Terrasses parisiennes – 5 propositions, ou plus

Terrasses parisiennes – c’est encore l’été

Nous sommes en plein mois d’août, les parisiens ont presque tous déserté la ville, et pour ceux qui restent, il y a encore tant de terrasses à tester. Partons donc ensemble à la découverte, ou redécouverte, de quelques unes de ces adresses indispensables de l’été parisien.

Ces adresses en mode carte postale, les authentiques et les plus chics.

Et qui sait, l’automne sera peut-être doux, et ce sera l’occasion de faire durer le plaisir. Le Fooding a déjà pensé à quelques plans à trois, à Paris ou ailleurs, mais je me concentrerai ici sur Paris, bien sur !

Version merveille du XVIIIème : Le Camondo

Ce restaurant se cache dans le superbe hôtel particulier du musée Nissim de Camondo.

Dans ce quartier discret et plutôt résidentiel, cette charmante cour terrasse est un parfait délice pour venir déjeuner au calme, diner, voire même goûter.

Ici, à l’abri des palmiers, on pourra se régaler d’une spectaculaires côte de boeuf, qui se mariera à la perfection avec un  vin de Bordeaux rouge proposé par le sommelier.

Mais aussi d’un tarama maison ou encore d’une seiche en risotto.

Sans oublier les desserts signés Michalak, avec par exemple l’emblématique Paris Brest à la noisette de Piémont.

crédit photo lecamondo.fr
crédit photo lecamondo.fr

Un havre de paix, à la lisière du 17ème et du 8ème arrondissement, là où l’on s’y attend si peu.

Le Camondo 61 bis rue de Monceau 75008 Paris 01 45 63 40 40

Version Berges de Seine – Le Faust

terrasse parisienne - le FAUST
terrasse parisienne – le FAUST

Le Faust est pour commencer une terrasse merveilleusement située sur les berges de Seine, au pied du pont Alexandre III.

terrasses parisiennes - le Faust
terrasses parisiennes – le Faust

On y mange la cuisine du chef Daniel Renaudie, qui a récemment pris la direction des cuisines après avoir été le chef du restaurant ELSE.

Cuisine méditerranéenne revisitée, fraiche et savoureuse, avec des notes d’ailleurs, voilà ce que l’on déguste ici.

A la carte, salades et plats aux couleurs de la Méditerranée.

Calamars grillés, poissons du jour.

Le Faust, c’est également un bar, et un club.

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Food truck, musique, ambiance lounge

A noter cependant, pendant l’été, la terrasse est ouverte, alors que la partie club ouvrira à nouveau ses portes les 25 août. Cela étant dit, la terrasse se suffit à elle même et propose des apéros en mode after work, ou en mode before, tous les jours de la semaine, avec des ambiances musicales à chaque fois différentes. A vous de choisir donc !

Le Faust Pont Alexandre III – Rive Gauche, 75007 Paris 01 44 18 60 60

Version trésor caché –  Le Trésor

Ce trésor caché, c’est le bistrot chic Le Trésor. Ici, une impasse dissimulée au coeur du Marais. Un bistrot, qui propose une cuisine auvergnate gourmande et savoureuse. Le cadre est unique, une véritable carte postale parisienne, à l’écart du vacarme des voitures, et pourtant en plein centre du Marais, ce quartier si vivant et animé, tout au long de la semaine, et plus encore le week-end.

Terrasse parisienne - Le Trésor
Terrasse parisienne – Le Trésor

Dans ce petit coin de verdure, on peut donc se restaurer en terrasse tout au long de la semaine.

Et pour le weekend, un brunch est proposé dans l’établissement mitoyen : le Comptoir du Trésor. Je n’ai pas encore testé, mais c’est visiblement un délice, et à volonté !

Le Trésor  9 Rue du Trésor, 75004 Paris Téléphone : 01 42 71 35 17

Version champêtre – le Café Renoir

Ici, on vient pour un dépaysement total et absolu dans ce village qu’est la butte Montmartre.

Au coeur des célèbres vignes, le musée de Montmartre accueille les visiteurs et leur réserve cette surprise unique.

Un café restaurant dans un superbe jardin, le café Renoir, en l’honneur de ce peintre qui résida ici pendant de longues années.

Ici, pas de chichi, mais de très bons produits. Les délicieuses pâtisseries de Rachel’s, le cidre Sassy pour les accompagner aussi.

Une offre de restauration rapide, simple et de qualité. Un endroit parfait pour une pause gourmande avant d’attaquer les escaliers de la Butte.

Café Renoir 

12-14 Rue Cortot, 75018 Paris de 12h15 à 17h
Téléphone :01 49 25 89 39

Terrasse version élégance discrète – Le Village

Le Village Royal prend toujours par surprise. En déambulant le long de la rue Royale, on pourrait presque le manquer. Mais heureusement, son entrée est encadrée par les vitrines de Chanel et Dior qui incitent à ralentir le pas, et à s’aventurer dans cette charmante cité piétonne qui réserve bien des surprises. La terrasse du restaurant Le Village en est une.

 Ici, dès le matin, on peut prendre un petit déjeuner au calme, ou encore profiter de sa pause déjeuner pour se régaler d’une délicieuse salade.

Sans oublier le goûter, indispensable pour se régaler d’une de ces merveilleuses pâtisseries.

LeVillage  1 Cité Berryer, 75008 Paris
Bien sur, je ne vous ai livré ici qu’un échantillon de ce que propose notre belle capitale ! Parce que des terrasses, il y en a tant. Alors il ne vous reste plus qu’à partir à la découverte et à partager vos trouvailles, avant le retour de la foule et des obligations de la rentrée !
article rédigé avec mes mots en partenariat avec les marques

Restaurant Cleo – Hôtel Le Narcisse Blanc

Restaurant Cleo – comment on s’y sent

Le Narcisse Blanc est un charmant hôtel situé avenue de la Tour Maubourg. Il est aussi délicat et élégant que la fleur dont il porte le nom.

C’est donc ici que se trouve le restaurant Cleo.

Luminosité. C’est le premier qualificatif qui me vient à l’esprit à l’évocation de cette adresse.


Car même si le restaurant est en intérieur, la présence de la verrière qui éclaire l’ensemble du lobby de l’hôtel ainsi que le jeu de miroirs font que la salle du Cleo bénéficie d’une douce lumière tellement agréable en tout temps et particulier et el cette période de fortes chaleur.


On est si agréablement installé, le mobilier est élégant, confortable, laissant présager d’un moment parfait qui pourrait durer des heures.

Restaurant Cleo – ce qu’on y mange

Une carte, et une formule. Et la formule est parfaite !


Idéale pour un déjeuner de qualité, abordable et surtout délicieux. Parce que tout est bon. Délicat, d’une finesse particulièrement excitante pour les papilles.
Qui eût cru que l’on puisse se délecter d’une soupe de concombres !

Le merlu lui aussi, réserve des merveilles de saveur. Et ça aussi c’est inattendu. Parce que le poisson blanc peut rapidement être triste à mourir !

Quand aux desserts, un régal pour la gourmande que je suis. Une tarte qui chante l’été, et un tiramisu qui se réinvente en couleurs.

Le Cleo – pourquoi j’y reviendrai

Parce qu’une pépite telle que le Cleo, ça devient facilement l’adresse favorite que l’on choisit quand on a envie de ne prendre aucun risque.

Quand on veut savoir à l’avance que le moment sera parfait, et savoir aussi que l’on surprendra ceux qui découvriront l’adresse grâce à nous.

Sans oublier le fait que pour l’instant j’ai testé la première formule, mais il y en a d’autres, et aussi la carte ! Que de délices en perspective.

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Restaurant Cléo – Le Narcisse Blanc 
19, BOULEVARD DE LA TOUR-MAUBOURG, 75007 PARIS tel:  01 40 60 44 32

Musée de Montmartre – le café Renoir

Le café Renoir – ça reste entre nous !

On connait tous Montmartre, sa place du Tertre, toujours si animée. Les marches du Sacré Coeur où les passants s’agglutinent pour admirer le paysage, admirer des spectacles de rue, ou simplement se poser et bavarder.

Montmartre - Le Sacré Coeur
Montmartre – Le Sacré Coeur

Ou encore la rue du chevalier de la Barre, spot photo préféré des touristes et instagrameurs en goguette.

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Mais il suffit de faire quelques pas pour découvrir une autre facette de la Butte Montmartre. Pour plonger dans le Montmartre des montmartrois, calme, paisible, et innatendu.

C’est là que se trouve le café Renoir. Au coeur du Musée de Montmartre.

Le Musée de Montmartre

Engagez vous dans la petite rue Cortot, à quelques pas de la place du Tertre, et pénétrez dans le musée de Montmartre.

Bucolique et charmant, l’espace se repartit en cour et jardins.

Ici, le dépaysement est total et absolu. Pas étonnant que le lieu ait séduit tant d’artistes du siècle dernier, comme Renoir, qui donne son nom au café.

Le musée a été créé en 1960 dans la bâtisse la plus ancienne de la Butte, construite du XVIIe siècle : la Maison du Bel Air.
Lieu de rencontres et de résidence, le 12 rue Cortot attira de nombreux artistes. Auguste Renoir y eut son atelier tout comme Suzanne Valadon, Émile Bernard et les fauves Émile-Othon Friesz et Raoul Dufy.

On peut d’ailleurs visiter l’atelier qui accueillit tous ces artistes.

L’endroit est chargé d’histoire artistique, et propose aussi une promenade aussi inattendue que merveilleuse : la promenade dans les vignes. Ces vignes qui sont fêtées chaque année et produisent toujours leur célèbre vin.

Comme vous pouvez le constater, le coucher de soleil de juin est particulièrement propice à cette promenade !

L’heure est venue de faire une pause gourmande. Et cette pause, c’est dans les jardins du café Renoir que vous allez pouvoir la faire.

Le Café Renoir

Ici, vous allez pouvoir vous régaler. Que ce soit pour déjeuner, ou pour goûter. Pour le déjeuner, les quiches de chez Rachels sont proposées pour les gourmands.

En mode formule. Un vrai délice. Présentées ici en mode bouchée, elles sont habituellement servies en parts copieuses.

Quiche ou dessert ? Il sera impossible de choisir ! Je vous recommande de choisir les deux évidemment. Parce que ce cheese cake, c’est la signature de Rachels, et c’est l’occasion ou jamais de le goûter. Ou bien d’opter pour des brownies, ou pour cette tarte au citron meringuée qui met l’eau à la bouche à sa seule vue.

Pour accompagner tout ça, rien de moins que le meilleur cidre du moment, mon favori depuis sa sortie : le cidre Sassy. Qui propose aussi une version « poiré », et désormais un cidre rosé. 
Bien sur, vous pourrez prendre un café ou un thé, ou encore un jus de fruit Alain Millat. Sans oublier le champagne de la maison Jean-NoËl Haton. Le seul champagne que j’achète depuis que je l’ai découvert.
Vous l’aurez compris, à Montmartre, vous pouvez désormais fuir la foule pour une pause gourmande, avant d’attaquer la descente par les petites rues et les dizaines de marches d’escaliers.
 Café Renoir 12-14 Rue Cortot, 75018 Paris de 12h15 à 17h
Téléphone :01 49 25 89 39

 

 

 

Graine Paris – Fast good

Graine Paris – fast food méditerranéen

Le restaurant Graine Paris ( anciennement Graine bar à couscous) permet de manger rapidement de délicieux plats d’inspiration méditerranéenne.

C’est pour cette simple raison que le qualificatif de « fast good » trouvé par son créateur, Majed, colle parfaitement au concept.

Au commencement était le couscous. Et puis le taboulé a fait son apparition, la chakchouka, et tant d’autres délices du sud .

Ici, on choisit son entrée dans un présentoir réfrigéré, où se trouvent également les desserts, puis c’est au comptoir que l’on confectionne son plat en choisissant la base ( taboulé ou couscous) et les ingrédients qu’on ajoutera.

Restaurant Graine Paris
Restaurant Graine Paris

On peut ajouter de multiples ingrédients. De la viande bien sur ( tout particulièrement pour le couscous) , une très grande variété de légumes, du fromage.

Mais ce qui m’a le plus marquée, c’est la qualité de ce que j’ai dégusté. Parce que je dois reconnaitre que le côté fast, même s’il est good, avec la dimension « plateau et bol en plastique » , ne me transportait pas d’envie à priori. Et la surprise de me régaler fut donc d’autant meilleur

Graine Paris – pourquoi y revenir

En ce qui me concerne tout d’abord, pour reprendre de ce dessert aérien et délicieux – dont j’ai malheureusement oublié le nom – mais dont mes papilles se souviennent !

Une autre raison de s’y rendre, c’est précisément quand on est dans ce quartier et qu’on souhaite bien manger, sans se ruiner, et vite ! Parce que dans la catégorie « fast food », difficile de trouver mieux !

Graine Paris – http://www.grainebaracouscous.fr

7 Place Saint Augustin 75008 PARIS 01 45 22 95 78

Musée Jacquemart-André – un musée et un café

Musée Jacquemart-André – un hôtel particulier

Le musée Jacquemart-André porte les noms de ceux qui l’ont construit, puis donné vie, ensemble.

Musée Jacquemart André
Musée Jacquemart André

C’est Edouard André, riche héritier amateur d’art et collectionneur, qui confie la construction de son hôtel particulier à Henri Parent, un spécialiste de l’architecture traditionnelle. Il réalise, de 1869 à 1876, cette superbe construction, inspirée des modèles classiques, par son plan parfaitement symétrique et par le décor de ses façades.

Superbes enfilades de pièces, tentures élégantes, boiseries, et un escalier très original font les charmes du lieu.

Le salon de musique est tout particulièrement charmant et invite à la rêverie avec la musique qui envahit l’espace.

Chacune des pièces a son cachet propres, et elles sont toutes baignées de lumière.

Après leur mariage, Edouard André et Nélie Jacquemart se consacrent intégralement à leur passion de collectionneur d’art. Leur collection est très marquée par leurs voyages multiples en Italie. Les pièces ainsi collectionnées sont disposées dans tout l’hôtel particulier.

Musée Jacquemart André – expositions temporaires

Il y a donc ce que l’on peut qualifier d’exposition permanente, mais le musée accueille régulièrement des expositions temporaires.

La dernière en date, « de Zurbaran à Rothko, Collection Alicia Koplowitz – Grupo Omega Capital « , est un petit bijou mais il vous faudra vous presser pour la découvrir puisqu’il ne reste plus qu’une semaine avant qu’elle ne se termine.

Il s’agit d’une des plus grandes collectionneuses espagnoles de notre époque.
Diversité des techniques des époques et des styles, la collection est le reflet du goût et des émotions de celle qui a parcouru le chemin de l’art.

L’exposition retrace un paysage artistique large, de Goya à Gauguin et Modigliani, en passant par Rothko et Giacometti.

On commence par des artistes espagnols, Zurbarán et Goya.

La 2ème salle des italiens qui ont travaillé en Espagne Tiepolo et Antonio Joli.

Antonio Joli
Antonio Joli

Très grands plans de Venise par Antonio Joli et deux merveilles de Canaletto – Giovanni Antonio Canal.

De salle en salle des artistes aussi divers que Picasso ou Van Gogh sont exposés.

Mon coup de coeur : ce portait de Modigliani, si caractéristique de ce vague à l’âme et de l’infinie tristesse qui transparait de tous ses portraits.

Une superbe exposition à ne pas manquer, si vous trouvez une heure ou deux avant la fin de la semaine.

Musée Jacquemart André – un café restaurant

La bonne nouvelle, c’est que le musée Jacquemart-André vaut largement le déplacement, exposition temporaire ou pas, grâce à son extraordinaire café restaurant !

Ici, on peut déjeuner, bruncher, et se régaler avec les pâtisseries qui sont simplement divines et tellement nombreuses qu’il est quasiment impossible de faire un choix.

 

De multiples salades sont proposées, ainsi qu’une formule très avantageuse avec la quiche du jour ou le plat du jour ( sauf le dimanche) et la pâtisserie de son choix. Tout est servi avec le sourire, et avec une telle efficacité que même lorsque le restaurant est plein l’attente ne dépasse pas quelques minutes.

Les salades sont délicieuses, les produits frais et savoureux.

Et quant aux desserts…..Voici un aperçu restreint du chariot.

Et voici ce que nous avons dégusté. Une tarte aux abricots légèrement acidulée, et un gâteau café et noix pour lequel les qualificatifs me manquent, mais j’en ai à nouveau l’eau à la bouche à sa seule évocation !

Rendez-vous au musée Jacquemart-André donc.

158 boulevard Haussmann 75008 Paris
Tél. : 01 45 62 11 59

Ouvert tous les jours y compris les jours fériés de 10h à 18h. Nocturnes les lundis jusqu’à 20h30 en période d’exposition.

Marlette BHV MARAIS – nouvelle adresse !

Marlette – la marque bio et bonne

J’avais essayé de bruncher chez Marlette, rue des Martyrs. Mais autant dire qu’accéder à une chaise chez Marlette un dimanche après 12h15, c’est juste mission impossible.

Alors je m’étais rabattue sur la confection de leurs gâteaux chez moi, à la maison. Avec leurs préparations, si simples à utiliser, que même la plus incapable des cuisinières fait des miracles !

Si je vous dis : « ouvrir un paquet, ajoutera quelques oeufs, ou et du lait, peut être du beurre, et le tour est joué » , vous comprenez mon enthousiasme ? N’essayez pas, vous ne pourrez plus vous en passer.

Nous sommes restés jusqu’à présent dans l’univers sucré. Mais il s’avère que Marlette est parfait également pour le salé ! Et pour s’en rendre compte, il suffit de se rendre au 3ème étage du BHV Marais.

Marlette BHV Marais – excellente nouvelle

La bonne nouvelle, c’est que pour l’instant, l’information n’a pas encore vraiment circulé. Cela signifie donc que c’est le moment pour découvrir cette bonne adresse encore presque secrète.

Ici, on peut déjeuner, confortablement installé, entre deux étapes d’un shopping effréné ( surtout maintenant, précisément pendant les SOLDES ! )

Une carte alléchante, des produits frais, des formules déjeuner, et tout est préparé sur place.

Le lieu est lumineux, paisible, et donne furieusement envie de s’installer pour rester !

Pour le choix, de multiples salades, des formules, et une large proposition à emporter.

Personnellement, j’ai dégusté un bol gourmand, habituellement proposé à emporter, mais servi à table exceptionnellement par l’équipe particulièrement attentionnée je dois dire !

Marlette au BHV MARAIS
Marlette au BHV MARAIS

Le déjeuner est servi jusqu’à 14h30, mais on peut ensuite venir se régaler d’une des préparations sucrées de la marque, proposées ici à la dégustation.

En dessert, je me suis régalée avec le fondant au chocolat, un des MUST de la marque.

Marlette BHV MARAIS – pourquoi je reviendrai

Inutile de dire que je suis une gourmande invétérée, et que la perspective de tester tous les desserts MARLETTE sans avoir à les faire est alléchante, très alléchante.

Par ailleurs, j’ai une véritable affection pur le BHV, dont l’évolution en BHV MARAIS me séduit mois après mois. Un grand magasin à taille humaine, proposant une sélection de plus en plus pointue, un vrai plaisir shopping en somme.

Et savoir qu’il y a où faire une pause gourmande sans effort est un nouvel atout !

P.S je dois préciser que MARLETTE a remplacé l’espace Pâtisserie des rêves, que j’appréciais beaucoup, et j’ai donc une pensée gourmande pour cette autre marque de douceurs et délices divers !

Marlette BHV MARAIS – 52 Rue de Rivoli, 75004 Paris

Péniche Les Maquereaux – quais de Seine

Péniche Les Maquereaux – comment on s’y sent

L’été arrive, la chaleur s’installe sur la ville. Les parisiens sont à la recherche de fraîcheur, et de nouveauté, comme toujours !

La péniche Les Maquereaux répond à ses attentes.

Au frais, face à la Seine, et à l’Ile Saint Louis, l’endroit est agréable, les banquettes recouvertes de coussins laissent imaginer un moment de détente en dégustant les spécialités de la maison.

Les Maquereaux Paris
Les Maquereaux Paris

Sauf que voilà, quand plus d’une demi heure après la commande nous n’avons rien sur notre table, nous commençons à nous interroger. Et quand nous nous manifestons, le serveur nous répond que cela ne vaut pas la peine de s’énerver et que nous ne devons pas nous inquiéter !

Mais il ne s’agit pas de s’inquiéter. Il s’agit juste de ne pas finir saoûle en attendant cette première assiette. Rappelons quand même qu’il ne s’agit pas ici de grande cuisine. Les sardine sont servies dans leur boîte, les gambas alignées sur une assiette. Rien de très chronophage dans la préparation ! Bref.

Il s’avère qu’un problème technique d’émission des bons à l’attention de la cuisine explique tout ça.

Les serveurs sont « cool », mais pas encore très formés je crois. Quand au patron, gérant, ou encore responsable, il a fait de son mieux pour effacer le souvenir de cette attente bien trop longue et de la qualité d’écoute discutable de son serveur.

Parce qu’on peut tout excuser, tout comprendre, si l’attitude de nos interlocuteurs est la bonne !

Nos boissons ont été offertes, il nous a remercié pour notre « retour ». Disons qu’il faut leur donner une seconde chance…

Péniche Les Maquereaux – ce qu’on y mange

Sur la péniche Les Maquereaux, on mange des produits de la mer. Avec une vraie volonté d’engagement responsable. D’où le manifesto.

Et les produits de la mer sont de très bonne qualité.

Ici, il s’agit d’assiettes à partager plutôt que de restauration à proprement parler. Ou d’accompagnement d’apéro. Ou encore de grignotage léger.

Le lieu a ouvert il y a moins d’une semaine. Du coup, de maquereaux, point. Et les bulots, point non plus !

Mais les gambas étaient délicieuses, les sardines aussi. Idem pour les rillettes.

Difficile de s’exprimer sur le reste. En particulier sur la « touche sucrée » . Je ne sais pas si elle était disponible, mais nous n’avions plus l’envie de tenter le coup !

Péniche Les Maquereaux – pourquoi j’y reviendrai

L’endroit est agréable. La bonne volonté affichée par le patron lorsqu’il s’est rendu compte du fiasco est plutôt rassurante.

Alors je reviendrai pour le cadre, le verre de vin, que j’ai bien apprécié, et pour goûter les maquereaux évidemment.

Les Maquereaux – Quai de l’Hôtel de ville, 75004 Paris

Le Camondo – de l’art à la gastronomie

Le Camondo – le restaurant dans un musée

Le Camondo est une toute nouvelle adresse installée à la frontière du 8ème et du 17ème arrondissement. C’est dans le musée qui porte ce nom que le chef Alexis Le Tadic a pris ses quartiers, et que les convives pourront venir s’attabler.

Ce superbe hôtel particulier, construit au début du XXème siècle, abrite le musée Nissim de Camondo depuis le début du siècle. Grand amateur d’art du XVIIIème siècle, Moïse de Camondo y expose une collection impressionnante de mobilier et d’art. Il donne au musée le nom de Nissim De Camondo en mémoire de son fils, pilote abattu pendant la 1ère guerre mondiale.

Le Camondo – commet s’y sent-on

A peine pénètre-t-on dans les lieux qu’on découvre le superbe bar, installé dans ce qui fut la « remise aux voitures » de l’hôtel particulier.

De multiples détails d’architectures tels que les colonnes métalliques ont été préservées et le résultat est lumineux, spacieux, élégant.

Une fois le bar traversé, on découvre la belle cour jardin, havre de quiétude, ambiance feutrée, la terrasse secrète dont le nom ne tardera pas à frémir sur toutes les lèvres.

Le Camondo – qu’est ce qu’on y mange

Ici, c’est le chef Alexis Le Tadic qui nous propose sa carte qui change tous les mois.

Pour l’entrée, j’ai opté pour le carpaccio de Saint Jacques.

Quant au plat, j’ai choisi le turbot.

Mais certains n’ont pas pu résister à la spectaculaire côte de boeuf pour 2 personnes.

Pour les desserts, c’est Christophe Michalak qui signe la carte. Entre la Pavlova, le Paris Brest ou le mille feuille, comment choisir ? Pour tout vous dire, cette fois, je n’ai pas choisi.

Ce que j’ai dégusté était vraiment bon, le poisson cuit à la perfection, l’accompagnement (dont je ne sais pas à ce jour ce dont il s’agissait) particulièrement délicieux, fondant en bouche.

Mais il faut reconnaitre que le service n’a pas été à la hauteur. Le restaurant à ouvert il y a moins d’un mois. Mais l’organisation est à revoir. Pas de coordination, le vin arrive après les entrées, le café avant les desserts, et l’attente entre les plats est longue, très longue …

Alors j’ai renoncé aux desserts. Mais ce n’est que partie remise.

Le Camondo – pourquoi j’y reviendrai

Je reviendrai pour cette cour jardin si charmante et tellement unique. Sans doute pour prendre un dessert dans l’après midi, en espérant que ce créneau sera plus calme que celui du diner. Parce qu’il faut dire que malgré la jeunesse de l’établissent, l’organisation à peaufiner, le succès est déjà au rendez-vous !

Ou alors, pour prendre un verre, parce que le premier aperçu était très prometteur.

Restaurant Le Camondo 61 bis, rue de Monceau, 75008 Paris

 

Restaurant Le village – terrasse secrète

Restaurant Le Village – une découverte

Le Village Royal est un passage qui permet de s’échapper de la très animée rue Royale pour respirer dans un havre de paix tout à fait inattendu.

Dès que l’on pénètre dans cet espace piéton et paisible, on voit la superbe terrasse du restaurant Le Village.

Restaurant Le Village - terrasse
Restaurant Le Village – terrasse

C’est donc là que j’ai déjeuné et vécu l’expérience d’une pause estivale parisienne, du type de celles que j’adore : au calme, sans voitures, sans passants, sans circulation assourdissante. La quiétude parfaite en somme.

Ici la terrasse est si calme qu’on imagine difficilement le flot continu de voitures de la rue Royale, à quelques dizaines de mètres de là.

Le décor est parfait. Des voisins de qualité puisque les marques de ce passage sont Dior, Chanel, mais aussi Agatha, ou Bell&Ross. Le luxe côtoie le plus abordable en toute sérénité. Il ne reste qu’à découvrir ce que l’on trouve dans l’assiette.

Restaurant Le Village – ce qu’on y mange

Une carte restreinte des grands classiques Costes.

On trouvera donc ici une sélection d’entrées, des traditionnelles asperges vinaigrette aux petits nems poulet basilic.

Et la superbe aubergine grillée burrata.

Pour les plats, si vous avez envie de fraicheur gourmande, la salade de homard aux herbes vous ravira !

Les desserts sont aussi les vrais incontournables de cette adresse. Et je ne vous montre pas l’éclair chocolat géant (pour 2 ou 3 personnes !) pour ne pas vous faire souffrir !

Le Village – pourquoi j’y reviendrai

Pour tester le petit déjeuner. Quel plaisir d’avoir une adresse aussi charmante à tester pour un rendez-vous matinal ou même une pause solitaire avant que Paris ne me reprenne dans ses bras. Il est servi du lundi au samedi, traditionnel ou à la cate, avec oeufs bio et boissons detox en prime.

Petit-déjeuner

Et je reviendrai aussi pour tester tous les desserts : on ne se refait pas !

Restaurant Le village 1 Cité Berryer, 75008 Paris

Photos prises avec l’Olympus OMD

LA MAISON DU CHOCOLAT a 40 ans #ChocIsChic !

LA MAISON DU CHOCOLAT a 40 ans – ça se fête !

LA MAISON DU CHOCOLAT est un monument du chocolat à PARIS. Créée en 1977, la première boutique entièrement dédiée au chocolat ouvre ses portes le 26 octobre 1977 au 225 rue du Faubourg Saint-Honoré.

La Maison du Chocolat - #chocischic
LA MAISON DU CHOCOLAT – #chocischic

Robert Linxe, son créateur, était surnommé « le sorcier de la ganache » , et cette spécialité demeure, 40 ans plus tard.

C’est en 1986 que la deuxième boutique voit le jour, rue François 1er. Et c’est ici même que le chocolatier bouscule à nouveau les codes puisqu’il fait entrer le street art dans ce quartier élégant et bourgeois avec sa nouvelle collection Chocischic aux boites graffées par le célèbre Nasty.

Parce que quand on a 40 ans, il est temps de s’amuser, de s’émanciper, de surprendre. Et quoi de mieux que de s’associer à un graffeur tel que Nasty !

LA MAISON DU CHOCOLAT – Nasty aux commandes

Depuis hier donc, la vitrine du magasin rue François 1er est décorée par un superbe graff crée par Nasty.

Le message est clair : Choc is chic !

Choc is chic - Nasty
Choc is chic – Nasty

De superbes boîtes à offrir et à s’offrir, pour la beauté de la boîte, et le délice des chocolats qu’elle contient.

Le cadeau idéal pour les gourmands et pour les collectionneurs de coffrets somptueux. D’ailleurs, la boite à chapeau est à vendre sans chocolat également.

40 ans La Maison du Chocolat x Nasty
40 ans La Maison du Chocolat x Nasty

Une soirée de lancement exceptionnelle puisque l’artiste était présent, et je lui ai même servi de toile !

La MAISON DU CHOCOLAT – une année d’évènements

Vous pouvez donc d’ores et déjà  vous régaler avec les chocolats ou les macarons contenus dans ces boîtes. Et les nouveautés vont continuer jusqu’à la date de l’anniversaire même, le 26 octobre.

Ainsi, le 11 octobre, la Maison du Chocolat

Et pour finir en beauté, le jeudi 26 octobre 2017, toutes les boutiques parisiennes fêteront ensemble ce 40ème anniversaire  qui célèbre une grande marque créative, inventive, terriblement gourmande.

LA MAISON DU CHOCOLAT 52 Rue François 1er, 75008 Paris