XVIeme arrondissement Archives - Page 4 sur 6

22 février 201529 mars 2015

Brunch chez Carette

Carette, monument de la gourmandise parisienne.

Le salon de thé Carette est un mythe de la place du Trocadéro. Si vous y prenez un café le lundi matin, ou tous les matins de la semaine d’ailleurs, vous pourrez entendre les échanges entre journalistes et communicants sur les sujets qui feront la une de vos journaux féminins de demain.

Le dimanche matin la clientèle est plus familiale, une clientèle de quartier, ou de curieux ayant tant entendu parler du lieu qu’ils l’ont noté dans la liste des must parisiens !

Chez Carette, c’est la pâtisserie qui est reine. Une superbe vitrine où sont exposés tous les gâteaux du moment mais qu’il est formellement interdit de photographier. Et oui, cela existe encore…

La carte propose une variété de club sandwichs, des déclinaisons d’oeufs brouillés, et aussi des plats du jour. Sans oublier les fameuses pâtisseries bien sur !

Et puis il y a le brunch.

En fait, et pour tout dire, j’aime bien cette possibilité de varier les plaisirs et de ne pas rester figé sur la sempiternelle formule Brunch du dimanche. Ici au moins, chacun fait, fait, fait, c’qui lui plait, plait, plait !

Vous pourrez donc choisir des oeufs brouillés, dans le cadre du brunch, ou en simple plat.

Et puis comment résister à une superbe salade crevettes, avocats et mangue dont le moins que l’on puisse dire est qu’elle est copieuse et délicieuse !

Pour finir, cerise sur le gâteau, si vous ne parvenez pas à choisir une pâtisserie, prenez les toutes ! En effet, l’assiette de miniatures vous permet de sélectionner 5 mini pâtisseries, vous autorisant ainsi à tout goûter : très bon choix je dois dire.

Enfin, pour ce qui concerne le service, j’ai du mal à donner un avis définitif. Parce que, même si ce dimanche en particulier, la personne qui s’est occupée de nous était plutôt souriante, voire même enjouée, prompte à plaisanter, on sentait, et des expériences précédentes l’ont prouvé, qu’un rien aurait pu transformer cette bonhommie. Le service « à la parisienne » en quelque sorte !

Brunch : 30€

Carette 4 Place du Trocadéro et du 11 Novembre, 75016 Paris
01 47 27 98 85

9 février 20154 mars 2019

Kluger Paris et la maison Boissier

Les tartes Kluger sont devenues Kluger Paris. Il fallait que ce soit dit, sachez le !

On ne présente plus Catherine Kluger.
Ses tartes et sa fabrique, nées il y a 5 ans, sont devenues des incontournables des parisiens en quête de produits simples, bons , frais et sains.

Une fabrique désormais installée dans le XIème, où sont confectionnées les tartes, et où on peut les acheter à importer et même les déguster sur de belles grandes tables accueillantes.

Alors en 2015 elle choisit de de réinventer, à coup de challenge mensuel : une collaboration par mois avec un autre univers du goût, toujours dans la même veine de produits de qualité qui sauront s’allier aux siens.
Le mois dernier, il s’agissait de Sol Semilla.

Et en février, c’est pour la Saint Valentin qu’elle créé.

Et elle s’associe à ce monument de la confiserie parisienne : la maison Boissier
De délicieux bonbons acidulés, de charmantes petites boîtes de couleurs que l’on a envie de collectionner juste pour le plaisir, une tradition gourmande depuis 1827.

Pour célébrer la Saint Valentin donc sont donc nées deux jolies tartelettes à savourer seule ou bien à deux.
Une création brute de chocolat, faite d’un moelleux au chocolat relié d’une touche acidulée d’éclats de bonbons boule cerise de Boissier;

l’autre, légère, aérienne, faite d’un duo de crème vanille&framboise, sur lesquels sont déposées des petites houles de bonbon framboise Boissier.

J’avoue un penchant marque pour la version fruit rouge et sa crème légère et aérienne.

Vous pouvez les déguster chez Boissier, chez Kluger, ou vous les faire livrer à domicile du vous habitez Paris.

Il vous suffit de réserver dès aujourd’hui, le retrait se fera le 14 février jusqu’à 18h00.

Alors, gourmandes de tous les horizons ….

Kluger Paris
15 rue Trousseau, 75011 Paris Tél : 01 53 01 53 53

Maison Boissier
184 avenue Victor Hugo, 75016 Paris Tél : 01 45 03 03 13

27 janvier 201527 janvier 2015

Sabatier – maroquinier de père en fils

Sabatier – depuis 1947

Sabatier, c’est l’histoire d’une famille, et d’une rencontre.

Pour la famille, tout commence avec le père, Robert Sabatier . Maitre sellier dans la cavalerie, il commence à créer dans son atelier à Nimes en 1947 des articles entièrement fait main, cartables, et petite maroquinerie.

Ce sont ses fils qui reprennent le flambeau, et en particulier Christian, qui transforme la marque en la marque de maroquinerie qu’elle est encore aujourd’hui.

La rencontre, c’est celle avec la maison Fichet, négociant en belles peaux, qui travaille avec les plus grands de la place de Paris.

Parce que bien sur, des cuirs parfaits sont un des éléments incontournables de superbes sacs : et c’est le cas pour les produits Sabatier.

C’est donc dans les locaux de la maison Fichet que j’ai pu découvrir les sacs Sabatier. Vous imaginez une petite fille dans un magasin de poupées? Ou encore une gourmande enfermée dans une pâtisserie géante ? Et bien cela vous donnera un aperçu de ce que j’ai vécu là !

D’abord, passer le pas de la porte et sentir l’odeur du cuir, puissante et douce. Puis voir les centaines de peausseries, posées là, qui n’attendent que la main experte qui les façonnera.

Découvrir la beauté du geste, la précision du travail, la minutie des finitions, la variété des types de peaux.

Et enfin, découvrir le produit fini, les sacs !

On commence par le grand classique, ici en gold, mais décliné en une multitude de couleurs.

Le Hobo en cuir lisse, ce que je préfère personnellement.

Le 24 heures, spacieux, pratique, équipé de poches, accroches et pochettes en tous genres, alliant l’esthétique et le fonctionnel, comme tous les sacs Sabatier. Il est rose, il faudra donc attendre l’été et oser, ou le choisir dans une couleur plus passe partout !

Et mon favori, celui qui s’inscrit si parfaitement dans l’histoire de la famille : le cartable ! Modernisé, une taille parfaite pour accueillir votre tablette, que l’on peut porter à la main, ou en bandoulière puisqu’il est équipé d’une lanière réglable.

Et pour lui donne vie, le voici aussi dans un tout autre décor.

Et si vous avez envie de découvrir les sacs Sabatier à Paris, voici quelques adresses. Pour le reste, il y a le site Internet, et la liste des points de vente .

LIBRAIRIE PAPETERIE DUBUISSON
67-69 rue d’Auteil
75016 PARIS

PARALLELE
9 rue de sèvres
75006 PARIS

Merci à Laura pour cette belle découverte et cette expérience tactile, visuelle et olfactive !

10 décembre 20149 décembre 2014

Petit modèle au singulier – une boutique pleine d’idées

Petit modèle au singulier, qui est désormais accompagnée par « petit modèle au pluriel ».

Mais de quoi s’agit-il ?

Une boutique entièrement dédiée aux arts de la table, créée par une passionnée, Patricia Clin, et rejointe par sa fille : Margaux.

Depuis plus de 10 ans, installées dans le village d’Auteuil, rue de la Fontaine, elles proposent une sélection exceptionnelle de produits dédiés à la table. Jeunes créateurs, marques installées et dont la réputation n’est plus à faire, vous trouverez là ce que vous cherchez, ce dont vous avez besoin, mais aussi le reste. Des produits de qualité, originaux, esthétiques, qui rendront votre table unique.

Un de mes coups de coeur, ce sous plat que je mettrais volontiers à mon cou !

Pour les amateurs de thé, en sachet, j’ai adoré cette tasse, jolie et si originalement fonctionnelle.

Et puis, petit plus de cette boutique qui ressemble plus à la caverne d’ail Baba, version arts de la table, il y a les produits personnalisés.

Comme ces tasses, qui m’attendaient.

Ou celles ci, pour les amateurs de café serré.

La table parée, elles ont décidé d’ouvrir une deuxième boutique, pour permettre la confection de ces bons petits plats qui donneront vie à la superbe mise en scène.

Ustensiles de cuisine et épicerie fine.

Un duo de magasins qui offre donc la gamme complète de produits art de la table, déco et d’équipement de cuisine . Elégance, mais aussi joie de vivre avec de la couleur et des pièces originales et joyeuses.

Petit Modèle au singulier

87-89 rue Jean de la fontaine 75016 Paris

16 septembre 201416 septembre 2014

Maralex – les enfants d’abord

L’histoire d’une entreprise familiale.

Maralex, de père en fils, a toujours fabriqué des chaussures. Des chaussures pour enfants.

Et puis la marque a élargi le spectre de son offre dans cette superbe boutique du quartier de la rue de Passy, au 1 rue de la Pompe.

Et c’est ainsi qu’est né ce lieu qui fait le bonheur des petits et des grands.

Vous cherchez de jolies chaussures de qualité, une tenue branchée ou encore des jouets pour vos enfants (la boutique habille et chausse jusqu’à 12 ans). Faites un tour chez eux !

Pendant que les mamans examinent les produits, les enfants s’approprient le lieu, comme ce petit garçon que file vers le tableau noir dissimulé dans le coin jeu sous l’escalier, ou encore cette petite fille qui chevauche joyeusement le joli cheval à bascule en bois.

Vous trouverez la marque Maralex bien sur, mais aussi des classiques, tels que Unisa ou Uggs. Pour les vêtements, mon oeil a été attiré par l’offre Kenzo, mais le choix est vaste.

Et puis il y a ces grenouillères adorables pour bébés, et même des chaussettes, qui portent le nom de la marque.

L’espace est vaste, la boutique est lumineuse. C’est ce genre d’endroit que l’on cherche souvent sans le trouver; désormais vous savez : la rive droite a son concept store enfants du côté de la rue de Passy !

Maralex

1 rue de la Pompe 75016 PARIS

17 juin 201417 juin 2014

PIAGET – #PiagetRoseDay

Piaget fête les roses.

Parfois j’ai la sensation de passer de l’autre côté du miroir, de pénétrer dans un univers magique comme par enchantement. C’est précisément ce qui s’est produit ce jour où j’ai passé la porte du Shangri-La pour découvrir ces merveilles.

Piaget a toujours voué une passion aux roses. Passion partagée avec Joséphine Bonaparte, inspiration majeure de sa dernière collection de Haute Joaillerie Piaget Rose Passion.
Joséphine « Rose », de son vrai prénom, acquiert avec l’Empereur Napoléon Bonaparte le Château de Malmaison en 1799. En 2012, en devenant mécène d’une des plus anciennes roseraies d’Europe, Piaget a rendu hommage à l’Impératrice qui a elle aussi œuvré pour la préservation de l’espèce de roses, en y faisant planter à l’époque plus de 250 espèces de roses.

Deux années de travaux plus tard, le Rose Day qui a lieu cette année le Jeudi 5 juin 2014 marquera le premier jour d’ouverture au public de ce jardin de roses anciennes. La façade de la boutique Vendôme s’est également métamorphosée en une roseraie éphémère pour l’occasion.

Après cette histoire, je vous invite à découvrir les univers de cette nouvelle collection de joaillerie.

A la découverte des merveilles du #PiagetRoseDay

L’écrin d’abord : élégant, somptueux, digne des pièces uniques qu’il accueille.

Des parures de diamants qui prêtent au rêve, et que j’imaginerais néanmoins volontiers autour de mon cou pour certaines d’entre elles.

Des pièces très contemporaines, telles que ces headbands précieux.

Puis des manchettes que je ne peux m’empêcher d’imaginer à mon poignet. Vous me connaissez, je ne peux pas résister à un beau bracelet.

C’est l’esprit de Joséphine de Beauharnais que l’on retrouve dans cette collection empreinte de modernité et d’élégance.

Ces joyaux ont retrouvé le chemin de la boutique de la de la place Vendôme. Cette place, haut lieu du savoir faire à la française, où il est toujours agréable de faire le tour des vitrines, ne serait-ce que pour le plaisir des yeux ! Peu à peu, j’en fais le tour, et je vous avoue que j’y prends plaisir !

A bientôt pour de nouvelles merveilleuse découvertes.

16, Place Vendôme 75001 Paris

1 avril 201431 mars 2014

Wonderfultime – Fréderic Lalos Paris

Wonderful Time – Ou comment voyager autrement.

Unique journeys. Inspiring people.

C’est la promesse de Wonderful Time qui propose des rencontres et des expériences uniques dans des lieux hors du commun avec des talents experts dans leurs domaines, passionnés et passionnants.

Ainsi, j’ai pu pénétrer dans l’antre d’un boulanger pâtissier de renom : Frédéric LALOS .

Il nous accueille, et nous voilà dans le laboratoire, prêts à mettre la main à la pâte !

Ces pains, viennoiseries dont vous vous régalez régulièrement si, comme moi, vous êtes gourmandes, nous allons leur donner vie, pénétrer l’envers du décor.

En même temps qu’il malaxe et travaille, il nous raconte les réalités du métier d’un artisan de France. Il nous livre son secret : » Le secret du pain, c’est de prendre son temps »

Chez lui, tout est fait sur place , et ce dans les 6 établissements.

Et nous voilà partis dans la confection d’un pain au sarrasin. Bien sur la pâte a déjà dormi 24 heures, parce que c’est le secret absolu d’un pain réussi, et il commence la découpe, le pesage.

Je dois laisser le reportage pour attaquer la pâte ! Parce qu’il le dit lui même, il n’y a pas de secret la main, elle sent tout !

Il nous raconte aussi son métier, et nous explique comment il est indispensable de moderniser le métier pour s’adapter au monde d’aujourd’hui et attirer la génération Y !

Il a fait des classes chez Lenôtre et aujourd’hui il veut être pour ses apprentis la bonne personne au bon moment.

Il est meilleur ouvrier de France et il a été le plus jeune meilleur ouvrier de France a 25 ans

C’est une véritable histoire de vie qu’il raconte : « La baguette a une vie, si on la traite avec douceur elle s’ouvre au four, si on la matraque elle sera dure »

Vous pourrez déguster son pain et ses viennoiseries dans une de ses 6 boutiques parisiennes. Et vous aurez ainsi la chance de goûter ce pain qu’une trentaine d’étoiles au guide Michelin viennent chercher tous les matins ! Thoumieux, Guy Savoy, Shangri la, le Meurice, ils se fournissent tous chez lui !

Voilà donc une expérience assez unique. Une occasion rare de voir différemment ces produits du quotidien et de prendre la mesure de tout le savoir faire qui se cache derrière.

Si vous voyagez à Paris, et que vous aussi vous êtes en quête d’expériences plus personnalisées, de celles qui laissent un souvenir qui restera ancré dans votre mémoire, Wonderfultime est là pour vous !

14 février 201422 janvier 2016

Linvosges – l’amour du beau linge

Linvosges fait partie de ces marques si familières et pourtant parfois méconnues. Alors j’ai saisi l’occasion de découvrir ces produits dans la boutique de la rue Nicolo dans le XVIème. Venez les découvrir avec moi !

Des grands classiques valeurs sures, d’une qualité de finition et de matières qui font la signature de la marque…

Et puis des produits qui nous font voyager et déjà rêver de plage, air marin et vacances d’été !

Alors hier, lors de la présentation presse, nous avons partagé !

View the story « Linvosges – une marque qui porte si bien ses 90 ans ! » on Storify

Et vous, Linvosges, vous connaissez ?

14 janvier 201415 janvier 2014

Loulou Jasmin – décoration d’intérieur.

Loulou Jasmin se dissimule dans la discrète rue Poussin, dans le XVIème arrondissement.

Un magasin de décoration d’intérieur, et plus encore.

Si vous avez en tête de refaire votre maison, ou même une pièce, ou si, plus simplement, vous cherchez un joli coussin original ou un objet de décoration unique dont vous serez sur de ne pas le retrouver ailleurs, il faut que vous alliez chez Loulou Jasmin !

Quand on pénètre dans les lieux, c’est la couleur et sa chaleur qui sautent aux yeux. Tout parle joie de vivre : tissus chamarrés, objets d’intérieur colorés, et puis les coussins … Ah, les coussins !

Loulou Jasmin, c’est donc l’histoire de Valerie Bettane qui secoue les classique, les modernise, mais toujours avec des étoffes, objets et papiers de grande qualité.

Elle créé des moodboards, sur la base de ce que vous lui expliquez, de ce que vous aimez, et même de ce qu’elle voit chez vous. Parce qu’elle se déplace aussi, pour prendre la mesure de l’atmosphère de votre lieu de vie et le parer ainsi de ses plus beaux atours.

Tissus donc, tels que celui ci, signé Hermès, mais faut-il vraiment le dire ! Ces plumes sont reconnaissables entre mille ! Et ce tombé…

Une large sélection de paiera peints des plus grandes marques de l’univers de la décoration d’intérieur lui permet de réaliser ces petites merveilles sur mesure.

Et puis il y’a ces coussins qui réchaufferaient le canapé le plus gris de la ville !

J’ai également un penchant pour ce vase « cravates » . Une brassée de fleurs s’y installerait avec élégance.

Pour vous, amateurs de bougies, une collection de bougies aussi belles et parfumées qu’élégantes.

Et enfin, un de mes coups de coeur, ces bocaux cloisonnés qui pourraient rapidement devenir une addiction si vous n’y preniez pas garde !

Donc, vous l’aurez compris, quand vous serez dans le quartier, faite un tour, voire même un détour pour aller découvrir cette boutique qui ne vous réservera que de jolies découvertes.

5 Rue Poussin, 75016 Paris
01 46 47 18 36

11 décembre 20138 décembre 2013

L’Art déco à la cité de l’Architecture et du Patrimoine

1925 : quand l’Art déco séduit le monde.

La cité de l’Architecture et du Patrimoine nous propose une rétrospective sur l’art déco, centrée sur l’exposition universelle de Paris en 1925. Une époque qui hésite entre tradition et modernité.

L’architecture art déco est longtemps restée associée à la guerre, aux dictatures fascistes, à Mussolini … Si bien que le mouvement qui avait dominé l’entre-deux-guerres a été quasiment gommé après la seconde guerre mondiale.

Après les ornements de l’art nouveau qui est resté un art de l’élite, l’art déco glorifie la simplicité, les lignes droites, les formes géométriques.

« L’ornement c’est le crime » disait un célèbre architecte autrichien.

L’Exposition Universelle de 1925 réunira plus de 15 millions de visiteurs, bien moins donc que les 50 millions de celle de 1900, mais elle marque tout de même le grand succès de l’art déco et d’une certaine foi dans le progrès.

Les pavillons s’étalent alors du pont Alexandre 3 jusqu’aux Invalides. Il n’en reste rien aujourd’hui. Il faut se contenter de cette maquette du Pavillon du tourisme construit par Mallet-Stevens.

C’est aussi la période de l’automobile triomphante. Citroën emmène ses voitures en voyage, avec « La croisière jaune » ou « La croisière noire ». Et des automobilistes qui décorent leur voiture avec des « mascottes », dans l’esprit de cet art aux lignes épurées.

Parmi les grands noms de l’époque, on en trouve aussi de plus inattendus, tels que Jean Patou, le premier couturier qui décide de créer des parfums.

« Amour amour » pour les blondes, « Que sais-je ? » pour les brunes, « Adieu sagesse » pour les rousses, et bien sur « JOY », le parfum le plus cher du monde !

L’exposition de la cité de l’Architecture et du Patrimoine tenait en son titre la promesse de nous faire revivre cette période de gloire .

Malheureusement, les salles d’exposition sont dans un sous-sol triste, les objets, meubles et maquettes sont peu nombreux, la scénographie laisse à désirer. On en sort déçu.

1, place du Trocadéro et du 11 novembre
75116 Paris

écrit par C Lui …