Loulou Jasmin – décoration d’intérieur.

Loulou Jasmin se dissimule dans la discrète rue Poussin, dans le XVIème arrondissement.

LoulouFacade

Un magasin de décoration d’intérieur, et plus encore.

Si vous avez en tête de refaire votre maison, ou même une pièce, ou si, plus simplement, vous cherchez un joli coussin original ou un objet de décoration unique dont vous serez sur de ne pas le retrouver ailleurs, il faut que vous alliez chez Loulou Jasmin !

Quand on pénètre dans les lieux, c’est la couleur et sa chaleur qui sautent aux yeux. Tout parle joie de vivre : tissus chamarrés, objets d’intérieur colorés, et puis les coussins … Ah, les coussins !

LOULOUcoussins

Loulou Jasmin, c’est donc l’histoire de Valerie Bettane qui secoue les classique, les modernise, mais toujours avec des étoffes, objets et papiers de grande qualité.

Elle créé des moodboards, sur la base de ce que vous lui expliquez, de ce que vous aimez, et même de ce qu’elle voit chez vous. Parce qu’elle se déplace aussi, pour prendre la mesure de l’atmosphère de votre lieu de vie et le parer ainsi de ses plus beaux atours.

LoulouMoodVert

Tissus donc, tels que celui ci, signé Hermès, mais faut-il vraiment le dire ! Ces plumes sont reconnaissables entre mille ! Et ce tombé…

LOULOUetoffes

Une large sélection de paiera peints des plus grandes marques de l’univers de la décoration d’intérieur lui permet de réaliser ces petites merveilles sur mesure.

 LOULOUtissus

Et puis il y’a ces coussins qui réchaufferaient le canapé le plus gris de la ville !

J’ai également un penchant pour ce vase « cravates » . Une brassée de fleurs s’y installerait avec élégance.

vase cravates
vase cravates

Pour vous, amateurs de bougies, une collection de bougies aussi belles et parfumées qu’élégantes.

LOULOUbougies

Et enfin, un de mes coups de coeur, ces bocaux cloisonnés qui pourraient rapidement devenir une addiction si vous n’y preniez pas garde !

LOULOUcoupdeCoeur

LOULOUcloisonnes

Donc, vous l’aurez compris, quand vous serez dans le quartier, faite un tour, voire même un détour pour aller découvrir cette boutique qui ne vous réservera que de jolies découvertes.

5 Rue Poussin, 75016 Paris
01 46 47 18 36

 

 

 

naissance d’une galerie d’art en ligne – LINKART – invitations à gagner

Le 17 novembre sera la date de naissance de Link Art, une galerie d’art en ligne, et à cette occasion, elle investit le showroom Haworth, pour vous permettre de partir à la connaissance de ses artistes.

70 oeuvres qui habileront à cette occasion le lieu, anciennement demeure de l’artiste et industriel Edgar Brandt, qui , passionné d’art déco.

Alors, vous aussi vous souhaiteriez participer à cet évènement parisien unique en son genre et réservé à la presse ?

Rien de plus simple ! Il vous suffit de me le dire dans un commentaire sur cet article, et dès mardi 8, à 20h00, je désignerai les deux gagnants qui remporteront une invitation pour cet évènement.

Et en attendant, n’hésitez pas à faire un tour sur la page Facebook de la galerie  pour suivre de près l’actualité de cette galerie d’un genre nouveau !

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Ice-Watch : tous les modèles, toutes les couleurs !

EDIT du 22 avril :

Cara Bijoux a cédé sa place à un nouvel Ice Watch store tout beau tout neuf, et toujours tenu par la pétillante Dominique ! Alors si vous rêvez d’une Ice Watch, que ce soit le modèle classique, ou une édition limitée, elle les a TOUTES !

Voici bien longtemps que je n’étais pas partie à la découverte d’une boutique et de sa propriétaire .. Et bien l’heure est venue de vous parler de Dominique et de sa boutique, ou plutôt de sa caverne d’Ali Baba : Cara bijioux !

Dominique a toujours vendu des bijoux, en or et métaux précieux. Et un jour, elle a décidé de se diversifier pour se tourner avec un oeil d’experte vers la bijouterie fantaisie ! Et c’est réussi !

Rue Gustave Courbet, tous les commerçants se connaissent, et les échanges vont bon train . Elle n’est pas là depuis longtemps mais on la connait déjà ! Il faut dire qu’elle a le verbe et le sourire faciles !

Quand on arrive chez Dominique, ou plutôt chez Cara bijoux, ce qu’on voit avant tout, ce sont les Ice-Watch ! Normal, c’est sa boutique qui est le premier point de vente parisien de cette marque que nous aimons tant ! C’est simple, quelque soit le modèle, si quelqu’un l’a , c’est elle ! Et si ce n’est pas le cas, elle finira par vous l’obtenir !

Autre spécialité de cette mine d’or : les créoles et boucles d’oreilles à clips ! Parce que tout le monde n’a pas forcément les oreilles percées  .. Et c’est si difficle de trouver de jolies boucles dans ce cas ! Et bien elle a un choix exceptionnel !

Dominique commercialise également la marque de bijoux élégants et discrets qui a son magasin rue du marché Saint Honoré : Morgane Bello …  Ici, peu de modèles exposés, mais tout est disponible sur commande … Et je vous invite à vous intéresser aux prix de très près !

Dans la gamme élegante et discrète, en bijoux fantaisie, de très jolis petits bracelets agrémentés de nacre, et des bagues ornées de perles-breloques …

Et puis il y a les manchettes POGGI ! J’adore ! Plaqué or ou argent, il y en a pour tous les goûts !

 

Parce que c’est bientôt l’été, vous pourrez choisir entre ces charmantes petites bagues fleurs que vous pourrez cumuler sur votre doigt

et, pour celles qui aiment les couleurs franches et joyeuses , ces superbes colliers qui orneront parfaitement vos cous bronzés …

Alors, vous l’aurez compris, CARA, rue Gustave Courbet, est l’étape indispensable pour un achat plaisir, un petit cadeau, un bijou fantaisie avant l’été, ou encore une montre aux couleurs acidulées !

Et, pour celles qui auraient un doute, Dominique offre à toutes les acheteuses venant de la part de The Parisienne une réduction exceptionnelle de 10% sur l’ensemble du magasin … Je dis bien , sur L’ENSEMBLE du magasin … Tentant , non ??

CARA bijoux

10 rue Gustave Courbet 75016 PARIS France.

Téléphone : 01.44.05.92.18.

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Carette – un salon de thé historique !

Carette – 4 place du Trocadéro

75016 PARIS

Tel : 01 47 27 98 85

C’est en 1927 que Jean Carette s’installe Place du Trocadéro. Sa réputation, vite installée, ne se démentit pas , plus de 80 ans plus tard !

 

Carette est le QG de la presse parisienne le matin, à l’heure du petit déjeuner . Echanges et conversations animées, portables en action, toute cette effervescence est perceptible à peine pénetre-t-on dans la salle principale de ce salon de thé pas comme les autres.

Et d’ailleurs, autant le dire, c’est plutôt de brouhaha qu’il s’agit ! difficile de mener une véritable discussion sans s’y reprendre à plusieurs reprises … ains, les secrets qui s’échangent là tous les matins sont bien gardés 😉

Un petit déjeuner , et peu de photos donc, d’autant plus que quand j’ai voulu me diriger vers les patisseries pour prendre quelques images, on m’a signifié un refus catégorique :  » on ne photographie pas les patisseries ! Non, même pas pour en dire du bien sur un blog ! »

Alors voici les seules images volées …

un cadre élégant et classique 

 

une vitrine bien alléchante, même de loin !

Le service est souriant et attentionné, il parait même que pour les habituées, les serveuses sont comme des mamans, qui connaissent les goûts et les habitudes de chacun …

Alors, si vous passez dans le coin, pour le plaisir d’être au coeur de l’action …

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GUIMARD – l’âme de l’architecture parisienne du début du XXème siècle

Guimard obtient avec cet immeuble le 1e prix de la plus belle façade de la ville de Paris en 1898, concours organisé par le journal Le Figaro.

Tout dans cet édifice s’inspire des théories de Viollet-le-Duc: rejet de la symétrie, de la planéité, utilisation de matériaux modernes (fer, fonte, verre) auxquels on donne une véritable fonction ornementale.

C’est un véritable manifeste de  » l’Art Nouveau « .

Et comme le XVIème est riche en « villas » et villages parisiens, je ne tarderai pas à y retourner …

Et si vous souhaitez découvrir les créations d’Hector Guimard à PARIS, cliquez ICI !

A demain !

C’est la propriétaire du terrain, Madame Veuve Fournier, amateur d’insolite, qui demande à Hector Guimard encore jeune et pratiquement inconnu de construire un immeuble de rapport (36 appartements).

elle voulait de l’insolite, elle n’a certainement pas été déçue 😉

L’immeuble sera construit de 1895 à 1898.