La brasserie du Printemps

La brasserie du Printemps Haussmann

64, bd Haussmann – 75009 – Paris – France – Tél. :          01 42 82 58 84      

horaires 09h35 – 20h00 tous les jours sauf jeudi 09h35 – 22h00

fermé le dimanche

le cadre : le service :

la qualité des plats : le prix:

max : 5

Aujourd’hui, séance découverte du Printemps sous l’angle culinaire !

La brasserie du Printemps est située au 6ème étage du Printemps de la Mode, sous la magnifique coupole de verre préservée contre vents et marées – pour en savoir plus sur l’histoire de ce grand magasin mythique : CLIC !

Tout d’abord, il vous faudra gravir les étages sans vous laisser tenter au fur et à mesure que vous progressez dans les étages …

Une fois parvenus à bon port, premier choc visuel : la splendeur de la coupole

       

Une fois installée, le plaisir des yeux est à nouveau au rendez-vous : on continue à admirer ce travail d’artiste verrier sans même lever les yeux !

c’est beauuuuuuuuuuuu !

Mais venons en aux choses sérieuses : la carte et les mets proposés, puis dégustés !

le confit de veau, romarin, légumes, échalotes en chemise, mousseline de céleri

le filet de cabillaud vapeur, carottes fanes au vinaigre de xérès

Avant de passer à l’essentiel , les desserts, revenons sur le cadre somptueux:

      

les desserts donc : tout d’abord, sachez que le fameux Mont – Blanc d’Angélina est là, pour vous !

Mais nos choix se sont portés sur le dessert du jour: délice d’automne, et le café gourmand ….

Admirez, et salivez !

et pour finir, la carte !

Alors, pour synthétiser:

l’ésthétique du lieu, la présentation des plats, tout cela n’est rien comparé à la saveur des mets: des produits de qualité, une préparation de grande finesse, tout y est pour que je puisse affirmer que tout ce que nous avons dégusté était délicieux. Je n’ai pas évoqué les deux verre de vin blanc, Chardonnay et Pouilly, également d’excellente qualité.

Et, par dessus tout, un service impéccable: sourire aux lèvres, toutes les hôtesses qui se sont occupées de nous ont été parfaites! Difficile à croire, mais pourtant c’est vrai: un endroit à recommander les yeux fermés !

Juste un détail, arrivez tôt car, bien que très spacieuse, la salle se remplit à une vitesse spectaculaire, et on voit qu’il y a énormément d’habitués : cela laisse penser que je ne suis pas la seule à avoir été si agréablement surprise par cet endroit inattendu !

Restaurants « hype » : BARLOTTI et COSTES

COSTES

239 rue SaintHonore, Paris, 75001. Tel :          +33 1 42 44 50 25      

le cadre : le service :

la qualité des plats : le prix :

IL FAUT SAVOIR DIRE NON !

 

Je m’explique:

quels sont les points communs de ces endroits ? Look branché, musique lounge, tellement hype qu’ils en font des disques commercialisés au même titre que leur club sandwich.

On y trouve la même clientèle, des jeunes femmes blondes, russes et filiformes qui tolèrent une salade sans assaisonnement et sont généralement accompagnées de messieurs très riches et largement plus âgés, jusqu’aux familles en sortie dominicale accompagnée de la grand mère branchée, refaite des yeux au menton. Le tout accessoirisé par les dernier « It bags », « It jewels », « It tout ».

on y trouve également le même profil de serveuse: 1m70 (pas plus, sinon elles seraient entrain de défiler sur un podium plutôt que de faire les serveuses), généralement de noir vêtues, nous ne sommes pas là pour plaisanter….

Mais je n’ai rien contre tout ceci; voilà ce qui me met hors de moi, et que je ne tolèrerai plus:

NON au regard condescendant de l’hôtesse qui découvre que « vous n’avez pas réservé », peut importe qu’il soit midi et que l’endroit soit vide !

NON au visage figé, « souriants , passez votre chemin » qui caractérise approximativement la moitié des créatures assurant le service dans ces lieux, en vous donnant plutôt la sensation qu’elles vous « rendent service » en prenant votre commande …

et NON au tarif tellement exhorbitant d’un club sandwich qu’il permettrait de se payer un repas complet dans un petit bistrot de qualité où la qualité des plats accompagnent le sourire du personnel – bon, je vous l’accorde, ils sont de plus en plus difficiles à trouver , mais ils existent, il faut avoir la foi !

Pour conclure ce petit coup de sang, je dirais que la présentation des plats est aussi un des points communs, plutôt positif cette fois, de ces deux endroits, et que, pour ce qui me concerne, chez Barlotti tout était délicieux alors que le club sandwich de COSTES …. triste, triste, triste !

A demain !

LUTECE – le Paris gallo – romain

LES ARENES DE LUTECE

Le seul édifice de l’époque romaine resté aussi bien conservé dans la capitale

un peu d’histoire: On ne connaissait pas leur emplacement précis, seuls quelques écrits à partir de 1180 évoquaient leur existence. Construites à la fin du Ier siècle après J.-C, elles restèrent en activité jusqu’à la première destruction de Lutèce par les barbares à la fin du IIIème siècle.

Pendant toute cette période elles accueillaient spectacles de cirque, pièce de théâtre et pouvaient accueillir 15 000 spectateurs alors que la ville comptait 20 000 habitants!

Mais lors des invasions, les habitants de la cité se mirent à construire une enceinte autour de l’île de la cité et ils utilisèrent les pierres déjà taillées des arènes. En ruines, elles furent abandonnées et transformées en funérarium.

Revenons en à mes impressions: la construction encaissée de ces arènes ne permet pas de les qualifier de spectaculaires ni même d’impressionnantes ….

Il est difficile d’imaginer la vue spectaculaire sur la Bièvre et sur la Seine qu’évoquent les historiens !

Il y règne plutôt une atmosphère de place de village, entre les labyrinthes d’allées et d’escaliers dans la verdure, les enfants qui jouent au foot, ou encore les parties de pétanque ponctuées de ce qui semble être une interjection obligatoire associée à ce sport :  » tranquille « , à lire avec l’accent du sud !

Alors il nous restent à remercier Victor Hugo et Victor DURUY qui se battèrent en 1883 pour que les Arènes soient enfin remises en état alors que lors de leur première découverte en 1860, lors du percement de la rue Monge, il fut décider de les combler à nouveau, les coûts de restauration ayant été jugés trop élevés!

INFOS PRATIQUES :

Les Arènes de Lutèce :
49, rue Monge et rue de Navarre — 75005 Paris
Horaires d’ouverture du square :
de 8h00 à 22h00 tous les jours en été
de 8h00 à 17h00 tous les jours en hiver
Transports :
métro Cardinal-Lemoine, Jussieu ou Monge

Site officiel : cliquez ici !

A demain !

Mission accomplie – j’ai goûté les macarons !

Découvrir dès leur sortie les nouveaux macarons  » LaduréeLOUBOUTIN « 

Quand je prends un engagement de ce genre … je ne peux que m’y tenir !

Ce matin donc, direction Ladurée rue Bonaparte .

Surprise: une file d’attente correcte!

La vitrine est aux couleurs de la « nouvelle collection » mais pas d’émeute ! Nous sommes donc une petite élite informée ou suffisamment motivée pour se précipiter Samedi de bon matin …

Alors, pour résumer :

contrairement à ce que j’imaginais, les coffrets « LOUBOUTIN » ne sont pas déjà prêts et garnis exclusivement du nouveau macaron  » figues – dattes  » ; En fait, il s’agit de boîtes vides, de 3 formats diférents, et chacun choisit les parfums qu’il souhaite ….

J’ai donc choisi la réglette de 6 macarons, que j’ai garnie de 4 « figues-dattes » et deux « café ».

Le café, juste un délice; je sais qu’il n’est pas considéré comme très hype d’apprécier des parfums « classiques », et qui plus est chez Ladurée plutôt que, je ne sais pas moi, Pierre Hermé ! Et bien soit, j’assume ! Je préfère  » café  » à  » thé vert – jasmin  » !

Quant au nouveau parfum, le mélange de la datte et de la figue est parfait; on retrouve exactement le goût du fruit et si je devais émettre une petite réserve, ce serait la fragilité et la friabilité très marquée du macaron; mais est-ce bien grave? après tout, s’il s’émiette légèrement dans la bouche, on n’en perçoit que mieux les saveurs.

Voilà ! Mission du jour acccomplie , et voici pour preuve la photo du dernier macaron que je suis parvenue à maintenir intact avant d’arriver chez moi pour prendre le dernier cliché avant de l’engloutir … !

A demain !

Le Village Saint Paul

Le village Saint Paul

appartenant au Marais, il a la particularité d’être considéré comme un des villages d’antiquaires majeurs de Paris;

Un peu d’histoire …. : il abrite la plus grande section conservée de l’enceinte construite par Philippe Auguste en 1190 pour protéger la ville lors de son départ pour les croisades; cette enceinte devint ensuite obsolète quand Charles V décida , deux siècles plus tard, d’intégrer les faubourgs qui s’étaient développés a-delà de l’enceinte de Philippe Auguste.

Une petite illustration de wikipédia:

Trève de bavardages, maintenant, des images !

Et bien sur, après une belle balade, une pose gourmande ….

aujourd’hui, l’Enoteca ….

Vous aimeriez en savoir plus? cliquez ICI !!!

L’Enoteca – l’Italie au coeur du MARAIS

L’ENOTECA – 25 rue Charles V

PARIS 75004

         01 42 78 91 44      

le cadre : le service :

la qualité des plats : le prix :

max : 5

Vous n’aurez pas la liste des vins, si longue, riche et variée qu’elle justifie largement le nom de cet établissement.

Par contre, j’ai la carte …!

Alléchant, n’est ce pas? Et alors, quand on pénètre dans le restaurant et que l’on découvre ça ….

L’atmosphère est agréable, les poutres apparentes et les briques d’époque.

Les murs sont couverts de photos de cinéma des années 50.

Nous optons tout d’abord pour une assiette  » d’antipasti misti « , qui contient une variété des différents légmes présentés sur la table centrale: un délice: légumes grillés ou frits, tout en restant légers. Cela dit, conseil d’amie … une assiette pour deux suffit si vous comptez poursuivre jusqu’au dessert !

Pour poursuivre,  » lasagne au fromage de chèvre frais, ragout de veau et tomate « ;

la viande fond dans la bouche, le plat fleure bon le « fait maison ».

Et puis il y a  » l’épaule de veau confite à l’huile d’olive, courgettes et basilic « 

La viande tout aussi fondante et savoureuse, et ce petit je ne sais quoi qui fait que le plat renvoie à des images de repas en famille.

Impossible de choisir un dessert: comment voulez vous décider entre  » les entremets au chocolat, noisettes et zeste d’orange, sauce café et crème chantilly « , l’incontournable  » tiramisu  » , les autres !

heureusement, ils ont pensé à tout avec «  Fantasia di dolci « , ou encore  » farandole de desserts  » !

Il faut également savoir que la carte change régulièrement, et que certains produits sont importés directement d’Italie.

en résumé, ma seule déception: L’Internaute, qui évoquait ce restaurant dans un article sur les « restaurants des stars », me promettait Bruno Solo ; et bien il n’était pas là !

Donc , vous l’aurez compris, allez-y !

un rituel …. Marc by Marc Jacobs

MARC : Je le connaissais bien sur, comme nous tous!

Je l’ai véritablement découvert cet été:

J’ai commencé par apprécier le petit stylo en forme de rouge à lèvres à 1€, mais, de visite en visite, c’est devenu un rituel, voir une addiction: sacs, cabas, visières et j’en passe!

Donc, c’est décidé, de cet été me restera, entre autres, un nouveau rituel: MA visite chez Marc !

Reconnaissez le avec moi, difficile de résister à de telles tentations !

Bien sur, j’ai le prétexte de pouvoir admirer le merveilleux bâtiment central de la place du Marché Saint Honoré,

et je peux toujours prétendre que j’étudie l’évolution des oeuvres de Bofill à travers le temps, mais ne nous leurrons pas, c’est MARC que je veux !

Donc, dès la semaine prochaine, je vous informerai des nouveautés disponibles ! Parce qu’il faut savoir qu’ils renouvellent quasiment toutes les semaines …!

PARIS – de village en village

La Butte aux Cailles

Passage Boiton – vu d’en bas

Rue Buot

La Butte aux Cailles doit son nom au propriétaire Pierre Caille qui achète en 1543 un coteau planté de vignes surplombant la Bièvre, et non pas à la présence de volatiles du même nom dans la région 😉

Une boutique « phare » de la Butte aux Cailles :

Les Abeilles 21 rue de la Butte aux Cailles   » Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le miel sans jamais oser le demander « 

Un paradis pour les amoureux du miel (151 saveurs) et leurs dérivés (bonbons, pain d’épice, nougat et autres délices !)

   

La créperie de la Butte au 13: ne manquez pas la « québequoise » – pommes sirop d’érable !

Passage Boiton – vu d’en haut

Et des restaurants, encore des restaurants, toujours des restaurants …

à bientôt sur La Butte (aux Cailles !)

pour finir la semaine, encore un tour sur la Butte … aux Cailles

LA PETITE ALSACE – rue Daviel XIIIème

L’ensemble de la « petite Alsace » fut dessiné en 1912 par l’architecte Jean Walter. Destinée à loger les familles nombreuses, elle compte 40 petites maisons dotées de colombages et de toits pentus dans la plus pure tradition alsacienne. »

Pour y aller : 10 rue Daviel, 75013 Paris – Métro Glacière

Bon week end !