Je ne vous apprend rien, Pâques et chasse aux oeufs sont indissociables. En famille, pour les enfants, en exteireur ou dans les jardins personnels, voire même les balcons, ou encore les plantes d’intérieur , la présence de ces douceurs chocolatées est indispensable.
Alors, même si vous êtes à Paris en cette période de vacances, partez à la chasse aux oeufs, seuls, ou avec vos enfants. Parce que la gourmandise n’a pas d’âge !
Colette – chasse aux oeufs montmartroise
Avec Colette, il faut se tenir prêt. Prêt à l’originalité, prêt au décalé.
Alors ce sont des oeufs pas comme les autres qui vous guetterons lorsque vous déambulerez dans les allées des jardins Renoir du musée Montmartre.
Et quand on sait que le partenaire de Colette pour cette chasse mémorable est La Mère de Famille, je pense qu’il n’y a rien à ajouter !
Enfin si : sachez que le petit train de Montmarte sera mis à disposition au métro Blanche pour atteindre les jardins du musée. Les départs seront à 15h30, 16h00 et 16h30 !
Chasse aux oeufs ColetteXLaMèreDeFamille mercredi 12 avril de 16h00 à 18h00 Musée de Montmarte 12 rue Cortot 75018 Paris
Made.com – des oeufs ? Non, des tablettes !
Made.com, nous connaissons. Des meubles design, que l’on achète en ligne, à des prix plus qu’abordables. Made.com fait partie de ces sites qui ont commencé la révolution de l’achat de meubles. Ils décident donc de ne pas s’arrêter là, et révolutionnent la chasse aux oeufs en chocolat !
Il ne s’agira donc pas d’oeufs, mais de tablettes ! Des tablettes de la marque de chocolat la plus trendy du moment : le chocolat français.
Pendant 3 jours, dès jeudi 13, vous pourrez partir en quête d’une des tablettes à gagner.
Parce que’une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, ce sera aussi l’occasion de gagner un luminaire MADE.COM au choix (valeur maximale 200€) et une box Le Chocolat des Français en participant à un jeu concours : La plus belle photo au design chocolaté au sein du showroom Made.com.
Rendez-vous au showroom made.com !
Chasse au chocolat Made.com jeudi 13/04 , vendredi 14/04 et samedi 15/04 dès 14h00 52 rue Etienne Marcel 75002 Paris
Les café Comptoirs Richard, on connait tous. Pourquoi ? Parce que ce sont le plus souvent ceux que l’on trouve dans les restaurants. L’expresso, avec la petite amande chocolatée indispensable qui l’accompagne, elle aussi estampillée Café Richard.
Mais Comptoirs Richard, c’est bien plus que cela.
Comptoirs Richard – brûlerie
Les comptoir Richard font partie de ces dernières brûleries parisiennes. En approchant, on les reconnait déjà, avant même de les voir. Parce que rien n’est plus unique que les arômes que dégage le café fraichement moulu.
La proposition de cafés est multiple. Si multiple en provenances, puissances, types de cafés qu’il faut un expert pour se faire conseiller. Et cela tombe bien : les experts sont là, dans chacune des boutiques.
Ici, vous pourrez trouver tout ce que je décrivais précédemment : une grande variété de cafés à acheter et emporte, les cafés et les thés Ville de Paris, et de multiples délices sucrés comme ce choix de biscuits qui accompagneront à merveille une boissons chaude.
Dans cette boutique, on trouve aussi toutes les machines qui vous permettront de savourer ces nectars chez vous.
Nous avons donc eu un aperçu de la première partie boutique de ce lieu.
Aventurons-nous désormais dans l’espace dégustation, particularité du lieu.
Expresso & Brew bar – ateliers et dégustation
Bienvenue dans l’espace ateliers et dégustation.
Ici, les 1er et 3ème samedis du mois, la maison propose des ateliers gratuits d’une heure pour vivre une véritable expérience autour du café.
Et pendant ces ateliers, vous découvrirez la mythique cafetière à dépression, la nouvelle tendance de l’extraction à froid ou tout simplement l’expresso et le cappuccino, et leurs déclinaisons dont définitions sont affichées clairement, pour ceux, comme moi, qui sont parfois perdus dans la forêt des nouvelles appellations !
machine d’extraction à froid
Chemex
Et puis, si vous avez juste envie de déguster, il suffit de s’installer, et de savourer le moment !
Alors, rendez-vous rue Saint-Dominique.
Expresso & Brew bar 145 rue Saint-Dominique 75007 Paris
Ici, on a tout. Le décor, en mode vintage, les serveurs hipsters à la barbe parfaitement taillée et la tenue noir et blanc historique. Et en plus, on y mange bien !
Café Charlot – comment on s’y sent
Café Charlot
Le décor d’un bistro traditionnel pour un restaurant bien actuel. Mosaiques et carrelage blanc, ventilateurs d’antan au plafond.
Il faut dire que cette ancienne pâtisserie a vu son décor préservé pour devenir un café restaurant, y compris la façade dont l’enseigne a été préservée.
Le café Charlot – ce qu’on y mange
Ici, des entrées traditionnelles, telles que les escargots de bourgogne ou l’avocat vinaigrette, ainsi que de beaux produits d’enseignes parisiennes bien connues comme Da Rosa par exemple.
Et puis aussi des plats de bistro, des burgers, des salades, des croques et des bagels.
Notre repas fut frugal ce jour là, et je ne pourrai pas vous montrer une grande variété de plats.
Je peux juste vous dire que ce que nous avons pris était délicieux, et nous nous sommes régalés.
Parce que, même quand il s’agit de plats simples, la qualité des produits utilisés fait la différence.
Sans oublier les desserts de la célèbre maison Sénequier !
Pourquoi j’y reviendrai
Pour le brunch dominical ? Ou pour un vrai déjeuner en profitant de la terrasse ? Et pour finir, pour goûter un ou plusieurs des desserts bien sur ! Comme on peut le voir, les raisons potentielles sont multiples.
Elle, c’est Delphine. Du blog Deedee à Paris.
Autant dire que c’est probablement la pionnière dans cette catégorie de blog lifestyle Paris.
Paris vu par Deedee
Une carrière de journaliste, puis elle prend son envol et se consacre exclusivement à ce blog, et désormais aussi à son nouveau projet, un lieu dédié à la rencontre : chez Deedee.
Elle a accepté de répondre à cet interview « Paris vu par » , et je l’en remercie !
Alors c’est parti pour la découverte de Paris vu par Delphine.
Nous avons un point commun évident : notre amour pour Paris. Alors aujourd’hui, je te demande de me décrire TON Paris, en 5 étapes !
Etape 1
On commence par Ton Paris Gourmand , le salé, et le sucré. Quelles sont tes deux adresse fétiches du moment : un restaurant, et un salon de thé, ou une pâtisserie.
Difficile de n’en choisir que deux ! Je passe ma vie à tester et ajouter de nouvelles adresses dans mon Mapstr. En salé, je dirais Ahipoké dans le 9ème : le cousin de Saam et de MaKitchen vient d’ouvrir et propose des pokes bowls hawaiiens délicieux !
En sucré, le Passager Café dans le 11eme : on y déguste notamment un carrot cake fabuleux.
Etape 2
Paris culturel, Paris ville des musées, de l’art, de l’architecture. Alors pour toi, ton Paris culturel se trouve où ? Dans un musée fétiche, un quartier chargé d’histoire, un lieu mythique de l’art à Paris, un endroit où un film culte a été tourné ?
Mon Paris culturel se trouve partout, au hasard d’une rue, au détour d’un carrefour, dans les galeries, les passages… Sur le trottoir ! C’est très cliché de le dire, mais notre ville est quand même sacrément belle et riche d’une histoire contrastée.
En matière de musée, mon préféré reste le Palais de Tokyo pour son éclectisme toujours réjouissant et accessible. J’aime beaucoup les expos du Musée de la Monnaie, aussi.
Etape 3
Ne nous le cachons pas, à Paris, le shopping est roi !
Alors dis nous tout : ton magasin favori, la rue que tu préfères pour une virée shopping, tes adresses déco, modes, accessoires, on veut tout savoir !
Je vais te décevoir, je fais peu les boutiques. Je suis trop flemmarde et je n’ai pas le temps… C’est tellement plus simple d’acheter sur Internet !
Quand j’ai un peu de temps ou que j’accompagne une amie, j’aime bien aller chez Valentine Gaultier, et plus haut, boulevard Baumarchais pour Merci – Léon & Harper – APC – Kitsuné – Bonton etc.
Je suis aussi une inconditionnelle du Bon Marché, pour la mode, la déco, la librairie autant que la food. C’est le seul grand magasin que je supporte !
Autre quartier agréable, Saint Sulpice et la place du marché Saint Germain : Muji – Oh My Cream (pour des super cosmétiques différents) – Le Mont Saint Michel …
Etape 4
Paris est une capitale, grande et belle, faite de petits villages. Chacun a son âme, des habitants qui ne le quitteraient pour rien au monde. Ils y ont leurs habitudes, et même s’ils s’aventurent parfois dans d’autres lieux de la ville, c’est là qu’ils se sentent un peu plus chez eux.
Quel est ton village ? Celui où tu vis, celui où tu aimerais vivre, ou même celui que tu as quitté et auquel tu penses encore ?
Depuis 18 ans, je suis une fille du 15eme. Mon père a beau y être né, c’est un hasard complet ! J’y ai trouvé au débotté et sans trop chercher les 3 derniers apparts que j’ai loués.
J’aime bien la rive gauche. Le fait qu’elle soit snobée par beaucoup de parisiens n’y est sûrement pas pour rien.
Pour autant, j’aime profondément le quartier ou je passe mes journées depuis plus de 2 ans, Poissonnière : il regorge d’adresses de restos à tomber et d’une belle énergie positive !
J’ai un peu le meilleur des deux rives : le calme de la rive gauche où j’aime me ressourcer et l’émulation positive de la rive droite où je m’encanaille souvent.
Etape 5
Et pour finir, parce que ce qui compte, avant tout, ce sont les émotions, pourrais-tu partager avec nous un moment d’émotion lié à PARIS ? Cela peut-être une rencontre, un paysage bouleversé, une rencontre, des rencontres, un événement vécu là, et qui restera gravé dans ta mémoire.
Il y a tellement d’émotions liées à Paris…
Celle qui m’étreint quand je rentre de voyage et que je la découvre à nouveau si jolie, si vraie.
La joie des premiers beaux jours qui voient le chaland squatter le moindre bout de terrasse.
Le souvenir si particulier de cette journée du 27 août 2005, le jour de mon mariage.
Le clin d’œil que j’adresse tous les jours religieusement à la Tour Eiffel, quand je passe devant.
Le spleen qui m’envahit un peu quand je suis devant l’église où mes grands parents se sont mariés…
Là encore, ce serait vain de ne choisir qu’une seule émotion liée à Paris !
Un grand merci à Delphine de s’être prêtée à ce jeu de questions. Pour tout suivre de ses découvertes et de ses nouvelles péripéties, direction le blog !
Cette marque nous est familière. Et souvent rattachée à une histoire de famille. Un sac de nos mamans, que nous avons vus, reconnus. Et puis l’enseigne, dont le nom marque la mémoire.
Mais savons nous vraiment ce dont il s’agit ? Pas vraiment.
La Bagagerie
Commençons par clarifier un point. La Bagagerie est une marque. Une marque de sacs. Pas une boutique où l’on trouve des bagages de marques diverses, mais une marque créée en 1954 par Jean Marlaix. Une marque familiale puisque c’est le fils qui reprend le flambeau dans les année 90.
Une marque de sacs donc, qui a fêté ses 60 ans en 2014 et a connu des égéries aussi célèbres que Brigitte Bardot ou, plus récemment, Zoé Felix.
LA BAGAGERIE – boutique rue du Four
LA BAGAGERIE a de nombreuses boutiques à Paris. Mais celle que je connais, celle devant laquelle je passe souvent et qui me vient à l’esprit dès que l’on me dit « LA BAGAGERIE » se situe rue Du Four.
Une boutique lumineuse dans laquelle on a immédiatement une vue d’ensemble sur les collections dès la porte franchie.
Eté 2017 – La ligne Pulsion
Cet été, le matelassé est à l’honneur. Dans des couleurs classiques, et d’autres plus estivales. C’est la collection Pulsion déclinée en plusieurs tailles, formes et teintes.
Sans oublier le petit chouchou, le clouté. Succès garanti !
Le Pulsion bleu marine est élégant, parfait pour un café sur une terrasse ensoleillée.
Et puis il y a le Lio, version tri-colore, pour lequel j’ai eu un vrai coup de coeur.
LA BAGAGERIE – sac LIO
Des sacs en cuirs, aux superbes finitions, et tout ça pour un rapport qualité prix assez unique.
Les catacombes : intitulé générique et mystérieux pour un labyrinthe sous terrain, obscur et humide, parsemé d’ossements ?
Oui, sans doute, mais bien plus encore !
Les catacombes sont composées en fait composées de deux parties distinctes.
Le parcours géologique d’une part, et l’Ossuaire municipal de Paris de l’autre.
En effet, depuis le XVème siècle, ce site accueillait des carrières utilisées pour extraire les matériaux nécessaires à la construction de la ville. C’est cette partie de l’histoire que décrit le parcours géologique, que je ne vous montrerai pas ici.
Fin XVIIIème, ces carrières menaçaient de s’affaisser, et furent donc déplacées laissant ainsi un espace parfait pour accueillir les ossements des cimetières du centre de Paris et plus précisément ceux du cimetière des Innocents, fermé pour raisons sanitaires.
Très vite ce sont tous les ossements de tous les cimetières parisiens qui vont être transférés ici.
Au début simplement déversés au fond de cet espace profond de 20 mètres sous terre, les ossements sont ensuite rangés dès lors que le lieu est transformé en Musée.
Il ouvre ses portes en 8109, et sera un des premiers musées de la ville de Paris.
Les Catacombes – l’Ossuaire : ce qu’on y voit
Héricart de Thury, inspecteur général des carrières, fut à l’origine de la création de ce musée.
Passionné de littérature et chrétien , il décide d’organiser les ossements, et de ponctuer le lieu de citations issues de la bible, de la littérature, des philosophes ou encore de la poésie
Tout au long du parcours, la provenance des ossements est également précisée. Cimetières parisiens, victimes de la révolution, hôpitaux, couvent.
Osssements qui sont parfaitement organisés pour garantir la stabilité des parois, éviter l’humidité accumulée entre les os.
Le lieu est un véritable lieu de la mémoire de Paris, toutes les personnes enterrées là étant mortes à Paris intra muros.
Mais attention. Si vous rêviez de passer l’éternité ici, n’y pensez plus : plus personne n’est inhumé ici depuis 1960, date à laquelle les derniers ossements découverts lors de travaux d’urbanisme aux Halles furent amenés ici.
Les Catacombes – ce qui change
Si, comme moi, vous passez régulièrement place Denfert Rochereau, vous aurez remarqué cette file d’attente omni présente à l’entrée du parcours.
Afin de pallier cet inconvénient, plusieurs actions ont été entreprises.
La première : l’élargissement des plages d’horaires d’ouverture. Désormais, les Catacombes de Paris se visiteront jusqu’à 20h30 sauf le lundi.
Ensuite, en 2019, l’accès par la Place Denfert Rochereau sera modernisé et aménage pour permettre une attent plus confortable.
Et enfin, à la sortie, pour passer de l’ombre à la lumière éblouissante, une superbe boutique a été créée pour ue chacun puisse repartir avec son souvenir parisien.
Je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre.
Alors youtubeurs, instagrameurs à plus de 250K abonnés et autres snapchateurs, passez votre chemin.
Parce que les blogs sont devenus les dinosaures de la révolution digitale, supplantés, si on en croit certains, par la frénésie des réseaux sociaux.
Et pourtant. Pourtant les blogs sont toujours vivants. Bien vivants. Et animés par des blogueurs qui prennent encore plaisir à partager, échanger, et se rencontrer IRL aussi, pour le plaisir, sans rémunération ni autre promesse que le moment passé ensemble. Des puristes quoi !
L’Apero Blog – une rencontre pour le plaisir
photo de @parisiantouch
Cette semaine s’est déroulé l’apéro blog. Une rencontre organisée par Géraldine et Sandrine, pour le plaisir de réunir la bande historique, de ceux qui se connaissent depuis les débuts de la blogosphère des amoureux de Paris et de ses trésors.
Et c’était bien. Si bien. Se revoir, échanger nos dernières adresses, mais aussi échanger des constats de dinosaures tels que :
« je n’en peux plus d’Instagram. Liker, commenter, et relier, recommencer pour gagner 5 abonnés et les perdre 3 jours après ? «
Ou encore
« On sort moins ces derniers temps. Il y a moins d’évents que d’habitude non ? »
Ou bien
« En fait, les marques aujourd’hui exigent des Igers à plus de 100K »
« Ils n’ont pas encore compris que les micros influenceurs comme nous étaient bien plus importants dans une stratégie de market d’influence que des mastodontes à 250K abonnés ! «
Bref.
Et puis on découvre de nouveaux produits. On fait des ateliers, on rit, on passe un bon moment. Juste un bon moment.
Ce que j’ai découvert ou redécouvert
et bien sur, on fait des découvertes aussi. Et comme les blogueurs sont gourmands, beaucoup de ces découvertes passent par les plaisirs du palais.
Nous avons donc dégusté, mais aussi confectionné, de superbes cookies, aussi beaux que bons : les cookies de Tatie Cookie !
Un délice pour les papilles, un ravissement pour les yeux !
Et il faut le préciser, vous pouvez commander ces superbes sablés décorés à la main si vous habitez à Paris et sa proche banlieue. Idéal pour un anniversaire, une soirée, ou même un évènement professionnel.
Toujours pour se régaler, les célèbres tartes Tropéziennes, en version « bouchée » !
Et pas besoin de descendre dans le sud pour les déguster. Il suffit de se rendre dans la boutique parisienne, au 3 Rue de Montfaucon, 75006 Paris.
Tout ceci se déroulait dans le nouvel Hôtel Square Louvois qui a ouvert ses portes il y a quelques mois seulement.
A quelques pas de La Bourse, de la galerie Vivienne, des jardins du Palais Royal, ce charmant hôtel se situe sur la place éponyme, au calme, et propose tous les services que l’on peut attendre d’un 4 étoiles. Il est élégant, les chambres le sont également, décoration sobre et discrète et confort absolu.
Quant au clou du lieu, si vous me demandez mon avis : la piscine bien sur !
L’apéro blog – et après ?
La soirée est vite passée. Il y a ceux avec qui on a pris le temps d’échanger. On se dit » on se voit bientôt pour un prochain évent ? « . Il y a ceux avec qui on échangera un DM, un MP, ou tout autre moyen de se dire « on a pas beaucoup eu le temps de parler cette fois, mais c’était sympa de te voir ! »
Et puis on se dit qu’il y aura bientôt un évènement qui nous réunira c’est sur, et nous permettra de prendre le temps une fois encore : la soirée e-Parisiennes de l’été. Et ça, c’est une bonne nouvelle.
Une petite rue discrète, qui croise la célèbre rue Montorgueil. Alors comment se démarque-t-elle ? En se réinventant. Et en accueillant de multiples spots food super trendy. Et ça marche !
Rue Saint-Sauveur – un peu d’histoire
La rue Saint-Sauveur doit son nom à une église aujourd’hui disparue, l’église Saint-Sauveur, et dont l’emplacement se situerait de nos jours à l’angle nord-est de la rue, c’est-à-dire aux numéros 2 et 2bis de parue telle que nous la connaissons. Eglise qui présentait plusieurs particularités. Pour commencer, elle était mal orientée, son chevet étant tourné vers l’occident.
Et puis elle possédait une unique tour que l’on situe à l’angle des rues Saint-Sauveur et Saint Denis. Regardez bien, vous la verrez sur cet extrait du plan de Turgot, là, en haut à gauche.
Sur ce plan, on voit également que la partie de la rue qui était comprise entre les rue Montorgueil et Montmartre s’appelait alors rue du Bout-du-Monde, puis en 1937 elle prend le nom de rue Léopold-Bellan.pour enfin être réunie à la rue Saint-Sauveur en 1851. (source Wikipedia)
Qu’est ce qu’on y mange
Un peu de tout. Commençons par l’enseigne reine : Big Fernand. Ici vous pourrez donc vous régaler à l’atelier du hamburgé ! Pourtant, je me pose une question : pourquoi sur cette façade n’est-il pas question d' »atelier du hamburgé », mais plus banalement, atelier du Hamburger ? A creuser !
Big Fernand pour les carnivores, et pour les autres ?
La salle est minuscule, et l’option « à emporter » semble parfaitement appropriée.
On a donc la viande, le poisson, mais quid des gluten free ? Pas d’inquiétude, il y en a pour eux aussi !
Le restaurant Thaï Kapunka propose les grands classiques de la cuisine thaï, tout comme son grand frère, Monsieur K, à quelques pas de là.
Et c’est pas fini !
On le sait, dans les tendances food du moment, le manger sain est roi, et les céréales au coeur du sujet.
Qu’à cela ne tienne ( expression désuète que je me surprends à bien aimer !). Pour les amoureux des graines, le Muesli bar est là.
Premier lieu parisien à proposer le « muesli sur mesure » . Salé ou sucré, à consommer sur place ou à emporter, les ingrédients proposés sont bio ou issus de l’agriculture raisonnée. Pour le salé, une sélection de sandwichs ( en partenariat avec la maison Landemaine) et des soupes aussi. Bref, la solution parfaite pour un repas rapide, goûteux, gourmand et sain.
Et parce que cette rue est en mouvement perpétuel, une nouvelle enseigne arrive : madame Croque Monsieur. En fait d’ailleurs, elle est déjà arrivée !
Et pour le reste
Il reste encore quelques échoppes vestige du temps passé, qui sait pour combien de temps.
Et puis c’est aussi rue Saint-Sauveur que l’on trouve ce club sportif haut de gamme : le Klay. Ici, traitement personnalisé, et surtout, sélection du coach : que demander de plus.
On peut aussi déjeuner là, et ce tous les jours de la semaine.
Avant de vous donner les adresses, un bémol à connaitre pour éviter la frustration : toutes ces adresses sont fermées le weekend ! (sauf le Klay restaurant)
Big Fernand 32 Rue Saint-Sauveur, 75002 Paris 09 67 22 40 06
Johanna’s Fish&Chips 30 Rue Saint-Sauveur, 75002 Paris 01 42 21 88 78
De ce type de service qui permet de rayer définitivement de sa TO DO list la ligne qui gâche la vie : « rentrer vite pour faire les courses » !
Livraison La Crème
La crème de la crème des commerces
La crème livre donc à domicile. Cette startup vous livre à domicile des produits des commerçants de proximité.
Mais pas n’importe quel commerçant. Seulement les meilleurs.
Voici donc quelques exemples.
La Crème de la crème des commerces
Ici donc, un échantillon des commerçants partenaires dans le XVIIème, premier arrondissement dans lequel La Crème a lancé son service.
Ici donc, les délicieuses pâtisseries d’Arnaud Larher( récemment primé pour sa tarte au citron ) ou encore les pains de folie de Gontran Cherrier, et les viandes de la boucherie Bourdonnec, que les parisiens connaissent d’une façon ou d’une autre tant il est la référence des meilleurs restaurants parisiens.
Alors vous vous demandez comment procéder pour faire appel à la Crème ?
La crème – détail du service
Le concept est simple. La crème doit vous simplifier la vie. Elle doit vous permettre de pouvoir commander les produits nécessaires à votre diner même si vous rentrez bien trop tard pour avoir l’énergie de faire le tour de vos commerçants de quartier à peine sorti du bureau.
Pour cela, il vous suffit, le jour même, avant 17h00, de passer commande sur le site. Vous sélectionnez tous les produits que vous voulez, chez tous les commerçants que vous voulez.
Puis vous choisissez un créneau d’une demi heure le soir même pour la livraison. Et vous pouvez vous faire livrer jusqu’à 22h00.
Et là, arrive à domicile, ce que vous avez commandé.
Pour être honnête, je n’ai pas pu résister à quelques pâtisseries. On ne se refait pas !
Et je me suis régalée !
La Crème – la suite
Aujourd’hui, seuls sont desservis les XVIIème et XVIIIème arrondissements de Paris. Si vous avez la chance d’être de ce quartier, n’hésitez pas à tester. Il faut aussi savoir que le panier global minimum est de 15€, et la livraison 5€ quelque soit le montant de votre commande.
Et pour les autres, il faudra un peu patienter pour pouvoir bénéficier de ce service chez vous !
Parce que les fleurs mettent de la couleur et de la bonne humeur dans la maison.
Avouez le, recevoir un bouquet fait toujours plaisir !
Alors pour être sûrs de toujours savoir où aller en cas d’urgence florale, voici une sélection de jolies boutiques parisiennes.
Fleuristes, artisans floral, ils sont tous passionnés et partagent leur passion à travers la richesse et la diversité de leurs créations.
Grandes enseignes, petites boutiques, ateliers florals, l’offre est suffisamment variée pour que chacun puisse s’y retrouver.
Que vous aimiez les bouquets majestueux, ou plutôt champêtres, les charmantes petites fleurs de campagne, ou les somptueuses orchidées, Paris et ses fleuristes ont de quoi vous séduire.
Fleuristes parisiens – rive droite
Le clivage rive gauche rive droite existe-t-il toujours ou peut-on avoir une vision progressiste de la ville et trouver les belles enseignes et les petites pépites de part et d’autre de la Seine ? Je dis oui ! Je vous propose de balayer les idées reçues et de découvrir les belles enseignes là où elles sont.
Commençons par le centre.
Stéphane Chapelle – le culte de la fleur, et du créateur
Et plus précisément la rue Richelieu. C’est ici que se trouve la boutique atelier de Stéphane Chapelle.
Ici, des fleurs bien sur, mais aussi de superbes plantes, de magnifiques fougères, et des oliviers dignes de ceux que l’on trouve dans le Sud.
L’artisan, disons même artiste, créé des bouquets somptueux de fleurs de saison, et s’occupe également de la décoration florale de votre intérieur. On est ici dans le haut de gamme de l’artisanal floral.
Sylvain Georges – orchidéiste
Pas très loin de là, place des Petits Pères, une enseigne tenue par un fleuriste spécialisé en orchidées, autrement appelée orchideiste : la boutique de Sylvain Georges. Cette fleur majestueuse, qui a si longtemps été inabordable et qui est maintenant devenue un choix possible.
Un choix unique de variétés, sélectionnées par un amoureux monomaniaque de cette plante et totalement passionné.
Mandarin Oriental – le parfum des fleurs
Et puis il y a le magasin de roses du Mandarin Oriental : des roses qui sentent bon, c’est si rare. Un éblouissement pour les yeux mais aussi pour l’odorat, qui me replonge dans les souvenirs du temps où toutes les roses avaient encore un parfum.
Quittons le centre pour nous diriger vers les nouveaux arrondissements hipsters.
Prenons SOPI et sa rue des Martyrs. Ici, plusieurs options.
Le P’tit zinc – bar à fleurs
Mini plantes et jolies fleurs, la démonstration qu’on peut se faire plaisir sans se ruiner. L’idéal pour disposer de charmantes petites plantes partout dans son intérieur ou repartir avec un bouquet délicieusement champêtre.
André Navellou – boutique jardin
Rue Condorcet, à quelques pas de là, André Navellou vous accueille dans sa charmante boutique jardin.
Là aussi, de charmantes fleurs de saison, et une spécialité parfaite pour les mois qui arrivent : les bouquets de mariage.
Direction le XVIème arrondissement. Il est parfois assimilé à un quartier résidentiel sans commerces, et c’est loin d’être le cas. J’ai déjà parlé de rues riches en commerces divers, comme la rue Gustave Courbet.
Et bien on peut assis trouver des fleurs dans cet arrondissement, y compris sur de grandes artères comme l’avenue Raymond Poincaré.
Maison Fleurus
Voici donc la Maison Fleurus, l’angle de la rue de Longchamp et de l’avenue Raymond Poincaré.
Maison Fleurus
Preuve est aussi faites que même dans le XVIème on peut aussi trouver de petits trésors abordables, ou se faire concoter un bouquet de rêve avec de fleurs de saison, mais aussi des branchages, dernier hit en matière de création florale.
Enfin, toujours rive droite, le petit dernier, innovant dans le concept.
Peonies – café et fleurs
Ici, on mixe les plaisirs. Café, petit déjeuner, déjeuner, goûter, Peonies propose de se poser et de savourer. Et parce que les fleurs mettent de la joie dans la vie, la boutique propose aussi des bouquets champêtres confectionnés sur place. Un combo bonne humeur en quelques sortes.
crédit photo site Peonies
Je reconnais ne pas y être encore allée, mais le potentiel a l’air d’être là !
Fleuristes parisiens – rive gauche
On a traversé la Seine, et là bien sur, il y a le célèbre marché aux fleurs. Une institution, une étape de balade sur l’Ile de la Cité.
Marché aux Fleurs – la campagne à Paris
Vous cherchez une plante pour votre jardinière de balcon ?
Roses, tulipes, fleurs de saison, plantes à mettre en bac, tout y est pour le plaisir des yeux et les amoureux des fleurs.
Bien sur, les orchidées sont aussi présentes.
Continuons notre promenade fleurie.
Aoyama Flower Market – la délicatesse
Proche de la Seine, mais côté de la rue du Bac, le japonais Aoyama Flower Market vous accueille pour partager la passion des fleurs à la japonaise.
photo du site de la marque
Le concept : « living with flowers every day » , ou comment permettre à chacun, au quotidien, de vivre entouré de fleurs. Les créations sont délicates, suivent les saisons, et leur signature est la simplicité des arrangements.
Eloignons nous de la Seine, direction la rue Monge, avec une halte du côté du boulevard Raspail.
Guillon Fleurs – le raffinement
Ici, la fleur est raffinement. Des vitrines souvent à dominante blanche, parfois rose pâle.
Au nom de la Rose – la reine des reines
Au nom de la Rose, que l’on retrouve dans tout Paris, a ici une très jolie boutique.
fleuristes parisiens – au nom de la rose
Des roses du monde entier, pour les amoureux de la reine des fleurs.
En provenance des pays spécialisés dans leur culture, ces roses répondent à toutes les attentes de couleurs, de forme, et de senteur.
L’Ile au fleurs – pour le côté pratique
En remontant la rue Monge, l’ile Aux Fleurs s’impose à l’angle de la rue des Ecoles.
Ici, pas d’essences rares, pas de grande originalité, mais de bons basiques pour se faire plaisir à prix abordable. Un grand choix de bouquets tout prêts, ou de simples bottes de fleurs sous cellophane et sans artifices mais qui égaient la maison à prix correct de sorte que l’on peut se permettre de se les offrir toutes les semaines au gré des saisons et des envies.
Le Clos Des Lias – l’élégance discrète
Rue Monge encore, une institution florale du quartier : le Clos de Lias
Des fleurs de saison, comme ces tulipes, mais dans leur version spectaculaire, unique, de ces fleurs qui signent le bouquet que l’artisan créera pour vous.
Démonstration est faite que la fleur, quand elle est belle, se suffit parfois à elle même dans la création florale.
Muriel Le Couls – meilleur ouvrier de France
En arrivant sur la place Saint Médard, village dans la ville, on y trouve donc bien sur le fleuriste du village : Muriel Le Couls
Muriel Le Couls
Les jardins d’Arago – petit coin de verdure
Et sur l’avenue des Gobelins, les Jardins d’Arago proposent de superbes branchages et fleurs de saison pour créer le plus beau des bouquets.
Voilà, ici se termine un premier parcours floral de la capitale.
Et n’oubliez pas, c’est toujours mieux avec des fleurs !
Et pour voir toutes ces adresses, et d’autres, sur un plan de Paris, cliquez sur cette carte.