Brasserie du Printemps – menu de Noël

La brasserie du Printemps – là où ne l’attendait pas

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La brasserie du Printemps se niche dans les hauteurs du grand magasin, au 6éme étage. Pour y accéder, ascenseur ou volée d’escaliers mécanique, et dès l’arrivée, c’est la première surprise : une coupole spectaculaire, aux multiples vitraux qui la font vibrer en couleurs au gré des rayons du soleil.

Coupole Brasserie Printemps
Coupole Brasserie Printemps

Qui aurait pu imaginer que dans ce temple du shopping parisien résolument tourné vers une clientèle de riches touriste se trouverait une superbe brasserie, spacieuse et lumineuse, prête à accueillir les parisiens de 09h30 à 19h30.

La brasserie du Printemps est multiforme.

Elle propose un large éventail d’espace aux atmosphères très divers.

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Le bar circulaire central pour commencer : que vous soyez seul sans envie de vous attabler entre les couples et les groupes, ou simplement pour le plaisir de pouvoir lever les yeux et avoir cette sensation que la coupole vous a englouti et n’est là que pour vous.

En deuxième cercle, des tables aux chaises bistro version Stark face à des banquettes plus classiques.

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Brasserie du Printemps

Et puis tout le long des parois, des canapés moelleux aux coussins rouges chaleureux et accueillants.

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Banquettes douillettes

Et c’est sans parler de l’espace aux grands fauteuils de cuir qui permet de prendre un café à toute heure de la journée, et ce même quand le déjeuner est servi au centre.

Enfin, des petits salons privatisables, avec une vue imprenable sur le Sacré Coeur.

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On croise ici d’élégantes habituées qui viennent entre amies prendre une coupe de champagne et un bon déjeuner dans un lieu familier, des groupes de personnes en formation devisant sur ce qu’ils ont appris le matin même, ou encore des hommes d’affaire bien renseignés qui connaissent l’existence encore trop méconnue de ce restaurant.

La surprise esthétique étant passée, venons en à la carte.

A la brasserie du Printemps vous pourrez déjeuner, prendre un café, mais aussi un goûter, ou un jus de fruits, sans oublier un snack rapide.

La carte est variée, les mets présentés avec élégance dans l’assiette.

Et, en cette période d’approche des fêtes de fin d’année, la brasserie du Printemps accueille une hôte de choix puisqu’il s’agit de Virginie Basselot, la chef étoilée du Saint James.

Pour mieux comprendre cette jolie collaboration, il faut savoir que les deux établissements, le Saint James Paris et la brasserie du Printemps, appartiennent au même groupe , le groupe Bertrand.

Tout prend alors tout son sens et on ne peut alors que se féliciter de cette occasion assez unique de déguster un déjeuner concocté par une chef étoilée pour un tarif tout à fait convenable : 44 € pour la formule entrée-plat ou plat-dessert, et 54€ pour la totale ! en sachant que les deux formules comprennent une coupe de champagne .

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Le Noël en or de Virginie Basselot

Le menu plonge immédiatement dans l’ambiance des fêtes : royale de foie gras et suprême de pintade farci en sont les éléments clé, sans oublier le dessert aux notes d’agrumes pour finir en légèreté.

Royale de Foie Gras
Royale de Foie Gras
Suprême de pintade farci
Suprême de pintade farci
Moelleux à l'orange
Moelleux à l’orange

Ce menu est proposé jusqu’à la fin du mois de décembre. L’occasion de faire d’une pierre deux coups : vous régaler, et découvrir, ou redécouvrir la superbe coupole historique du Printemps Haussmann

Printemps Mode Haussmann 64, bd Haussmann 75009 Paris

01 42 82 58 84

Un conte de Noël au Printemps

Cette année, les vitrines de Noël vont à nouveau nous faire rêver au Printemps Haussmann.

Et oui, je peux le dire, Noël reprend ses droits et les vitrines tant attendues par les petites et par les grands vont nous conter Noël au Printemps.

crédit © Laurent Sanguinetti pour le Printemp
crédit © Laurent Sanguinetti pour le Printemps

Pour nous accompagner dans ce conte magique, des fées, de jolie créatures qui guideront le visiteur dans la féérie de cette histoire.

La fée Printemps donnera le ton, et illuminera la coupole et les vitrines.

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D’autres fées l’accompagneront et feront, j’en suis sure, briller les yeux des passants.

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Elles seront plusieurs, mais c’est celle qui m’a conquise est rose, aérienne, scintillante : c’est la femme fleur de Lancôme !

Pour les femmes fatales, nous aurons la fée Louboutin….

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crédit © Laurent Sanguinetti pour le Printemps pour les 3 visuels ci dessus

Et nombre d’autres créateurs ont laissé libre cours à leur imagination pour participer à ce conte merveilleux.

Alors je ne sais pas pour vous, mais j’attends avec impatience que ces vitrines soient dévoilées ! En attendant, continuons à rêver de ce conte de Noël au Printemps !

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Printemps Haussmann 64, bd Haussmann; 75009 Paris

La collection EYEYE de Italia Independent

EYEYE est aux Galeries Lafayette
Cela ne vous aura pas échappé, le soleil commence à pointer son nez. C’est donc le moment de s’offrir de nouvelles lunettes de soleil.
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Vous aimez la couleur ? Vous êtes fascinés par l’inventivité italienne pour ce qui concerne la mode ? Vous cherchez des lunettes non conventionnelles, de celles que vous ne croiserez pas à tous les coins de rue ?
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La collection EYEYE par Italia Independent est ce que vous cherchez. Et pour la trouver, il vous suffit de vous rendre aux Galeries Lafayette.
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Italia Independent est une marque trop méconnue encore en France. Mais rassurons nous, elle arrive. On trouve déjà leurs modèles au Motor Village du Rond Point des Champs Elysées : et pour cause : le créateur de la marque est Lapo Elkann, le petit-fils de Giovanni Agnelli – fondateur, entre autres, de la marque Fiat – qui a d’abord  marqué l’industrie automobile, en relançant notamment la Fiat 500 !
Eyeye donc : des lunettes techniques et « cool », trendy et contemporaine.
De la couleur, en impression numérique, pour des imprimés comme vous n’en avez jamais vus. Plus de 400 références, pour hommes et pour femmes ! Et puis un élément majeur : le prix. 79€ quelque soit le modèle, la forme, la couleur. 
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 Si vous êtes plutôt du style indécis, préparez vous à passer quelques heures avant de faire votre choix ! Mais surtout, amusez vous à les essayer, toutes, les polarisées, les dégradées, les unies et celles aux multiples imprimés ! Nous nous sommes bien amusées !
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Et vive l’été !
Eyeye aux Galeries Lafayette Haussmann 
du 1er au 23 juin au rez de chaussée du magasin
40 Boulevard Haussmann, 75009 Paris

 

 

Sept Cinq concept store

« sept cinq » est un concept store qui met à l’honneur l’artisanat et la créativité parisienne.

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Deux étudiants d’une école de commerce qui décident de se lancer dans l’aventure et de chercher les talents parisiens pour les faire  connaitre. Une initiative qui ne peut que me séduire.

C’est par hasard, au détour d’un rendez vous, que j’ai découvert cet endroit qui gagne à être connu. Une vue d’ensemble, puis petit à petit mon oeil s’attarde, et je vais de découverte en coup de coeur !

Si je ne devais en citer qu’une, ce serait elle : ce joli bracelet dont le nom commence à raconter l’histoire… I loved Paris !

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Pourquoi ce passé ? Simplement parce que la créatrice japonaise, qui vit en France depuis dix ans, est arrivée pour suivre l’amour de sa vie, et il lui a brisé le coeur ! Comme cette Tour Eiffel ! Mais rassurez vous, elle est toujours là, et elle va bien, très bien !

Chez Sept Cinq, j’ai également eu un coup de coeur pour ces superbes sacs, entièrement faits main, et en éditions systématiquement limitées. Idéal pour la fashionistas qui ne souhaite pas voir son sac au bras de dix autres modeuses !

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Pour tout dire, j’adorerais visiter son atelier : un loft avec vue !

Il y a des sacs, des foulards, et puis aussi des bijoux. Des joncs que l’on peut empiler à son poignet.

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Des bagues et bracelets rigides.

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Et puis, il y a des chaussettes ! Et oui, et pourtant, pour tout vous dire, les chaussettes, ce n’est pas forcément qe qui me fait rêver… Mais là, j’avoue, j’ai craqué ! Jugez par vous même !

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Alors, vous en dites quoi ? Et il y a aussi celles pour filles !

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Et puis, quand vous aurez fait votre shopping, il vous suffira de vous assoir tranquillement pour prendre un petit thé ou un bon jus de fruits frais.

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Voilà, un dernier petit coup d’oeil circulaire, et vous savez tout !

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Sept Cinq 54 rue notre Dame de Lorette 75009 PARIS

09 83 55 05 95

Fragonard – année capitale

Fragonard – un parfum de soleil

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L’évocation de la marque Fragonard propulse naturellement dans un univers ensoleillé, aux parfums de Provence.

En découvrant la nouvelle boutique qui vient à peine d’ouvrir à Paris, à deux pas de l’Opéra et des grands magasins, j’ai découvert qu’il s’agissait de cela, et de bien plus encore.

Fragonard, c’est une histoire de famille qui commence à Grasse en 1926. Cette année sera « CAPITALE » pour la marque puisque, au delà des superbes boutiques qui ouvriront à Cannes, Marseille c’est à Paris qu’aura lieu l’évènement le plus marquant. En effet, il y a tout d’abord l’ouverture de cette nouvelle boutique, puis, en juin 2015, un musée nouvelle génération, mettant en avant les savoir-faire unique de la marque, tous les  savoir-faire !

 Fragonard donc, ce sont les parfums, les savons, les bougies. toujours superbes, avec cette année une année « jasmin ».

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Les bougies sont tout particulièrement spectaculaires, avec une présentation qui donne envie de les collectionner toutes !

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Mais certaines savonnettes ont un charme indéniable.

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Mais Fragonard, c’est bien plus que tout cela, une véritable marque dédiée à l’art de vivre, et c’est ce que j’ai découvert lors de la visite de la boutique de la rue Boudreau.

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Mobilier, vêtements, linge de table. Des couleurs, des textures et des motifs qui font voyager.

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Ces motifs me projètent directement dans des images de plages, d’eaux turquoises et de moments uniques.

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Et la plus grande surprise provient de la gamme si large de tuniques, robes, kurtas ou encore caftans. Légères, colorées, et très abordables puisque les prix commencent à 60€. Idéales pour l’été, je pense que nous allons toutes craquer.

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Et vous trouverez même les colliers indispensables à compléter votre look.

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Alors un petit tour du côté de chez Fragonard ?

Fragonard

5 rue Boudreau 75009 PARIS

A la mère de Famille – chocolatier confiseur

A la Mère de Famille

Temple de la gourmandise.

A la Mère de Famille
A la Mère de Famille

Je préfère vous avertir tout de suite : si vous êtes gourmand, si vous ne pouvez pas résister à un praliné fait à l’ancienne, ou encore à des calissons confectionnés dans les règles de l’art dans leur région d’origine, fuyez ! Je répète, ne lisez pas cet article !

Boutique historique A La Mère de Famille
Boutique historique A La Mère de Famille

Si vous êtes encore là, vous êtes prêts psychologiquement à découvrir ce chocolatier confiseur parisien historique : A la mère de famille.

De multiples boutiques dans Paris, mais la plus emblématique de toutes se trouve rue du Faubourg Montmartre.

Un décor qui n’a pas bougé, qui lui donne ce petit côté suranné qui nous plonge dans des souvenirs d’enfance, qu’ils soient les notre, ou ceux véhiculés par les livres que nous avons lus, les films que nous avons vus.

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Une mosaïque usée par le pas de ces générations de gourmands qui se sont offert, de grand mère en petite fille, ces délices gourmands. Le mobilier aussi, tel qu’on l’imagine dans une confiserie du siècle dernier.

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C’est là que j’ai rencontré Julien Merceron, le chef depuis 6 ans.

Julien Merceron
Julien Merceron

La mère de Famille lui offre un terrain de liberté extraordinaire.

Dans l’univers du chocolat bien sur. Ce chocolat, qui est intégralement fabriqué dans les ateliers de la maison, à partir du cacao directement acheté chez les producteurs même.

Mais aussi  sur le terrain des cakes, friandises, sculptures sur chocolat, macarons à l’ancienne, ou encore glaces aux parfums déclinés des spécialités de la maison, Julien sait tout faire, et a intégré tous les savoir faire de cette belle maison.

Et il les a intégrés à ces nouvelles créations récentes que sont, par exemple, les désormais incontournables palets de Montmartre, passablement addictifs, parfaits pour une séance grignotage de milieu de journée, ou encore pour accompagner un café ou un thé. 

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Ou encore les macarons à l’ancienne. Bien loin de la palette multicolore que nous sommes habitués à voir dans les pâtisseries spécialisées. Là, des teintes naturelles, un biscuit légèrement et naturellement craquelé, et de la poudre d’amande, ou de pistache , ou encore de noisette, dans la composition même de la pâte du biscuit.

Et puis il y a les glaces. Des parfums inspirés des spécialités de la maison, comme les Folies de l’écureuil. Comment, je ne vous en ai pas encore parlé ?! Et pourtant, je peux vous garantir que je les ai goûtés, et re goûtés, et encore goûtés ! Des fruits secs caramélisés, recouvert d’une pellicule de chocolat … A ne plus jamais s’arrêter !

Folies de l'écureuil
Folies de l’écureuil

Une grande spécialité de la maison : le praliné. Une recette « à l’ancienne », qui donne un résultat assez unique en son genre . Cuit à l’ancienne dans de grosses cuves en cuivre, des amandes broyées entre de gros rouleaux de pierre, le résultat final est d’une finesse absolue au goût, doublé d’une texture légèrement craquante et croquante… 

Coffrets de pralinés et autres gourmandises
Coffrets de pralinés et autres gourmandises

Je ne vous parlerai pas des cakes, les 3 classiques et le nouveau chaque mois.

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Je ne vous parlerai pas non plus des pâtes de fruits, des calissons, ou encore des confitures, parce que ce serait trop vous faire souffrir.

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 Vous l’aurez compris, vous devez aller découvrir cet endroit dédié à la gourmandise.
Bien sur, Pâques arrive, et c’est une occasion rêvée. D’autant que, pour cette occasion, Julien Merceron a fait naitre de toutes pièces deux créations charmantes :
le nOeuf papillon et la Poule pied’poule !

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Et si vous ne vous sentez pas capables d’attendre, vous pouvez vous rendre sur place dès demain, à partir de 09H30. Sachez que vous ne serez pas seuls : dès l’ouverture des portes, le flot de clients s’engouffre et continue tout au long de la journée. 
Car personne ne peut résister à la multitude de gourmandises proposées par la boutique historique  » A la Mère de Famille » .

Enfin, pour couronner le tout, cette boutique est ouverte même le dimanche ! Parce qu’il faut pouvoir répondre 7 jours sur 7 à une urgence gourmande ! A bon entendeur …

A la Mère de famille

35 Rue du Faubourg Montmartre, 75009 Paris
01 47 70 83 69

La rue des Martyrs- rue des métiers de bouche

La rue des Martyrs – en commençant par le haut

Voilà une rue au coeur de l’actualité parisienne depuis maintenant quelques années. Une rue vivante, animée, réservée aux pistons le weekend, et proposant un très large choix de propositions gastronomiques.

On commence donc par la place Lino Ventura. 

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Un incontournable de ce SOPI que l’on ne présente plus … South of Pigalle, vous voyez !

Alors bien sur, impossible de vous parler de tout ! Et puis il y a aussi de charmantes boutiques de vêtements, mais nous y reviendrons.

Pour commencer donc, la partie haute de la rue, des adresses pour bruncher, et un focus sur « Le pain quotidien ».

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Bien sur, il y a le café Marlette. Mais malheureusement cet endroit ne prend pas de réservation. Victime de la qualité de ses produits, et donc d’un succès  d’une constance remarquable, et aussi de la gentillessse du personnel puisque, alors que je m’adressais à elle pour lui dire que nous ne pourrions attendre plus longtemps, la charmante hôtesse m’a tout de même proposé de gouter un morceau de leur délicieux financier, histoire de me faire regretter notre départ prématuré !

Mais cet endroit est vraiment trop exigu, et je ne saurais que leur recommander  de très vite s’agrandir !

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Juste à côté, Fuxia. Valeur sure pour un repas italien comme je les aime. Je n’ai jamais testé celui ci, mais nous sommes des habitués de celui face au Jardin du Luxembourg, ainsi que de celui qui se trouve place du marché Saint Honoré, et nous n’avons jamais été déçus.

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En face, dans un autre registre, de quoi se régaler avec une belle gaufre, pour le dessert par exemple ? C’est le Comptoir Belge, et je le testerai très vite, c’est promis. Une gaufre, cela ne se refuse pas !

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A côté des gaufres, une épicerie dédiée au saumon.

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Et puis Lov’ Organic, un classique désormais des thés et infusions bio de qualité.

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Et le Pain Quotidien, qui nous accueillera pour ce brunch dominical. Une valeur sure, déjà testée rue de Varenne, et très fiable concernant la qualité des produits, même si le service est un peu chaotique en ce dimanche matin. Nous n’aurons pas eu nos confitures et la gaufre commandée a été oubliée. Mais finalement, c’est tant mieux : tout est si copieux que cela aurait été largement superflu d’ajouter à nos brunchs et petit déjeuners une gaufre supplémentaire !

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Autre point positif : on peut prendre un brunch bien sur, mais aussi tout ce qui est à la carte en cas de petite faim, et ça, c’est très appréciable !

Mais les brunchs valent le détour , et voici donc le Royal Charcuterie et le Royal Saumon.

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MartyrPainQuotidienBrunchRoyalSaumon

Et le chocolat chaud commence par une expérience de création puisque qu’on vous sert le bol de lait et le pot de chocolat !

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La promenade s’arrête là pour aujourd’hui, mais comme je vous le disais, la découverte ne fait que commencer.

Il y aura de la glace, quand le soleil reviendra !

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Et des cookies en toute saison !

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Café Marlette 51 Rue des Martyrs, 75009 Paris tel : 01 48 74 89 73

Fuxia 51 Rue des Martyrs Paris

Le comptoir belge 58 Rue des Martyrs, 75009 Paris

Le Pain quotidien 54 Rue des Martyrs, 75009 Paris tel: 01 42 81 92 09

Lov’Organic 54 Rue des Martyrs, 75009 Paris

Glazed 54 rue des Martyrs 75009 Paris

 

Le sapin des Galeries Lafayette 2014

D’année en année, le sapin des Galeries Lafayette me prend par surprise.

Qu’il soit scintillant aux couleurs changeantes en Swarowski, semblable à un coucou suisse géant ou plus traditionnel chargé de cadeaux, il ne m’a jamais déçue.

Depuis l’enfance, la mienne, celle de mini moi, un mythe, avec toujours l’émerveillement à la clé.

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Et cette année, la surprise est de taille ! 

Cette année, le sapin des Galeries Lafayette rend hommage à la superbe coupole dont il est inspiré aussi bien en ce qui concerne ses couleurs que ses décorations colorées, cabochons et volutes.

Cette année, il s’appuiera sur la couple par ses racines, pour tomber en piqué, tête retournée !

J’ai pu assister à son montage, un vrai moment extraordinaire comme je les aime !

Découvrir des pans de ce sapin en devenir dans un grand magasin vidé de la foule habituelle….

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Puis l’admirer, en place déjà, mais pas tout à fait abouti, laissant deviner la merveille que nous pourrons tous admirer dès demain matin.

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Il sera visible dès demain puisqu’à l’heure où j’écris, tout le monde s’active à le terminer, pour qu’il soit totalement installé pour accueillir ses premiers admirateurs dès 09h00.

Et là, il sera orné de ce qui lui manquait lorsque je l’ai découvert : sa pointe !

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Sachez aussi que des animations visuelles et sonores se dérouleront pour lui donner vie.

Quant aux vitrines, elles seront inaugurées le 5 novembre. Alors, vous savez ce qu’il vous reste à faire !

Galeries Lafayette

40 Boulevard Haussmann, 75009 Paris

Dispersion Harold Pinter

Dispersion, au théâtre de l’Oeuvre (Ashes to ashes)

pièce de Harold Pinter, mise en scène de Gérard Desarthe, avec Carole Bouquet et Gérard Desarthe.

Alors que le prix Nobel de littérature vient d’être attribué à Patrick Modiano pour son travail sur le thème de la mémoire, c’est au théâtre que l’on peut retrouver actuellement les obsessions mémorielles d’un autre prix Nobel, celui de 2005, le dramaturge anglais Harold Pinter.

Carole Bouquet

Une petite heure de spectacle pendant laquelle on croit d’abord assister à un règlement de compte conjugal, l’interrogatoire d’une femme adultère par un mari trompé qui cherche la vérité dans les méandres de souvenirs que son épouse consent à lui offrir. Puis, peu à peu, c’est dans les brumes tragiques de la Grande Histoire que le dialogue nous entraine. La mémoire de Rebecca n’est qu’un puzzle, des morceaux de vie et de souffrance que l’on disperse, comme des cendres. Elle devient le porte-voix des victimes décrivant leurs bourreaux, le miroir des atrocités du passé. Et l’interrogatoire met à jour avec pudeur et finesse la peur et la hantise de la violence.

Dans ce huis-clos aux dialogues ciselés, Carole Bouquet est tout simplement parfaite. Juste, émouvante, suffisamment discrète pour ne pas faire ombrage au texte, et d’une force assez convaincante pour le sublimer. Le reste n’est là que pour faire un écrin, la mise en scène se fait oublier, et Gérard Desarthe est comme un outil nécessaire à l’éclosion de la vérité.

C’est une pièce aussi profonde qu’elle est courte. Un petit diamant de théâtre que l’on continue à polir dans sa mémoire bien après avoir quitté la salle.

Le Théâtre de l’Oeuvre
55 rue de Clichy
75009 Paris
01 44 53 88 88