Surtout, ne prononcez surtout pas Saint Jaïmes à l’anglaise.
Les Saint-Jamais le prendraient très mal !
SAINT JAMES PARIS
En effet, la célèbre marque française de marinières et pulls marins tient son nom du village ou elle est née : Saint-James en Normandie
Célèbre pour ses marinières et ses pulls marins, tous conçus et fabriqués en France, la marque Saint James possède une boutique dans le Marais rue Vieille du Temple. Vous pourrez y découvrir toute la gamme, que ce soit les grands classiques ou encore les collections du moment.
Dans la gamme classique, il y a la collection » Saint James l’atelier« .
SAINT JAMES L’ATELIER
Des marinières traditionnelles, de grande qualité, en provenance directe de leur lieu de fabrication.
Et puis il y a les collections spéciales, comme par exemple les marinières créées en collaboration avec Marin Montagut.
Saint James et Marin Montagut
Ainsi, actuellement, c’est une collaboration avec Marin Montagut qui est présentée par la maison Saint James.
Mais qui est Marin Montagut ?
Ce jeune artiste est connu pour sa collection de guides Bonjour City Map Guides. Passionné de voyages, d’art et de rencontre, il personnalise ces marinières et créé en même temps un joli guide pour découvrir les plus jolies adresses de Normandie. A l’image de ses City Map Guides.
Dans cette collection, il personnalisés 3 marinières.
Pour l’une, il ajoute en trompé l’œil les célèbres boutons dorés positionnés sur les épaules. Pour l’autre, un écusson signé de son nom.
Une collection à son image, avec un bonus : un mini guide vous sera offert pour l’chat d’une de ses marinières.
Amoureux de marinières, vous savez ce qu’il vous reste à faire.
Saint James Paris 116 Rue Vieille du Temple, 75003 Paris
Le Camondo est une toute nouvelle adresse installée à la frontière du 8ème et du 17ème arrondissement. C’est dans le musée qui porte ce nom que le chef Alexis Le Tadic a pris ses quartiers, et que les convives pourront venir s’attabler.
Ce superbe hôtel particulier, construit au début du XXème siècle, abrite le musée Nissim de Camondo depuis le début du siècle. Grand amateur d’art du XVIIIème siècle, Moïse de Camondo y expose une collection impressionnante de mobilier et d’art. Il donne au musée le nom de Nissim De Camondo en mémoire de son fils, pilote abattu pendant la 1ère guerre mondiale.
Le Camondo – commet s’y sent-on
A peine pénètre-t-on dans les lieux qu’on découvre le superbe bar, installé dans ce qui fut la « remise aux voitures » de l’hôtel particulier.
De multiples détails d’architectures tels que les colonnes métalliques ont été préservées et le résultat est lumineux, spacieux, élégant.
Une fois le bar traversé, on découvre la belle cour jardin, havre de quiétude, ambiance feutrée, la terrasse secrète dont le nom ne tardera pas à frémir sur toutes les lèvres.
Le Camondo – qu’est ce qu’on y mange
Ici, c’est le chef Alexis Le Tadic qui nous propose sa carte qui change tous les mois.
Pour l’entrée, j’ai opté pour le carpaccio de Saint Jacques.
Quant au plat, j’ai choisi le turbot.
Mais certains n’ont pas pu résister à la spectaculaire côte de boeuf pour 2 personnes.
Pour les desserts, c’est Christophe Michalak qui signe la carte. Entre la Pavlova, le Paris Brest ou le mille feuille, comment choisir ? Pour tout vous dire, cette fois, je n’ai pas choisi.
Ce que j’ai dégusté était vraiment bon, le poisson cuit à la perfection, l’accompagnement (dont je ne sais pas à ce jour ce dont il s’agissait) particulièrement délicieux, fondant en bouche.
Mais il faut reconnaitre que le service n’a pas été à la hauteur. Le restaurant à ouvert il y a moins d’un mois. Mais l’organisation est à revoir. Pas de coordination, le vin arrive après les entrées, le café avant les desserts, et l’attente entre les plats est longue, très longue …
Alors j’ai renoncé aux desserts. Mais ce n’est que partie remise.
Le Camondo – pourquoi j’y reviendrai
Je reviendrai pour cette cour jardin si charmante et tellement unique. Sans doute pour prendre un dessert dans l’après midi, en espérant que ce créneau sera plus calme que celui du diner. Parce qu’il faut dire que malgré la jeunesse de l’établissent, l’organisation à peaufiner, le succès est déjà au rendez-vous !
Ou alors, pour prendre un verre, parce que le premier aperçu était très prometteur.
Restaurant Le Camondo 61 bis, rue de Monceau, 75008 Paris
Cette boutique, je l’ai découverte au détour d’une balade, là, par hasard, rue de Turenne.
Un coup d’oeil en vitrine, l’envie d’en savoir plus, et me voilà à l’intérieur, pour mon plus grand bonheur, comme cela m’arrive régulièrement.
Julia’s corner
Julia’s Corner est spécialisé en made in France, même si les sacs qui ont attiré mon oeil au premier regard sont faits en Italie. Nous y reviendrons.
Julia’s corner, c’est donc l’univers de Julia. On l’imagine entrain de choisir, de sélectionner. Chez elle, on trouve de l’épicerie fine, des accessoires, du lifestyle, des pièces pour la maison. Eclectique donc, et cohérent pourtant.
La pièce phare du moment, celle qui m’a fait passer le pas de sa porte, ce sont ces sacs, légers comme une plume. Les sacs Save my bag.
Julia’s corner – Save my bag
De la couleur, de la légèreté, et ils passent à la machine !
S’il fallait choisir un seul mot pour décrire ces sacs, ce serait : ludique ! Des modèles graphiques, des formes citadines, ils se déclinent dans de multiples couleurs, mais aussi des imprimés, et en allant sur le site de la marque on trouve des accessoires pour habiller le sac.
Pour tout dire, je vais avoir du mal à ne pas craquer dans les jours à venir …!
Et chez Julia’s corner, la tentation est multiple.
Julia’s corner – des charentaises comme à la maison
Ici, les charentaises prennent un coup de jeune et on a envie d’en choisir une paire pour chaque membre de sa famille.
Cette marque qui réinvente les charentaises, mais dans la plus pure tradition puisqu’elles sont toutes fabriquées en Charente. Elle leur redonne de la couleur et du peps, pour séduire les hipsters, permettre aux papis de retrouver leurs bonnes vielles charentaises, et il y en même pour femmes !
Alors c’est vrai, l’été n’est pas la période idéale pour glisser ses pieds dans des charentaises, mais je garde l’idée bien au chaud pour cet hiver.
Et je continue dans la série des tentations en tous genres chez Julia’s corner.
Julia’s corner – tentations en tous genres
Commençons par ces lunettes de soleil de la marque REZIN.
Des lunettes au design unique, basé sur une approche écologique durable, grâce à l’utilisation de bois de forêts gérées durablement . Et après chaque achat, Rezin replante un arbre. Une approche durable pour de superbes lunettes. Que demander de plus ?
Il y a aussi de superbes bougies, parfaite pour un joli cadeau élégant et tendance.
Ou encore pour les amoureux de vintage ces jolies radios.
Et si vous imaginez que je vous ai déjà tout dit, vous vous trompez. Parce que chez Julia’s corner, les produits proposés changent régulièrement, au gré des envies de Julia.
Alors à très vite chez Julia’s Corner ?
Julia’s corner 93 rue de Turenne 75003 Paris Tél : 09 81 06 03 08
Le Village Royal est un passage qui permet de s’échapper de la très animée rue Royale pour respirer dans un havre de paix tout à fait inattendu.
Dès que l’on pénètre dans cet espace piéton et paisible, on voit la superbe terrasse du restaurant Le Village.
Restaurant Le Village – terrasse
C’est donc là que j’ai déjeuné et vécu l’expérience d’une pause estivale parisienne, du type de celles que j’adore : au calme, sans voitures, sans passants, sans circulation assourdissante. La quiétude parfaite en somme.
Ici la terrasse est si calme qu’on imagine difficilement le flot continu de voitures de la rue Royale, à quelques dizaines de mètres de là.
Le décor est parfait. Des voisins de qualité puisque les marques de ce passage sont Dior, Chanel, mais aussi Agatha, ou Bell&Ross. Le luxe côtoie le plus abordable en toute sérénité. Il ne reste qu’à découvrir ce que l’on trouve dans l’assiette.
Restaurant Le Village – ce qu’on y mange
Une carte restreinte des grands classiques Costes.
On trouvera donc ici une sélection d’entrées, des traditionnelles asperges vinaigrette aux petits nems poulet basilic.
Et la superbe aubergine grillée burrata.
Pour les plats, si vous avez envie de fraicheur gourmande, la salade de homard aux herbes vous ravira !
Les desserts sont aussi les vrais incontournables de cette adresse. Et je ne vous montre pas l’éclair chocolat géant (pour 2 ou 3 personnes !) pour ne pas vous faire souffrir !
Le Village – pourquoi j’y reviendrai
Pour tester le petit déjeuner. Quel plaisir d’avoir une adresse aussi charmante à tester pour un rendez-vous matinal ou même une pause solitaire avant que Paris ne me reprenne dans ses bras. Il est servi du lundi au samedi, traditionnel ou à la cate, avec oeufs bio et boissons detox en prime.
Et je reviendrai aussi pour tester tous les desserts : on ne se refait pas !
Les évènements blogueurs sont parfois l’occasion de passer un excellent moment, dans un superbe cadre, en très bonne compagnie, et de découvrir de nombreux univers, des nouveautés, des produits qui deviendront nos chouchous pour l’été.
C’est le cas de la soirée Summer & The City qui s’est déroulée le 17 mai 2017, une soirée e-Parisiennes.
Comme pour chaque édition des soirées e-Parisiennes, les marques présentes étaient confortablement installées, certaines sur la terrasse et dans le jardin, d’autres dans les deux salles de restaurant de l’hôtel, permettant ainsi les meilleures mises en scène des produits, et les plus belles expériences à vivre ensemble, tout en bavardant gaiement, et en sirotant un des cocktails concoctés par les mixologues de l’hôtel.
Avec l’été qui s’installe, je vous recommande d’aller prendre un verre dans ce superbe jardin, voire même tester le brunch du weekend !
A quelques pas du Trocadéro, un cadre magnifique dans un quartier où les bonnes adresses de ce type ne sont pas si courantes.
Revenosn en donc à la soirée. Qu’avons nous donc pu découvrir ?
Découvertes estivales 2017 – Slendertone
Quand je vous dis Slendertone, vous pensez ceinture de musculation.
Et en effet, c’est un des produits phare de la marque. Mais en parallèle de ces produits qui contribuent à activer la musculation de notre sangle abdominale, Slendertone propose des conseils éclairés, des exercices de musculation, dont l’effet sera accentué bien sur si on utilise la ceinture.
C’est la coach sportive Julie Ferrez qui était là pour en faire la démonstration. Et elle a remporté un franc succès !
Concentrées, les participantes ont pu découvrir une série d’exercices simples à mettre en oeuvre quotidiennement pour un résultat rapide et visible.
D’ailleurs, pour ceux d’entre vous qui souhaiteraient se mettre au sport rapidement, voici une fiche de synthèse dont vous ne pourrez bientôt plus vous passer !
slendertone
Découvertes estivales 2017 – Showroom privé : la collection IRL
Showroom Privé, tout le monde connait. Mais si, ce site de vente en lignes de marques à prix super réduits. Ce que je ne savais pas, et que vous ignorez peut-être aussi, c’est que depuis quelques temps, Showroom Privé commercialise ses propres collections : les collections IRL
Joyeuse, dans l’air du temps, et terriblement abordable !
Les paniers de Maud Fourier
Un des grands suces de la soirée fut la découverte des sacs et des paniers personnalisés de Maud Fourier.
Et pour bien découvrir la collection en échangeant avec la créatrice elle-même, présente pour l’occasion, un atelier de personnalisation de panier était proposé.
Et chacune est partie avec sa création. De vraies réussites. Mais on savait déjà que les blogueuses étaient des artistes !
Prescription Lab
Tout en présentant sa box, les équipes de Prescription Lab proposaient une manucure avec leurs proposer vernis. Comment résister à la découverte, doublée d’une pose de vernis parfaite !
La particularité de la box Presscription Lab, c’est qu’elle contient des produits de la marque éponyme. Des produits donc!us et fabriqués avec une volonté de disposer des produits les plus naturels possible. Voilà pourquoi Prescription Lab valorise les produits tels que les huiles végétales, les algues, les fleurs, les fruits, et écarte phtalates et autres ingrédients inutiles.
Micro Traiteur – un traiteur parisien pas micro du tout !
Clarifions d’emblée les choses. Micro Traiteur doit son nom au grand père du propriétaire : M. Micropoulos
Propriétaire d’une épicerie grecque, la maison Micro, depuis plusieurs générations, la famille ouvre son service de traiteur, et nous régale ainsi tous !
Et pour démontrer qu’il n’a de Micro que son nom grec, il a préparé un buffet spectaculaire pour les 100 invités !
Une belle soirée donc, riche en découvertes parisiennes, et jolies expériences.
Merci à Philippe Toledano, le photographe de Showroom Privé, pour ces superbes images.
Si vous rêvez de vous offrir un de ces somptueux chemisiers, le CODE: KENOKADA50 vous permettra de bénéficier d’une réduction de 50€ en ligne, jusqu’au 27/06/2017 ou en boutique
Pénétrer dans la boutique de Ken Okada c’est découvrir un univers onirique et aérien.
Ken Okada Paris
De légers voilages blancs qui frémissent au gré du vent. Des pièces travaillées croisées au fur et à mesure que l’on pénètre dans son univers.
Ken Okada
Et c’est là que Ken Okada expose ses créations, qu’elle les conçoit, et qu’elle les fabriques pour ses robes du soirsur mesure. Ces robes, qui se déclinent en version courte et version longue, et surtout dans une multitude de tissus que vous pourrez choisir sur place.
Ken Okada – robe du soir
Qui est Ken Okada ? Japonaise, elle a étudié dans la célèbre Bunka Fashion College, là où Kenzo lui aussi a fait ses premières armes.
Elle aussi rêve de Paris et c’est donc naturellement qu’elle arrive ici il y a une quinzaine d’années.
Elle restera et depuis 15 ans elle crée dans sa boutique atelier de la rue de la Chaise.
Ken Okada – Le chemisier au coeur
La créatrice fait du chemiser la pièce maîtresse de la tenue élégante et féminine de la femme citadine.
Structuré, nervuré, il est ludique, se porte devant derrière et vice versa grâce à un subtil jeu de boutons.
En 2009 et après 20 collections, une exposition lui est consacrée aux galeries Lafayette Hausmann : “L’histoire de la chemise Ken Okada”
Sobre, élégant jusqu’au bout des manches, il complète une tenue, s’épanouit sur un jean, se marie à la perfection avec une jupe crayon.
Une autre de ses pièces phare est ce trench robe, travaillé à l’identique des chemisiers et tout aussi ludique.
Ken Okada la parisienne
Elle a adopté Paris, et Paris l’accueille dans ses bras.
Sa boutique est implantée dans un des quartiers les plus agréables et élégants de la ville, à quelques pas du Bon Marché.
Ses clientes sont des fidèles qui savent qu’elles trouveront chez elle cette pièce unique de leur garde robe que peu d’autres auront.
Ici, grâce à la présence de l’atelier, on pose un bouton supplémentaire, on raccourcit une manche, pour un vêtement parfaitement à votre taille et adapté à votre morphologie.
Par ailleurs, année après année, c’est dans cette ville, sur ses ponts et dans ses plus beaux édifices, qu’elle organise ses défilés, parfois pour le bonheur des heureux passants présents au bon endroit au bon moment.
Comme par exemple ici, sur le pont des Arts, quand elle défile en octobre 2016 pour présenter la collection Printemps Ete 2017 actuellement en magasin.
Et pour assister à un de ses défilés, c’est très simple. En effet, je vous donne rendez-vous le 20 juin rue de la Chaise.
Là, dans sa rue, privatisée pour l’occasion, une grande fête est organisée comme chaque année. Ken Okada présentera ses créations lors d’un défilé, sur un tapis jaune cette année. Elles seront accessoirisées d’étoles de la marque EPICE. Et Serge Guilloux présentera lui aussi une mini collection.
15ème édition du pique-nique du Faubourg Saint Germain (Rue de Grenelle – Rue de la chaise)
La galerie Véro-Dodat n’est certainement pas la plus connue des galeries et passages parisiens.
Et pourtant.
Pourtant elle est une des plus charmante et élégante. Mais aussi discrète, très discrète.
Elle relie deux rues : la rue Jean Jacques Rousseau, et la rue du Bouloi.
Contrairement à certains passages parisiens super animés et joyeusement désordonnés, ici on a presque envie de parler à voix basse tant la discrétion semble de mise.
Ce passage fut créé en 1826 en pleine période spéculative de la Restauration.
Deux investisseurs : le charcutier Vero et Le financier Dodat décidèrent donc la création de ce passage permettant un raccourci plaisant entre Les Halles et le Palais Royal.
C’est ce positionnement qui garantit le succès immédiat du lieu, mais aussi la presence des Messageries Lafitte et Gaillard côté rue Jean Jacques Rousseau.
Ainsi , les voyageurs, en attendant leur diligence , flânaient entre les commerces de mode installés dans ce passage qui fut l’un des premiers à être éclairé au gaz à Paris.
C’est au Second Empire, quand les messageries disparaissent et que le Palais Royal de vide de ses animations plus ou moins légales que la fréquentation du lieu décroît.
Aujourd’hui encore, un peu à l’écart, elle reste relativement boudée par les badauds. Sauf pour certaines fashionistas du monde entier bien informées.
Shopping galerie Véro-Dodat
Ici se trouve la caverne d’ali baba d’amateurs de souliers à semelle rouge, le temple du stiletto, le graal des fashionistas
Christian Louboutin a installé ici sa plus somptueuse boutique, tant pour femmes que pour hommes.
photo prise sur le blog de la galerie
Et c’est donc ainsi que, même si les parisiens viennent peu fréquenter la galerie, on y croise régulièrement des modeuses du monde entier les yeux pleins de petites chaussures à semelle rouge.
Et dans sa foulée ( jeu de mot subtil) il y a le cordonnier, lui même spécialisé en Louboutin.
Sa vitrine fait autant rêver que la boutique elle même !
Et c’est ainsi que la boucle de la mode est bouclée.
Dans la galerie, on trouve aussi des accessoires, comme ces bijoux anciens chez Bruno Pepin.
Dans cette galerie si discrète, on trouve également des sacs en cuir : les sacs Il Bisonte, nés eux aussi à Florence, comme les bijoux et créations d’Angela Caputi. Comme si un coin d’Italie s’était installé ici.
Mon coup de coeur sans hésitation, le modèle modulable !
La mode est donc bien présente , mais aussi la beauté avec la marque By Terry qui elle aussi à la son flagship parisien.
Pour finir la balade, une pause dégustation. Que nous propose la galerie ?
Galerie Vero dodat – ce qu’on y mange
En fait le choix est vite fait : ce sera le Café de l’Epoque.
Installé là où se trouvaient les messageries il propose une charmante terrasse au soleil.
Je n’ai pas encore eu l’occasion de le tester, mais le cadre est juste charmant.
Et en plus, ils ont une proposition petit-déjeuner !
A bientôt pour d’autres découvertes de galeries et passages parisiens.
Il s’agit donc d’un bus à impérial, autrement dit à deux étages, dont la partie supérieure est entièrement vitrée, permettant ainsi de profiter du paysage par tout temps !
Le parcours permet d’admirer les principaux points de vue et monuments de notre belle capitale.
La Tour Eiffel pour commencer, point de départ du parcours.
puis l’Arc de Triomphe, les Champs Elysées bien sur, la somptueuse place de la Concorde, la Madeleine, l’Opéra Garnier par exemple.
Le bus emprunte certains ponts, comme le spectaculaire Pont Alexandre III.
Un très beau panorama de notre superbe ville.
Chaque passager dispose d’un guide numérique qu’il suffit de pointer sur la carte pour entendre le commentaire correspondant au point sélectionné !
Mais ce n’est pas tout, puisque le plaisir des yeux est complété par le plaisir des papilles.
Bustronome – plaisir des papilles
En effet, une fois bien installés, prêts à admirer le paysage, vous allez également pouvoir déguster un repas en format dégustation, composé de 4 plats pour un déjeuner, de 6 plats pour un dîner.
2 formules sont proposées, avec ou sans leur accord mets/vins.
La carte évolue régulièrement, et Bustronome invite régulièrement des grands chefs français pour élaborer ses cartes, et créer la surprise, encore et encore.
Mais LE chef, c’est Vincent Thiessé.
Il est passé par les cuisines de grands noms de la gastronomie française : en stage chez Joël Robuchon au Jamin, puis chez Michel Kéréver à Enghien, il commence sa carrière dans l’équipe de Gérard Vié à Versailles, au Potager du Roi, puis Aux Trois Marches, et devient finalement son adjoint Au Trianon Palace. Il parfait sa formation auprès de Marc Veyrat.
Avec Bustronome, on peut donc déjeuner ou diner tout en admirant la plus belle ville du monde !
Et désormais, on peut aussi goûter !
Bustronome – le goûter
Désormais, Bustronome propose donc une pause goûter.
Le mercredi, le vendredi, ou encore le dimanche. De 15h30 à 17h30, vous pourrez faire aussi découvrir cette ville que vous aimez tant, autant que moi, à vos enfants, neveux, visiteurs.
Tout au long du parcours, on se régale. On déguste du salé pour commencer.
Puis c’est un festival de délices sucrés. Toujours sur fond de paysages 100% parisiens.
Le tout accompagné d’un jus de fruit, et d’une boisson chaude, café ou thé au choix.
Pas le temps de s’ennuyer donc, entre dégustation, admiration du paysage, pause photo, et cris d’admiration enthousiastes au passage de toutes ces merveilles parisiennes, et de ce que l’on retrouve dans son assiette.
Parce qu’au delà du plaisir toujours renouvelé d’admirer Paris, la vraie bonne surprise est la qualité de ce que l’on savoure tout au long du parcours.
Elle est en tous cas certainement celle qui est la plus photographiée et instagramée en période de fêtes, et tout le reste de l’année !
Galerie Vivienne – un peu d’histoire
La galerie Vivienne est née en 1823 de la volonté de Maitre Marchoux, notaire habitant au 6 rue Vivienne.
Il confie à un architecte le projet de créer une galerie reliant la rue Vivienne et la rue des Petits Champs. Mais pourquoi me direz-vous ? Pour permettre de se rendre aisément dans les jardins du Palais Royal, et ses galeries, connues pour être à l’époque un haut lieu de fêtes et de jeux.
Avec ce projet, il est précisément dans l’air du temps. En effet, les premières galeries parisiennes naissaient au début du siècle et étaient la grande tendance de l’architecture urbaine de l’époque. Ces galeries et passages couverts permettant aux promeneurs et aux touristes de profiter de la ville en se protégeant de la pluie et de la boue des rues parisiennes, et des animations proposées.
La galerie est inaugurée en 1826, riche de boutiques de mode, d’une librairie, et de multiples cafés aussi.
Mais la zone de non droit des galeries du Palais Royal prend fin, sa fréquentation chute, et entraine dans son sillage la galerie Vivienne qui tombe peu à peu dans l’oubli.
Pendant le XXème siècle, toutes les galeries parisiennes tombent dans l’oubli, mais dans les années 1970 des mouvements se créent pour protéger et rénover ces vestiges architecturaux et c’est ainsi que les passages et galeries parisiens reviennent peu à peu à la vie.
Et la vie est bien là dans la galerie Vivienne !
Manger dans la Galerie Vivienne
Plusieurs options, dont ces deux restaurants : Daroco, et le bistrot Vivienne.
Chez Daroco, qui occupe ce qui était le flagship de Jean Paul Gaultier, on se régale principalement de délicieuses pizzas.
Le bistrot Vivienne lui propose une carte plus traditionnelle de bistro, dans un cadre historique.
Le bistrot Vivienne propose une terrasse sur rue.
Mais il existe également des terrasses dans la galerie, options parfaites pour les intempéries parisiennes !
Paris fut le berceau de tant d’écrivains, poètes, philosophes, qu’il est inimaginable de penser que les livres la quitteront un jour.
Les parisiens sont encore et toujours friands de lecture, et du plaisir d’acheter sa prochaine decouverte littéraire dans un lieu dédié : la librairie.
Et des librairies à Paris, il y en a ! Faisons donc un petit tour de quelques librairies parisiennes.
L’Ecume des Pages – La mythique
Un emplacement rêvé au coeur de Saint Germain, à quelques pas de ce qui était le repère des écrivains les plus connus du siècle dernier : le café de Flore. Sans oublier, à quelques pas encore, le café « Les deux Magots » .
L’Ecume des Pages est une référence tant l’offre est vaste, l’agenda riche : rencontres avec des écrivains, évènements, signature.
Et puis, dernier atout qui séduira tous les amoureux de lecture, tous ceux qui comprennent le concept d’envie soudaine de lecture et d’évasion. En effet, la libraire L’Ecume des Pages est ouverte 7J/7, jusqu’à minuit tous les soirs et 22h00 le dimanche !
Ici, rue Soufflot, le livre frémit à chaque coin de rue. Editeurs et libraires ont installé ici leurs bureaux depuis des décennies, voire des siècles. Bienvenue chez A. PEDONE Editeur.
Un éditeur libraire depuis le 22 février 1838 ! et il s’agit d’une vraie belle librairie. Des boiseries, des rayonnages du sol au plafond.
Toutes les catégories littéraires sont représentées, même la bande dessinée, et les moocs aussi.
Et tout au fond, on les devine, ces manuscrits en attente de publication.
Mais ce qui est le plus important à mes yeux, le véritable atout de cette adresse, c’est la gentillesse du libraire qui m’a accueilli le jour où j’ai découvert cet endroit. choisir un livre doit être un plaisir, et ici plus que jamais le sourire est essentiel.
Amoureux de BD ceci est pour vous. Dans la charmante rue des Vinaigriers Philippe Le Libraire partage sa passion des bandes dessinées.
Ici, du sol au plafond, littéralement, on trouve des BD, toujours des BD, encore des BD.
Et Philippe qui est là, fidèle au poste, pour vous guider dans cette caverne d’Ali Baba version dessinée.
Philippe Le Libraire 32 Rue des Vinaigriers, 75010 Paris
Celle qui porte bien son nom – Comme un roman
Ici, tout est fait pour donner envie de lire et dès le plus jeune âge. Des rencontres, un choix hors du commun, sur les deux étages de cette librairie immense qui accueille les enfants pour des séances de lecture, des ateliers. Un lieu de vie dont on ne sort qu’avec un livre au moins, ou plusieurs.
L’occasion de se tenir au fait de toutes les nouveautés de la collection Paris & Compagnie de Parigramme.