Pause Café – rue de Charonne

Pause Café

41, Rue de Charonne, 75011 Paris

Tel :                   01 48 06 80 33              

le cadre : le service :   le rapport qualité / prix

max : 5

Un petit tour du côté de Bastille, et nous voici chez Pause – Café ;

le cadre, très agréable, est prometteur; à la frontière entre le bistrot traditionnel et le restaurant à la décoration recherchée. L’ambiance est chaleureuse, les banquettes confortables.

Seulement voilà, nous commandons, il est l’heure du thé ….

Un gâteau chocolat et sa crème anglaise, un cheese cake, des chocolats chauds, un thé vert citronné Mariage frères.

Résultat : vous n’aurez d’image que du chocolat chaud, le seul qui valait le déplacement, visuellement mais surtout gustativement !

Le gâteau au chocolat est gelé et sans goût, le cheese cake fait triste mine, applati dans l’assiette à côté d’une flaque de coulis de framboise !

Alors que dire ? J’ai vu une client qui semblait se régaler d’un crumble … Peut-être avons nous joué de malchance ?

en attendant, une vraie déception … l’heure du thé n’est peut-être pas leur fort. A tester au déjeuner ?

Dernier point, les toilettes gagneraient à être un peu mieux entretenues …

Berkeley – le restaurant où vous n’irez pas de ma part !

Berkeley  7 avenue Matignon

75008 PARIS

         Tel : 01 42 25 72 25       

le cadre :  le service : 0

qualité des plats : prix :

max : 5

l’endroit semble cossu et plaisant par cette fin d’après-midi d’hiver;

rideaux et tentures aux couleurs chaudes, atmosphère tamisée et feutrée.

Le doute s’installe dès l’accueil: le serveur nous désigne du bout des yeux les deux tables qui pourront accueillir les quatre personnes que nous sommes.

Nous n’allons pas lui en tenir rigueur d’emblée, et puis une bonne boisson chaude accompagnée d’une patisserie nous ferons certainement oublier cette première impression.

 » It’s tea time «  comme diraient nos amis d’outre manche: nous analysons la proposition  » sucreries « :

déception: un moelleux, une amandine, et des glaces. Soit, il semblerait que des collations soient également proposées;

nous faisons donc notre choix:

un chocolat à l’ancienne accompagné d’une amandine aux pommes, et un club sandwich au saumon fumé.

A l’énoncé de notre choix, second hic :  » pour le club sandwich, il faut que j’aille vérifier  » ! Vérifier quoi ? S’il reste des saumons dans l’atlantique ?

Après quelques minutes, le serveur revient et assène la nouvelle:  » pour le club sandwich, ce ne sera pas possible « …. pourquoi, nous ne le saurons jamais !

Cette pause, qui se voulait plaisante, commence à prendre mauvaise tournure.

Nous attendons patiemment, et le voilà qui revient avec les boissons, mais d’amandine et de carafe d’eau, point .

La dégustation du chocolat commence, il est tiède, il faut donc le boire vite , et toujours pas d’amandine en vue ! Interpellation du serveur !

 » l’amandine, il ne sera plus nécessaire de nous la servir, j’ai fin mon chocolat « 

réponse de l’intéressé :  » je ne pouvais pas l’apporter, elle vient de la cuisine ! «  ( et le chocolat, c’est du Guatemala qu’il vient ?! )

 » soit, curieuse réponse, mais la boisson et la patisserie se servent généralement ensemble ! « 

Vexé, le serveur repart, pour revenir à la charge !

 » de toutes façons, si j’avais attendu que l’amandine soit prête pour tout servir, vous auriez râlé parce que cela aurait été trop long «  !!!!!

Pour rappel, nous sommes au BERKELEY, établissement qui se veut selecte, Avenue Matignon.

Quand à la carafe d’eau, d’après le serveur, je ne l’aurais pas demandée !

J’ai donc entrepris de raconter notre mésaventure au responsable de l’établissement, qui, je dois le dire, m’a écoutée avec beaucoup d’attention et de courtoisie, mais, comme il l’a dit lui -même, le mal était fait !

On aurait mieux fait d’aller au COSTES à côté !!

SORZA – le restaurant italien de la rue St Louis en l’Ile

Voilà bien trop longtemps que je n’avais pas fait un tour rue saint Louis en L’ile …. c’est chose faite !

Déjeuner dominical chez

SORZA

51 rue saint Louis en L’Ile

75004 PARIS

tel:          01 43 54 78 62       

le cadre :   le service :  

qualité des plats :prix :

max : 5

à ne pas manquer : le soufflé au parmesan !

le cadre

la carte

à midi

tout le temps

et, le plus important, ce que nous avons savouré …

les entrées

soufflé au parmesan & roquette

la roquette …                  le soufflé ….

aubergine fondante à la parmesane

puis les plats !

filet de volaille aux légumes confits

risotto de saison aux champignons

Je dois dire que cet endroit est une véritable découverte: service agréable, cadre très plaisant, rapport qualité / prix exceptionnel.

Chaque plat était délicieux, les ingrédients frais et de bonne qualité. Mon seul regret: ne pas avoir eu assez faim pour prendre un dessert !

Une occasion d’y retourner !

Quand  » The Parisienne  » va diner chez  » Les Parisiennes  » !

Il est 20h15, samedi , et nous arrivons chez  » Les Parisiennes « , sur les recommandations de fidèles auditeurs de Radio NOVA !

Lumière tamisée, musique jazzy, peintures de New York au mur, tout est en place pour une bonne soirée .

La jeune femme qui nous acceuille avec le sourire se prénomme Deborah, mais c’est plus tard que nous l’apprendrons. Elle est charmante, et nous met immédiatement à notre aise, dans ce restaurant un peu vide où dinent juste un monsieur et son petit garçon.

Les plats sont listés sur une ardoise, et elle prend tout son temps pour nous les expliquer en détail. Il faut dire que les spécialités sont Marseillaises, si, si, et que quelqu’un qui a l’accent un peu pointu ne sait pas forcément ce qu’est une ventrêche de thon ! Mais elle ne nous en tient pas rigueur ! Et égrène les plats, les uns après les autres !

Une fois nos plats choisis, c’est le maitre des lieux, Bob, qui vient nous conseiller pour le vin: nous opterons pour un blanc Côte de Provence, au nom qui interpelle : La Turlutte ! Nous le dégustons avec les rillettes de sardine que Déborah nous a servies, en amuse bouche ! Si délicieuses d’ailleurs, qu’elle nous en sert à nouveau en attendant les entrées .

Les entrées donc : gâteau d’aubergines et toasts de tapenades avec rougets : gouteux, visiblement fait maison, et se mariant très bien avec la fameuse Turlutte dont le niveau baisse tranquillement dans sa bouteille .

Première arrivée de nouveaux convives: les amis de Bob: embrassades, apéro installés au bar. C’est comme si le restaurant était une annexe de leur salle à manger; ils y sont comme chez eux ! Mojito, classique ou framboise, Bob pile les glaçons tout en bavardant .

Nous pourrions nous sentir un peu à l’écart, mais c’est alors que commencent à arriver des clients, par petits groupes, et , rapidement le restaurant est rempli !

Nous en sommes au plat : Saint Jacques en coques, topinambours et girolles ; bon, mais dommage que la noix de saint jacques ne soit pas découpée de sa coque .

Un joyeux brouhaha remplit le restaurant, on se parle d’une table à l’autre.

Nous en sommes déjà au dessert, les personnes attablées à côté de nous commencent juste à faire leur choix :

 » il était bon votre dessert ? Il faut que je sache, pour décider entrée plat ou plat dessert  » !

 » c’est un crumble aux fruits de saison, un délice ! Vous avez raison, c’est le dessert qui définit le repas ! « 

 » bon, alors je garde de la place pour le dessert ! »

Je vous parle d’un restaurant, et j’évoque à peine la carte … Alors, pour que vous ne restiez pas sur votre faim, la voici

mais vous l’aurez compris, ce qui m’a plu plus particulièrement, c’est l’atmosphère, l’ambiance du lieu.

Et quand, à la fin du repas, Bob est venu à notre table et nous a servi , je le cite :

 » un Rhum , qui va bien vous arranger «  , nous l’avons bu cul sec, et, croyez moi, nous avions soudain beuacoup moins froid en cette soirée de novembre !

Alors allez-y, et peut-être qu’avec un peu de chance, vous croiserez Edouard Baer, en tous cas, vous êtes surs de rencontrer Bob, et c’est déjà beaucoup !

Pour les infos pratiques:

Les parisiennes – ouvert le soir uniquement, du mardi au samedi

Tel : 01 43 73 37 58

adresse : 243, rue du Faubourg Saint-Antoine Paris XI ème

ne cherchez pas leur site Internet, ils n’en n’ont pas !

GEORGES – encore un restaurant COSTES …

Le GEORGES – centre Beaubourg

19, Rue Beaubourg, 6ème étage, 75004 Paris

Réservations :            01 44 78 47 99          

le cadre : le service :

qualité des plats prix :

max : 5

à ne pas manquer : le mille feuilles !

Vous allez dire que je m’acharne … ( rappelez vous, ce que je vous disais du COSTES de Saint Honoré ! )

Mais pourtant, j’ai recommencé ! Cette fois, il s’agit de  » Georges « , au sommet du centre Pompidou.

Tout d’abord, pour l’atteindre, il faut grimper, et grimper encore.

6ème etage, vous voici arrivés !

En rentrant on découvre la salle et l’environnement :

   

et puis la table où nous installons:

le menu prend par surprise !

il suffit de voir les clients tenter de déplier et de déchiffrer ce « puzzle  » … assez amusant à vrai dire !

alors venons en à l’essentiel: les plats

 » aller retour aux herbes de l’Aubrac « 

 » côtelettes d’agneau princier haricots verts frais « 

et le clou du repas !

Les plats sont délicieux, les produits frais et de qualité.

Et alors le dessert … ahhhhhhh le dessert ……………. une pâte feuilletée au beurre, croustillante et légère, une crème aérienne et succulente, le tout accompagné du goût acidulé des fruits rouges !

Mais il y a le point noir : les tarifs ; tout ceci a beau être délicieux, avoir au menu une salade de tomates , certes Bio, à 19€, c’est exagéré; ou encore une côte de veau, certes  » magnifique  » à 40€, heu, pardon, 36€ baisse de la TVA oblige, c’est indécent!

Alors cette fois, je suis obligée de reconnaitre que , contrairement à ce que je craignais, expériences COSTES obligent, le service était parfait : souriants, aimables, rien à redire.

Bon, évitez le samedi à 13h00 parce que la durée du service prend rapidement des proportions intolérables.

Et, pour conclure, allez-y pour le mille feuilles aux fruits rouges, vers 15h00, et là vous aurez tout juste: service plaisant, vue exceptionnelle, et un dessert succulent !

Enfin, pour l’anecdote, les coupes qui attendent sagement qu’on les dispose sur la table … original, non ?

bruncher à Paris – suivez le guide ? Le Bal Bullier

Le Bal BULLIER

22 avenue de l’observatoire 75014 PARIS

le cadre : le service :

la qualité des plats : le prix :

max : 5

Faut-il faire confiance aux guides en tous genres qui fleurissent en librairies sur Paris et ses trésors ? faut-il s’en inspirer pour faire un choix décisif tel que  » où vais-je bruncher ce week-end en famille  » ?

J’ai décidé de faire le test quand je suis tombée par hasard sur ce petit recueil à côté des caisses du plus beau magasin ETAM de Paris :  » Bruncher à PARIS  FIRST Editions«  (P.S : pour ceux qui ne connaitraient pas  » le plus beau magasin ETAM de Paris « , il se trouve rue de Rennes et j’en parlerai sans doute un jour ou l’autre !)

Mes critères sont assez simples: pas trop loin de chez moi, un lieu agréable et chaleureux qui peut accueillir 6 personnes sans que cela ne nécessite un bouleversement de la salle et sans entrainer une révolution chez les autres convives, et un accueil ainsi qu’un service attentionné ;

quant aux mets, qu’ils soient copieux, pour répondre à un ou deux cas de gloutonnerie chronique au sein de notre petit groupe (!), variés, simples pour être au goût de tous ,y compris des palais plus difficiles, compris également dans notre petit groupe (!)

D’après le guide donc, je trouve l’endroit parfait:

Le Bal BULLIER 22 avenue de l’observatoire 75014 PARIS

les critiques de ce guide vantent en vrac: le lieu, l’abondance de plats, la qualité de leurs produits; ceci est saupoudré d’un peu de  » name droping «  assez basique (le thé vient de MAriage Frères ) pour finir sur la gentillesse du service ….

Victoire, me dis-je, j’ai trouvé le lieu idéal … et c’est parti !

J’appelle donc pour réserver – indispensable un dimanche matin ensoleillé pour accueillir 6 personnes, et je me sens déjà en bonne voie, l’accueil téléphonique étant effectivement parfait !

Nous arrivons sur les lieux, effectivement agréables: style bistrot à l’ancienne, agrémenté d’une terrasse , ainsi que d’une verrière permettant de s’abriter en cas d’intempéries , bien utile pour notre climat parisien!

Nous nous installons donc à l’intérieur :

première mauvais surprise:

le bruit qui va nous accompagner tout au long du repas … un vacarme infernal, spectaculaire pour un simple percolateur !

Puis c’est le brunch qui arrive:

copieux, certes, gouteux au démarrage ( tartine et part de cake maison), mais tout se dégrade rapidement: les oeufs brouillés sont noyés dans une crème fraiche, qui semble être l’accompagnement favori du cuistot, puisqu’on la retrouvera avec le saumon fumé puis les pancakes !  Les pancakes d’ailleurs, parlons en: pas très difficile à confectionner si on y pense bien, et bien ils s’avèrent être insipides!

Je pense qu’une seule photo suffira pour illustrer le propos ….

Enfin, dernier point pesant de ce repas: les délais interminables qui s’écoulent entre chaque plat !

Alors que dire de cette expérience ? curieusement le lieu est attachant; le serveur qui s’est occupé de nous était absolument charmant, navré de voir que nos oeufs brouillés baignés de crème fraiche étaient tous restés dans nos assiettes .

Les assiettes de nos voisins, qui n’avaient pas opté pour l’option  » brunch « , avaient l’air riches et appétissantes. 

Alors, pour conclure: le brunch est certainement le pire choix à faire au  » Bal Bullier « , mais l’endroit mérite peut-être une seconde chance !

Et, pour en revenir aux guides en tous genres, si vous décidez de vous y fier, veillez à ne pas vous tromper, de guide !

La brasserie du Printemps

La brasserie du Printemps Haussmann

64, bd Haussmann – 75009 – Paris – France – Tél. :          01 42 82 58 84      

horaires 09h35 – 20h00 tous les jours sauf jeudi 09h35 – 22h00

fermé le dimanche

le cadre : le service :

la qualité des plats : le prix:

max : 5

Aujourd’hui, séance découverte du Printemps sous l’angle culinaire !

La brasserie du Printemps est située au 6ème étage du Printemps de la Mode, sous la magnifique coupole de verre préservée contre vents et marées – pour en savoir plus sur l’histoire de ce grand magasin mythique : CLIC !

Tout d’abord, il vous faudra gravir les étages sans vous laisser tenter au fur et à mesure que vous progressez dans les étages …

Une fois parvenus à bon port, premier choc visuel : la splendeur de la coupole

       

Une fois installée, le plaisir des yeux est à nouveau au rendez-vous : on continue à admirer ce travail d’artiste verrier sans même lever les yeux !

c’est beauuuuuuuuuuuu !

Mais venons en aux choses sérieuses : la carte et les mets proposés, puis dégustés !

le confit de veau, romarin, légumes, échalotes en chemise, mousseline de céleri

le filet de cabillaud vapeur, carottes fanes au vinaigre de xérès

Avant de passer à l’essentiel , les desserts, revenons sur le cadre somptueux:

      

les desserts donc : tout d’abord, sachez que le fameux Mont – Blanc d’Angélina est là, pour vous !

Mais nos choix se sont portés sur le dessert du jour: délice d’automne, et le café gourmand ….

Admirez, et salivez !

et pour finir, la carte !

Alors, pour synthétiser:

l’ésthétique du lieu, la présentation des plats, tout cela n’est rien comparé à la saveur des mets: des produits de qualité, une préparation de grande finesse, tout y est pour que je puisse affirmer que tout ce que nous avons dégusté était délicieux. Je n’ai pas évoqué les deux verre de vin blanc, Chardonnay et Pouilly, également d’excellente qualité.

Et, par dessus tout, un service impéccable: sourire aux lèvres, toutes les hôtesses qui se sont occupées de nous ont été parfaites! Difficile à croire, mais pourtant c’est vrai: un endroit à recommander les yeux fermés !

Juste un détail, arrivez tôt car, bien que très spacieuse, la salle se remplit à une vitesse spectaculaire, et on voit qu’il y a énormément d’habitués : cela laisse penser que je ne suis pas la seule à avoir été si agréablement surprise par cet endroit inattendu !

La Régalade – le rêve devenu réalité !

Restaurant La Régalade de Bruno DOUCET

49 avenue Jean Moulin 75014 PARIS

le cadre : le service :

la qualité des plats : le prix :

max : 5

         01 45 45 68 58      

Je vous dois des explications …. rêve devenu réalité: un peu exagéré pour un bistrot de quartier, même s’il m’arrive de m’enthousiasmer un peu rapidement !

Seulement voilà, pour moi, au fil des années, La Régalade de « Yves Camdeborde », devenue celle de « Bruno Doucet » , est devenue un mythe. En effet, comme cela arrive parfois, le sort s’est acharné à chaque fois que nous avons tenté d’y déjeuner; mais j’ai toujours pensé que la perservérance devait être récompensée … Ce fut le cas aujourd’hui !

Me voilà donc installée avec mes camarades, plutôt coincée à vrai dire, entre un mur et mon voisin, mais je ne vais pas me laisser distraire par ce genre de détail !

On nous donne donc la carte, qui fonctionne, à priori, sur le modèle « menu – carte entrée plat dessert » à 30€50; la liste des plats semble longue et variée, et nous nous apprêtons à la découvrir quand arrive une dame qui nous demande si nous connaissons la maison;

me voilà déjà entrain de rêver au récit de l’histoire de cette institution des bistrots parisiens, mais que nenni!

elle nous assène ce que je perçois comme une douche froide, et je ne suis visiblement pas la seule à en juger par la mine interloquée de mes camarades !

C’est donc à la liste des plats du jour que nous avons droit, ainsi que le supplément qu’ils engendrent !

Et la voilà entrain d’égrener avec application entrées, plats et desserts dont elle cite rapidement les noms pour ensuite insister, lourdement dirais-je, sur les « supplément 5€« , « supplément 10€« , voire même supplément « 15€ « ! Le menu étant à 30, à ce niveau là, il ne s’agit plus d’un supplément, et la question se pose de savoir pourquoi l’option « à la carte » n’est pas proposée !

Bref, je râle, je râle, mais venons en au fait: les mets .

Une fois notre choix effectué, on nous apporte la « mise en bouche de la maison »: une terrine de campagne, dans laquelle nous pouvons piocher à volonté.

entrée en matière rustique, un peu difficile à déguster suite à l’absence d’assiettes !

Tiens, la bouteille de vin que nous avions sélectionnée vient d’attérir sur la table, si vite que je ne peux décrire la personne qui nous a servis, et surtout, nous nous retrouvons face à une bouteille qu’il nous incombe donc de découvrir seuls !! Heureusement, ils l’ont débouchée …

Soit, passons au coeur du sujet:

les entrées:

 » salade de figues fraiches, tomates confites et copeaux de parmesan « 

 » royale de foie gras de canard, bouillon crémeux de champignons de bois du moment « 

Et là, enfin, je comprends pourquoi la réputation de ce restaurant ne le quitte pas depuis des années : les goûts sont fins et raffinés sans être compliqués ; les ingrédients frais, de qualité, les mélanges de saveurs réussis. Un vrai délice.

Nous continuons et passons aux plats:

suprême de volaille jaune des Landes rôti tout doucement sur la peau, foie gras et persil

 » filet de rascasse rôti à la plancha, piperade au piment d’Espelette « 

De nouveau, un régal pour nos papilles en émoi! On en redemanderait volontiers …

Enfin, et pas des moindres (surtout pour moi: tous ceux qui me connaissent savent que je commence TOUJOURS par les analyser en premier!):

les desserts

le soufflé chaud au Grand Marnier           le petit pot de crème à la vanille, framboises fraiches et langues de chat maison

     

le soufflé est aérien et parfumé à souhait, et à en juger par ce que qui reste de la petite crème vanille… je pense qu’elle était aussi savoureuse qu’appétissante!

Pour résumer, si ce qui vous importe avant tout dans un restaurant est la saveurs des mets, foncez, cet endroit est pour vous!

Si par contre vous ne supportez plus le manque d’amabilité chronique , déguisé en touche sarcartisque, que certains restaurateurs pensent indispensables pour donner la touche parisienne à leur établissement, alors réflechissez à deux fois !

En tous cas , je vous aurais prévenus 😉

A demain !

L’Enoteca – l’Italie au coeur du MARAIS

L’ENOTECA – 25 rue Charles V

PARIS 75004

         01 42 78 91 44      

le cadre : le service :

la qualité des plats : le prix :

max : 5

Vous n’aurez pas la liste des vins, si longue, riche et variée qu’elle justifie largement le nom de cet établissement.

Par contre, j’ai la carte …!

Alléchant, n’est ce pas? Et alors, quand on pénètre dans le restaurant et que l’on découvre ça ….

L’atmosphère est agréable, les poutres apparentes et les briques d’époque.

Les murs sont couverts de photos de cinéma des années 50.

Nous optons tout d’abord pour une assiette  » d’antipasti misti « , qui contient une variété des différents légmes présentés sur la table centrale: un délice: légumes grillés ou frits, tout en restant légers. Cela dit, conseil d’amie … une assiette pour deux suffit si vous comptez poursuivre jusqu’au dessert !

Pour poursuivre,  » lasagne au fromage de chèvre frais, ragout de veau et tomate « ;

la viande fond dans la bouche, le plat fleure bon le « fait maison ».

Et puis il y a  » l’épaule de veau confite à l’huile d’olive, courgettes et basilic « 

La viande tout aussi fondante et savoureuse, et ce petit je ne sais quoi qui fait que le plat renvoie à des images de repas en famille.

Impossible de choisir un dessert: comment voulez vous décider entre  » les entremets au chocolat, noisettes et zeste d’orange, sauce café et crème chantilly « , l’incontournable  » tiramisu  » , les autres !

heureusement, ils ont pensé à tout avec «  Fantasia di dolci « , ou encore  » farandole de desserts  » !

Il faut également savoir que la carte change régulièrement, et que certains produits sont importés directement d’Italie.

en résumé, ma seule déception: L’Internaute, qui évoquait ce restaurant dans un article sur les « restaurants des stars », me promettait Bruno Solo ; et bien il n’était pas là !

Donc , vous l’aurez compris, allez-y !

Le Bon Marché – balade gourmande

Il y aurait beaucoup à dire sur ce magnifique grand magasin, ses allées paisibles et élégantes, cette petite note discrète de « bobo attitude » …

J’adore la luminosite de la place centrale du rez de chaussée, où se cotoient toutes les plus grandes marques de produits de beauté, cosmétiques et parfums. Je vous parlerai, le moment venu des sacs à mains, créateurs et linge de maison de luxe, mais le thème d’aujourd’hui sera la dimension gourmande :

Le « Primo Piano » ; il s’agit d’une des poses gourmandes proposées par le magasin.

L’endroit est prometteur il faut l’avouer; décoration design, terrasse ombragée, accueil courtois.

La carte alléchante, fleure bon l’italie : carpaccio, tagliatelles en tous genres, tiramisu oblige. Une touche originale: l’eau maison , plate ou gazeuse à la demande, confectionnée sur place, contribuant ainsi au développement durable.

Mais les plats sont décevants : la galette ( fine pâte à pain garnie d’aubergines et fromage) est sèche et assez fade, quant aux boulettes de viande « della nonna », on m’annonce qu’il n’en reste qu’une « demi part » !

Le café gourmand, lui, est à la hauteur, et, après avoir observé les divers desserts commandés autour de moi, j’en arrive à la conclusion suivante :

C’est l’endroit idéal pour une pose dessert lors d’une journée shopping intense;

un havre de repos avant de repartir de plus belle!

à demain.