Vente des cadenas d’amour au Crédit Municipal de Paris
Le Crédit Municipal de Paris accueille cette vente solidaire qui se place dans la lignée parfaite de l’histoire et de l’ADN de l’établissement.
C’est la Finance Sociale et Ethique qui est au coeur de l’histoire de cet établissement qui organise également depuis plusieurs siècles des ventes aux enchères.
Il était donc naturel que ce projet aboutisse ici même.
Après avoir collecté ces preuves d’amour laissés par des milliers de touristes, la mairie a souhaité faire vivre ce chapitre de l’histoire de Paris. C’est ainsi qu’est née l’idée de la vente des cadenas d’amour.
La mise en place de cette vente a nécessité un travail de plusieurs mois, en collaboration avec la Mairie de Paris.
Les cadenas ont été préservés, sélectionnés, pour être travaillés de manière artisanale et être transformés en oeuvres d’art.
Ces 150 pièces uniques et 15 pans complets qui seront vendues pour une belle cause.
Ces trois associations ont un point commun. Elles répondent aux engagements pris par le Plan de Mobilisation de la communauté de Paris pour l’accueil des réfugiés. Mêmes valeurs, mêmes actions de bienveillance, accueil et générosité.
Ainsi, Solipam s’occupe de la prise en charge des femmes enceignes migrantes ou réfugiées. Elle les accompagne, les guide et les oriente.
Emmaüs Solidarité gère les deux centres créés à Ivry et du côté de la Porte de la chapelle pour accueillir les réfugiés. Ces centre leur propose un hébergement, des repas, et des cours pour leurs enfants.
Quant à l’Armée du Salut, elle est engagée depuis plus de 130 ans dans la lutte contre toutes les formes d’exclusion. L’accueil des migrants et des réfugiés fait partie de ses missions historiques.
Une vente qui parle d’amour. De ces cadenas d’amour, point de départ de l’histoire, à cette vente, qui rendra de l’amour à ceux qui en ont le plus besoin.
Un projet hautement symbolique aux messages positifs.
Cadenas d’amour – la vente
Elle se déroulera samedi 13 mai à 15h00 dans les locaux du Crédit municipal de Paris au 55 rue des Francs Bourgeois, mais aussi en ligne pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer.
Pour faire l’acquisition d’une des pièces exposées, vous pouvez tout d’abord aller les admirer dès demain sur place.
En voici un aperçu.
Ensuite, pensez à vous inscrire sur le site.
Et finalement, si vous le pouvez, rendez vous sur place samedi 13 à 15:00 ! Crédit Municipal de Paris 55 rue des Francs-Bourgeois 74004 paris
L’avenue des Gobelins est une superbe artère qui relie la place d’Italie et la place de l’église Saint Médard, le XIIIème et le Vème arrondissements.
On y trouve de nombreux bistrots aux terrasses confortablement installées sur de larges trottoirs. C’est ici qu’a ouvert ses portes il y a moins d’un mois une nouvelle adresse.
Phénomène assez rare sur cette avenue, et j’ai donc eu envie de tester immédiatement !
LE PERROQUET – bistrot
LE PERROQUET – comment on s’y sent
Une charmante terrasse ensoleillée – enfin, quand il fait beau, des touches de couleurs chatoyantes pour la décoration à l’intérieur et particulièrement pour la vaisselle, après tout, il est bien question de perroquet ici !
L’accueil est souriant et chaleureux. Très vite la maîtresse des lieux vient s’occuper de nous, et elle viendra aussi s’enquérir régulièrement de nos attentes. Très agréable, et très efficace. Le type d’endroit qui donne d’emblée envie d’en faire sa cantine.
Ce qu’on y mange
Pour commencer, des planches. Etant donné que le lieu propose une happy hour, c’est juste parfait. Pour commencer la soirée, ou combler une petite faim en attendant de faire un choix de plats.
Ici donc la planche saumon, le saumon sous toutes ses formes : rillettes, fumé. Parfait à partager, même à 3, pour commencer.
Une des spécialités du restaurant Le Perroquet est la viande. On le comprend à la lecture du menu.
La provenance et la race de chaque viande est précisée et revendiquée. Mais les amoureux de poisson trouvent ici leur bonheur également, sans parler des tartines et des salades pour un repas rapide et léger.
Le hamburger est goutû – oui, c’est le mot qui me vient à l’esprit en y repensant ! Et les frites délicieusement croustillantes.
Une autre spécialité du lieu : le risotto. Un petit bémol pour les galettes de parmesan accompagnant le risotto à la truffe d’été. Leur parfum était bien trop fumé. Le risotto quant à lui est parfait.
Rien à dire sur le risotto et ses brochettes de poulet.
Quant au dessert du jour, fait maison, nous nous sommes partagés une délicieuse tarte normande aux poires.
Le Perroquet – pourquoi je reviendrai
Sans doute pour un happy hour qui me permettra de découvrir les autres planches ?
Ou encore pour tester les autres desserts.
Et bien sur pour profiter du soleil, même au milieu de la journée puisqu’il est ouvert sans interruption. Mais ça, c’est en supposant qu’il referra son apparition un jour !
Paris est au coeur des tendances déco mondiales. De Designers Days en salons et évènements divers et variés, il se passe toujours quelquechose à Paris qui parle de déco.
Et certaines boutiques et concept stores parisiens sont là pour faire naitre ces tendances et les entretenir.
En voici un échantillon.
Antoine et Lili – Déco ethnique chic
Chez Antoine et Lili, la couleur est au rendez-vous. Toujours. Dans la façade, et dans chacune des boutiques. Parce que la tendance WAX à Paris, ils l’ont inventée. L’amour du voyage est la signature de cette jolie marque qui existe maintenant depuis plus de 20 ans.
Alors leurs inspirations sont indiennes, africaines, ou encore d’Amérique latine. Et le résultat : bonne humeur garantie !
Merci, c’est d’abord et avant tout le premier concept store parisien. Celui qui a créé ce format tant copié, parfois avec succès, parfois moins. Parce qu’il ne suffit pas d’installer 3 étagères, 2 luminaires, 3 tables et une machine à café pour s’auto proclamer concept store !
Ici, c’est le royaume des matières nobles, des éclairages basse consommation.
La cuisine est reine chez Merci, et on trouve aussi ici du mobilier, du linge de maison en lin, tout ce que la tendance revendique.
Merci 111 boulevard Beaumarchais 75003 Paris
Borgo delle Tovaglie
A quelques centaines de mètres de Merci, un lieu qui présente un certain nombre de similitudes avec le concept store originel, avec l’accent italien en prime : Borgo delle Tovagli. Ici aussi l’univers de la maison est roi, même si il y a sans doute une plus grande stabilité des collections présentées.
Là aussi, lin et matières nobles sont à l’honneur, puisque la confection de linge de maison est le premier métier de ce couple d’italien qui s’est installé à Paris. Et il y en a pour toutes les pièces de la maison, de la chambre des enfants à la salle de bain.
Alors n’hésitez pas un instant. Faites un tour en Italie, d’autant que le lieu propose également un restaurant et une petite cour terrasse parfaite pour les premiers rayons du soleil.
Bensimon Home autour du monde
Parce que Bensimon, c’est bien plus que des tennis. Chez Bensimon Home autour du Monde, vous trouverez toute la décoration que vous espérez pour la maison. Des luminaires.
De petits meubles, de multiples objets de décoration, et une position désormais installée dans le monde de la décoration d’intérieur et du design puisque cette année Bensimon signe une superbe lampe pour les 50 ans de Marie Claire Maison : la lampe Sarah Gold de Dan Yeffet.
Bensimon Home Autour du Monde 8, rue des Francs-Bourgeois 75003 Paris 0142770608
La Boutique Paris
Un nom pareil, c’est un atout unique ! Et il ne s’agit pas d’une boutique mais de deux, et de l’annexe associée qui permet de se restaurer entre deux achats.
La Boutique se trouve quai de la Mégisserie. Face à la Seine.
On y trouve des objets de décoration, des luminaires dans la lignée de la tendance du moment – ampoules filaments, appliques industrielles.
Le mobilier est dans la même veine. De superbes canapés aux coussins moelleux, d’autres aux lignes épurées design, et des fauteuils multicolores dans le même esprit.
Tout cela à des prix absolument abordables, et cela vaut la peine d’être souligné non ?
La Boutique 14 quai de la Mégisserie 75001 Paris
Je vous ai donc livré ici les adresses de 5 boutiques de décoration à Paris, et je reviendrai bientôt avec de nouvelles adresses, de celles que Paris nous réserve à chaque coin de rue !
Je ne vous apprend rien, Pâques et chasse aux oeufs sont indissociables. En famille, pour les enfants, en exteireur ou dans les jardins personnels, voire même les balcons, ou encore les plantes d’intérieur , la présence de ces douceurs chocolatées est indispensable.
Alors, même si vous êtes à Paris en cette période de vacances, partez à la chasse aux oeufs, seuls, ou avec vos enfants. Parce que la gourmandise n’a pas d’âge !
Colette – chasse aux oeufs montmartroise
Avec Colette, il faut se tenir prêt. Prêt à l’originalité, prêt au décalé.
Alors ce sont des oeufs pas comme les autres qui vous guetterons lorsque vous déambulerez dans les allées des jardins Renoir du musée Montmartre.
Et quand on sait que le partenaire de Colette pour cette chasse mémorable est La Mère de Famille, je pense qu’il n’y a rien à ajouter !
Enfin si : sachez que le petit train de Montmarte sera mis à disposition au métro Blanche pour atteindre les jardins du musée. Les départs seront à 15h30, 16h00 et 16h30 !
Chasse aux oeufs ColetteXLaMèreDeFamille mercredi 12 avril de 16h00 à 18h00 Musée de Montmarte 12 rue Cortot 75018 Paris
Made.com – des oeufs ? Non, des tablettes !
Made.com, nous connaissons. Des meubles design, que l’on achète en ligne, à des prix plus qu’abordables. Made.com fait partie de ces sites qui ont commencé la révolution de l’achat de meubles. Ils décident donc de ne pas s’arrêter là, et révolutionnent la chasse aux oeufs en chocolat !
Il ne s’agira donc pas d’oeufs, mais de tablettes ! Des tablettes de la marque de chocolat la plus trendy du moment : le chocolat français.
Pendant 3 jours, dès jeudi 13, vous pourrez partir en quête d’une des tablettes à gagner.
Parce que’une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, ce sera aussi l’occasion de gagner un luminaire MADE.COM au choix (valeur maximale 200€) et une box Le Chocolat des Français en participant à un jeu concours : La plus belle photo au design chocolaté au sein du showroom Made.com.
Rendez-vous au showroom made.com !
Chasse au chocolat Made.com jeudi 13/04 , vendredi 14/04 et samedi 15/04 dès 14h00 52 rue Etienne Marcel 75002 Paris
Ici, on a tout. Le décor, en mode vintage, les serveurs hipsters à la barbe parfaitement taillée et la tenue noir et blanc historique. Et en plus, on y mange bien !
Café Charlot – comment on s’y sent
Café Charlot
Le décor d’un bistro traditionnel pour un restaurant bien actuel. Mosaiques et carrelage blanc, ventilateurs d’antan au plafond.
Il faut dire que cette ancienne pâtisserie a vu son décor préservé pour devenir un café restaurant, y compris la façade dont l’enseigne a été préservée.
Le café Charlot – ce qu’on y mange
Ici, des entrées traditionnelles, telles que les escargots de bourgogne ou l’avocat vinaigrette, ainsi que de beaux produits d’enseignes parisiennes bien connues comme Da Rosa par exemple.
Et puis aussi des plats de bistro, des burgers, des salades, des croques et des bagels.
Notre repas fut frugal ce jour là, et je ne pourrai pas vous montrer une grande variété de plats.
Je peux juste vous dire que ce que nous avons pris était délicieux, et nous nous sommes régalés.
Parce que, même quand il s’agit de plats simples, la qualité des produits utilisés fait la différence.
Sans oublier les desserts de la célèbre maison Sénequier !
Pourquoi j’y reviendrai
Pour le brunch dominical ? Ou pour un vrai déjeuner en profitant de la terrasse ? Et pour finir, pour goûter un ou plusieurs des desserts bien sur ! Comme on peut le voir, les raisons potentielles sont multiples.
Cette marque nous est familière. Et souvent rattachée à une histoire de famille. Un sac de nos mamans, que nous avons vus, reconnus. Et puis l’enseigne, dont le nom marque la mémoire.
Mais savons nous vraiment ce dont il s’agit ? Pas vraiment.
La Bagagerie
Commençons par clarifier un point. La Bagagerie est une marque. Une marque de sacs. Pas une boutique où l’on trouve des bagages de marques diverses, mais une marque créée en 1954 par Jean Marlaix. Une marque familiale puisque c’est le fils qui reprend le flambeau dans les année 90.
Une marque de sacs donc, qui a fêté ses 60 ans en 2014 et a connu des égéries aussi célèbres que Brigitte Bardot ou, plus récemment, Zoé Felix.
LA BAGAGERIE – boutique rue du Four
LA BAGAGERIE a de nombreuses boutiques à Paris. Mais celle que je connais, celle devant laquelle je passe souvent et qui me vient à l’esprit dès que l’on me dit « LA BAGAGERIE » se situe rue Du Four.
Une boutique lumineuse dans laquelle on a immédiatement une vue d’ensemble sur les collections dès la porte franchie.
Eté 2017 – La ligne Pulsion
Cet été, le matelassé est à l’honneur. Dans des couleurs classiques, et d’autres plus estivales. C’est la collection Pulsion déclinée en plusieurs tailles, formes et teintes.
Sans oublier le petit chouchou, le clouté. Succès garanti !
Le Pulsion bleu marine est élégant, parfait pour un café sur une terrasse ensoleillée.
Et puis il y a le Lio, version tri-colore, pour lequel j’ai eu un vrai coup de coeur.
LA BAGAGERIE – sac LIO
Des sacs en cuirs, aux superbes finitions, et tout ça pour un rapport qualité prix assez unique.
Les catacombes : intitulé générique et mystérieux pour un labyrinthe sous terrain, obscur et humide, parsemé d’ossements ?
Oui, sans doute, mais bien plus encore !
Les catacombes sont composées en fait composées de deux parties distinctes.
Le parcours géologique d’une part, et l’Ossuaire municipal de Paris de l’autre.
En effet, depuis le XVème siècle, ce site accueillait des carrières utilisées pour extraire les matériaux nécessaires à la construction de la ville. C’est cette partie de l’histoire que décrit le parcours géologique, que je ne vous montrerai pas ici.
Fin XVIIIème, ces carrières menaçaient de s’affaisser, et furent donc déplacées laissant ainsi un espace parfait pour accueillir les ossements des cimetières du centre de Paris et plus précisément ceux du cimetière des Innocents, fermé pour raisons sanitaires.
Très vite ce sont tous les ossements de tous les cimetières parisiens qui vont être transférés ici.
Au début simplement déversés au fond de cet espace profond de 20 mètres sous terre, les ossements sont ensuite rangés dès lors que le lieu est transformé en Musée.
Il ouvre ses portes en 8109, et sera un des premiers musées de la ville de Paris.
Les Catacombes – l’Ossuaire : ce qu’on y voit
Héricart de Thury, inspecteur général des carrières, fut à l’origine de la création de ce musée.
Passionné de littérature et chrétien , il décide d’organiser les ossements, et de ponctuer le lieu de citations issues de la bible, de la littérature, des philosophes ou encore de la poésie
Tout au long du parcours, la provenance des ossements est également précisée. Cimetières parisiens, victimes de la révolution, hôpitaux, couvent.
Osssements qui sont parfaitement organisés pour garantir la stabilité des parois, éviter l’humidité accumulée entre les os.
Le lieu est un véritable lieu de la mémoire de Paris, toutes les personnes enterrées là étant mortes à Paris intra muros.
Mais attention. Si vous rêviez de passer l’éternité ici, n’y pensez plus : plus personne n’est inhumé ici depuis 1960, date à laquelle les derniers ossements découverts lors de travaux d’urbanisme aux Halles furent amenés ici.
Les Catacombes – ce qui change
Si, comme moi, vous passez régulièrement place Denfert Rochereau, vous aurez remarqué cette file d’attente omni présente à l’entrée du parcours.
Afin de pallier cet inconvénient, plusieurs actions ont été entreprises.
La première : l’élargissement des plages d’horaires d’ouverture. Désormais, les Catacombes de Paris se visiteront jusqu’à 20h30 sauf le lundi.
Ensuite, en 2019, l’accès par la Place Denfert Rochereau sera modernisé et aménage pour permettre une attent plus confortable.
Et enfin, à la sortie, pour passer de l’ombre à la lumière éblouissante, une superbe boutique a été créée pour ue chacun puisse repartir avec son souvenir parisien.
Une petite rue discrète, qui croise la célèbre rue Montorgueil. Alors comment se démarque-t-elle ? En se réinventant. Et en accueillant de multiples spots food super trendy. Et ça marche !
Rue Saint-Sauveur – un peu d’histoire
La rue Saint-Sauveur doit son nom à une église aujourd’hui disparue, l’église Saint-Sauveur, et dont l’emplacement se situerait de nos jours à l’angle nord-est de la rue, c’est-à-dire aux numéros 2 et 2bis de parue telle que nous la connaissons. Eglise qui présentait plusieurs particularités. Pour commencer, elle était mal orientée, son chevet étant tourné vers l’occident.
Et puis elle possédait une unique tour que l’on situe à l’angle des rues Saint-Sauveur et Saint Denis. Regardez bien, vous la verrez sur cet extrait du plan de Turgot, là, en haut à gauche.
Sur ce plan, on voit également que la partie de la rue qui était comprise entre les rue Montorgueil et Montmartre s’appelait alors rue du Bout-du-Monde, puis en 1937 elle prend le nom de rue Léopold-Bellan.pour enfin être réunie à la rue Saint-Sauveur en 1851. (source Wikipedia)
Qu’est ce qu’on y mange
Un peu de tout. Commençons par l’enseigne reine : Big Fernand. Ici vous pourrez donc vous régaler à l’atelier du hamburgé ! Pourtant, je me pose une question : pourquoi sur cette façade n’est-il pas question d' »atelier du hamburgé », mais plus banalement, atelier du Hamburger ? A creuser !
Big Fernand pour les carnivores, et pour les autres ?
La salle est minuscule, et l’option « à emporter » semble parfaitement appropriée.
On a donc la viande, le poisson, mais quid des gluten free ? Pas d’inquiétude, il y en a pour eux aussi !
Le restaurant Thaï Kapunka propose les grands classiques de la cuisine thaï, tout comme son grand frère, Monsieur K, à quelques pas de là.
Et c’est pas fini !
On le sait, dans les tendances food du moment, le manger sain est roi, et les céréales au coeur du sujet.
Qu’à cela ne tienne ( expression désuète que je me surprends à bien aimer !). Pour les amoureux des graines, le Muesli bar est là.
Premier lieu parisien à proposer le « muesli sur mesure » . Salé ou sucré, à consommer sur place ou à emporter, les ingrédients proposés sont bio ou issus de l’agriculture raisonnée. Pour le salé, une sélection de sandwichs ( en partenariat avec la maison Landemaine) et des soupes aussi. Bref, la solution parfaite pour un repas rapide, goûteux, gourmand et sain.
Et parce que cette rue est en mouvement perpétuel, une nouvelle enseigne arrive : madame Croque Monsieur. En fait d’ailleurs, elle est déjà arrivée !
Et pour le reste
Il reste encore quelques échoppes vestige du temps passé, qui sait pour combien de temps.
Et puis c’est aussi rue Saint-Sauveur que l’on trouve ce club sportif haut de gamme : le Klay. Ici, traitement personnalisé, et surtout, sélection du coach : que demander de plus.
On peut aussi déjeuner là, et ce tous les jours de la semaine.
Avant de vous donner les adresses, un bémol à connaitre pour éviter la frustration : toutes ces adresses sont fermées le weekend ! (sauf le Klay restaurant)
Big Fernand 32 Rue Saint-Sauveur, 75002 Paris 09 67 22 40 06
Johanna’s Fish&Chips 30 Rue Saint-Sauveur, 75002 Paris 01 42 21 88 78
Parce que les fleurs mettent de la couleur et de la bonne humeur dans la maison.
Avouez le, recevoir un bouquet fait toujours plaisir !
Alors pour être sûrs de toujours savoir où aller en cas d’urgence florale, voici une sélection de jolies boutiques parisiennes.
Fleuristes, artisans floral, ils sont tous passionnés et partagent leur passion à travers la richesse et la diversité de leurs créations.
Grandes enseignes, petites boutiques, ateliers florals, l’offre est suffisamment variée pour que chacun puisse s’y retrouver.
Que vous aimiez les bouquets majestueux, ou plutôt champêtres, les charmantes petites fleurs de campagne, ou les somptueuses orchidées, Paris et ses fleuristes ont de quoi vous séduire.
Fleuristes parisiens – rive droite
Le clivage rive gauche rive droite existe-t-il toujours ou peut-on avoir une vision progressiste de la ville et trouver les belles enseignes et les petites pépites de part et d’autre de la Seine ? Je dis oui ! Je vous propose de balayer les idées reçues et de découvrir les belles enseignes là où elles sont.
Commençons par le centre.
Stéphane Chapelle – le culte de la fleur, et du créateur
Et plus précisément la rue Richelieu. C’est ici que se trouve la boutique atelier de Stéphane Chapelle.
Ici, des fleurs bien sur, mais aussi de superbes plantes, de magnifiques fougères, et des oliviers dignes de ceux que l’on trouve dans le Sud.
L’artisan, disons même artiste, créé des bouquets somptueux de fleurs de saison, et s’occupe également de la décoration florale de votre intérieur. On est ici dans le haut de gamme de l’artisanal floral.
Sylvain Georges – orchidéiste
Pas très loin de là, place des Petits Pères, une enseigne tenue par un fleuriste spécialisé en orchidées, autrement appelée orchideiste : la boutique de Sylvain Georges. Cette fleur majestueuse, qui a si longtemps été inabordable et qui est maintenant devenue un choix possible.
Un choix unique de variétés, sélectionnées par un amoureux monomaniaque de cette plante et totalement passionné.
Mandarin Oriental – le parfum des fleurs
Et puis il y a le magasin de roses du Mandarin Oriental : des roses qui sentent bon, c’est si rare. Un éblouissement pour les yeux mais aussi pour l’odorat, qui me replonge dans les souvenirs du temps où toutes les roses avaient encore un parfum.
Quittons le centre pour nous diriger vers les nouveaux arrondissements hipsters.
Prenons SOPI et sa rue des Martyrs. Ici, plusieurs options.
Le P’tit zinc – bar à fleurs
Mini plantes et jolies fleurs, la démonstration qu’on peut se faire plaisir sans se ruiner. L’idéal pour disposer de charmantes petites plantes partout dans son intérieur ou repartir avec un bouquet délicieusement champêtre.
André Navellou – boutique jardin
Rue Condorcet, à quelques pas de là, André Navellou vous accueille dans sa charmante boutique jardin.
Là aussi, de charmantes fleurs de saison, et une spécialité parfaite pour les mois qui arrivent : les bouquets de mariage.
Direction le XVIème arrondissement. Il est parfois assimilé à un quartier résidentiel sans commerces, et c’est loin d’être le cas. J’ai déjà parlé de rues riches en commerces divers, comme la rue Gustave Courbet.
Et bien on peut assis trouver des fleurs dans cet arrondissement, y compris sur de grandes artères comme l’avenue Raymond Poincaré.
Maison Fleurus
Voici donc la Maison Fleurus, l’angle de la rue de Longchamp et de l’avenue Raymond Poincaré.
Maison Fleurus
Preuve est aussi faites que même dans le XVIème on peut aussi trouver de petits trésors abordables, ou se faire concoter un bouquet de rêve avec de fleurs de saison, mais aussi des branchages, dernier hit en matière de création florale.
Enfin, toujours rive droite, le petit dernier, innovant dans le concept.
Peonies – café et fleurs
Ici, on mixe les plaisirs. Café, petit déjeuner, déjeuner, goûter, Peonies propose de se poser et de savourer. Et parce que les fleurs mettent de la joie dans la vie, la boutique propose aussi des bouquets champêtres confectionnés sur place. Un combo bonne humeur en quelques sortes.
crédit photo site Peonies
Je reconnais ne pas y être encore allée, mais le potentiel a l’air d’être là !
Fleuristes parisiens – rive gauche
On a traversé la Seine, et là bien sur, il y a le célèbre marché aux fleurs. Une institution, une étape de balade sur l’Ile de la Cité.
Marché aux Fleurs – la campagne à Paris
Vous cherchez une plante pour votre jardinière de balcon ?
Roses, tulipes, fleurs de saison, plantes à mettre en bac, tout y est pour le plaisir des yeux et les amoureux des fleurs.
Bien sur, les orchidées sont aussi présentes.
Continuons notre promenade fleurie.
Aoyama Flower Market – la délicatesse
Proche de la Seine, mais côté de la rue du Bac, le japonais Aoyama Flower Market vous accueille pour partager la passion des fleurs à la japonaise.
photo du site de la marque
Le concept : « living with flowers every day » , ou comment permettre à chacun, au quotidien, de vivre entouré de fleurs. Les créations sont délicates, suivent les saisons, et leur signature est la simplicité des arrangements.
Eloignons nous de la Seine, direction la rue Monge, avec une halte du côté du boulevard Raspail.
Guillon Fleurs – le raffinement
Ici, la fleur est raffinement. Des vitrines souvent à dominante blanche, parfois rose pâle.
Au nom de la Rose – la reine des reines
Au nom de la Rose, que l’on retrouve dans tout Paris, a ici une très jolie boutique.
fleuristes parisiens – au nom de la rose
Des roses du monde entier, pour les amoureux de la reine des fleurs.
En provenance des pays spécialisés dans leur culture, ces roses répondent à toutes les attentes de couleurs, de forme, et de senteur.
L’Ile au fleurs – pour le côté pratique
En remontant la rue Monge, l’ile Aux Fleurs s’impose à l’angle de la rue des Ecoles.
Ici, pas d’essences rares, pas de grande originalité, mais de bons basiques pour se faire plaisir à prix abordable. Un grand choix de bouquets tout prêts, ou de simples bottes de fleurs sous cellophane et sans artifices mais qui égaient la maison à prix correct de sorte que l’on peut se permettre de se les offrir toutes les semaines au gré des saisons et des envies.
Le Clos Des Lias – l’élégance discrète
Rue Monge encore, une institution florale du quartier : le Clos de Lias
Des fleurs de saison, comme ces tulipes, mais dans leur version spectaculaire, unique, de ces fleurs qui signent le bouquet que l’artisan créera pour vous.
Démonstration est faite que la fleur, quand elle est belle, se suffit parfois à elle même dans la création florale.
Muriel Le Couls – meilleur ouvrier de France
En arrivant sur la place Saint Médard, village dans la ville, on y trouve donc bien sur le fleuriste du village : Muriel Le Couls
Muriel Le Couls
Les jardins d’Arago – petit coin de verdure
Et sur l’avenue des Gobelins, les Jardins d’Arago proposent de superbes branchages et fleurs de saison pour créer le plus beau des bouquets.
Voilà, ici se termine un premier parcours floral de la capitale.
Et n’oubliez pas, c’est toujours mieux avec des fleurs !
Et pour voir toutes ces adresses, et d’autres, sur un plan de Paris, cliquez sur cette carte.
D’ailleurs, je ne le savais pas, mais Minna signifie Grand Mère. Une version corse de La Nonna italienne en somme.
Chez Minna – comment on s’y sent
Une décoration urbaine d’inspiration industrielle.
De la récup’ pour les chaises d’école autour des tables en bois et métal. Des éclairages en mode suspensions d’ampoules basse consommation.
Et un accueil chaleureux, souriant.
Chez Minna – ce qu’on y mange
La Corse, de l’île directement dans l’assiette.
la carte
La charcuterie corse bien sur, les cannellonis au broccio, des fromages des montagnes de l’île.
Pour ce qui nous concerne, en entrée, le plus typique était sans doute le mille feuilles au Brocciu.
Même si le velouté de panais était particulièrement goûteux.
Chez Minna – entrées
Quant aux plats, l’épaule était fondante à souhait.
épaule d’agneau confite
Ici, le rapport qualité prix est parfait. Et tout particulièrement quand on opte pour le menu du jour à l’ardoise.
Pourquoi je reviendrai
Vous l’aurez remarqué, je n’ai pas testé les desserts : première bonne raison de revenir ! D’autre part, j’avoue que ne pas avoir testé les fameux cannelloni au Brocciu me laisse un goût de regret qu’il faudra vite combler !
Chez Minna 20 rue d’Hauteville 75010 Paris fermé le dimanche