La rue des Ecouffes réserve de multiples surprises. Elle héberge des lieux uniques pour déjeuner, pour confectionner des gâteaux extraordinaires, déguster des crêpes dans un cadre rose bonbon, ou encore se faire tirer le portrait !
J’avais déjà testé Miznon, voilà maintenant le Schwartz’s Deli.
Un décor familier, qui plonge immédiatement dans l’atmosphère des delis New-Yorkais. Un petit air du deli qui fut le cadre d’une des scènes mythiques du cinéma des années 80 : Katz’s Delicatessen, mais en plus pimpant !
Le choix est vaste, les variétés de charcuteries, salades et hamburgers alléchants. Difficile de faire un choix.
Mais das ce cas, c’est assez simple : il faut aller droit à la valeur sure, le sandwich pastrami, spécialité de la maison !
Je n’ai qu’un mot à vous dire : délicieux ! Une viande parfaitement découpée, à laquelle le fromage apporte la touche de douceur et les oignons la touche acidulée qui font de ce sandwich LE sandwich parfait !
Il vous semble copieux, trop copieux? Pas d’inquiétude, ils pensent à tout avant même que vous ne l’envisagiez vous même : on m’a proposé de me faire un doggi bag avec la moitié que je n’avais pas pu consommer ! Un service pareil, on n’en trouve pas souvent. Et c’est sans oublier la serveuse souriante et toujours à notre écoute qui s’est occupée de nous !
Bon, revenons en au contenu des assiettes : on peut dire que les hamburgers sont plutôt pas mal aussi !
Et quand on croit que l’on est rassasié, qu’il n’est plus possible d’avaler quoi que ce soit, c’est là qu’arrivent les desserts !
Et c’est donc reparti !
Parce qu’un cheese cake, cela ne se refuse pas !
Vous l’aurez donc compris, je vous recommande chaleureusement ce petit coin de New York à Paris !
Bensimon ouvre cette semaine une nouvelle boutique écrin rue Jean-Jacques Rousseau.
A cette occasion, et pour fêter la fashion week, un nouvelle boutique donc, dans laquelle vous allez pouvoir découvrir les créations de talentueux créateurs du « Village des créateurs » .
Le Village des créateurs est un lieu d’échanges qui accompagne de jeunes créateurs, ou encore des créateurs expérimentés en quête de nouvelles expériences et de nouveaux défis.
Créé en 2001, il accompagne un réseau de 70 marques de mode et design de la région Rhône-Alpes.
Le Village des créateurs a exposé sur les Berges de Seine à l’occasion des D’Days en mai. Et aujourd’hui, grâce à Bensimon, vous allez ouvrir découvrir la basket mythique revue et réinventée par ces créateurs à l’imagination débordante.
Je ne vous en dis pas plus, admirez, et dites moi ce que vous en pensez !
Restaurant gastronomique avenue Victor Hugo, ce restaurant à la décoration Art Déco et connu pour sa carte aux parfums d’océan ?
Enseigne spécialisée en caviar ?
Ou peut-être le restaurant-café, place de la Madeleine…
Mais auriez vous l’idée d’associer le nom de Prunier à un sandwich, un encas à emporter ? Non ? Et bien pourtant, c’est possible !
Vous avez envie d’un petit sandwich à déguster sur le pouce, en vous promenant du côté de la Madeleine ?
Désormais, quand vous ferez un tour du côté dans ce quartier, et que vous passerez devant la façade de Prunier, prenez le temps de vous arrêter.
Pour admirer les superbes boites de caviar qui sont la signature de la maison bien sur …
Et tout particulièrement celle ci, coup de coeur absolu… Normal, elle est signée Yves Saint Laurent .
Chez Prunier, spécialisé en produits de la mer, vous pourrez également acheter du saumon fumé, le saumon BALIK, en filet pour deux ou en fines tranches.
C’est un saumon élevé dans les fjords norvégiens selon des critères écologiques et durables, puis fumé à la main, et vous n’aurez pas la recette : c’est un secret bien gardé.
Place de la Madeleine vous pourrez également déjeuner à l’étage, confortablement installés avec vue directe sur la Madeleine.
Mais vous pourrez aussi prendre un délicieux petit sandwich et continuer à vous promener : c’est vous qui voyez !
Café Germain – une terrasse qui m’a poussée à tester l’endroit.
Une terrasse au coeur de Saint Germain, un petit air de bistrot, une décoration originale, un air pimpant et accueillant. Autant de raisons pour s’attabler dans ce restaurant que nous ne connaissions pas.
Un menu qui propose des valeurs sures. Des intitulés simples à décoder. La promesse d’un repas tels qu’on les aime un samedi à midi .
Il faisait bon, c’était l’été, et c’est donc vers des entrées légères que notre choix s’est porté. Un gaspacho, une salade de haricots et champignons, un assaisonnement léger, parfait pour une entrée en matière.
Bien sur, un adolescent ne peut pas résister à l’appel du hamburger … Mais attention, ici, le hamburger vous prends par surprise ! Mais une fois la surprise passée, il s’est visiblement régalé !
Une des surprises de Germain : cette drôle de sculpture qui encombre le passage au rez de chaussée ! Indéniablement elle appelle à monter à l’étage pour voir de quoi il retourne. ce qui donne l’occasion de découvrir son visage, ainsi que la salle spacieuse du premier.
Puis revenons en au repas, et plus particulièrement à lélement clé : le dessert. Et le Germain sait y faire dans ce domaine.
Comment résister à ces profiteroles géantes, que vous arroserez vous même de chocolat chaud ?
Ou encore, pour ceux qui aiment plus particulièrement les vrais desserts régressifs, le pain perdu brioché qui fait ressurgir des souvenirs d’enfance enfouis.
Quand à ceux, ou celles, qui n’assument pas leur gourmandise, la solution est là : le café gourmand. Et toutes ces mignardises réunies valent bien un dessert !
Alors lors de votre prochaine virée shopping du côté de Saint Germain des Près, vous saurez ou faire une pause .
Les Journées Européennes du Patrimoine – l’embarras du choix
Comme chaque année, les lieux les plus secrets de France et de Paris en particulier nous ouvrent leurs portes. L’occasion unique de passer la porte de ces endroits qui nous intriguent et où nous ne pouvons pas rentrer habituellement, ou de redécouvrir des lieux familiers sous un nouvel angle.
Si vous faites une recherche sur le site avec le filtre PARIS, vous aurez 391 résultats ! Il est clair qu’il va falloir faire un choix !
Voici en vrac une petite sélection, et pour le reste, tout le programme est à votre disposition, il ne vous reste qu’à effectuer la bonne sélection : la vôtre !
Je commencerai par cette occasion unique donnée de pénétrer dans les coulisses de la grande maison de couture Yves Saint Laurent. Inconditionnelle de celui qui a bouleversé les codes de la mode, j’ai eu la chance de pouvoir faire ce voyage dans son univers, et je vous le recommande très vivement ! Pour tout savoir : communication@fondation-pb-ysl.net
Vous pourrez aussi profiter de cette pause culturelle pour découvrir des brasseries parisiennes mythiques, sous l’angle historique. Ainsi la brasserie Le Boeuf sur le toit, le Bouillon Racine, ou encore Le Pharamond, qui fit découvrir aux parisiens les célèbres « tripes à la mode de Caen » !
Nous sommes tous passés devant ces superbes hôtels particuliers, aux grilles et portes closes : ce weekend sera l’occasion unique de pousser les portes, franchir les perrons et partir à leur découverte.
Le plus célèbre d’entre eux bien sur : l’Elysée. Mais dans ce cas, il faudra faire preuve d’une très très grande patience !
Haut lieu du shopping parisien, les Galeries Lafayette vous plongeront dans les fastes de l’histoire de ce magasin centenaire.
Vous aimez la radio ? Europe1 vous ouvre ses portes, l’occasion de jouer à l’animateur mais aussi de rencontrer animateurs et journalistes, ou encore d’assister à des émissions.
Europe 1, 26 bis rue François-1er, Paris 8ème / Tél. : 01 47 23 13 80
Samedi 20 et dimanche 21 septembre de 6h à 19h (20h dimanche)
Aujourd’hui, je vous fais partager mon challenge sportif de l’année : j’ai couru La Parisienne.
Challenge accepté, et réussi ! J’y suis arrivée, et je compte recommencer l’année prochaine ! Et en 2015, est-ce que vous relèverez le challenge avec moi ?
Et toutes les parisiennes courront La Parisienne !
Le Plaza Athénée, c’est tout d’abord sa façade, majestueuse, qui croule sous les géraniums, et qui illumine l’Avenue Montaigne toute entière.
Plaza Athénée façade
Puis c’est le sourire de celui qui vous ouvre la porte et vous permet de pénétrer dans le lieu, en vous donnant déjà cette impression indicible d’être chez vous.
Plaza Lobby
Laisser tous les menus tracas du quotidien sur le perron et pénétrer dans une bulle de douceur. Se laisser apaiser par les sourires, une harpe qui égrène ses harmonies mélodieuses dans le lobby. Laisser la beauté et la lumière apaiser les sens. Changer de souffle. Changer de rythme.
Voilà en quelques mots ce que j’ai ressenti en passant le pas du Plaza Athénée qui vient de réouvrir ses portes après plusieurs mois de travaux d’agrandissement et de renouveau, pour que tout change et que rien ne change à la fois.
Tout est là. L’élégance discrète, l’intimité et la certitude d’être comme protégée, à l’abri.
Chaque instant prend une autre dimension au Plaza. Chaque minute compte.
Celle ou j’ai poussé la porte de cette suite, celle ou j’ai ouvert la fenêtre pour la découvrir, elle dont je savais qu’elle était là et pourtant, que j’ai vue surgir avec autant d’émotion que si c’était la première fois.
Chaque action revêt une importance unique, chaque minute passée dans ce cadre tout à la fois somptueux et accueillant, a des parfums de toujours. Enfiler le peignoir, chausser les pantoufles,ouvrir grand fenêtres et rideaux et accueillir cette vue extraordinaire, comme si elle était désormais mienne pour toujours.
Rester a la fenêtre, sourire au portier quand il lève la tête et me fait un petit signe de la main portée à sa casquette en souriant, comme si nous nous connaissions depuis toujours
Et sourire aux passants qui ne peuvent s’empêcher de s’arrêter pour admirer la façade.
Et partir encore une fois à la découverte de chaque recoin, en respirant profondément, en admirant chaque détail, du moelleux des coussins à l’écran du téléviseur dissimulé dans le miroir.
Pousser la porte de la chambre et céder à l’émerveillement.
Le temps arrête son envol, le bien-être est total, le canapé moelleux m’accueille pour feuilleter nonchalamment l’ouvrage de M. Ducasse qui livre ses adresses parisiennes préfèrées.
Il est justement déjà l’heure de dîner !
La cour jardin, havre tranquille, à l’ombre du lierre qui caractérise cette cour et qui a survécu aux travaux. Et des géraniums aussi, qui font écho à ceux de l’avenue donnant couleur et vie à l’élégance du lieu.
C’est Michaela et son léger accent d’Europe de l’est qui nous accueille pour nous mener a notre table. C’est elle aussi qui, plus tard dans la soirée, viendra me proposer un châle pour me protéger de la fraîcheur de cette fin d’été qui sent déjà bien l’automne. Et cela avant même que je ne donne le moindre signe d’inconfort.
Comme une mère qui est là et veille, discrètement, au bien être de ses protégés. Puis vient Serge, et il donne vie et sourire à ce repas raffiné et délicieux, en l’agrémentant de conseils éclairés et d’anecdotes sympathiques et drôles, à son image.
C’est d’ailleurs lui qui me recommandera ce dessert qui a couronné un moment de plaisir gustatif.
Bien sur il y a le bar, entièrement réinventé, que nous découvrirons une autre fois car la journée a été longue et riche en émotions. Il est déjà devenu un des hauts lieux de la nuit parisienne, et son décor ainsi que l’offre musicale sont sans aucun doute une parité des explications de ce succès fulgurant.
J’aurais aimé pouvoir vous parler du petit déjeuner et vous décrire en détails le buffet proposé, mais c’est la version « en chambre » que je vous livrerai, parce qu’une chambre comme celle là, on ne la quitte pas aisément et nous avons donc préféré continuer a profiter du lieu .
J’ai eu du mal à m’arracher à cet endroit extraordinairement élégant, accueillant, et qui , grâce à un accueil hors du commun fait de mille et une attentions discrètes, m’a laissé cette sensation indélébile d’avoir désormais une deuxième adresse parisienne, un autre chez moi dans ma ville .
Alors, si vous voulez gouter à cette atmosphère unique, pensez-y, venez prendre un café dans la galerie, une pâtisserie, un verre, voire même un repas à l’abri des regards, et vous comprendrez.
Certaines rues de Paris portent un nom qui, dès qu’il est prononcé, fait écho à l’inconscient, celui des parisiens, et celui de tous ceux qui ont entendu prononcer ce nom, ne serait-ce qu’une fois dans leur vie.
La rue Saint-Honoré … Le luxe à la parisienne ? Ou ne faisons nous pas un amalgame rapide avec la non moins célèbre rue du Faubourg Saint-Honoré ?
En effet, la rue Saint-Honoré fut avant tout « la rue des révolutions » (Wikipédia). Barricades au XVIème siècle , 3 glorieuses en 1930, réunions secrètes en 1848.
Et puis elle a aussi été la rue qui a accueilli le plus grand nombre de malletiers à l’époque où le voyage en train représentait un véritable art de vivre.
rue Saint Honoré Goyard
D’ailleurs, il en reste certaines, puisque Goyard expose fièrement ses malles devant le pas de sa porte, et Moynat a réouvert il y a déjà plus d’un an.
Il s’agit là bien sur d’une autre époque, et la Rue Saint-Honoré est effectivement aujourd’hui un des hauts lieux de la mode et de la branchitude, Colette oblige !
Elle a donc évolué, s’est réinventée, et héberge donc une variété d’enseignes assez extraordinaire, et inattendue finalement.
Parce que rue Saint Honoré se côtoient luxe absolu, mais aussi enseignes plus abordables, et nouvelles marques.
Un petit tour m’a donc permis de prendre ces quelques images, et de redécouvrir cette rue.
J’y ai admiré les vitrines de Chantal Thomass.
Observé la vitrine sobre et élégante de Theory.
Découvert la présence d’un ZARA.
J’ai constaté une divergence de tendance entre Longchamp, qui organise sa vitrine autour du concept des célèbres cadenas parisiens, ceux là même dont on sait les dégâts qu’ils créent sur les ponts parisiens, et contre lesquels la Mairie de Paris propose maintenant une alternative numérique !
Et pour finir, je m’autorise un focus sur cette marque que je ne connaissais pas et dont je suis devenue adepte au premier regard : un coup de foudre vestimentaire en somme : &OtherStories !
Et pour finir, un café sur la place du marché, c’est toujours un plaisir !
Alors, la rue Saint-Honoré, vous la connaissez bien ? Quelle est votre boutique préférée ?
Alors j’y ai réfléchi et voici ce que je peux vous proposer. Bien sur, n’hésitez pas à donner vos idées, histoire de créer la base la plus larges de lieux où gouter à PARIS, pour les gourmandes que nous sommes.
Tout d’abord, il y aMerci. Il s’agit là de prendre un délicieux gâteau fait maison, un bon thé, et le tour est joué. La qualité est toujours là, qu’il s’agisse du cake citron, du cheesecake, ou encore du moelleux au chocolat qui s’enrichit de crème de marrons pendant les mois les plus froids de l’hiver : une tuerie !
Une fois que j’ai évacué le grand classique, venons en aux autres possibilités que nous offre Paris.
Dans la catégorie institutionnelle, nous avons Angelina bien sur. Je le recommande en hiver, pour son célebrissime Mont Blanc, peu approprié aux températures estivales ! Et puis pensez à celui qui est hébergé au coeur des Galeries Lafayette, à l’abri des hordes de touristes.
Et puis il y a Carette : même si tout est hors de prix, et l’atmosphère légèrement surfaite, on en peut nier que le fait d’ête en terrasse place du Trocadéro ou encore place des Vosges est un vrai luxe assez unique, et les pâtisseries se laissent manger finalement.
Les hôtels sont nombreux à proposer une formule semblable au « high tea » anglais, avec une offre généreuse et alléchante, mais souvent un prix en conséquence.
C’est le cas du Shangri La où j’avais eu le plaisir de découvrir le « tea time » .
Au Royal Monceau vous pourrez déguster des pâtisseries Pierre Hermé, que vous savourerez, mais en sachant que le plaisir a un prix : 47 € pour le high tea.
C’est l’hôtel Scribe qui m’a récemment réservé la meilleure surprise avec son joli salon de thé si cosy, accessible aisément de la rue, et qui propose une si large variété de pâtisseries que de thés. Amateurs de ce breuvage, sachez que vous ne trouverez cette marque lyonnaise qu’ici !
Enfin, dans la catégorie « pâtisseries », il y a Sugarplum, pour les amoureux de gâteaux à l’américaine, Colorova pour celles et ceux en quête d’adresse dont la renommée s’est faite par le bouche à oreille, et qui dure, ou encore Dessance, la dernière adresse référente en termes de pâtisseries à PARIS, et que je n’ai pas encore testée !
Je ne vous parlerai pas de la Pâtisserie Ciel, par principe, parce que ce qu’elle propose ne s’apparente pour moi en rien au plaisir d’un moment gourmand, mais cela n’engage que moi !
Merci 111 boulevard Beaumarchais 75003 PARIS
Angelina 226 Rue Rivoli, 75001 Paris / Galeries Lafayette 40 Boulevard Haussmann, 75009 Paris
Carette 4 place du trocadéro 75016 PARIS
Shangri La 10 Avenue d’Iéna, 75116 Paris
Royal Monceau 37 Avenue Hoche, 75008 Paris
Le Bristol 112 Rue du Faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris