Pimpez vos murs avec le tableau photo plexiglas

J’adore la photo, ce n’est un secret pour personne. Et parfois, quand je suis plutôt contente du fruit de mon objectif, j’aimerais l’immortaliser et lui donner vie sur un mur plutôt que de le laisser végéter sur un disque dur. Ca vous arrive aussi ? Si c’est le cas, je vous conseille vivement le tableau photo plexiglas. Pourquoi ? Parce que vous aurez l’impression d’être un véritable artiste et d’avoir droit à un tableau digne des galeries les plus exigeantes.

Tableau photo Plexiglas – pourquoi ce choix ?

C’est souvent le choix des galeries photos, et il y a pour cela plusieurs excellentes raisons. Pour commencer, la photo est imprimée sur un papier de qualité premium, qui garantit un rendu des couleurs précis et éclatant. Elle est ensuite collée sur une plaque en Aluminium Dibond, garantissant une tenue parfaite pour un tableau qui résiste à toute variation de température.

Et enfin, last but not least, le plexiglas fixé sur la photo relève encore la luminosité du rendu total. Et étant donné que le papier photo n’est pas lié au plexiglas avec de la colle, les couleurs demeurent sans aucune altération.

Je suis fan de cette technique depuis longtemps, et c’est pour cette raison que j’ai accepté sans hésiter la proposition de tester l’offre Picsmyhome ! Résultat concluant à 100% !

Picsmyhome – l’expert des tableaux photo plexiglas

Chez Picsmyhome, pas de tirage photo sur toile ou sur bois, mais exclusivement en mode tableau photo plexiglas. Il s’agit donc d’experts qui ont fait le choix de proposer la déclinaison de la technique sous toutes ses formes.

Ainsi, on pourra choisir d’imprimer en format paysage, portrait, à chaque fois en sélectionnant la dimension.

tableau Plexiglas - Picsmyhome
tableau Plexiglas – Picsmyhome (photo de NYC par the parisienne)

Classique et efficace, c’est l’option sécurité qui mettra tout le monde d’accord.

Si on souhaite casser un peu les codes, Picsmyhome propose le modèle tout en rondeur.

Là, c’est originalité assurée !

Et pour les fêtes, vous pourrez composer des cadeaux sur mesure pour toute la famille avec le modèle mini ! Là, vous pourrez laisser libre cours à votre imagination, assembler, séparer.

Le petit plus : le modèle mini est livré avec de multiples supports. En effet on peut le poser, le fixer sur un réfrigérateur grâce à son aimant, ou encore l’accrocher.

Merci à Picsmyhome de m’avoir permis de retourner à New-York grâce à l’impression de ces deux photos d’une ville que j’aime tant !

Trendy et joli, le sac vegan débarque en force !

Les sacs à main, c’est ma passion. Et j’ai toujours attaché une grande importance à la qualité du modèle sur lequel je jetais mon dévolu. Toujours en 100% cuir. Et puis petit à petit, j’ai commencé à regarder de plus près les sacs 100% vegan. Au début, il y a quelques années, il faut bien le dire, ils étaient très laids ! Mais aujourd’hui, le sac vegan a tout pour plaire.

Ashoka Paris – haute maroquinerie 100% végane

Les sacs Ashoka sont 100% végan, et la marque a remporté le « Peta fashion award 2018 & 2019« . Les matières utilisées sont fabriquées à base de déchets de pommes (apple skin), ou encore de bouteilles de plastique recyclées. Autant dire que c’est une vraie bonne surprise ! Le rendu est bluffant. Quand aux lignes des différents modèles, elles sont actuelles, d’une modernité parfaite, et d’une élégance assumée.

Mon premier coup de coeur : le modèle Paname ! Pas très étonnant si l’on y pense…

Le Paname a ce look qui n’a rien à envier aux modèles cuir les plus trendy de ces dernières années. Mélange de texture pour un air plus vrai que nature !

Deuxième coup de coeur : la collaboration avec Pamela Anderson le Pamela box ! Une signature définitivement garante du côté branché, mais aussi de la dimension écoresponsable !

fabrication en Thaïlande

Gamme de prix : 280€ pour le Paname, 270€ pour le Pamela Box

Behotz – Le top du top ?

Dans le choix d’un sac vegan, plusieurs éléments rentrent en ligne de compte : les matériaux utilisés, le lieu de fabrication, et les modèles proposés. On peut dire que la marque Behotz coche toutes les cases. Surtout quand on est adepte du sac seau. en effet, les sacs Behotz sont fabriqués en France. Par ailleurs, les matériaux utilisés sont tous issus du recyclage. Idéal pour la planète. Et enfin, leur modèle phare est un sac seau, le modèle ZAGO.

La marque remplit donc tous les critères pour satisfaire celles qui souhaitent privilégier le commerce local, les matériaux sans impact sur l’environnement, et la défense de la cause animale.

fabrication française
Sac Zago 320€

Intemporea – féminine et généreuse

La marque Intemporea revendique « des sacs inspirés par les femmes« . Et j’ajouterais « pour les femmes », en tous cas « pour moi ». Parce que j’adore plusieurs de leurs modèles !

Chaque modèle porte le nom d’une femme inspirante. Et pour moi, ce sera Queen B., et Oprah !

C’est peut-être cette petite touche vintage qui m’a séduite ? Ou encore le côté texturé en mode croco qui est juste parfait !

Par ailleurs, la marque soutient l’association Room To Read qui finance l’éducation des petites filles issues de familles pauvres au Cambodge.

Cependant, il faut dire que le lieu de fabrication n’est pas précisé, et que le matériau utilisé est le polyuréthane, dont l’impact sur l’environnement est contesté.

Queen B. : 119€ , Oprah : 99€

lieu de fabrication ? Matière : polyuréthane

Jean-Louis Mahé – le modèle rock

Ici, je parle d’un modèle spécifique parce que la marque propose principalement des vêtements et des chaussures. Mais son modèle Zebra Black and gold se distingue clairement par son look rock !

Labellisé Peta, la marque reverse 1% de ses bénéfices à une association de protection des animaux et de l’environnement. Quant au matériau utilisé, il n’est pas clairement décrit, mais Jean-Louis Mahé revendique de « travailler sur une matière 100% végétale et écologique ».

Choisir le Sac vegan ? Oui, mais pour défendre quelle cause ?

Ma conclusion de ce voyage dans le monde de la maroquinerie vegan est la suivante : même si la recherche progresse sur les matériaux ( l’apple skin est un bon exemple, mais aussi le cuir de raisin) tous les matériaux utilisés pour remplacer le cuir animal n’ont pas encore vraiment fait la démonstration de leur neutralité pour l’environnement, loin de là. Impossible par exemple d’affirmer que le PU (polyuréthane) pollue moins que l’élevage.

La labellisation PETA, elle, garantit au moins l’absence de souffrance animale. Il nous faut donc choisir un combat faute de pouvoir les mener tous de front !

Pour ce qui me concerne, c’est la marque Ashoka qui est mon gros coup de coeur.

Boutiques de cadeaux à Paris ( pour le confinement et après)

(Se) faire des cadeaux en temps de confinement, une façon de garder le moral ! Alors voici des adresses de boutiques de cadeaux à Paris qui se sont décarcassées pour rester disponibles, en livraison, en call&collect, ou encore en click&collect ! Et dès que le confinement sera levé, on pourra s’y précipiter, en vrai ! Mais en attendant, faisons nous plaisir en les soutenant.

Bring France Home – cadeaux 100% made in France

Chez Bring France Home, tout, absolument tout, est fabriqué en France. Cela va du filet de course à la tablette de chocolat, sans oublier de charmants gobelets Revol à l’effigie de notre beau métro.

L’équipe qui accueille dans la boutique en temps de paix déborde de bonne humeur. Alors bien sur, hors de question de nous laisser livrés à nous même pendant cette période si morose !

Bring France Home - l'équipe de choc
Bring France Home – l’équipe de choc

Alors pour vos jolis petits cadeaux de Noël, pensez français, et pensez à elles ! Commandez, puis allez chercher vos commandes sur place, ou faites vous livrer, tout est possible.

Bring France Home 3 rue de Birague 75004 Paris

Rue Rangoli – des cadeaux avec du sens

C’est au fil de ses voyages d’Afrique en Asie que la fondatrice de Rue Rangoli rencontre ces artisans qui inventent l’upcycling avant même que nous n’y ayons pensé en Europe.

Rue Rangoli - upcycling
Rue Rangoli – upcycling

Quand l’un d’eux lui explique qu’il n’a pas trouvé son marché en local, elle décide de les accompagner pour les aider à se développer. En parallèle, de jeunes designers locaux s’emparent du sujet. Et ce qui était cantonné au souvenir ethnique devient objet de décoration. Ce sont ces créations qu’elle propose dans la boutique Rue Rangoli rue du Cherche Midi.

Girafes Ocean Sole flip flop art chez Rue Rangoli
Girafes Ocean Sole flip flop art chez Rue Rangoli

Superbes console en bois et métal par les ateliers Initiatives Solidaires, lampes fabriquées à partir de matériaux de chantier, on peut apporter une touche déco industrielle à notre intérieur.

De superbes paniers tissés main, toujours avec une touche design.

 

Démonstration est faite que l’artisanat du monde peut définitivement s’intégrer dans nos intérieurs citadins. Et puis c’est une source d’inspiration sans fin pour de jolis cadeaux de Noël.

Rue Rangoli  74 Rue du Cherche-Midi, 75006 Paris / instagram : ruerangoli

Louisette Paris

Chez Louisette, il y en a pour tous les goûts, tous les âges, et toujours en privilégiant les savoir-faire artisanaux, et les créations originales. Les enfants ne sauront pas résister à la sélection de peluches si mignonnes de la marque Jelly Cat)

peluches chez Louisette Paris
peluches chez Louisette Paris

Dans la catégorie Made in France, les bols qui ont bercé notre enfance font leur grand retour en direct de Pornic !

Bols bretons made in Pornic
Bols bretons made in Pornic

Pendant le confinement, tout est mis en place pour que vous puissiez faire vos achats : on fait son choix sur les photos insta, on la contacte et on vient chercher les mercredis après midis et samedis après midi. sinon, il y a toujours le téléphone : 0142573969

Et très vite , direction les Abbesses !

Louisette  29 rue VERON 75018 Paris

la boutique C’est Extra !

Voilà une de ces adresses découvertes au détour d’une balade parisienne ! Et j’adore, à commencer par le nom : C’est extra ! Ici, une sélection de propositions fabriquées à Paris par des créateurs de talent. D’abord, la déco décalée avec les canevas de nos grand-mères réinventés pour être mis au goût du jour !

Et puis il y a aussi les assiettes dans le même esprit !

assiettes La Furieuse Company
assiettes La Furieuse Company

Deuxième créatrice de talent proposée par C’est Extra : les sacs en perles brodés par Sophie Cano Stuff. Des pièces uniques que toutes les fashionistas vont adorer.

Et pour le reste, faites-vous plaisir, allez y faire un tour dès que nos commerces auront réouvert. En attendant, il y a toujours Instagram et le reserveEnMp & collect !

C’est Extra 18 rue Damrémont 75018 Paris / tel :06 24 15 99 77

L’appartement Français

Les créateurs de cet Appartement Français sont complètement et définitivement engagés. Engagés à proposer des produits 100% made in France, bien loin du « francowashing « . En d’autres termes, ils garantissent la fabrication française en exigeant un engagement contractualisé de leurs fournisseurs sur l’origine de chaque composante du produit. Parce qu’on en a assez du « designed en France » et fabriqué en Chine ! Engagés aussi dans une démarche éco responsable, de la boutique, aux gourdes qu’ils utilisent pour éviter le plastique, sans oublier les sacs en papier recyclé, et les cartons de livraison made in France eux aussi.

Aujourd’hui, la boutique est fermée, mais ils sont toujours là ! Vous pouvez visiter les lieux avec eux en vidéo, venir récupérer vos commandes sur place, ou vous faire livrer.

Autant dire que de la mode à la maison des centaines d’idées vous attendent, alors, laissez vous tenter ! Et vivement le déconfinement de nos petits commerces pour aller les rencontrer.

L’appartement Français 27 rue du Bourg-Tibourg 75004 PARIS
Instagram : lappartementfrançais

 

Les fleuristes parisiens s’organisent pour égayer notre confinement

Les fleuristes parisiens, comme les autres, ont fermé leurs portes. Mais certains en ont profité pour réinventer leur activité, et notre expérience d’achat. Alors, on s’offre des fleurs ?

Olivier fleuriste - il fleurit nos vies
Olivier fleuriste – il fleurit nos vies

Olivier fleuriste – il fleurit nos vies

Olivier est clairement passionné. Et cette passion se perçoit dès que l’on parcourt son site ou les images de bouquets qu’il partage sur Instagram. J’attends donc impatiemment la fin du confinement pour pouvoir le rencontrer en personne. Mais en attendant, il se décarcasse pour « fleurir nos vies« . Tout d’abord, il y a ses bouquets. Comment résister à ces compositions de fleurs de saison, provenant de producteurs locaux, et qui par dessus tout portent des noms de quartiers de Paris !

Mes coups de coeur : ceux proposés avec un vase vintage comme Louvre, Ile Saint Louis ou encore quais de Seine.

Ensuite, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans les compositions existantes, il propose également de créer le bouquet avec vous en visio ! Ensuite, il ne reste plus qu’à se rendre sur place pour repartir avec sa création. Et bien sur, il y a la livraison. En résumé, tout est fait pour pouvoir mettre de la couleur et de la vie dans notre intérieur !

66 rue Condorcet 75009 Paris et 53 rue Notre-Dame de Lorette 75009 Paris
tel :01.44.52.03.63 et 06 21 06 27 82 pour la conception de bouquet en visio live
mail : contact@olivier.paris

La fabrique d’effets – bouquet surprise

Avis aux amateurs de surprise totale.

Ici, vous choisissez la taille (et le prix) puis vous attendez jusqu’à la découverte du bouquet final !

A la Fabrique d’Effets, on privilégie les fleurs de saison, produites localement ou en France. Et ce sont les fleuristes qui composent pour votre plus grand bonheur. Bien sur, le compte Instagram permet d’avoir une idée de ces bouquets délicieusement champêtre.

La Fabrique d'effets - bouquet champêtre
La Fabrique d’effets – bouquet champêtre

Alors commandez votre bouquet sur l’e-shop ou par téléphone (09.62.37.41.02) dès jeudi après-midi. Puis venez le retirer vendredi, samedi ou dimanche 🌸

La Fabrique d’ effets  104 Rue Legendre 75017 Paris

Monsieur le Fleuriste – Dis, créé moi un bouquet

Chez Monsieur le fleuriste, on a l’amour des fleurs, et une volonté de faire plaisir à tous. C’est pour cette raison que Gil et Nicolas s’appliquent à proposer une gamme extrêmement large de compositions avec une gamme de prix qui s’adapte à tous les budgets.

Monsieur le fleuriste
Monsieur le fleuriste – cylindre champêtre

Ce cylindre champêtre par exemple est à 58€ tel que réalisé sur la photo, mais peut être confectionné dans une fourchette de 55 à 80€. Et cela vaut pour tous les bouquets disponibles.

Et pour acheter chez Monsieur le fleuriste en temps de confinement …

Monsieur le fleuriste 209 avenue Daumesnil 75012 Paris tel : 01 86 95 01 06

Alors, prêts à (vous) offrir des fleurs chez un de nos superbes fleuristes parisiens ?

Confinement – magasins de jouets à Paris

En cette nouvelle saison du confinement, un des sujets qui animent les échanges et les débats fougueux concerne la fermeture des commerces. Cependant une latitude est accordée pour click/call and collect et ses déclinaisons diverses. J’ai donc décidé de partager les informations du plus grand nombre de commerces qui se sont adaptés à ce nouveau contexte inédit. Et, saison oblige,  je commence par les magasins de jouets.

Les magasins de jouets à Paris au temps du confinement

L’achat de saison par excellence à l’approche des fêtes est donc le jouet. Mais aussi les jeux de société qui peuvent aider à combler les heures creuses du confinement. Cette liste n’est pas exhaustive, mais elle devrait vous permettre de trouver au moins une adresse qui vous aidera à trouver votre bonheur !

magasin de jouets à Paris
magasin de jouets à Paris

Qu’il s’agisse du petit magasin de quartier, du spécialiste de modèles réduits, ou de l’adresse où l’on sait qu’on trouve tout, les magasins parisiens de jouets sont là pour nous. Vous apercevrez la porte entr’ouverte, vous toquerez à la vitrine, et le commerçant vous conseillera à distance, pour vous vendre donc en « toc, toc & collect » . Vous pourrez aussi parcourir le catalogue en ligne de ceux qui avaient déjà tout prévu. Et vous pourrez aussi faire votre choix sur Instagram pour ensuite contacter le vendeur et vous rendre sur place récupérer votre commande. Alors c’est parti !

Une institution – L’oiseau de Paradis

L’oiseau de Paradis existe depuis 1932. Son emplacement exceptionnel sur le boulevard Saint-Germain doublé de sa longévité lui confère une place toute particulière dans l’univers du jouet parisien. Et il est inscrit dans ma mémoire de parisienne.

Magasin historique, il a su fidéliser sa clientèle de génération en génération, et c’est peut-être pour cette raison que le site Internet n’est encore qu’au stade de projet. Quant au compte Instagram, il propose quelques images et des vidéos qui illustrent un petit échantillon de l’offre énorme. Mais surtout, en appelant, vous aurez un accueil chaleureux, des conseils éclairés, et la possibilité de venir tous les jours l’après midi pour récupérer vos commandes !

Que trouverez vous à L’oiseau de Paradis ? Si je ne devais en citer qu’un, je dirais Tintin ! Le magasin est sans doute la référence pour tous les produits dérivés du célèbre globe trotter ! Mais on y trouve bien sur toute la gamme de jouets traditionnels de qualité, de la belle peluche à la petite voiture en bois, les poupées et leurs maisons.

Instagram @loiseaudeparadisparis  / coordonnées pour call & collect : 01 45 48 97 90
211 boulevard Saint Germain Paris

Elephant Rose – un nom, trois adresses, plus une

Le magasin L’éléphant rose que je connais est situé rue Monge. C’est bien simple, ils ont tout ! Des peluches, des jeux en bois, des poupées, des voitures et des camions. Ce sont toujours les jolies peluches qui attirent mon oeil quand je passe devant la vitrine.

L'éléphant rose Paris - magasin de jouets
L’éléphant rose Paris – magasin de jouets

Mais il y en a pour tous les goûts et tous les âges.

Les deux autres adresses de l’Elephant Rose proposent des sélections similaires. Et puis il y a Pain d’Epices au coeur du passage Jouffroy.

Là, c’est le paradis du jouet de collection, des petites figurines, boites à musique et surtout maisons de poupées ! Pour vos enfants, petits enfants, et surtout, pour la petite fille qui sommeille en vous !

Maison de poupées - Pain d'Epices Paris
Maison de poupées – Pain d’Epices Paris

86 rue Monge 75005 Paris tel : 01.47.07.24.32 / 29 passage Jouffroy 75009 Paris tel: 01.47.70.08.68 / 27 rue Desnouettes 75015 Paris  tel :01.45.32.43.78 Instagram : @boutiqueelephantrose 96 avenue Mozart 75016 Paris tel : 01.42.88.90.11

Tikibou jouets – deux adresses sinon rien

Tous ceux qui sont passés par le quartier de Montparnasse connaissent l’adresse Tikibou du 14ème. Au pied de la Tour, on a cette sensation de pénétrer dans un coffre à jouets géant.

Sur un des murs d’étagères ce sont des dizaines de jeux de société qui attendent d’animer vos soirées de confinement. De l’autre côté, c’est le rêve des amoureux de poupées, et en face encore, ce sont les peluches qui attendent d’être adoptées.

33 boulevard Edgar Quinet 75014 Paris tel :  01 43 20 98 79 Instagram : @tikiboujouets

20 avenue Felix Faure 75015 Paris  tel : 01 45 58 17 44 Instagram : @lilifabule

Zig et Puce – se réinventer en temps de confinement

Quand un magasin à l’offre réelle si riche se trouve face à une situation de crise, c’est simple, il se réinvente.

Alors vu la richesse du stock, impossible de mettre tout en ligne du jour au lendemain. Mais ils ont créé un compte Instagram histoire de donner un aperçu de tous ces jouets qui attendent vos enfants et la hotte du père NoËL.

Ici ce qui sautera aux yeux, ce sera les voitures miniatures bien sur.

Mais aussi les calendriers de l’avent, les déguisements, les figurines en tous genres.

Et encore tant d’autres possibilités ! alors surtout n’hésitez pas : appelez, et laissez vous guider ! Parce que le « call&collect » ça a du bon.

Zig et Puce 24 Rue Mademoiselle, 75015 Paris 

Instagram : @zigetpuceparis

📱 06.58.13.73.47
☎️ 01.47.05.30.58
Du mardi au samedi de 10h à 19h

 

 

Heloïse et Abelard – les amoureux maudits de l’Ile de la Cité

Notre dernière promenade dans l’histoire de notre capitale nous a menés là où tout a commencé : l’Ile de la Cité. Je vous ai parlé de l’Histoire avec un H, mais cette ile a aussi abrité une des premières amours maudites. Partons donc sur les traces d’Heloïse et Abelard.

Heloïse et Abelard – Roméo et Juliette avant l’heure

L’histoire se déroule en 1115 au coeur de la ville, siège du royaume des Capétiens, sur cette île de la Cité où bouillonne la vie intellectuelle. Mais commençons par les protagonistes.

Lui, c’est Abelard, Pierre de son prénom, noble que tout destinait au métier d’arme. Cependant, c’est vers l’enseignement qu’il se tourne, et plus précisément la philosophie. Il est également maitre en théologie à Notre-Dame de Paris. Il a 36 ans quand il croise le chemin d’Héloïse.

Elle, c’est Héloïse. Elle a 17 ans, et son oncle qui l’élève,  le chanoine Fulbert, confie son éducation à Abelard en échange d’un logement, à quelques pas de la cathédrale.

Et là, c’est le coup de foudre.  Une passion charnelle, en mode 50 shades of grey moyennageux. Très vite, cette attraction entre deux protagonistes que tout devrait séparer, deviendra une belle histoire d’amour interdite qui perdurera envers et contre tous, et malgré les nombreux drames qu’elle traversera. En effet, il y aura une grossesse, la naissance d’un fils, et un mariage. Puis la séparation, entrecoupée de visites enflammées.

Héloïse et Abelard – de la Cité au Père Lachaise

On suppose donc que le couple d’amoureux se retrouvait Quai des fleurs, où une plaque a été apposée pour rappeler leur passage. La logique confirme cette théorie, l’Ile de la Cité étant alors habitée par les chanoines de Notre-Dame de Paris.

Ces deux visages sculptés que l’on peut admirer sur les portes de leur présumée demeure sont les témoins des rendez-vous enflammés de ces amoureux contrariés.

Leur histoire aurait donc commencé ici, avec des rendez-vous secrets qui finissent par être dévoilés. Abelard est certes enseignant mais aussi clerc. Ce statut lui impose le célibat et la grossesse d’Héloïse met donc sa carrière en risque. Pour le protéger Héloïse accepte de quitter Paris pour se réfugier chez la soeur d’Abelard en Bretagne où elle donne naissance à un fils. Puis c’est un mariage secret qui est célébré à Paris. L’histoire n’est pas finie…Abelard et Heloise, à nouveau séparés pour protéger l’enseignant continuent néanmoins à se voir régulièrement. C’est donc Fulbert qui scelle la fin de l’histoire quand il fait castrer Abelard ! Les deux amants s’enferment alors respectivement dans des couvents. Ils se retrouveront néanmoins dans la tombe commune qui les accueillera d’abord en Bretagne, puis finalement au cimetière du Père Lachaise où les romantiques du XIXème siècle les feront transférer.

Maison d’Heloïse et Abelard 11 quai aux fleurs 75004 Paris

L’Ile de la Cité – vestiges d’avant.

Nous nous sommes quittés au IIIème siècle alors que les barbares venus du nord ont poussés les habitants de Lutèce à quitter la rive gauche et à se réfugier sur l’Ile de la Cité en prenant soin de détruire tous les ponts. Que se passa-t-il ensuite ? Qu’advint-il de cette île ?

L’Ile de la Cité – première enceinte de Paris

enceinte gallo-romaine (source wikipedia)
en rouge vif, l’enceinte gallo-romaine et en violet le tracé de la Seine. En rouge foncé, les murs du palais gallo-romain (source wikipedia)

C’est donc au début du IVème siècle que les habitants protègent la partie orientale de l’ile par une enceinte de pierre. D’une largeur de deux mètres, elle est édifiée à une distance d’une trentaine de mètres des rivages de la Seine

Et comme toujours à cette époque les blocs de pierre utilisés sont ce qu’on appelle des « remplois« . Autrement dit on réutilise des matériaux de bâtiments à l’abandon de la rive gauche. Ainsi, d’anciens décors de temples, des éléments de colonnes ou des pierres retaillées sont utilisées pour construire cette enceinte. Pour mieux comprendre son tracé, rendez-vous tout d’abord rue de la Colombe. Au sol, on peut voir le tracé d’un de ses tronçons.

tracé au sol de l'enceinte gallo-romaine - rue de la Colombe
tracé au sol en pavés de l’enceinte gallo-romaine – rue de la Colombe (photo Wikipedia)

Poursuivons la promenade .

Ile de la Cité - rue de la Colombe
Ile de la Cité – rue de la Colombe

En continuant son chemin on peut emprunter juste sur la droite la rue des Ursins et l’on est comme plongés dans le Paris médiéval. Mais on peut aussi imaginer la suite du parcours de l’enceinte gallo-romaine qui empruntait le même sillage.

La distance entre l’enceinte et la Seine permettent d’aménager un chemin de ronde sur la grève. Et quoi de mieux comme fossé que le fleuve lui même !

On ne sait pas précisément quand l’enceinte sera détruite. Mais la configuration de l’époque romaine perdure jusqu’à aujourd’hui : à l’ouest de l’île, le siège du pouvoir, et à l’est, la foi. Parce qu’avant Notre-Dame de Paris, une autre cathédrale avait déjà été édifiée par Clovis, récemment converti au christianisme.

L’île de la Cité – le temps des cathédrales

Aujourd’hui, c’est Notre-Dame de Paris qui occupe tout l’espace, physique, mais aussi de notre mémoire. C’est en 1163 qu’elle fut construite, mais elle ne faisait alors que prendre la place de celle qui avait ouvert la voie : la cathédrale Saint-Etienne.

Cathédrale Saint-Etienne - emplacement sur le parvis de Notre-Dame de Paris
Cathédrale Saint-Etienne – emplacement sur le parvis de Notre-Dame de Paris

Mais comment le christianisme s’installa-t-il à Lutèce ? On doit ce bouleversement à un binôme : le roi des Francs, Clovis, et une jeune future sainte : Sainte Geneviève. Sans oublier l’appui de la femme du roi : Clotilde.

Clovis, contrairement à sa femme Clotilde, n’est pas chrétien. Mais Geneviève est installée à Lutèce  et jeune roi souhaite en faire sa capitale après sa victoire sur les Huns. La future sainte va donc imposer sa volonté de convertir ces païens avant d’autoriser l’accès à la ville. Et c’est en 496, après sa conversion et son  avènement que Clovis fait de Lutèce sa capitale. Pour l’occasion, il renomme la ville en lui donnant le nom de Paris, du nom de ces habitants originels, les Parisii.

Aujourd’hui, c’est la cathédrale de Notre-Dame de Paris qui illustre si bien le passé légué par Sainte Geneviève. Quant à elle, elle guette toujours l’ennemi, installée sur le pont de la Tournelle, représentée par la statue de Paul Landowki. Cependant, pas d’image ici pour illustrer cette dernière phrase : je trouve que cette statue rigide et sans âme ne rend certainement pas hommage à cette jeune femme qui s’est donnée corps et âme pour protéger la ville et ses habitants !

Confinement à Paris – saison 2

Et voilà, c’est officiel, la saison 2 commence aujourd’hui. Le  confinement à Paris, c’est donc bien reparti. Pour la saison 1, j’avais utilisé mon blog en mode « journal intime ». Pour la saison 2, je change l’approche. Paris sera à l’honneur, à travers son histoire cette fois. C’est l’avantage de vivre dans une ville chargée d’un passé riche et multiple.

Confinement à Paris – au commencement était…

Pour débuter un voyage, il faut savoir d’où l’on part. Et avec Paris, tout commence à Lutèce. Parce que c’est en 51 avant J.-C. qu’on entend parler pour la première fois d’une ville que César nomme Lutèce dans son ouvrage : La Guerre des Gaules. Cet oppidum ( ville fortifiée) abrite alors un peuple gaulois : les Parisii. Mais la ville disparait rapidement suite à un incendie déclenché par ses propres habitants qui veulent à tout prix éviter qu’elle ne tombe aux mains des romains.  A peine connue, elle disparait déjà, et pourtant on ne l’oubliera plus jamais. Pas plus que ses habitants qui ne sauront jamais qu’ils lui ont donné le nom qu’elle porte encore aujourd’hui.

Où se trouvait cette célèbre Lutèce ? Depuis toujours on l’a associée à l‘île de la Cité. J’en veux pour preuve les vestiges de remparts que l’on peut admirer dans la crypte sous le parvis de Notre Dame.

Mais en 2003 des fouilles mettent à jour à Nanterre les vestiges d’une importante ville gauloise. Certains explorent la piste de la Lutèce gallo-romaine sous ces pierres, mais sans pouvoir en faire la démonstration. Où se trouve donc la vérité ? On ne le saura jamais. Et quant à moi, j’ai fait le choix de balayer la deuxième option d’un revers de main !

Lutèce – sous les pavés, la cité gallo-romaine

Revenons-en à Lutèce, prématurément disparue. Elle va renaitre de ses cendres sous le règne d’Auguste, de 27 avant J.-C. à 14 après J.-C. Les romains sont au pouvoir, et les Parisii sont revenus sur leurs terres. C’est sur la rive gauche qu’ils construisent leurs maisons, sur l’actuelle montagne Sainte-Geneviève.

Lutèce bénéficiant d’un emplacement exceptionnel, les Romains vont la bâtir à l’image de leurs villes. Une voie centrale, le Cardo, est l’élément essentiel de la distribution des constructions principales. On peut deviner son emplacement avec l’enfilade des actuelles rue Saint-Jacques et rue de la Cité. Comme dans toute ville romaine qui se respecte, le forum constitue le centre politique.

perspective sur la rue Soufflot
perspective sur la rue Soufflot

Il se situait au niveau de l’actuelle rue Soufflot. les Romains construisent également des thermes, dont les seuls vestiges aujourd’hui sont ceux des thermes de Cluny. Et puis que serait une ville romaine sans ses arènes ?  C’est donc rue Monge que sont construites les arènes de Lutèce. alors qu’aujourd’hui on les devine à peine derrière de ridicules petites entrées, elles disposaient pourtant à l’époque d’un des plus grand amphitéâtres de Gaule. Aujourd’hui, quand la météo le permet, on peut y voir des habitants du quartier qui jouent aux boules. On est bien loin des gladiateurs et des fauves qui faisaient le spectacle pour plus de 15000 spectateurs.

Lutèce bénéficiait alors d’une aura qui attirait les voyageurs de toutes la région. Mais le destin va encore frapper au IIIème siècle, quand des raids barbares la mettent en péril. Les habitants se réfugient à l’abri des enceintes de protection de l’île de la Cité.  La ville rive gauche est détruite.

Pour mieux comprendre cette période, la crypte archéologique de l’Île de la Cité est une mine d’informations.

Pour notre prochaine balade, je vous emmènerai sur l’île de la Cité, où tout a recommencé au Vème siècle.

Luxes au Musée des Arts Décoratifs

L’exposition LUXES au Musée des Arts Décoratifs (MAD)  offre une analyse riche et extrêmement instructive de ce terme pourtant si familier. On parcourt ainsi des époques mais aussi des thématiques complexes dont les décryptages permettent au visiteur de mieux cerner ce concept, tant culturellement que sociologiquement.  Le luxe offert au visiteur ? La découverte d’une salle secrète ordinairement fermée au grand public !

Luxes au Musée des Arts Décoratifs – le luxe au fil des siècles

De nos jours le terme « luxe » est naturellement associé à de grandes maisons, souvent françaises. Ces marques qui enflamment l’imaginaire et suscitent les convoitises. Le MAD fut fondé en 1864 par les ancêtres de ce que nous connaissons aujourd’hui sous l’intitulé d’industries du luxe. Aujourd’hui, ce musée prend pourtant un parti pris innovant en proposant un parcours anthropologique et culturel dans cet univers toujours chargé de rêve.

LUXES au MAD
LUXES au MAD

C’est un sablier qui accueille le visiteur au départ de l’exposition. Parce que le temps est le plus précieux des luxes, et on l’oublie trop souvent.

Puis au pénètre dans l’histoire des LUXES avec l’origine du mot. Et l’on découvre qu’il ne provient pas de « lux », la lumière, mais de « luxus », qui évoque ce qui est séparé, déplacé. Et c’est le point de départ d’un périple qui va nous confronter au luxe du savoir, ou encore à celui de ne pas travailler !

Bien sur, ornements et bijoux sont aussi au rendez-vous.

Mais l’essentiel est ailleurs. Comme par exemple avec le luxe du voyage, illustré par de superbes malles ainsi qu’une Hispano Suiza.

Et c’est l’émerveillement lorsque l’on pénètre dans le joyau caché : le Pavillon 1900

LUXES – le pavillon 1900

Le trésor de cette exposition est indéniablement ce pavillon intégralement réalisé en bois pour l’Exposition Universelle de 1900. Installé aux Invalides, il sera rapatrié au MAD dès 1905.

Il est présenté ici avec les vitrines d’origine de l’exposition ainsi que bon nombres d’objets qui y illustraient les savoir-faire de l’époque.

Accolé à cette pièce, le non moins spectaculaire salon des boiseries et son lustre monumental.

Ici est illustrée la prédilection de la France pour les décors en boiserie qui assureront son rayonnement dans toute l’Europe grâce à l’excellence de ses artisans.

LUXES – la mode bien sûr

Une exposition sur le luxe ne pourrait s’envisager sans la mode qui en est le symbole depuis le XXème siècle.

C’est donc naturellement sur ce thème que l’exposition prend fin. C’est là que l’on comprend son évolution , des années 20 aux corps corsetés, en passant par les années 30 et la libération par Chanel de la silhouette féminine.

Chanel - petite robe noire
Chanel – petite robe noire

Et dans la dernière salle, ce sont les artisans d’art qui sont salués, eux dont on reconnait à nouveau les mérites et les talents longtemps demeurés dans l’ombre.

Pour finir en apothéose toute d’or vêtue.

LUXES jusqu’au 18 juillet 2021
Musée des Arts Décoratifs 107 Rue de Rivoli, 75001 Paris

Christophe Dabi – Luminaires fabriqués à Paris

Christophe Dabi est un ébéniste qui joue avec la lumière. Il conçoit et fabrique des luminaires au design contemporain. Tout en légèreté et en élégance, ils éclaireront votre intérieur qui gagnera une touche unique, celle de la pièce que vous aurez choisie, et que l’on ne trouve que dans son atelier, en plein coeur de Paris.

Atelier Christophe Dabi
Atelier Christophe Dabi

Christophe Dabi – Le bois tout petit déjà 

Aussi loin qu’il se souvienne, le bois fait partie de sa vie. A 10 ans déjà Christophe sculptait de petits bateaux en bois. Pourtant, jeune adulte, il s’engage dans des études d’ingénieur aux Arts et Métiers. Alors qu’il poursuit sa carrière professionnelle dans le conseil, il utilise son temps libre pour fabriquer des luminaires en bois qu’il offre à ses amis. Fondamentalement il le sait, il a viscéralement besoin d’un rapport à la matière et de l’usage de ses mains. Alors il se lance et en 2010, il créé sa société. Avec le bois toujours comme fil conducteur de sa création. Pour commencer, il crée des agencements sur mesure, mais le luminaire arrive très vite. C’est sa participation au salon Maison et Objets  en 2014 qui lui permet de « sortir du bois » comme il le dit en souriant .

Que la lumière soit

C’est donc en 2014 que Christophe lance sa collection de luminaires. Il propose plusieurs modèles, qu’il décline en suspension, applique, lampadaire ou encore lampe de bureau.

Christophe Dabi - Stockholm
Christophe Dabi – Stockholm

Sa toute première création, Stockholm, représente un challenge en termes d’ébénisterie. Mais il aime allier les défis du bois à la fonctionnalité d’un éclairage efficient et esthétique. Des lignes sobres et aériennes, une lumière indirecte diffuse et douce tout en étant puissante sont la signature de toutes ses créations.

Son plafonnier « Suspense » est un bijou d’équilibre, poétique lorsqu’il est orné de nuages, élégant quand il s’agit d’abat jours.

Quant à Hypnoz, c’est un objet design à mi chemin entre la sculpture décorative et le luminaire fonctionnel.

 Christophe Dabi privilégie dans tous les cas la qualité en fabriquant de façon artisanale des pièces  en série limitée.

L’atelier parisien

Lorsqu’il cherche un espace pour installer son activité c’est un peu le hasard qui l’amène à choisir ces locaux ouverts sur la cour d’un immeuble d’habitation dans le Xème. Très vite, il  est adopté par ses voisins qui apprécient d’avoir « un menuisier sous la main » .

Ils prennent également grand plaisir à assister à certaines de ses opérations de montage ou de vernissage au milieu de la cour. Christophe aime rencontrer sa clientèle qui a un peu le sentiment de s’encanailler pour venir lui rendre visite.

Avec Marine, son bras droit, il vous accueille dans un espace où son bureau jouxte son atelier de fabrication. Il travaille exclusivement avec un outillage électroportatif léger et maniable.

Bien loin des  traditionnelles machines d’ébénisterie. Il continue à jongler entre ébénisterie et électricité.  Acquérir un luminaire chez Christophe Dabi, c’est vivre une rencontre avec cet artisan passionné, qui privilégie la qualité, les sous traitants locaux, et les bois français de forêts gérées durablement . Et parce que pour lui la transmission de cet amour du travail manuel est indispensable, il organise des ateliers Wecandoo pour que vous aussi puissiez expérimenter le bonheur de fabriquer de vos propres mains.

Christophe Dabi 40 rue Chabrol 75010 Paris
+33 6 08 01 50 73