âge, et sur lequel viennent s’ajouter, année après année, ces petites breloques qui symbolisent chacune un évènement clé de la vie ! J’aurais adoré en avoir un, ou en offrir un, mais là, il va falloir que je me dépêche !
Et puis il y a aussi ces banales que j’accumulerais volontiers à mon bras.
Mais revenons en à la dimension exceptionnelle de ce nouveau flagship parisien . Vous pourrez y admirer jusqu’à la mi-juillet le Tiffany Diamond, 128,54 carats, monté sur un collier de diamants blancs de plus de 100 carats au total. Le diamant, qui avait été acheté par le fondateur de Tiffany en 1878, est l’une des pierres précieuses les plus mythiques au monde.
Extrêmement rare et précieux, il l’est d’autant plus qu’il n’a été porté que deux fois, dont une par la somptueuse Audrey Hepburn !
Alors n’hésitez pas un instant, et allez découvrir e qui est en passe de devenir un incontournable de Paris !
Et vous, est-ce que la seule perspective de recevoir cette merveilleuse petite boite bleue vous met dans tous vos états ?
Tiffany&Co, 62 avenue des Champs Elysées, 75008 PARIS
Bien sur il y a le SPA. Un lieu unique, que j’ai découvert sans jamais vous en parler, mais que je vous recommande !
Un cadre extraordinaire et apaisant, et des soins clarains qui vous garantissent une pause bien être et détente.
Et puis, maintenant que l’été est arrivé, parlons de choses sérieuses, il y a les coupes glacées de Pierre Hermé ! Vous pourrez déguster ces nouvelles créations tranquillement, sur la terrasse, au calme et au soleil.
coupe glacée Pierre Hermé
Avant même de savourer, il y a l’expérience unique du choix. Un disque, qui vous permet de découvrir pour chacune des créations leur composition ! Vous découvrirez donc quels ingrédients vous allez déguster, ce qui vous aidera à savourer !
choix de coupe glacée
En ce qui me concerne, j’ai opté pour la version » tout café » , et je me suis régalée ! Comme l’a dit Pierre Hermé, que j’ai eu la chance de rencontrer à cette occasion, c’est ce que l’on peut qualifier de « dessert gourmand » ! Je ne l’aurais pas mieux dit ! Un dessert 100% café ! Grains de café, glace café, et un expresso pour accueillir toutes ces variantes.
Pour les amoureux du célebrissime Ispahan, il a bien sur été décliné pour vous dans sa forme estivale !
Si vous passez dans les jours qui viennent devant le 68 Avenue des Champs Elysées, vous assisterez avec étonnement à un phénomène étrange .
Tout d’abord, vous constaterez un attroupement de personnes plantées là. De loin, vous ne comprendrez pas la raison de cet intérêt. Plus vous approcherez, plus votre curiosité sera attisée. Et soudain, vous vous rendrez compte que vous aussi, vous devez vous arrêter.
Et non seulement vous arrêter, mais aussi dégainer le plus rapidement possible votre smartphone.
Et voilà ce que vous allez découvrir …
En effet, dans son nouveau lieu parisien, réouvert depuis novembre dernier, Guerlain profite de la fête des mères pour célébrer les mamans et le printemps à tous les étages.
La rose est à l’honneur, et devient même éternelle !
Cette fleur délicate, hommage à la femme qui compte le plus pour nous tous, est déclinée partout et sous toutes ses formes.
Vous pourrez composer vous même votre coffret cadeau ou encore vous inspirer des suggestions de la maison.
Les vendredi vous pourrez faire orner votre coffret par un mot de votre choix qu’une calligraphe réaliser sur place pour vous.
Quand au samedi c’est une spécialiste de la gravure qui gravera le parfum ou encore l’objet maquillage que vous aurez choisi.
Le restaurant se met lui aussi a l’heure de la fête des mères puisqu’un menu spécial sera servi des la semaine prochaine , qui se clôturera sur un macaron à la rose et son cœur fondant à la framboise.
Voilà, vous savez tout !
Allez-y, même si ce n’est que pour admirer cette profusion florale qui a envahi les lieux . Et n’oubliez pas, c’est également ouvert le dimanche !
C’était donc une nouvelle idée pour la fête des mères ! Guerlain 68 Avenue des Champs-Élysées, 75008 Paris
Le palace de l’avenue Hoche propose un brunch branché et décalé : le brunch du samedi !
Alors je l’ai testé pour vous, et je vous dis tout.
Arriver au Royal Monceau est toujours un plaisir . Cette perspective unique sur l’Arc de Triomphe qui se dresse au loin, impossible de s’en lasser !
Royal Monceau
Puis c’est vers le restaurant étoilé La Cuisine que vous vous dirigerez pour déguster votre brunch.
Une formule buffet conviviale, agrémentée d’un choix de plats qui vous seront servis à table à la demande : pâtes maison, et oeufs à la façon de votre choix – au plat, brouillées, …
Revenons-en au buffet : difficile de rester concentré tant la tentation est partout ! Salé comme sucré, des mets plus colorés et appétissants les uns que les autres sont là et n’attendent que vous. Bon, d’accord, je l’avoue, c’est naturellement vers le sucré que je me suis naturellement dirigée …
Revenons en au salé donc … Produits de saison, telles ces asperges savoureuses et cuites à la perfection.
Saveurs du monde entier si l’envie vous vient de voyager, et le chef qui vous attendant pour préparer les pâtes que vous choisirez et qui vous seront servies à table.
J’ai tout particulièrement apprécié les crustacés, et j’avoue ne pas avoir pu résister à me resservir …
Une variété qui permettra de satisfaire les plus difficiles d’entre nous, un buffet qui est réapprovisionné comme par enchantement, un plaisir pour les yeux et pour les papilles.
Non seulement vous allez vous régaler, mais vos enfants vont s’amuser ! En effet, le Royal Monceau propose pour vos enfants à partir de 5 ans des ateliers artistiques et culinaires gratuits ! Je les ai vus, coiffés de leur toque de chef, ils étaient fiers comme des paons !
Alors pour une belle occasion, pour se retrouver en couple, pour partager un moment exceptionnel, un brunch du samedi, voilà une idée unique et originale !
Le Grand Palais accueille actuellement trois expositions. Point commun : l’homme au coeur de l’histoire.
Je ne vous parlerai pas ici de Bill Viola n’ayant pas encore eu l’occasion de découvrir son oeuvre, mais je me concentrerai pour ces deux expositions découvertes à une semaine d’intervalle.
Commençons donc par l’empereur : Octave, mieux connu sous le nom d’Auguste, mais nous y reviendrons !
Dans cette rétrospective, vous découvrirez les manoeuvres politiciennes d’Auguste, qui n’hésite pas à faire massacrer ceux avec qui il était allié. Vous prendrez la mesure de son égo.
Et vous découvrirez aussi ses réalisations architecturales, et ce dans l’ensemble de l’empire romain.
Résumé bien rapide me direz-vous ?! Oui, effectivement ! J’ai été très déçue par cette exposition. Et je vais vous dire pourquoi ! A priori, l’approche est prometteuse : regardez ce magnifique décor qui bouleverse la façade de notre Grand Palais !
Une fois que l’on rentre dans l’exposition, le dispositif digital est mis en avant :
Et quid de la suite ?
Une exposition qui, pour l’occasion, affiche un mur de tweets, et donne la parole à son empereur sur Twitter (suivez le compte @Auguste_de_rome) , et ça s’arrête là ?! A l’époque de la réalité augmentée, des imprimantes 3D et j’en passe, j’attendais d’être transportée à l’époque de cet empereur bâtisseur, j’espérais visiter avec lui arènes et théâtre, mais rien de tout ça !
Des salles presque vides, De tristes écrans sur lesquels tournent en boucle quelques images censées nous montrer … Je ne sais plus quoi d’ailleurs tant l’ennui m’avait envahie quand j’en suis arrivée là !
En résumé, vous l’aurez compris, je n’ai été pas été conquise …
Deuxième exposition avec l’homme au coeur de l’histoire : Robert Mapplethorpe !
Et quand je dis que l’homme est au coeur de l’histoire, c’est un euphémisme ! Nus en tous genres, salle interdite aux moins de 18 ans qui glorifie, montre, explore le corps de l’homme !
Robert Mapplethorpe est un artiste obsédé par une quête esthétique de la perfection. Et ses sujets de prédilection sont, et je le cite: les portraits, le fleurs, les bites ….
« I am looking for perfection in form. I do that with portraits. I do it with cocks. I Do it with flowers »
Et là, vous l’aurez compris, il m’a lui aussi perdue en route … Cette exposition nous révèle-t-elle son amour du corps, ou son amour pour lui-même ? On l’entend s’écouter parler, on lit ses citations sur tous les pans de murs disponibles pour les accueillir.
Il y a, c’est vrai, de très beaux portraits, et un mur entier leur est consacre. Et puis il y a cette muse, Patti Smith, qui était d’ailleurs présente pour l’occasion ..
Je n’en dirai pas plus, et je vous laisse juge en vous invitant surtout à ne pas hésiter à partager ici vos opinions sur ces deux expositions.
Grand Palais
3 Avenue du Général Eisenhower, 75008 Paris 01 44 13 17 17
La rue Royale, vous voyez ? Une artère hors du commun, qui relie la place de la Concorde et la Madeleine.
Auriez vous imaginé pouvoir aller faire du shopping dans ce cadre extraordinaire ? Et bien c’est possible, grâce à la maison Arthus Bertrand.
J’avais découvert, ou redécouvert la marque cet hiver et j’avoue avoir été bluffée. Une marque historique, qui propose des bijoux modernes, et toujours une proposition pour tous les moments de bonheur de la vie ! J’adhère.
Il y a donc les lignes qui existaient et qui ont été revues, et les nouveautés.
Des pièces de joaillerie, des médailles pour la naissances, des petits bijoux en or fins et fleuris pour jeunes filles qui fêtent leur anniversaire, des sautoirs réinventés qui reboostent la perle que vous ne verrez plus comme le bijou de votre grand mère mais que vous rêverez de passer autour de votre cou. Et puis un grand choix de lignes en argent, modernes, faciles à porter au quotidien, parce qu’un bijou, ça fait toujours du bien; enfin, c’est mon avis en tous cas !
Commençons par les lignes classiques, que je ne me lasse pas d’apprécier, de saison en saison, comme par exemple la ligne Ondes.
Ce bracelet triple tour en cuir est le bracelet qui ne vous quittera plus. Elégant, de circonstance pour tous les jours ou encore en soirée, il correspond à toutes les occasions de la vie. Et la couleur me direz vous ? Et bien justement, c’est là que réside le secret de ce bijou : vous pouvez changer la lanière de cuir au gré de vos envies. Nouvelles couleurs, autre matière, il est décliné dans un si grand choix de possibilité que vous trouverez forcément celui qui correspond à votre envie du moment. Estival aux couleurs joyeuses, plus discret pour un rendu plus subtil, tout y est ! Alors, je vous ai convaincues ?
Cette année, le cheval est à l’honneur avec cette superbe collection au design stylisé. La manchette, argent et laiton, est orné d’un petit anneau qui vous permettra toutes les personnalisations possibles : petits rubans, tresses de tissus, vous pourrez y accrocher ce qui vous plait quand cela vous plait !
Et puis une ligne de petit bijoux égayés d’un diamant discret, très féminin dans sa version tout or : la collection « ligne Royale ».
Ou dans sa version unisexe, que l’on partagera, ou volera, à sa moitié masculine !
Dans la féminité ultime, les perles . On retrouve le pendentif « abeille », que l’on avait découvert lors de la saison précédente, et qui se réinvente ici.
Et puis bracelet, bague et sautoir, décliné en 1 mètre, 1.2 ou encore 2 m !
Et puis il y a le bijou estival, celui qui est redécliné de saison en saison : la ligne pépites.
Pour finir, sachez que les Triplés fêtent leur 50 ans et qu’à cette occasion, une ligne de médailles ludiques et modernes a été créée en partenariats avec Arthus Bertrand .
Je vous ai affirmé que les bijoux ici étaient abordables : en voici la démonstration .
Le premier prix en bijou argent est de 50€ pour un bracelet lien avec accroche « sphère ».
Dans la ligne Onde, le prix du petit bracelet tout argent est de 135€. Vous trouverez aussi des bagues jonc en argent à partir de 90€.
La fête des mères approche, que diriez vous de faire un petit tour chez Arthus Bertrand ?!
Quand vous entendez Sofitel, qu’est ce que cela vous inspire ? En ce qui me concerne, la première image qui me venait à l’esprit était un lit si moelleux, si accueillant qu’il me donnait l’impression de me coucher sur un nuage !
Mais je vous en reparlerai plus bas !
J’ai donc eu la chance de pouvoir découvrir le Sofitel Arc de Triomphe, un des 4 hôtels Sofitel de Paris, celui qui s’est refait une beauté récemment.
C’est par le restaurant L’initial qu’a commencé la visite. Un restaurant agréable, où l’accueil est sincèrement chaleureux et l’atmosphère paisible, idéale pour une pause déjeuner à quelques pas de la frénésie des Champs Elysées.
Commencer par le restaurant s’est avéré être le parfait choix quand j’ai compris que les valeurs clé des hôtels Sofitel étaient la gastronomie, le design et la culture !
restaurant l’initial
Au restaurant donc, tout est simple, au sens le plus noble du terme. On y mange bien, le menu est varié, et change avec les saisons. Les produits sont savoureux, et le prix tout à fait abordable.
menu Initial
Le chef, Thomas Bruno, passe entre les tables pour s’enquérir de chaque convive, avec le sourire et très visiblement à l’écoute de chaque remarque, chaque compliment, chaque question.
Le service est souriant, chaleureux. Bref, je m’y suis sentie bien ! Et n’oublions pas que je me suis régalée !
Ile flottante
La décoration du restaurant, comme celle de l’ensemble de l’hôtel, est signée Andrée Putman. Sa signature est partout, jusqu’à chaque détail des chambres. Une empreinte qui, dans le restaurant, se traduit entre autre par ces mosaïques de clichés, souvenirs familiaux, en hommage à l’artiste disparue mais dont la fille a repris la succession avec brio.
Une fois le déjeuner terminé, je suis partie à la découverte de l’hôtel.
Tout d’abord, le bar. Il s’agit du bar Da rosa.
De qui s’agit-il ? José Da Rosa est depuis toujours un passionné de beaux produits terroir. Déjà bien implanté à Paris, il crée ici un bar qui côtoie une épicerie-cantine où l’on peut se restaurer sur le pouce tout au long de la journée, mais aussi prendre le thé, et même acheter pour emporter chez soi quelques unes des pâtisseries signature de Paris ! Oui, oui, comme par exemple le fameux Mont Blanc d’Angelina, ou encore la tarte citron de Carl Marletti. Pas besoin de courir tout Paris, tout est ici !
Mont blanc Angelina
Y compris la religieuse signature qui change tous les mois pour le plaisir des gourmands !
Nous avons parlé restauration sous toutes ses formes, venons en maintenant au coeur de la maison, enfin de l’hôtel : les chambres !
Et au coeur des chambres, le lit ! Ce lit signature des hôtels Sofitel dans le monde, ce lit dans lequelon se blottit avec volupté, ce lit qui invite à la détente et au bien être : le célebrissime « My Bed » !
Vous le voyez ce lit, il a l’air si confortable ! Et bien sachez que celui ci n’est même pas aménagé dans la version optimale du « My Bed » ! En effet, il lui manque des éléments clé tels que le sur matelas et la sur couette. Pourquoi me direz-vous ? Parce que le client est roi, et que dans ce cas précis, le client avait spécifié qu’il souhaitait une version aménagée . Dommage pour les photos !
Alors je ne peux résister à vous livrer quand même une photo du » My Bed » dans sa configuration complète, pour le plaisir !
My Bed Sofitel
Revenons en aux chambres donc. Ce qui domine, c’est la dimension paisible et apaisante. Rien de superflu, une décoration sobre et discrète. Un canapé vous tend les bras, pour une lecture relaxante après des heures de découverte de la ville, voire même une petite sieste avant de démarrer la soirée.
Et si vous preniez un bain dans cette salle de bain qui vous appelle ? Si vraiment vous rêvez de vous relaxer, un service assez unique est à votre disposition : on vous fait couler un bain, à l’heure de votre souhait, pour qu’il soit là, près pour vous dès votre retour !
Enfin, si l’envie vous prend d’un café ou même d’un thé de qualité, tout est là, à votre disposition.
En fait, comme elle le dit si bien, » Au final tout se résume à une idée très simple : l’harmonie » !
Voilà, la visite arrive à sa fin. Mais elle ne serait pas complète sans évoquer l’importance que les hôtels Sofitel accordent à l’art au sein de leur établissement.
Pour le Sofitel Arc de Triomphe, cela se traduit entre autre par des partenariats, issus de belles rencontres.
Une rencontre avec Serge Bensimon et son univers So Home. Plutôt que de revenir avec les sempiternels souvenirs que l’on trouve dans toutes les boutiques à touristes de la ville, l’espace boutique vous réserve des objets uniques et qui remporteront forcément un grand succès !
Mais cette collaboration ne s’arrête pas là ! Parce que Serge Bensimon, avec sa libraire spécialisée en design et beaux livres, Artazart, habille également de superbes ouvrages les rayonnages du Salon de l’hôtel où sont régulièrement organisées des séances de dédicaces avec les auteurs.
Vous l’aurez compris, j’ai découvert tous les univers des hôtels Sofitel, et la découverte a été pleine de bonnes surprises. De plus, très bientôt l’hôtel proposera également un brunch que j’ai hâte de déguster, sans parler du salon de thé, le premier qui proposera exclusivement la ligne de thés Da rosa !
Plein d’occasions de revenir, et donc une très bonne nouvelle !
Si je vous dis Courrèges, qu’est ce qui vous vient immédiatement à l’esprit ?
La robe trapèze ? Les bottines plates et blanches ?
L’indémodable cabas rectangulaire dessiné par André Courrèges en 1972 et réédité pour notre plaisir à toutes ?
Ou encore est-ce cette omniprésence du blanc dans toutes les collections, qu’il s’agisse du printemps, de l »été, de l’automne ou de l’hiver ? Et puis il y a bien sur cette mini jupe unique et reconnaissable entre toutes !
Courrèges, c’est l’histoire d’une maison qui a appartenu à ses fondateurs, André et Coqueline Courrèges, tout au long de son existence, même si la société a été rachetée, puis revendue.
C’est en 2011 que ma maison est vendue par Coqueline à deux jeunes directeurs d’une agence de publicité : Jacques Bungert et Frédéric Torloting.
Ils vont redonner vie à cette marque longtemps endormie mais dont la signature est si unique qu’elle est restée reconnaissable entre mille. Alors à nous blousons en vinyle, robes trapèzes et bottes dignes de Madame Peel !
Il y a donc la boutique, immaculée, chaque touche de couleur explosant pour le plaisir de nos yeux, et puis il y a le Café Blanc, créé par la fille de Coqueline Courrèges ! Une vraie affaire de famille .
Dans ce café, vous pourrez déguster des produits préparés par les équipes d’Alain Ducasse. des plats simples, dans un décor immaculé aux quelques touches colorées. Comme par exemple la boite qui abrite ce superbe gâteau nuage !
Alors, si vous voulez vous plonger dans l’univers Courèges, et déguster un gâteau qui vous donne bonne conscience, c’est l’adresse qu’il vous faut !
Ce blog m’a permis au fil des années des rencontres et des expériences uniques. Je vous en ai parlé, souvent au début, puis de façon plus espacée. Et puis au fil du temps, je pourrais presque dire que j’ai fini par m’habituer à l’exceptionnel .
Mais heureusement, à chaque fois que j’oublie de m’enthousiasmer sur ce qu’il m’arrive, jour après jour, un évènement se produit qui me replonge dans l’émotion, comme au premier jour !
Je vais vous raconter une belle histoire. Il y a quelques mois, j’ai eu la chance d’assister à l’inauguration du 68 avenue des Champs Elysées, autrement dit, l’adresse de Guerlain.
Un lieu historique, qui a repris vie grâce à de grands travaux de rénovation de modernisation ,toujours dans l’esprit de cette si jolie marque symbole de l’élégance à la française.
Bien sur, durant cette soirée, j’ai photographié, encore et encore, comme à mon habitude.`
Et, quelques semaines après cet évènement, j’ai reçu un mail de Monika. Mais qui est-elle ? C’est l’artiste qui a créé tous les vases qui décorent le lieu , ces vases chargés de roses poudrées qui ornaient avec tant d’élégance les accès au SPA.
Monika me disait dans son mail qu’elle avait tant aimé mes photos qu’elle souhaitait les réutiliser, et elle me demandait mon autorisation pour le faire !
Vous qui, comme moi, avez lu tant et tant de fois sur ces cas de plagiat, de détournement de contenus, tout ce qui laisse penser que la blogosphère et Internet ne peuvent qu’entrainer des comportements incorrects et déloyaux, auriez vous pu imaginer qu’une telle gentillesse puisse être possible ?!
Quand, de surcroit, elle me disait que pour me remercier elle tenait absolument à m’offrir un vase ! Oui, oui, un vase, pour me remercier de l’autoriser à utiliser une ou deux photos que j’avais déjà eu tant de plaisir à prendre !
Voilà donc, la belle histoire que je voulais partager avec vous. Cette démonstration que, comme partout ailleurs, on peut être confronté au pire comme au meilleur, et que cette histoire illustre le meilleur !
Merci encore à Monika pour cette émotion et ce si joli cadeau !
Et surtout, pensez à aller découvrir le 68 Guerlain, ne serait-ce que pour admirer ces merveilles !