Avant le déluge
Leonardo Dicaprio est engagé dans la lutte contre le changement climatique depuis plus de 20 ans. Il nous le démontre une fois encore lors de la projection en avant première du film documentaire « Avant le déluge »

blog Paris : bons plans, restaurants, expositions, shopping…
Leonardo Dicaprio est engagé dans la lutte contre le changement climatique depuis plus de 20 ans. Il nous le démontre une fois encore lors de la projection en avant première du film documentaire « Avant le déluge »
C’est la première rétrospective de ce type et de cette envergure. Pour la première fois il est possible de découvrir l’ensemble des facettes de l’oeuvre de cet artiste connu sans l’être vraiment.
On y découvre l’ensemble de son oeuvre dans un parcours chronologique durant lequel on distingue clairement les différentes étapes créatives de l’artiste.
On y retrouve bien sur ses oeuvres les plus connues, telles que son clown triste ou ses auto portraits, mais on prend également la mesure de la variété de sa production à travers ses thèmes de prédilection tels que le religieux, l’illustration littéraire et, le plus étonnant et spectaculaire, voire dérangeant à mon sens, ses allégories tel que les oiseaux ou les folles.
Bernard Buffet rencontre la gloire et la reconnaissance dès ses débuts, si jeune, à l’âge de 19 ans. Contrairement à de nombreux artistes devenus célèbres tardivement, voire même après leur mort, il est merveilleusement bien accueilli par le public et par la critique dès ses premières toiles, en 1945.
Un style reconnaissable entre mille, une palette de couleurs réduite au minimum, un graphisme anguleux à l’image de son écriture et de sa signature, unique, et omni présente dans ses oeuvres.
Lui qui semblait si familier, première découverte : ses hommes nus, solitaires, au regard vide et lointain.
Il rencontre avec son « buveur » une gloire fulgurante, dès 1945, précise son style, multiplie les expositions et les succès auprès des critiques.
Sa signature s’installe telle une marque de fabrique, devient « aussi familière qu’une marque publicitaire » comme le dit Pierre Bergé, son compagnon à l’époque.
Les compositions monochromes et sans relief laissent la place à des tableaux aux peintures violentes, à la matière ultra présente, pour des résultats forts, agressifs, dérangeants.
Du succès auprès du public et des critiques, il passe à une période durant laquelle ses oeuvres les plus connues sont reproduites à l’infini à travers le monde entier, mais fait parallèle à un désintérêt voire même un désaveu de la critique.
C’est le morbide qui envahit alors son oeuvre avec Les Folles.
Ou encore les écorchés.
Et à vrai dire, au delà de la découverte de cet artiste si connu et que je ne connaissais pourtant pas tant que ça, cette exposition m’a rappelé cette publicité extraordinaire dans laquelle Guillaume Gallienne est juste si parfait…
Bernard Buffet rétrospective 14 octobre 2016 – 26 février 2017
Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris 11 avenue du président Wilson 75116 Paris
Mais non, il ne s’agissait pas de concourir, juste d’assister à l’évènement !
Pour la 33ème fois, la célèbre agence Elite, celle que tout le monde connait, même ceux qui n’y connaissent rien, organise ce weekend son casting national pour découvrir les grands noms du mannequinnat de demain : la future Cindy Crawford ou encore la Gisèle Bundchen de demain sera donc peut-être identifiée ce weekend, maintenant, ici, à Paris.
Et c’est donc Fujifim et son Instax qui m’ont permis d’assister au déroulé de la sélection aujourd’hui, à la Maison des Metallos.
Des centaines, que dis-je, des milliers de jeunes filles et de jeunes garçons – le casting est devenu mixte depuis l’an dernier.
Ils sont arrivés très tôt ce matin pour être les premiers à défiler.
Comment se déroule le process de sélection ?
A l’arrivée, vérification de l’âge ( entre 14 et 22 ans) et de la taille : 1m72 minimum pour les filles, 1m 83 pour les hommes.
Je peux vous dire que cela faisait longtemps que je ne m’étais pas sentie presque petite dans une foule !
Prise de mesure donc, puis l’attente avant d’entrer dans l’espace de défilé, là où le jury, attentif et concentré, est installé.
La file d’attente est longue, il faut être patient, et très motivé ! Tenues homogènes en particulier pour les filles : beaucoup de jeans noirs moulantes et de hauts noirs ou unis permettant de voir immédiatement la silhouette.
Longues minutes d’attente, avant de passer de l’autre côté, là où tout se joue. 10 candidats, un jury, et une décisions annoncée rapidement, de façon directe et efficace : « nous garderons untel et untel, merci aux autres ».
Parfois un sélectionné, parfois deux, et parfois les 10 repartent pour céder la place aux 10 suivants, avec leurs espoirs, leurs joies ou leurs déceptions dans les minutes qui suivront.
Là, les heureux élus sont escortés sur l’espace « photo call » pour quelques clichés qui permettront de mesurer leur photogénie.
Puis c’est déjà des premières interviews pour eux qui passent à l’étape suivante !
La suite pour les 200 élus parisiens retenus aujourd’hui consistera en un 2ème passage pour réduire encore le nombre d’heureux élus.
Et demain, c’est à Paris à nouveau que seront réunis les sélectionnés de Paris, mais aussi de Toulouse et Lyon. Là encore, défilé, sélection pour n’en retenir que 12 : 6 garçons, 6 filles.
Ils partiront alors en stage de coaching formation pour être fin prêts pour le défilé final.
Et c’est le 2 novembre que seront choisis les 2 heureux élus qui signeront un contrat avec l’agence Elite.
Nous avons rencontré une des finalistes de 2015 : Margot Baget
Une superbe jeune femme de 16 ans, la tête sur les épaules, silhouette de mannequin, port de tête de danseuse, ravie d’avoir fait son premier défilé pour Yves Saint Laurent puisque, bien qu’elle n’ait pas remporté le concours, elle a quand même signé avec Elite.
Elle raconte comment s’est déroulé son premier défilé, la façon dont l’agence Elite l’a accompagnée, protégée, veillant à ce que tout se passe bien pour cette première expérience hors du commun !
J’ai donc hâte d’assister au choix final, ne serait-ce que pour voir si mes pronostics s’avéreront exacts…
Les finalistes repartiront avec ce coffret Mon pack Instax Elite , et je continuerai à les mitrailler aussi avec cet appareil assez addictif à vrai dire !
Tout le monde connait désormais ce mois dédié au dépistage du cancer du sein. Pour rappel, au mois d’octobre 1994, la campagne de sensibilisation intitulée Le Cancer du Sein, Parlons-en ! voit le jour en France.
C’est en 1992, Mrs. Evelyn H. Lauder, Senior Corporate Vice President d’Estée Lauder Companies, co-crée le Ruban Rose avec Self Magazine. L’année suivante, en 1993, Mrs Evelyn H. Lauder crée aux USA la Breast Cancer Research Foundation (BCRF -Fondation pour la Recherche contre le Cancer du Sein), afin de soutenir l’innovation en matière de recherche clinique et génétique.
En 14 ans, l’objectif que s’était fixé la BCRF a été atteint : les fonds récoltés depuis sa création avoisinent les 100 millions de dollars.
La campagne Octobre Rose 2016, comme les précédentes, a pour objectif de mobiliser les femmes et leur entourage en les sensibilisant sur le cancer du sein par l’information et le dialogue, ainsi que sur l’importance du dépistage.
Aujourd’hui en France, une femme sur huit risque de développer un cancer du sein : « anticiper », « prévenir », « sensibiliser » sont des actions qui permettent de limiter efficacement les conséquences de cette maladie.
C’est cet espoir qui a réuni, pour la première fois il y a 22 ans, un groupe de cosmétique, Estée Lauder France, le magazine Marie Claire, membres fondateurs historiques de l’association Le Cancer du Sein, Parlons-en !.
Marie Claire s’engage donc, le groupe Estée Lauder accompagne le grand concours photo Pink Ribbon photo award et de nombreuses marques partenaires participent à la collecte avec leurs produits partenaires.
Nombreuses sont les initiatives qui accompagnent cette campagne qui a donc été lancée le 26 septembre à Paris avec l’illumination en rose de la Tour Eiffel et la remise de 300000€ pour le soutien de la recherche.
Dans la liste des entreprises et des produits qui participent à Octobre Rose, Estée Lauder bien sur, qui met en vente des produits Ruban Rose et je ne peux m’empêcher d’en commander chaque année !
Ou encore PNY technologies qui participe pour la 5ème année consécutive avec ses batteries portables toute roses dont une partie des recettes seront reversées à l’association « Le Cancer du Sein, Parlons-en! »
Et comme nous le savons tous, une batterie portable, pour nous, smartphone addicts, c’est la vie, alors quand elle participe à une bonne cause, autant choisir celle là.
Alors pour conclure, un dernier mot : pensez au dépistage, année après année.
Un des monuments de la photographie des années 80.
Grand photographe américain des années 80, c’est une photo de Richard Geere qui le propulse sur le devant de la scène photographique qu’il ne quittera plus.
Ce photographe a immortalisé les plus grands, et s’est imposé dans l’univers de la mode dans lequel il a exercé tout au long de sa carrière.
Il saisit l’instant, créé le moment, pour des résultats éclatants !
Campagnes de publicités, portraits de stars hollywoodiennes, ses images nous sont si familières et sont entrées au fil des ans dans notre mémoire collective. Il a réuni les plus belles et les a sublimées encore et encore.
Des silhouettes sculpturales qui se détachent sur fond de désert sous une lumière écrasante.
Des corps nus sublimés.
Qu’ils soient masculins.
Ou qu’il s’agisse de corps de femme.
et puis cette image qui me fait dire qu’il se serait bien entendu avec Lucien Clergue ….
Sa passion pour ce continent a aussi alimenté son art.
Et pour finir, une image que j’apprécie tout particulièrement.
L’exposition Herb RITTS se tient à la Maison Européenne de la Photographie jusqu’au 30 octobre : ne la ratez pas!
Maison Européenne de la Photographie 5/7 RUE DE FOURCY – 75 004 PARIS
Elle, c’est Caroline.
Dans le webzine dont elle est la rédactrice en chef, Paris La Douce, elle communique et partage ses passions, culturelles avant tout, mais aussi ses adresses parisiennes, que ce soit dans l’univers gourmand ou celui de la mode, elle qui est une passionnée de chaussures, ou plutôt, comme elle le dit, de souliers.
Elle a accepté de répondre à mon questionnaire, de nous livrer son Paris vu par Caroline, et voilà donc ses réponses, très riches et pleines de découvertes !
Nous avons un point commun évident : notre amour pour Paris.
Alors aujourd’hui, je te demande de me décrire TON Paris, en 5 étapes !
On commence par Ton Paris Gourmand, le salé, et le sucré. Quelles sont tes deux adresses fétiches du moment : un restaurant, et un salon de thé, ou une pâtisserie.
Mon dernier gros coup de cœur a été Meriggio du côté de Bonne Nouvelle (3 rue Rougemont – Paris 9 http://meriggio-paris.com/), une trattoria italienne divine. A la fois épicerie fine, restaurant idéal pour un déjeuner gourmand, il existe à l’étage une grande salle pour les aperitivo spritz et assiettes de spécialités transalpines. Petits producteurs à l’honneur, qualité exceptionnelle et prix tout doux, le bonheur !
Côté douceurs, je craque pour La Fabrique de l’Eclair de génie (32 rue Notre-Dame des Victoires – Paris 2 https://leclairdegenie.com/), QG parisien de Christophe Adam, et qui se trouve juste à côté de mon salon de coiffure fétiche. Les éclairs, produits phare de la maison, sont déclinés à l’infini et l’épicerie fine tout sucre – plaquettes de chocolat, bonbons, caramels à tartiner… – me fait succomber à chaque fois.
Paris culturel, Paris ville des musées, de l’art, de l’architecture. Alors pour toi, ton Paris culturel se trouve où ? Dans un musée fétiche, un quartier chargé d’histoire, un lieu mythique de l’art à Paris, un endroit où un film culte a été tourné ?
Mes deux musées préférés, ceux que je fréquente le plus assidûment sont le Centre Pompidou et le Palais de Tokyo mais ce n’est pas très original. Je serais bien en peine de ne donner qu’un seul lieu pour décrire mon Paris culturel. Les Tuileries, le Marais, le Quartier Latin, Montmartre, tant d’endroits où résonne encore l’écho de l’histoire, tant d’endroits toujours vivants en terme de création…
Ne nous le cachons pas, à Paris, le shopping est roi ! Alors dis nous tout : ton magasin favori, la rue que tu préfères pour une virée shopping, tes adresses déco, modes, accessoires, on veut tout savoir !
En matière de mode, pour être parfaitement honnête, je déteste faire les boutiques. Je suis une accro du shopping en ligne notamment pour dégoter des pièces vintages griffées. Les versions américaines et anglaises d’Ebay ( ebay.com et ebay.co.uk) sont de vraies mines d’or, les Américains et les Anglais faisant rimer vintage avec impeccable contrairement à nos compatriotes français.
Hors soldes presse, je traque les bonnes affaires par exemple au stock Maje (92 rue des Martyrs – Paris 18) ou encore le stock Ba&sh (10 rue du Jour – Paris 1). Côté accessoires, j’ai une obsession pour les sacs Saint Laurent et Mulberry que je n’hésite pas à dénicher sur Vestiaire Collective http://fr.vestiairecollective.com/ dans l’idée de ménager mon banquier. Il a le cœur fragile le pauvre homme.
En dingue de souliers, c’est au Bon Marché (23 rue de Sèvres – Paris 7) que je fais des ravages. De Sergio Rossi à Jimmy Choo, difficile de ne pas se laisser tenter !
En décoration, j’ai un faible pour le design très contemporain de Kartell (242 bd Saint Germain – Paris 6 http://www.kartell.com/fr/ ). A chaque fois que je passe à Saint-Germain-des-Prés, je fais un saut à la boutique. Depuis ma toute première lampe Miss K de Philippe Stark, je suis une inconditionnelle des luminaires Flos (15 rue de Bourgogne – Paris 7 http://www.flos.com/) au grand damne de Monsieur qui lui ne jure que par le classique. Mon adresse coup de cœur serait la boutique d’artisanat japonais Cool Japan (45 rue Sainte-Anne – Paris 1 http://www.cool-japan.fr/). Je suis fascinée par la délicatesse de leurs objets en bois laqué et doré à la feuille d’or.
Paris est une capitale, grande et belle, faite de petits villages. Chacun a son âme, des habitants qui ne le quitteraient pour rien au monde. Ils y ont leurs habitudes, et même s’ils s’aventurent parfois dans d’autres lieux de la ville, c’est là qu’ils se sentent un peu plus chez eux. Quel est ton village ? Celui où tu vis, celui où tu aimerais vivre, ou même celui que tu as quitté et auquel tu penses encore ?
Je vis à Belleville juste à côté des Buttes Chaumont. J’apprécie particulièrement la diversité et le dynamisme de ce quartier en pleine évolution. Un petit paradis des gourmands. En vrac quelques adresse : Le biocoop Belleville en bio (62 rue de Belleville – Paris 20), le coffee shop Cream (50 rue de Belleville – Paris 20), Fine l’épicerie (60 rue de Belleville – Paris 20), l’épicerie égyptienne Le Caire (63 rue de Belleville), le café de la Brûlerie de Belleville (10 rue Pradier – Paris 19), les vins naturels de La Cave de Belleville (51 rue de Belleville – Paris 19)
Il existe pléthore de cafés et de restaurants sympa. En mode noctambule comme Les Triplettes de Belleville (102 boulevard de Belleville – Paris 20), gastronomie Le Baratin (3 Rue Jouye-Rouve – Paris 20), world fusion Valentin (64 Rue Rebeval – Paris 19) pour ne citer qu’eux.
Mais Belleville, c’est aussi des galeries d’art épatantes dédiées à la création contemporaine.
Galerie Balice Hertling (47 rue Ramponeau – Paris 20), Galerie Suzanne Tarasieve – Loft19 (Passage de l’Atlas, 5 villa Marcel-Lods – Paris 19), Galerie Marcelle Alix (4 rue Jouye-Rouve – Paris 20), Galerie 22,48 m2 (30 rue des Envierges – Paris 20). De nombreux événements portes ouvertes pour découvrir les ateliers d’artistes sont organisés.
Entre Belleville et Ménilmontant à deux pas, le street art, ma marotte artistique, est à l’honneur. La rue Dénoyez est une sorte d’ovni coloré dans le quartier. Malheureusement, il semble qu’elle soit menacée par un projet de la mairie.
C’est un vrai bonheur de dénicher les souvenirs du vieux Belleville, encore vivaces malgré les grandes transformations urbanistiques des années 70. Les surprises sont au coin de la rue.
J’ai vécu à Auteuil un temps mais je ne regrette vraiment pas mon déménagement. La vitalité de Belleville correspond plus à ce dont j’ai envie dans cette période de ma vie. Néanmoins, à travers mes déambulations parisiennes, je tombe amoureuse de nouveaux micro-quartiers tous les jours, de Plaisance dans le XIVème aux quartiers des Peupliers dans le XIIIème, de la Campagne à Paris dans le XXème à la Mouzzaïa dans le XIXème, il y a tellement d’endroits qui font rêver par leur quiétude heureuse.
Et pour finir, parce que ce qui compte, avant tout, ce sont les émotions, pourrais-tu partager avec nous un moment d’émotion lié à PARIS ? Cela peut-être une rencontre, un paysage bouleversé, une rencontre, des rencontres, un événement vécu là, et qui restera gravé dans ta mémoire.
Un souvenir d’adolescence qui expliquerait peut-être mon amour pour l’histoire de la ville et ses endroits insolites. Lorsque j’étais en première, je me promenais souvent dans le quartier Latin avec les romans de Balzac et plus particulièrement Le Père Goriot en tentant de redécouvrir les paysages modernes des lieux décrits dans ces livres.
Un grand merci à Caroline pour ce témoignage riche et passionné. Elle nous a offert sur un plateau une multitude d’adresses, et un mini city guide de Belleville en prime !
Meriggio du côté de Bonne Nouvelle (3 rue Rougemont – Paris 9 http://meriggio-paris.com/)
La Fabrique de l’Eclair de génie (32 rue Notre-Dame des Victoires – Paris 2 https://leclairdegenie.com/)
stock Maje (92 rue des Martyrs – Paris 18)
stock Ba&sh (10 rue du Jour – Paris 1)
Bon Marché (23 rue de Sèvres – Paris 7)
Kartell (242 bd Saint Germain – Paris 6 http://www.kartell.com/fr/ )
luminaires Flos (15 rue de Bourgogne – Paris 7 http://www.flos.com/)
Cool Japan (45 rue Sainte-Anne – Paris 1 http://www.cool-japan.fr/)
Huguette est le restaurant parisien désormais incontournable si vous êtes amateurs de poissons et surtout de fruits de mer.
Huguette est installé dans le tronçon animé de la rue de Seine, face à Da Rosa, et à côté de Grom, nouveau repère des passionnés de glaces.(Des fruits cultivés au coeur de l’exploitation agricole biologique Mura Mura pour des sorbets aux parfums à la fois frais, francs et persistants… Et rien que des ingrédients d’origine naturelle)
Une large terrasse, une salle à la décoration iodée, boiseries de chêne blanchi et luminaires à l’esprit marin.
L’accueil est souriant et efficace. Durant le repas pourtant, un certain ralentissement dans le rythme, disons que pour le plat de poissons il faut être patient. Ce qui peut s’expliquer par la dorade pour deux faite à la demande et qui doit prendre un peu plus de temps de préparation et de cuisson.
Vous l’aurez compris, ce restaurant est spécialisé en poissons et fruits de la mer ! Pas étonnant puisque son créateur n’est autre que celui de Flottes, bien connu lui aussi pour ce type de plats, version peut-être un peu plus gastronomique.
Ici donc, des ceviches pour les amateurs de poisson cru, du poisson version vapeur, ou bien à la plancha, ou encore façon fish & chips. Et bien sur, des plateaux de fruits de mer, et une dizaine de proposition d’huitres.
Le homard mérite un focus étant donné qu’il représente ce qu’il y a de plus proche du plateau de fruits de mer que nous n’avons pas pris !
Tout comme la soupe de poisson, juste parfaite comme entrée.
Autant vous dire que les assiettes de friture à partager n’ont pas fait long feu. Friture parfaite, légumes croquants à point, un régal.
Mais même dans un restaurant aux spécialités de ma mer, les desserts sont un élément central, en tous cas pour moi.
Et ici, superbe surprise !
Le mille crêpes façon crème brûlée : personne ne peut y résister.
Et pour ceux, ou dirais-je « celles », qui, comme moi, veulent se convaincre que le dessert, c’est permis, si il y a un fruit dans son intitulé, vous comprendrez pourquoi j’ai pris une tarte au CITRON !
D’abord, parce que je n’ai pas pris de plateau de fruits de mer cette fois, et ça, ce n’est juste pas possible. Ensuite, parce que le lieu est agréable, et que j’aimerais tester la terrasse aussi ! Et puis aussi parce que j’aime ce quartier et que j’adore l’idée d’y avoir une nouvelle cantine, qui fonctionne aussi bien pour un déjeuner rapide que pour un diner entre amis !
Huguette bistro de la mer
Mécénat Chirurgie Cardiaque Enfants du Monde permet à des enfants souffrant de malformations cardiaques de venir en France et d’être opérés lorsqu’ils ne peuvent être soignés dans leur pays d’origine par manque de moyens financiers et techniques
Depuis 2014 Les Yogis du Cœur proposent un nouveau rendez-vous solidaire autour du Yoga. Bien-être et bonne cause dans un lieu exceptionnel. Les deux années précédentes cet évènement s’était tenu à l’Orangerie du Château de Versailles, et cette fois c’est la Nef du Grand Palais qui accueillera l’évènement.
Une séance qui durera 1h30 et sera animée par un collectif de professeurs bénévoles.
Elle comprendra des exercices de respiration, un enchainement dynamique de postures de yoga traditionnelles et une session de relaxation. Accessible à tous, y compris aux débutants et aux enfants.
Objectif visé
Pour cette date anniversaire, les 20 ans de l’association, Mécénat Chirurgie Cardiaque souhaite réunir 2000 participants.
Tout le monde le connaît, mais le connait-on vraiment ?
Construit pour l’Exposition universelle de 1900 et consacré « par la République à la gloire de l’art français », il a été classé monument historique en 2000. Spectaculaire avec ses 77 000 m², connu pour sa verrière aussi spectaculaire que lumineuse et son imposante charpente métallique, il accueille très régulièrement grands événements et expositions. A venir par exemple cette année : la FIAC du 20 au 23 octobre 2016, ou encore Paris Photo du 10 au 13 novembre, et même le Grand Palais des Glaces du 14 décembre au 2 janvier !
Un lieu rêvé pour les Yogis du Cœur !
Alors, dimanche 9 octobre, seul, en couple ou en famille, venez vous détendre et faire une bonne action dans un cadrte que le monde entier nous envie !
10h : Ouverture des portes, accueil
11h précises : début de la séance de yoga d’1h30 ouverte à tous (débutants bienvenus)
Tarifs et conditions de participation :
• Tarifs adultes :
25€ : Session de yoga (Tee-shirt collector en coton bio YUJ offert)
55€ : Session de yoga + tapis de yoga en liège Nature & Découvertes (Tee-shirt collector en coton bio YUJ offert)
• Tarif mini yogi :
15€ pour les 6-12 ans
100% des fonds reversés à l’association pour l’opération d’enfants atteints de malformations cardiaques
Inscriptions sur : www.mecenat-cardiaque.org/yogisducoeur
Grand Palais Avenue Winston Churchill 75008 Paris