Derrière Hugo et Victor, il y a avant tout un maitre pâtissier : Hugues Pouget. Premier coup de coeur gustatif en ce qui me concerne : la bûche Marion, conçue pour NoËl avec sa cliente et voisine : Catherine Deneuve !
Et puis j’ai découvert son praliné. Et là, il doit le savoir, il m’a définitivement conquise !
Alors avec Pâques qui approchez, c’est le moment, l’occasion rêvée.
Commençons par les personnages qu’il a créés. Mignons, joyeux, colorés !
Mon favori : Flak. Enfin, je m’explique : le lapin, chocolat au lait !
Mais pipelette est mignonne aussi !
Ensuite, il y a les oeufs bien sûr. Sculptés, garnis, décorés.
Ces oeufs, ces figurines, jolis et appétissants, sont garnis donc de ces fameux pralinés que j’évoquais au début.
Ce praliné est fait maison, dans les ateliers de Hugo&Victor en banlieue parisienne, selon une technique artisanale avec des noisettes du Piemont, dans des cuves en cuivre, pour un résultat inoubliable pour vos papilles, croyez-moi sur parole !
Et si vous ne me croyez pas, rendez vous directement dans la boutique Hugo&Victor boulevard Raspail, ou bien place du Marché Saint Honoré !
Une chose est sûre, s’il ne fallait qu’un mot pour décrire ce bistrot aux inspirations basques, ce serait « générosité ».
Parce que, une choses est sûre, il n’est pas possible d’en ressortir autrement que rassasié, complètement rassasié!
Le restaurant est une institution de la Butte aux Cailles. Il est quasi impossible d’y trouver une table le soir, à moins d’envisager un diner à l’anglaise, genre vers 17h30 !
Le service est efficace, la salle bondée, l’ambiance familiale. Vous êtes deux ? Ne vous attendez pas à un repas en amoureux : vous serez peut-être installés à une table de quatre, avec deux autres personnes installées à côté de vous, et la conversation pourrait même s’engager !
Le menu est artisanal, les plats sont aussi inscrits sur une ardoise au dessus du bar.
Chez Gladines – le menu
Copieux, la salade croustille, les pommes de terre sautées se mangent sans fin, enfin sans faim , et le poulet est submergé de ratatouille .
Quant aux desserts, quand il s’agit d’ile flottante, je suis intraitable. Et là, bingo !
Ile flottante
Le prix est imbattable, avec un plat du jour à moins de 10€
Chez Gladines
Et pour les instagramers fous, voilà ce qu’on peut faire !
Alors vous l’aurez compris, Chez Gladines est un must absolu de la Butte aux Cailles, ne passez pas à côté sans y entrer !
Phobiques du bruit et de la foule s’abstenir.
Chez Gladines 30 Rue des cinq Diamants, 75013 Paris
Je vais commencer par l’essentiel : j’aime le nouveau Forum des Halles !
Je m’explique ….
Le nouveau Forum des Halles n’a plus grand chose à voir avec le centre commercial d’origine.
Les Halles de Paris ont eu tant de vies, et l’histoire remonte à si longtemps qu’il aurait été difficile d’imaginer un tel parcours. Tout a commencé en 1137 lors de la création par Louis VII d’un marché dans ce lieu dit extérieur à Paris. Très vite intégrés dans le coeur de Paris, ces Halles vont grandir, évoluer, se transformer en Halles en bois.
C’est au XIXème siècle qu’elles sont immortalisées par Emile Zola dans son livre » Le ventre de Paris« .
Source Le Monde
En 1971 commencera la destruction de la superbe halle Baltard, et Paris perdra ainsi un élément architectural unique de son paysage urbain.
C’est alors que commencera la construction du premier centre commercial.
Un lieu encastré, étouffant, à la circulation complexe, qui se dégrade au fil des ans. Des recoins parfaits pour se faire des peurs bleus en tentant de s’y promener de jour comme de nuit !
Je n’en ai aucun souvenir plaisant, mais plutôt cette sensation diffuse de toujours être sous terre, toujours un peu perdue. J’avoue d’ailleurs que je n’étais pas rentrée dans le Forum des Halles depuis des années, que dis-je, des décennies.
Quand j’ai appris qu’enfin le Forum des Halles allait se réinventer, ma curiosité a immédiatement été attisée !
Vu de l’extérieur, il était difficile de se faire une idée. Des barricades, des camions allant et venant, et cette canopé.
Alors, quand j’ai eu la chance de pouvoir faire la visite du chantier, à quelques jours de l’inauguration le 5 avril 2016, la surprise a vraiment été totale !
Maitre mot n°1 : ouverture
Ouverture sur la Ville, sur les quartiers alentours, sur Paris en somme.
Le forum des Halles s’est ouvert intégralement à ses alentours, avec des accès directs, lumineux, évidents, vers Beaubourg, la bourse du commerce, Montorgueil. Il est désormais visible à l’oeil nu qu’il fait partie intégrante du coeur de Paris, qu’il y reprend la place qui lui revient.
An niveau 0, sous la canopée, de multiples commerces vont ouvrir, accueillir les parisiens, leur donner envie d’en voir plus et plus encore, voire même de rester. Ainsi, un restaurant disposera d’une terrasse ensoleillée parfaite pour le printemps qui arrive, tourné vers Saint Eustache. Sephora ouvre un flagship géant, comme également Nike, ou encore Lego.
Sans oublier l’Exception qui, de site e-commerce tendance devient concept store.
Maitre mot n°2 : lumière
On se rappelle tous de cette vilaine cour intérieure encaissée, si peu accueillante. Fini ! Désormais la lumière est partout. Un coté du rectangle s’est ouvert pour laisser place à l’extérieur, et à des escalators menant vers les jardins.
A l’intérieur du centre, les plafonds surélevés de près de 1m50, des puits de lumière à tous les niveaux, des espaces de repos. Des sols blancs, lumineux, qui font immédiatement oublier la pierre sombre que nous foulions il n’y a pas si longtemps !
La circulation est devenue fluide, il y a désormais cinq issues au lieu des deux sorties qui rendaient l’accès au centre mais aussi à la station de métro quasiment impossibles.
Maitre mot n°3 : renouveau
Les enseignes qui ont déjà commencé à s’installer, et seront bientôt suivies par d’autres encore, modifient l’offre en profondeur.
Quand on sait que Philippe Amzalak, le prince de la restauration branchée parisienne, celui qui a redonné vie aux Puces de St Ouen avec son restaurant Ma Cocotte, sera à la tête d’un des deux grands restaurants, on comprend que le Forum des Halles prend un véritable tournant, avec pour objectif de faire revenir les parisiens. Ce restaurant, le ZA, qui, par ailleurs, sera hyper innovant : commande par appli, service automatique des plats par géolocalisation, et la possibilité de faire imprimer sur place le livre de son choix !
Et si cela ne suffisait pas, l’autre grand restaurant terrasse : le Champeaux, verra sa carte signée par Alain Ducasse. Et on pourra se régaler de minis soufflés, sans modération !
Toujours au niveau de la canopé, un flagship Lego ouvrira ses portes, et la premier boutique du site Internet « L’exception » s’installera.
flagship LEGO
Je pourrais continuer à vous raconter ce qui vous attend dans ce nouveau lieu incontournable de Paris, mais finalement, rien ne vaut l’expérience personnelle !
Et enfin, cerise sur le Forum, le centre commercial sera ouvert tous les dimanches puisqu’il est situé dans une Zone Touristique Internationale.
Vous connaissez mon amour du cachemire. On ne peut pas dire que ce genre de passion soit très originale, mais je la revendique. Le cachemire est devenu bien plus abordable au fil des ans, et c’est clairement un incontournable de l’hiver que l’on peut envisager de s’offrir sans se ruiner. sans compter que c’est l’incontournable du printemps, voire même des soirées fraîches de l’été. Et puis cette douceur, cette douceur…
Rue du cachemire, c’est, pour commencer, un site de vente en ligne de produits en cachemire en provenance directe de Mongolie.
Poncho personnalisé
Le site rue du Cachemire propose une marge variétés de modèles, déclinés dans de multiples couleurs, et à des prix extrêmement corrects pour des produits 100% cachemire.
Mais le site Rue du cachemire se distingue en particulier par la possibilité de personnaliser certains des produits proposés.
Rue du cachemire – la personnalisation
Les écharpes, tel Stéphane Bern pour qui son équipe a fait broder son nom sur une superbe écharpe bleue nuit.
Mais aussi et surtout les ponchos.
Sur Rue du cachemire vous trouverez 3 modèles de ponchos.
Attention, j’ai besoin de votre attention pendant quelques secondes pour comprendre les spécificités des trois catégories.
Tout d’abord, le poncho 2 fils tissé en mode léger, mousseux et aéré ( autrement qualifié de » jauge 7« )
Ensuite, toujours 2 fils, « jauge 12« . Là, le tissage est plus dense, l’air ne passe pas, il est donc plus chaud, mieux adapté aux températures plus rudes.
Et enfin, le 4 fils, plus épais, mais aussi plus court.
Ils se déclinent tous dans une très grande variété de couleurs. Autant dire que l’on a que l’embarras du choix.
On choisit donc le poncho.
Sa forme et sa texture – long et aéré, court et mousseux, court et plus épais.
Puis sa couleur : pastel, vif et coloré, sobre et discret.
Pour ce qui concerne la personnalisation en ligne actuellement, vous aurez le choix entrez 5 types de galons, franges, velours, satin, metallic ou jacquard.
Tous les galons proviennent de l’enseigne MOKUBA, spécialisée en galons, rubans et dentelles de grande qualité, et mondialement connue dans l’univers de la couture.
Chacune des gammes de galons proposées est déclinée en de multiples couleurs.
A vous de choisir le mariage parfait entre la couleur de votre poncho et sa finition personnalisée.
Le résultat final est une pièce unique, qui sera la vôtre, votre signature, votre création.
Et quand on sait à quel point le cachemire convient à toutes les situations et à toutes les saisons, autant dire que je vous garantis que vous ne quitterez plus ce poncho.
Je me suis aussi laissée dire que les gammes de personnalisation vont s’enrichir au fil du temps, et j’ai moi même pu tester encore un autre modèle. Et pour tout vous dire, j’en suis dingue, je ne le quitte plus !
Poncho personnalisé
Le printemps se prête si bien à l’utilisation du poncho, agréable, léger, élégant, et qui finit si bien la silhouette. Et puis la fête des mères approche : autant de raisons de l’adopter et de découvrir par vous même ce poncho personnalisé !
Rue du cachemire SHOWROOM PARIS Adresse : 20 rue Montmartre, 75001 Paris, France
Ces derniers mois, l’hôtel Westminster s’est engagé dans une démarche de rénovation de 28 de ses chambres et suites, qui sont devenues ce qu’on appelle les » Signature Rooms & Suites ».
La décoration reste dans l’esprit du lieu, tout en se modernisant, en particulier dans les salles de bain, désormais toutes équipées de douche à l’italienne. Depuis le 1er mars, ces chambres proposent un service additionnel à leurs hôtes : le cocktail signature.
Signature
De quoi s’agit il ? Chaque hôte d’une chambre signature se verra offrir le cocktail qui lui correspond le mieux , et ce après avoir rempli un questionnaire qui permettra à Gérard, le chef barman ( on dit mixologue aujourd’hui non ?) de concocter la boisson parfaite.
Dans ce questionnaire donc, des questions simples, auxquelles même les novices dans l’univers des cocktails peuvent répondre.
Par exemple : »indiquez les alcools ou les bases que vous préférez » Facile ! Dans mon cas, rhum ou champagne, et pourquoi pas les deux ?
Ou encore « vous préférez votre cocktail : sec, doux, crémeux ? »
En résumé, facile à remplir, le questionnaire vous guide tranquillement vers votre breuvage rêvé !
Et sachez que vous, comme moi, qui ne séjournez pas à l’hôtel, pourrez également vous offrir ce plaisir : un cocktail rien que pour vous, au Duke’s bar, le bar de l’hôtel Westminster.
C’est donc cette expérience que j’ai testée.
Et moi, qui, je l’avoue, me suis enfermée depuis des années dans le sempiternel mojito, encore et encore, j’ai enfin pu boire autre chose, découvrir des saveurs différentes et j’ai adoré !
Mon cocktail signature
Voilà donc le fruit de mes réponses et du talent de Gérard : une note d’agrumes, une touche de champagne, et une réussite parfaite, gustative et visuelle.
J’ai même obtenu la recette secrète :
1 cuillérée de confiture d’orange
1 cl de grand marnier
1 cl de cointreau
Shaker
On verse dans la coupe et on top au champagne
Et je peux vous dire que je me suis régalée !
Alors, prêt à tester le cocktail signature du Westminster ?
Duke’s bar – Hôtel Westminster
15 rue Daunou ou 13 rue de la Paix, 75002 Paris Tél. : +33 (0)1 42 61 55 11
Ce restaurant se situe rue de Guisarde, connue pour ses restaurants, mais aussi pour ses bars qui accueillent régulièrement les supporters de rugby, coutume qui l’a amenée à être surnommée « rue de la soif ».
Cet emplacement a toujours hébergé un restaurant italien, qui s’apparentait à la trattoria traditionnelle, carte et décoration en adéquation. Et puis voilà, le propriétaire, après quelques dizaines d’années, a décidé de vendre. Mais pas à n’importe qui : il tenait à ce que la nouvelle adresse propose également une restauration italienne. Et il a rencontré Valérie Balard. Elle s’est engagée à respecter ce souhait, et voilà donc deux ans qu’elle est à la tête du MONTE VERDI.
Monte Verdi
Ce restaurant est assez unique. Pas seulement parce qu’on y mange bien, mais parce qu’il offre des ambiances différentes, chaque salle proposant une atmosphère en phase avec chaque envie du moment.
Je m’explique.
Au MONTE VERDI plusieurs salles vous accueillent. Tout d’abord côté rue : un espace où l’on déjeune assis sur de hauts tabourets, attablés à de haute table. Et puis, sur la gauche, de superbes fauteuils de velours, aux teintes et motifs tous différents, dans une harmonie élégante et très esthétique. Quand je vous aurai dit qu’en plus d’être jolis ils sont diaboliquement confortables, vous comprendrez qu’on s’y installe pour rester.
Dans cet espace, un piano. Et tous les soirs, un pianiste joue pour accompagner votre diner.
Puis, quand on s’enfonce dans le restaurant, l’ambiance change à nouveau. Il y a cette salle avec un feu de cheminée autour duquel sont agencées les tables pour une atmosphère cosy, conviviale, parfaitement adapté en cas de sortie en groupe. ou encore une salle où le mobilier se fait plus traditionnel, les tables rondes plus formelles, et je me suis laissée dire que cet endroit accueille régulièrement des sénateurs qui peuvent venir là en quelques minutes à pieds.
Si je me suis attardée sur l’agencement des lieux, c’est qu’il est rare pour un restaurant de proposer une telle diversité.
Mais l’essentiel bien sûr est dans l’assiette.
Menu MONTE VERDI
L’Italie est donc au coeur de la proposition, le menu étant en italien, avec traduction bien sur.
Un regret sans doute : l’absence de menu à l’heure du déjeuner, une formule qui serait optimisée en terme de prix, et qui permettrait d’envisager de déjeuner là plus aisément. Parce que, un déjeuner à 40€, ce n’est pas une chose que l’on fait tous les jours.
Venons en donc aux plats.
MONTE VERDI – escalope milanaise
Premier mot : copieux. deuxième qualificatif : délicieux.
Le filet de thon en croute d’olive a visiblement été une véritable révélation !
Et puis, le test ultime dans un restaurant italien bien sur, c’est le tiramisu : test passé haut la main !
tiramisu
La pana cotta était délicieuse, mais, comme toute pana cotta qui se respecte, peu photogénique !
En synthèse : bon, agréable, pas encore très connu : allez-y, et pensez à réserver si vous comptez y diner.
MONTE VERDI – Valérie BALARD
5-7 rue Guisarde – St. Germain des Prés
Paris 75006 – Tel: 01 42 34 55 90
Seul sur scène, il nous guide dans les méandres de sa mémoire.
Des épisodes de sa vie, des images de temps passés, révolus, de sa jeunesse, de ses errances.
Entre les textes qu’il a lui même écrits, c’est à nous qu’il s’adresse. Et là on le découvre drôle, sensible.
Il parle, raconte, il se livre même, fragile et sensible.
Puis il replonge dans un texte écrit, le voyage continue, de l’alcool aux amis, aux galères et aux rencontres, une vie qui se déroule.
Mais surtout, il est comme apaisé, comme si les obstacles nombreux et compliqués qu’il a franchis lui avaient donné cette force rare d’apprécier chaque instant de la vie.
Il est drôle, sensible et tendre.
Tendre quand il parle de sa fille avec qui il a pris tant de plaisir à jouer sur cette même scène, se garantissant ainsi comme il le dit, de la voir chaque jour, soir après soir.
On vit là un de ces moments de sincérité absolue comme le théâtre en offre parfois, quand l’amour et le cœur de l’artiste débordent de la scène pour éclabousser le publique tout entier.
Cette salle devrait être remplie chaque soir, soir après soir, pour les 30 représentations programmées.
Alors ne manquez pas cette superbe performance d’un homme seul sur scène, un grand acteur si familier qu’on ne connaissait peut-être pas vraiment et qui nous livre son âme.
Quitte à prendre, comme il le dit lui-même, des billets » Tic-tac »!
La rue des Martyrs, dans sa portion sud, autrement connue en tant que SOPI, est connue pour ses commerces de bouche et on ne compte plus les restaurants, épiceries, boulangeries et pâtisseries qui y sont installées.
Mais la rue des Martyrs du nord – NOPI donc, abrite créateurs, stocks de marques où se précipitent fashionistas en tous genres
Et bien désormais, si vous êtes à la recherche de lunettes de qualité, que vous ne croiserez pas à chaque coin de rue, et qui, de surcroît, allient le made in France et le prix le plus juste, l’artisan du regard est pour vous .
L’artisan du regard
Gregory Vissac est donc le maître des lieux, sans oublier sa mascotte, qui veille, plus ou moins !
Installez vous confortablement à la table centrale et il vous fait découvrir des modèles, des plus classiques au plus inattendus et inédits.
Des rééditions de modèles historiques, confectionnés dans des usines qui le sont tout autant.
Saviez vous que la France est la reine de l’acétate ? Et que les allemands, avec les japonais, maîtrisent le titane ? vous le découvrirez chez l’artisan du visage.
Et puis il y a l’Ovni, polonais, qui découpe des modèles à plat dans des feuilles d’acier chirurgical pour ensuite les monter, sans vis ni soudure ! Ne vous arrêtez pas à leur look qui pourrait rappeler un masque de ski : elles sont légères, élégantes, et étrangement faciles à porter une fois qu’on les a sur le nez !
De la couleur pétillante avec les modèles de Caroline Abram, voire même explosive quand il s’agit de la collection propre au magasin.
Caroline AbramCollection l’artisan du regard
De l’écaille aux petites lunettes cerclées pour les modèles historiques qui reviennent en force, allégés, modernisés, et qui séduisent ceux qui n’ont pas vu ces montures chez leur parents , c’est à dire les vingt ans plus, mais pas beaucoup plus !
L’opticien vous proposera peut-être un modèle forme « papillon », mais il se gardera bien de vous dire que cette forme opère quasiment un lifting sans le dire puisqu’il remonte le visage aux traits fatigués ou à l’arrondi qui s’affaisse !
Pour les mâchoires carrées, ce sont des formes courbes qu’il conseillera, qui adouciront votre visage.
Alors quand vous aurez besoin de lunettes juste pour votre morphologie, faites en France pour la plupart, voire même sur la butte Montmartre toute proche, pour Carine Abram dont le show room est là, à quelques pas, surtout, faites un saut chez l’Artisan du Regard !
L’artisan du regard 35 rue des Martyrs 75009 Paris
Le Cinq Codet ouvre un bar éphémère : l’occasion est rare, ne la ratez pas !
Je vous ai déjà parlé du Cinq Codet. J’adore la décoration, l’atmosphère du lieu. Ce côté un peu secret, à l’abri des flux classique de la branchitude traditionnelle.
Lors de ma dernière visite, pour un déjeuner délicieux, j’avais pu visiter la suite exceptionnelle à la vue panoramique : la suite 402.
Cinq Codet – la vue
Et bien cette suite est transformée en bar éphémère pour notre plus grand plaisir !
Du 9 au 17 mars 2016, la suite accueillera donc un événement exceptionnel. Tous les soirs, de 17h à 22h30, en partenariat avec Cointreau, Le Cinq Codet invite parisiens et clients de l’hôtel à se détendre autour d’un cocktail et à profiter de la vue de la suite 402, dans un esprit « Comme à la maison ».
Trois événements viendront ponctuer ce Bar Ephémère durant neuf jours.
• Mercredi 9 mars, pour démarrer cette semaine de festivités, la musique sera à l’honneur avec un concert de l’artiste d’origine camerounaise Nico and The Red Shoes. Une occasion de se laisser envoûter par la musique entre pop électronique et new wave de cette chanteuse au groove à toute épreuve et dotée d’une sensibilité rare.
• Mardi 15 mars, la suite Dôme accueillera un dîner orchestré par CityChef, véritable référence en matière de restauration à domicile à Paris. Pour cet événement unique, CityChef propose de découvrir un menu gastronomique à quatre mains élaboré par les chefs Victor Mercier (Ferrandi, L’Astrance, Le Sergent Recruteur) et Eric Robert (Ferrandi, Plaza Athénée, MOF 2000).
• Jeudi 17 mars signera la dernière soirée du Bar Ephémère organisée par Excuse My Party la plateforme collaborative des soirées à la maison. Un line up signée Bromance dont MYD de Club Cheval assurera la première partie. En seconde partie, un guest du label viendra électriser la suite 402 pour clôturer cette soirée qui promet d’être épique ! le site permettra également aux parisiens de venir « s’ambiancer » à chaque soirée du Bar Ephémère.
Alors, parisiennes et parisiens, pour découvrir l’hôtel, la vue, et participer à une de ces soirées qui promettent d’être plus que réussies, il ne vous reste qu’à vous inscrire !
Hôtel Le Cinq Codet – un lieu dont vous allez entendre parler, encore et encore
Le Cinq Codet est un établissement unique à plusieurs égards.
Son emplacement d’abord : si je vous dis rue Louis Codet ? Vous connaissez ? Non, bien sur, personne ne saurait situer cette petite rue résidentielle et discrète, pas même un chauffeur de taxi, et ne parlons pas des chauffeurs Uber !
Et pourtant, elle est là, à quelques pas des Invalides, et quelques dizaines de pas du Champs de Mars !
Unique également par son bâtiment, son architecture. Pourquoi ? Parce qu’il s’agit d’un ancien répartiteur Francetelecom ! En bref, un de ces bâtiment que l’on trouve dans tout Paris et qui abritaient des murs de câblage permettant au téléphone fixe de fonctionner ! Le fixe : du passé. Et c’est bien pour cela que peu à peu ces immeubles sont vendus, transformés pour découvrir une nouvelle vie après des années de dur labeur. Ici donc, c’est en hôtel 5 étoiles que le bâtiment s’est transformé. Mais la façade n’a pas changé, et il est donc difficile d’imaginer ce qu’elle abrite en son sein : un superbe hôtel, discret et élégant, à la décoration moderne et inattendue.
Pénetrons donc dans les lieux !
Lobby Le cinq codet
Il est lumineux, ouvert et accueillant. Poufs et banquette invitent à s’installer. Mais continuons pour nous diriger vers le restaurant.
Le cinq codet – le restaurant
Le restaurant et sa carte se sont réinventés, et c’est une excellente nouvelle pour toute personne qui cherche un lieu pour un déjeuner agréable, axé autour de produits de grande qualité qui xxx les commerces de bouches du quartier.
Ainsi, les viandes proviennent tous du célèbre boucher parisien Le Bourdonnec, installé à quelques dizaines de mètres de là, tout comme Griffon pour les fromages, et pour ce qui concerne les pâtisseries, Ladurée.
Le cinq codet – le menu
Il y a donc des fournisseurs renommés, et surtout des produits de grande qualité.
Alors pour un déjeuner paisible, rapide, du côté des Invalides, une adresse : Le Cinq Codet !