rue des Vinaigriers – Philippe le libraire

Philippe le libraire

le libraire de la rue des Vinaigriers
Philippe le libraire de la rue des Vinaigriers

Lui aussi est dans la rue depuis plusieurs années. Il est mu par ses passions : pâtissier pendant de longues années il décide de se consacrer à sa deuxième passion : les bandes dessinées.

Bien sur, comme vous et moi, il a commencé enfant, par Astérix ou encore les Pieds Nickelés. Et puis il a grandi, avec les bandes dessinées « d’auteur » , et il a adoré : il adore encore !

Tout dans sa librairie est fait pour permettre à chacun de trouver, de découvrir, d’explorer. Il ne s’adresse pas qu’à un public d’initiés : il veut aussi partager sa passion avec ceux qui sont tout simplement curieux.

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Intriguée par ces magazines aux couvertures inattendues, Schnock, je l’interroge : et il me retrace l’histoire de ces fameux Mocks ( Magazines ou books ?) qui ont envahi nos librairies ces derniers mois : vous savez, ces revues, telles que Feuilleton, que j’avais décortiqué il y a quelques mois, et qui font le pont entre le magazine d’actualité et le livre d’analyse d’une société ou d’une époque.

Et bien j’ai, grâce à Philippe, découvert leur ancêtre : XXI.

Philippe entretient un lien avec les artistes, et l’un d’eux lui a même fait un hommage dessiné !

Alors, si vous passez rue des Vinaigriers, n’oubliez pas de lui rendre visite surtout !

Philippe le libraire

32 Rue des Vinaigriers  75010 Paris

01 40 38 11 39

Découvrir Paris et partager ma passion pour la ville …

j’ai toujours aimé déambuler dans les rues de Paris. Parfois, ce sont les rues familières, celles qui me rassurent , qui m’attirent et vers lesquelles mes pas me mènent, inlassablement…

rue Mouffetard

Méconnues des foules, plus protégées, elles ont toujours quelque chose à nous offrir …

Parfois, c’est l’envie d’aventure qui prend le dessus, ces rues, ruelles, boulevards ou avenues moins familières qui soudain me donnent des ailes et dans lesquelles je m’engouffre, en quête de la nouveauté, de la surprise et des découvertes qui m’attendent immanquablement au détour de ces errances, quelque soit le quartier, le jour ou l’heure.

Comme un petit café, si pittoresque qu’il semble tout droit sorti d’un film …

café rue des Barres

Bien sur, il y a les grands monuments qui sont là, imuables, qui veillent sur la ville, ses habitants, et les foules de touristes émerveillés ...

Et puis parfois, c’est une rencontre avec un vélo abandonné …

station de métro Palais Royal – artiste  Othoniel

J’aime quand l’histoire Paris s’inscrit dans ses murs, nous renvoyant à une histoire si lointaine de remparts et d’enceintes, chaque fois abandonné pour accueillir dans la ville d’hier ces villages qui deviendront avec elle la ville de demain …

vestige rue du Cardinal Lemoine

Bien sur, j’ai une affection toute particulière pour la grande dame de fer

Mais c’est sans aucun doute une ile bien connue que je préfère !

Une chose est sure, pour découvrir Paris, il faut déambuler, se promener,  et toujours, toujours, s’émerveiller !

Et vous, où préférez vous vous promener à Paris ?

 

crédit photo Nathalie The Parisienne

 

 

pour vivre des moments Priceless à PARIS ….Demain !

 

Priceless Paris est un programme lancé par MasterCard et qui va proposer de faire vivre des moments qui n’ont pas de prix, de faire redécouvrir Paris aux Parisiens.

Et pour avoir un avant goût de ce que ce programme va nous proposer, la journée du 14 est dédiée à faire des surprises aux parisiens que nous sommes !

Tout d’abord, des partenaires exceptionnels :

Colette, Uber, Cantine California, MK2, Le Palais de Tokyo.

des partenaires qui deviendront Priceless le 14 Novembre au travers d’expériences exclusives imaginées par Priceless Paris.

Des surprises, qui se présenteront sous différentes formes :

des dons, cadeaux mais surtout des expériences offertes par Priceless Paris , des petits plaisirs offerts !

dès 09h00 : près de la Défense ou d’Opéra, d’agréables attentions pourraientvous être portées pour bien commencer la journée.

Petits dons, petits services auxquels on ne s’attend pas, ces petites choses qui font qu’une journée comme les autres peut devenir soudainement une journée qu’on oublie pas !

pause déjeuner  : soyez du côté de Saint Honoré.

Deux partenaires rendront l’après midi Priceless dans ce quartier. Place du marché Saint Honoré pour le déjeuner, rue Saint Honoré le reste de l’après-midi…

Et puis aussi : des concerts, rencontres avec des artistes et moment privilégiés auront lieu au Palais de Tokyo, Mk2 Bibliothèque et chez Colette.

Ces événements reprendront des thèmes du programme Priceless Paris : la musique, la mode, le bien être. 

Pour se promener tout au long de la journée : faites donc une balade sur le Pont des Arts en milieu de matinée ou milieu d’après midi : cette promenade pourrait bien être immortalisée par Priceless Paris. 

Donc, si je résume : vous avez envie d’être surpris, étonné, vous aimeriez que cette journée du 14 novembre soit une journée que vous n’oublierez pas ? Alors faites que vos pas vous guident sur les traces de ces moments priceless offerts par Priceless Paris et MasterCard !

Quant à moi, ce sera déjeuner place du marché St Honoré : peut-être nous y verrons nous ?

Et pour avoir tous les indices : #PricelessParis, la page MasterCardFR ainsi que le compte twitter @MasterCardFR

A Paris je n’aime pas … Starbucks s’installe sur la place du Tertre

Une information lue hier dans la journée, une ballade aujourd’hui du côté de la place du Tertre, et je lance le débat :

Starbucks qui viendrait remplacer une brasserie historique sur la place du Tertre :

vous êtes POUR ou CONTRE ?!

Dès la question lancée, les réponses fusent : toutes négatives, sauf une, que je tiens à saluer pour cette prise de position courageuse : @mamzellecarnetO !

Alors maintenant, c’est à moi de m’exprimer !

La place du Tertre … La carte postale parisienne par excellence. Une charmante petite place, bordée de brasseries et cafés si typiquement parisiens. Des peintres et des artistes, qui, inlassablement, peignent et repeignent notre belle ville, et s’appliquent à croquer les touristes friands de portraits souvenirs !

Je vous avoue que, à la lecture de cette information brûlante – l’installation de Starbucks au coeur de ce petit village si typiquement parisien – ma première réaction a été mitigée :

Comment ?! Le grand méchant américain va détruire, une fois encore, une partie de notre patrimoine , faire disparaitre le petit commerce, tuer l’âme de notre belle ville ?!

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Mais, en y réfléchissant bien, quel est le degré d’authenticité des brasseries qui bordent cette jolie placette?

Quelle est la qualité des plats qui y sont servis … ? Et quant au service … N’y a -t-il pas matière à progresser dan le domaine ?

Y voit-on jamais autre chose que des touristes, les parisiens se rabattant depuis longtemps sur des quartiers tout proches et pourtant délaissés par les meutes d’étrangers et où l’on trouve une vraie authenticité, tel que les Abbesses par exemple ...

Et puis, finalement, n’avons nous pas déjà commis ou envisagé le sacrilège d’installer un Ladurée sur la Fifth à New York ?

Seulement voilà … Ce matin, je suis allée faire un tour du côté de Montmartre …

Et j’ai interrogé ce monsieur, qui travaille  » chez Eugène «  sur l’arrivée de cette nouvelle enseigne .

Il m’a répondu avec passion, voire même émotion ! Il nous a raconté cette brasserie, fermée pour problèmes d’hygiène, et qui est vendue au plus offrant. et il évoque l’image de ces futurs clients qui déambuleront avec un café dans un gobelet en carton .. Et un muffin !

Cette dernière image a eu raison de moi ! Même si je ne suis pas forcément favorable à un immobilisme forcené, je dis quand même que certains lieux doivent garder cette touche parisienne qui les qualifie si bien, et la place du Tertre fait définitivement partie de ces endroits !

Alors, tout comme: 

@Whiskatze @emanu124 @Bullesdeflo @Parisinabottle @tylemeray @MonChasseur @MontmartAddict @ArianeGrumbach  @VMalamitsas @adrienGombeaud  @jadamned @berniecassel  @MariannePelissi @ParisienneNord @ParisienneT

Je dis non ! Et vous ??

Piazza Fontana – le cinéma italien à l’honneur

Le cinéma italien : une révélation

voilà une dizaine d’années que j’ai eu cette révélation, et Marco Tullio Giordana confirme, une fois encore, la force et la sensibilité de ce cinéma .
Pour moi, tout a commencé avec un premier film, vu seule, un après midi de printemps, dans une salle presque vide, et qui m’a bouleversée: « Pan e tulipani » .J’ai découvert alors le plaisir de s’immerger dans un autre univers, d’oublier la réalité du quotidien et de savourer chaque minute d’humanité transmise par des acteurs hors du commun, dans un film où la vraie vie reprend son sens, où preuve est faite que les bonheurs simples existent et que les gens biens ne sont pas nécessairement ou on le croit.

Et puis se sont succedés une série de  films, ayant tous en commun une finesse, une profondeur et une subtilité des analyses humaines , bien loin du manichéisme forcé des scenarii de films à grand spectacle. Il y a eu « mon frère est fils unique », et puis « la Bella gente » ou encore  » le premier qui l’a dit… »

Mais LE film qui est, pour moi, la référence absolue, le film vers lequel je me tourne quand le monde extérieur devient pesant, reste et demeure aujourd’hui : « Nos meilleures années « 
Ce film, fresque historique de l’Italie des années 70, saga familiale, où l’Histoire et les histoires familiales se croisent et s’entremêlent pour nous offrir un grand film, une merveille d’humanité.

C’est le film qui m’a permis de découvrir le plus bel acteur italien du moment – note personnelle : une telle beauté ne devrait pas être autorisée si vous me demandez mon avis – Riccardo Scarmaccio!
Mais aussi des personnages profondément humains, sensibles, que le réalisateur ne juge à aucun moment mais suit avec intérêt ou encore affection .
« Piazza Fontana » est donc un film du même réalisateur que « Nos meilleures années «  : Marco Tullio Giordana.
Comme il nous l’a dit dit lui même lors de la projection du film, c’est une façon d’apporter un nouvel éclairage à un drame de l’Italie en pleine guerre froide.

Cet attentat, si largement analysé, faisant l’objet d’une littérature abondante et riche, est néanmoins resté impuni, la justice ayant finalement baisse les bras.
Le réalisateur nous raconte :  il était à 200 m du lieu du massacre ce jour de décembre 1969 ; et de rajouter : » c’est une garantie, non pas que le film est nécessairement bon, mais en tous cas qu’il est sincère ! » 

Il était le père de Nicola et de Matteo, les personnages principaux de  » Nos meilleures années« , il a désormais Pinelli et Calabresi dans sa galerie des portraits de l’Italie de cette période tourmentée.
Dès les premières images, le décor est posé : cette période où la tension est palpable, où l’on sent que tout peut exploser, et où finalement tout explose. La période de la guerre froide, sur fond de coup d’état grec , avec une Italie ou le coup d’état est imminent et le peuple partagé entre anarchistes, communistes – le plus grand parti en Europe, et neo fascistes
Des groupuscules apparemment de bords opposés mais infiltrés ou les frontières entre les extrêmes sont moins nettes qu’il ne pourrait y paraître.

Et puis l’état, prêt à toutes les compromissions au nom de la fameuse raison d’état.

Il y a les protagonistes de ce drame :Pinelli , l’anarchiste, et Calabresi le commissaire, qui partagent une estime aussi réciproque qu’improbable.
Et puis le tournant , l’instant où tout dérape. Des dizaines de morts, une bavure policière, la quête du bouc émissaire.
Le cri de détresse de Calabresi :  » non ero li! Non c’ero! »  » je n’étais pas là, je n’y étais pas ».
Durant tout le film, le réalisateur s’applique à comprendre, sans juger, sans caricaturer, sans désigner de façon binaire bons et méchants.

Pour finalement ouvrir la porte à une autre hypothèse, des coupables possibles, loin des coupables désignés à l’époque du drame.

Le titre italien du film : « Romanzo Di una strage », est un hommage à un article du même nom écrit en1974 dans corrière della sera par Pasolini.

Marco Tullio Giordana nous explique que Pasolini avait tout compris , la stratégie de la terreur, les coupables qui n’étaient pas forcément ceux que l’on imaginait.

Il raconte que ce titre est un hommage à celui qui avait su comprendre sans avoir les preuves, ces preuves qui petit à petit ont fait surface.

Deux bombes, la complexité d’une situation, d’un pays, d’un peuple.
Marco Tullio Giordana espère apporter un éclairage complémentaire à ce chapitre noir de l’histoire de son pays.

Pari réussi !

Je tiens à remercier Marco Tullio Giordana pour sa présence, l’intelligence de ses propos, ses analyses, toujours fines, intelligentes et sensibles . Il nous offre là du grand cinéma ; c’est suffisamment rare pour être salué !

Alors, surtout, allez vite voir Piazza Fontana !

sortie le 28 novembre 2012

c’est vendredi : vous faites quoi ce weekend ?

Un geste solidaire, et des bonnes affaires ? C’est la braderie Sol en SI à la Cartonnerie !

159 rue Saint Maur et 12 rue Deguerry 75011 PARIS

 

Envie de découvrir ou redécouvrir le street art : c’est aux Blanc Manteaux : le M.U.R

48 rue Vieille du Temple 75004 Paris

Durant tout le weekend, performance et créations de 50 artistes urbains : Gérard de Mosko et associés, FKDL, Mesnager, Speedy Graffito, Smole et tant d’autres : ils sont tous là, ne les manquez pas !

Et que diriez vous d’un fashion brunch au célèbre café A ? C’est ce weekend, de 11h30 à 19h00 .Pour bruncher, chiner, flâner, s’amuser !

Café A Maison de l’architecture 148 rue du Faubourg Saint-Martin 75010 Paris

Et puis il y a toujours la rue des Vinaigriers à découvrir !

Et n’oubliez pas, c’est l’ouverture du MK2 Grand Palais pour finir ! Pas le temps de dormir ce weekend je crois !

 

 

rue des Vinaigriers – la fabrique à gâteaux

La fabrique à gâteaux

fabrique à gâteaux rue des vinaigriers
les délices de la fabrique à gâteaux rue des Vinaigriers

Alice et Lisa.

Elles sont deux. deux amies qui ont décidé de prendre leur vie en main.

Elles ont travaillé avec les plus grands pâtissiers de la place, et ont décidé de vivre leur passion à leur façon.

C’est comme ça qu’elles ont ouvert «  La fabrique à gâteaux «.

Uen façade délicieusement girly, tout de rose vêtue ,u ne sélection de pâtisseries individuelles, raffinées et haut de gamme, à  un prix abordable : 4€ pièce.

Elles confectionneront aussi pour vous tous les gâteaux dont vous rêvez, du plus classique à la pièce montée la plus extravagante, toujours avec la même passion.

Alors attention, leur fabrique ouverte depuis un mois, elles sont débordées par leur succès !

La presse les a découvertes et encense leurs pâtisseries ! En même temps, comment faire autrement ?

Du fraisier, léger et orné d’une petite touche meringuée, à la tarte citron, en passant par le macaron framboise, elles ont modernisé nos classiques, en les rendant tout simplement uniques .
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Shuuuut … Ne le disons pas trop fort, et évitez d’en parler autour de vous : elles pourraient me reprocher de leur envoyer encore plus de clients ! Et du coup, pas le temps de travailler à un élargissement de leur gamme, pas le temps de prendre le temps, ce qu’elles voulaient avant tout!

En même temps, et je leur ai dit : il va falloir qu’elles se préparent à le gérer ce succès, parce que, quand on fait des produits aussi excellents et abordables, ça finit toujours par se savoir !

La fabrique à gâteaux

39 rue des Vinaigriers 75010 PARIS

tel : 09 83 26 68 02

Et n’oubliez pas, une fois que vous vous êtes bien régalés, de faire un tour à La Pinata !

Chaque rue est unique : et la votre ? 

Rue des Vinaigriers – la Pinata

La Pinata – 100% made in Paris with love

Pinata rue des Vinaigriers
l’équipe de la Pinata rue des Vinaigriers

LA Piñata est au coeur de la rue des Vinaigriers, SA rue !

Elle, c’est Elena, une des commerçantes les plus anciennes de cette rue . Elle nous parle  de sa boutique, et de son histoire ….

Elena – créatrice de Pinata

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C’est à la Pinata de la rue des Vinaigriers que vous trouverez les objets du même nom !

Mais qu’est ce qu’une piñata ? La piñata (de l’italien pignatta) est un récipient, qui peut prendre la forme d’une figurine ou de tout autre objet, que l’on remplit de sucreries et de jouets.( définition Wikipédia)

Initialement en terre cuite , dans les pays d’Amérique du sud où elle fait partie de la culture , elle est désormais construite en papier journal durci autour d’un énorme ballon de baudruche, puis recouverte de paiers multicolores et de formes sculptées qui lui permettent de revêtir tous les aspects dont vous rêvez : un lion, la théière d’Alice au pays des Merveilles, une boule fleurie …

Mais la pinata, c’est surtout une expérience, une histoire, une fête ! Et Elena ne vous vend pas des objets, elle vous offre de la magie.

 

 

Ses piñatas sont colorées, joyeuses, aux formes multiples et uniques.

L’atelier est là, avec ce pistolet à colle « premier objet que j’allume en arrivant «  explique-t-elle, et qui lui sert pour tout ce qu’il faut coller vite, comme des fleurs de papiers, un dernier élément de décoration.

Dans la boutique, des dizaines de modèles sont exposés, attendant cette fête qui aboutira à sa destruction joyeuse dans un brouhaha de cris d’enfants !

Elena est le cœur et l’âme de ces objets. Elle a commencé à les fabriquer elle-même, chez elle, il y a des années, et, alors qu’une commande de citrouilles pour Disney la retenait dans son atelier durant tout un mois d’août, elle entend une émission de radio qui parle des ateliers de travail en milieu carcéral.

La graine est plantée dans son cerveau, et quelques mois plus tard, il y a sept ans, elle se lance dans une expérience qui va changer sa vie. Elle le dit elle-même «  il y a ma vie d’avant et ma vie d’après ». Elle forme des prisonniers à la création de ces objets magiques, et leur donne cette occasion unique de créer, et de s’évader sans franchir les murs de la prison.

Un des détenus ayant travaillé avec elle lui avoue qu’il «  attend le lundi avec impatience » , parce que c’est le jour de l’atelier des piñatas. Imaginez tous ceux qui, le lundi, arrivant sur leur lieu de travail, n’ont que le prochain weekend en tête … Ceux là sont finalement plus prisonniers de leur vie qu’ils ne le pensent !

Deux fois par semaine donc, Elena va en prison, pour aider, former, et accompagner ceux dont elle ne peut plus imaginer se passe !

Des pinatas à Fleury Merogis ?!  Incroyable non ?! Et c’est grâce à Elena !

Alors, si vos enfants fêtent leur anniversaire, si vous voulez un défouloir joyeux pour un évènement ou une fête, allez vite chez Elena, et vous y trouverez la piñata qu’il vous faut !

 

La Pinata

25, rue des Vinaigriers 75010 Paris

Tél : 01 40 35 01 45

http://www.lapinata.fr/

Afficher la Piñata sur une carte plus grande

Chaque rue est unique ; Et la votre ?

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streets of Paris – la rue des Vinaigriers

rue des Vinaigriers rues de Paris
la plaque de la rue des Vinaigriers

La rue des Vinaigriers est une rue discrète, accolée au canal Saint Martin, si vivant, animé, et elle demeure pourtant méconnue.

C’est sans doute lié à sa configuration si particulière, légèrement en contrebas, qui lui  permet de se dissimuler aux yeux des passants, pourtant si nombreux, qui arpentent le quai de Valmy.

Cette rue, et plus particulièrement le petit tronçon qui relie le quai de Valmy à la rue Lucien Sampaix, abrite une multitude de commerces . Et je vous garantis que vous n’êtes pas au bout de vos surprises tant ils sont divers , chacun ayant une histoire.

Commençons par une vue d’ensemble, de vitrines en enseignes et en façades …

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Dans cette rue vous trouverez des restaurants, traditionnels comme le  » restaurant de Bourgogne « , qui attire des flots de touristes ayant repéré l’adresse dans un des nombreux guides où elle est citée, ou encore des restaurants italiens, et une « fabrique de gâteaux  » pour les plus gourmands !

Et puis il y a un distributeur de meubles, dont le propriétaire et créateur perpétue une longue histoire familiale et redonne vie à son village natal qui est … loin, bien loin !

Vous pourrez également prendre un café en terrasse, ou encore découvrir le monde merveilleux des bandes dessinées chez Philippe le Libraire !

Et puis, pour ceux d’entre vous qui gèrent leur temps et leur lieu de travail, le café CRAFT vous accueillera en mettant à votre disposition connectique, casiers pour stocker vos affaires personnelles le temps de votre présence ou si vous vous absentez pour une heure, et meêm un coin réunion pour accueillir clients et prospects .. Sans parler d’un café particulièrement soigné !

L’histoire du quartier s’inscrit dans les enseignes, mais les riverains peuvent aussi faire leurs courses au quotidien : Franprix est là pour ça !

Et puis il y a Elena et la Piñata … C’est par elle que nous commencerons la visite de cette rue.

Elle en est, d’une certaine façon, la mémoire, et certainement la propriétaire d’une des enseignes les plus anciennes de la rue, et la plus joyeuse et colorée ….

Vous viendrez la découvrir avec moi ? La visite commencera dès demain !

Et en attendant, vous pouvez toujours faire un tour sur le blog de la rue !


Afficher Rue des Vinaigriers sur une carte plus grande

c’est vendredi, vous faite quoi ce weekend ?

La Foire d’Automne

Du 26 octobre au 4 novembre 2012

La Foire d’Automne offre aux enfants, dont l’entrée est gratuite jusqu’à 14 ans, l’occasion de faire le plein d’ateliers gratuits, de découvrir le potager à croquer et de déguster de bons produits. C’est aussi l’occasion pour les adultes de découvrir tendances et nouveautés, pour profiter agréablement de l’hiver qui s’annonce …

Et pour télécharger une invitation gratuite, c’est plutôt simple !


Le Salon du Chocolat

Du 31 octobre au 4 novembre 2012

Pour compléter les préparatifs pour l’hiver, comment se passer de chocolat ?! Alors cette année, le nouveau est à l’honneur : Nouveaux Mondes du Chocolat : nouveaux goûts, nouveaux territoires, nouvelles tendances de consommation, nouveaux talents ! Des conférences, des rencontres, et surtout des dégustations …

 

Ce weekend est également riche en brocantes. En voici un échantillon :

Du samedi 3 au dimanche 4 novembre 2012 :
– 13e arrdt : boulevard Arago (Métro 4, 6, RER B : Denfert Rochereau)
– 13e arrdt : boulevard Auguste Blanqui (Métro 5, 6, 7 : Place d’Italie)
– 15e arrdt: rue Saint-Charles, emplacement du marché (Métro 10 : Charles Michels)

 

Enfin, vous pouvez vous préparer à l’ouverture du MK2 Grand Palais !

Je sais, c’est le 9 Novembre, mais vous pouvez déjà étudier les programmations pour être fin prêts le jour J !

Pour tout découvrir sur cette salle et ses programmes