Christian Lacroix Maison

Christian Lacroix Maison fête ses 5 ans

J’ai toujours adoré Christian Lacroix.

Mon arrêt incontournable lors de mes virées à la Vallée Village il y a quelques années : Christian Lacroix.

Les défilés auxquels j’aurais voulu assister dans mes rêves les plus fous : Christian Lacroix.

Et puis il a stoppé ses activités dans la mode, haute couture et prêt à porter, j’en aurais presque pleuré !

Alors bien sur, Monsieur Lacroix continue à créer. Il le fait pour l’Opéra de Paris, ou encore pour la Comédie Française.

Mais pour nous, fans qui rêvons encore de posséder une pièce signé par le maitre, son esprit perdure avec Christian Lacroix Maison. Et on reconnait là encore et toujours sa signature unique, colorée et exubérante !

Christian Lacroix Maison 5ans
Christian Lacroix Maison 5ans

De fait, même si Christian Lacroix n’est plus aux manettes de cette marque, c’est Sacha Walckhoff qui perpétue la tradition, lui qui a travaillé avec le maitre pendant des années.

LacroixSacha

Sacha Walckhoff

Mais qui est-il ?

En janvier 2010, après le départ de son fondateur, Sacha Walckhoff est nommé directeur de la création de la Maison Christian Lacroix. Depuis sa nomination à la tête de la direction artistique, Sacha Walckhoff perpétue l’esprit de la Maison et dessine les collections de prêt-à-porter masculin et d’accessoires féminins. Il est également à l’origine de la création du département Art de Vivre de la Maison, aujourd’hui très actif au travers de ses collections d’Arts de la table, de tissus d’ameublement, de papier peints, de papeterie et d’accessoires pour la maison

Collections de prêt-à-porter masculin, accessoires féminins. Il est également à l’origine de la création du département Art de Vivre de la Maison et propose des collections d’Arts de la table, de tissus d’ameublement, de papier peints, et même de papeterie : amoureux de jolis carnets, vous ne saurez pas résister !

Découverte des collections Christian Lacroix Maison

Cette année, la boutique Christian Lacroix Maison fête ses 5 ans. Alors dans la boutique de la place Saint Sulpice vous pourrez découvrir les dernières collections, les dernières créations.

Mes coups de coeur sont clairs : ces coussins, foulards et bracelets qui reflètent si bien l’exubérante joie de vivre de celui qui a donné son nom à cette marque.

Lacroix coussins

Lacroix Etoles
Lacroix Etoles

De superbes envolées de papillons.

Et même du prêt à porter pour homme.

Et puis cette année, Christian Lacroix Maison a customisé la désormais célèbre bouteille d’Evian de Noël.

Lacroix Evian
Lacroix Evian

Un autre anniversaire ! Et pour cause : c’est depuis 10 ans que la marque Evian s’associe à des grands noms de la mode, du design pour nous offrir une superbe bouteille pour les tables de fêtes de fin d’année.

La première de la collection, en 2006, avait été signée Christian Lacroix ! Elle s’était parée de ce superbe graphisme, décliné en blanc.

Cette année, pour célébrer les 10 ans, ce sont deux versions qui seront disponibles à la fin de l’année. Une rose et une bleue pâle.

Alors,  pour tout découvrir de vos proposer yeux, direction la boutique Christian Lacroix Maison !

Christian Lacroix Maison 2-4 Place Saint Sulpice 75006 Paris

Paris Yoga Shala – restaurant Maison Blanche

Yoga face à la Tour Eiffel

C’est ce que nous propose cette semaine le restaurant gastronomique Maison Blanche en accueillant cette année encore les séances de Yoga organisées par Paris Yoga Shala.

Crédit photo Maison blanche
Crédit photo Maison blanche
Les cours se déroulent sur la superbe terrasse Montaigne.
Une pause de zénitude, face à un panorama à couper le souffle. Une façon rêvée d’attaquer la rentrée.
Le programme est riche et varié : Vinyasa, Hatha Yoga, Yin ou encore Hatha Flow… tout en admirant une vue magique sur Paris, la Tour Eiffel, la Seine et le dôme des Invalides.
Alors bien sur, la novice que je suis ne connaissait pas les différences entre ces différentes catégories de Yoga, alors je me suis renseignée !

Un yoga, des yogas

Commençons par le yoga Vinyasa : il s’agirait là d’un yoga dynamique, dans lequel les postures s’enchaînent pour une tonification du corps.
L’Hatha Yoga lui, dont le nom signifie en sanskrit « yoga d’effort » , est un yoga de « posture » , discipline du souffle et méditation.
Et puis le Yin, dominé par la sérénité, en s’appuyant sur des étirements dans des postures assises ou allongées.
Je m’arrête là, et j’aurais adoré vous décrire la séance à laquelle je devais participer ce matin mais qui a été annulée , conditions météo obligent !

On note que ces séances sont accompagnées de dégustation de  healthy food puisque le restaurant Maison Blanche renouvelle son partenariat avec Evoleum et Truly Wild, marques qui proposent toutes les deux des produits bios et sains

Par exemple, vous pourrez vous rafraichir avec les eaux de bouleau Limpija, une nouvelle boisson détox 100% naturelle à base de sève de bouleau fraîche riche en manganèse et faible en calories.

Les prévisions météo de cette semaine semblent s’améliorer, et c’est donc le moment de sauter sur l’occasion de vous inscrire à ces cours au décor unique.

Le programme des cours

Lundi 5 septembre

  • 9h30 Vinyasa
  • 17h00 Vinyasa

Mardi 6 septembre

  • 9h30 Hatha Yoga
  • 17h00 Vinyasa

Mercredi 7 septembre

  • 9h30 Yin
  • 17h00 Hatha flow

Jeudi 8 septembre

  • 9h30 Hatha Flow
  • 17h00 Vinyasa

Vendredi 9 septembre

  • 9h30 Vinyasa
  • 17h00 Vinyasa

25 € le cours de 1h15

Renseignements et réservation

Paris Yoga Shala 9 rue Magellan 75008 Paris 01 40 70 14 44

contact@parisyoga.com www.parisyoga.com

Restaurant Maison Blanche

15 avenue Montaigne 75008 Paris

 

Le bon Marché accueille PARIS ! #actuparis

Le Bon Marché – Exposition « Paris ! »

Le Bon Marché est le grand magasin emblématique du chic parisien. Alors il est de bonne guerre qu’après avoir été accueilli et choyé par Paris, le lieu rende la pareille à la ville qui l’a vu naitre et grandir !


Paris donc.

Le Bon Marché a choisi de célébrer des grandes villes du monde ces dernières années : Rio, Tokyo, et dernièrement Brooklyn.

C’est donc Paris qui sera  à l’honneur du 2 septembre au 15 octobre.
Paris insolite, secret, cosmopolite.

Paris de créateurs qui prennent leur inspiration dans leur ville, leur quartier.

Des grands noms de la mode aussi sont là, présents avec des collections exclusives, hommage à la plus belle ville du monde.

Commençons par l’installation dans la coupole.

C’est Fred le Chevalier qui donne vie à ses superbes créatures .

Le Bon Marché - Fred le Chevalier
Le Bon Marché – Fred le Chevalier

Couple par couple, ils incarnent Paris chacun à leur façon.

Si vous arrivez dans le magasin côté Babylone, c’est l’installation de Christian Louboutin qui vous accueille.

Souliers bien sur, mais aussi carnets, et puis ce photocall incontournable :

chevaucher une moto avec lui, cela ne se refuse pas !

Le Bon Marché "Paris!"
Le Bon Marché « Paris! »

Vous connaissez mon attachement à la jolie marque de maroquinerie Moynat ?

Le Bon Marché - Moynat
Le Bon Marché – Moynat

Et bien Moynat est de la partie avec une installation qui relève de l’installation artistique avec cette malle, pièce unique, le cabas lui aussi pièce unique, et la collection exclusive créée pour l’occasion.

Le Bon Marché - Moynat pièce unique
Le Bon Marché – Moynat pièce unique

Il y a aussi les ballerines Repetto, le cabas Vanessa Bruno, les désormais incontournables cabas Balenciaga.

Expo Paris !
Expo Paris !

Une exposition d’une créativité foisonnante, de collaborations inédites, d’esprit communautaire où marques et créateurs déjà présents au Bon Marché Rive Gauche et à La Grande Epicerie de Paris se sont aussi associés à cette célébration de Paris

Dans la gamme des achats abordables, coup de coeur de la fan de bijoux que je suis pour ces petits bracelets qui revendiquent chacun un quartier, histoire de se mettre au diapason du quartier que vous préférez !

Ou bien les mugs en céramique Playtype (16€) , même concept, version art de la table.

Et bien sur des cabas encore des cabas, toujours des cabas, pour revendiquer un quartier, une rue.

Il y en a pour tous les gouts et à tous les étages.

Alors, pour tous les amoureux de Paris que nous sommes, aller à l’exposition « Paris! » est la garantie de ne pas repartir les mains vides !

Le Bon Marché

Exposition « Paris! » 24 rue de Sèvres 75007 Paris

Au nom de la rose – hommage à une fleur

Au nom de la rose

Edit du 19/09/2016

Merci à tous pour vos participations !

Les gagnantes désignées par randomizer sont :

Laura Byololo, Manon joue, marley86 et Maman est occupée

Merci de m’envoyer dès aujourd’hui vos coordonnées postales et téléphoniques pour une livraison samedi .(nathalie@theparisienne.fr)

En l’absence de ces coordonnées demain soir, je referai un tirage mercredi.

Très bonne journée à tous !

Le nom de cette enseigne est forcément familier pour toute personne qui a arpenté les rues de Paris. Impossible de ne pas remarquer ces jolies boutiques dont le pas de porte est jonché de pétales de roses multicolores.

Des roses, de toutes les couleurs, de toutes les appellations.

Mais avant tout des roses superbes, éclatantes, et terriblement photogéniques d’ailleurs !

Ma boutique, celle qui est la plus proche de chez moi, se trouve rue Monge. Là, à l’angle du Boulevard Saint Germain, juste en face du marché.

Les roses

C’est dans cette boutique que j’ai appris à connaitre les multiples variétés de roses.

Saviez vous qu’une rose peut-être de formes diverses, telles que la rose en coupe ou encore en rose-thé.

Elle peut bien sur être de multiples couleurs : les plus classiques, telles que rouge, rose, voire même blanche.

Mais aussi parme avec la rose « océan song » ou encore chocolat avec la rose « Leonidas » !

Et puis il y a le parfum. Et ça, pour moi, c’est essentiel. Des souvenirs reviennent à ma mémoire, des parfums, indissociables de cette superbe fleur et que j’avais perdus depuis longtemps. Parce que, vous l’aurez remarqué, il est de plus en plus difficile de trouver des fleuristes proposant des fleurs parfumées. Et pourtant, est ce que notre premier réflexe en recevant un bouquet n’est pas de le porter à notre nez pour en humer les odeurs.

Bref ! J’aime les roses qui sentent bon, très bon, et il y en a chez Au nom de la Rose !

4 bouquets à gagner

Je vous ai vanté la richesse de l’offre de Au nom de la Rose, je vous propose maintenant de gagner 4 bouquets !

Kenya

Pour participer, c’est simple !

Rendez-vous sur le site de la marque Au nom de la Rose . Là, déambulez parmi les fleurs de la boutique en ligne et revenez en disant dans un commentaire ce que vous avez découvert, aimé, puis  likez la page FB

Pour une chance de plus, partagez ce concours sur votre page FB ou sur Twitter en citant The Parisienne.

Et le 19 septembre , je tirerai au sort le nom des 4 gagnantes. Il faudra alors me donner très vite vos coordonnées pour que la livraison puisse être faite le samedi 24 !

Alors, envie que l’on vous couvre de roses colorées et délicieusement parfumées ?

Ce jeu est réservé aux personnes résidant en France Métropolitaine

 

Au nom de la Rose 47 Boulevard Saint-Germain, 75005 Paris

Tu as ton JohnKyril ?

JohnKyril

Des sacs 100% cuir, 100% made in France, 100% uniques.

John Kyril
JohnKyril

JohnKyril est une marque de sacs née d’une vraie passion. Celle de Giuseppe Prestipino, l’italien, installé à Paris depuis maintenant 5 ans.

Ce qui le caractérise : sa passion.

Sa passion pour le cuir, et pour les belles choses. Les beaux sacs tout particulièrement.

Alors John quitte son Italie natale et s’installe à Paris pour créer. Créer des sacs, et tout particulièrement des cabas, made in France.

Ou plutôt : « réalisés en France » Parce que pourquoi dire en anglais ce qui est un hommage à la France !

JohnKyril – 100% cuir

Les sacs sont réalisés en cuir, 100% pur cuir. Des cuirs issus d’une tannerie française, qui fournit les plus grandes marques qui viennent à l’esprit dès que l’on pense maroquinerie de luxe. Je ne vous en dis pas plus !

Des cuirs visiblement d’une grande qualité, souples juste ce qu’il faut pour que le cabas, posé au sol, tienne sans s’effondrer.

JohnKyril – 100% réalisés en France

Il est italien de naissance mais ses produits sont français.

100% français. Les cuirs proviennent d’une tannerie à Angers, celle là même qui fournit les cuirs des plus grands noms de la maroquinerie de luxe française.

Les sacs eux sont fabriqués par la « maroquinerie Audouin » à Chôlet.

Et cette dimension patriote est revendiquée sur chacun des sacs.

Avec un petit drapeau cousu à l’intérieur, là, sur la poche intérieure, et avec la plaque, métallique ou de cuir, qui le précise encore.

Kyril
Kyril

JohnKyrill – 100% unique

Les sacs John Kyrill sont produits en quantités limitées. Plus précisément, chacun d’entre eux est une pièce unique. La marque propose en effet un nombre défini de modèles  :

  • le Tournelle,
  • le cabas : petit, moyen ou grand.
  • Et puis une jolie pochette plate doublée en toile de Jouy.
  • Et très bientôt un 48 heures, masculin cette fois.

Chaque sac produit par John Kyril est donc un de ces modèles, et chacun, je dis bien chacun, est créé dans un cuir différent.

C’est donc la garantie absolue d’avoir un sac que personne d’autre n’a ou n’aura !

Et pour finir, l’essentiel : pour acheter un de ces sacs, pour vous ou pour l’offrir, il faut prendre contact avec le créateur lui même. Et là aura lieu la rencontre. Il vous recevra dans son studio, ou dans le showroom du réseau du Bellay, grâce auquel la marque a pu naitre. Là, il vous racontera cette passion, chaque étape de la conception, le choix des cuirs, la découpe des pièces qui constituent chacun des 100 sacs produits par an.

Pas de vente en ligne donc pour ces superbes cabas au rapport qualité prix défiant toute concurrence. Mais plutôt une expérience, qui va de la rencontre à l’acquisition du sac qui sera VOTRE sac, le seul, l’unique.

Et puis deux fois par an, il réunit ses amis, clients, rencontres pour une soirée pétillante lors de laquelle il présente ses dernières créations, et là aussi on peut les acheter, en les ayant pris en main, en choisissant précisément celui qui vous séduit, qui vous correspond.

JohnKyril

http://www.johnkyril.com

53 Boulevard Beaumarchais 75003 Paris +33 1 44 61 54 72 +33 6 71 46 45 94

giuseppe.prestipino@johnkyril.com

Restaurant Le Champeaux – j’ai testé

Restaurant Le Champeaux

Le Champeaux est un des nouveaux établissements du nouveau Forum des Halles.

restaurant Le Champeaux
restaurant Le Champeaux

J’avais découvert le nouveau forum des Halles dès son inauguration et j’avais été enthousiasmée. De la lumière, des plafonds surrélevés, de nouvelles enseignes : ce quartier allait-il enfin revivre, attirer la parisienne que je suis ? Alors bien sur, la couleur de la canopée ne fait pas l’unanimité… Mais il sera toujours temps de la changer dans quelques année ! Après tout, la tour Eiffel a bien changé de couleurs à multiples reprises.

Et puis l’ouverture le dimanche de ce centre « revisité » , un plus indéniable pour les fans de shopping dominical !

J’attendais donc avec impatience de découvrir le centre plus en détails, et plus particulièrement de tester les restaurants.

J’ai donc commencé par Le Champeaux.

Ce restaurant est présenté comme une brasserie contemporaine qui fait renaitre les grands classiques en général, et les soufflés en particulier, spécialités affichées de la maison.

Restaurant Le Champeaux
Restaurant Le Champeaux

Le restaurant Le Champeaux a une longue histoire puisque l’enseigne existe depuis 1800 comme on peut le lire sur l’enveloppe papier dans laquelle se trouve la serviette.

Le lieu

Un restaurant à la décoration moderne, un tableau d’affichage mode « aéroport  » , une salle vaste et lumineuse, et une terrasse sous la canopée.

La carte est présentée en mode « courrier à déplier » .

L’assiette

Le boeuf est très présent, sous toutes ses formes, bavette, onglet, filet, et les soufflés au coeur du sujet, visiblement.

Voilà pourquoi deux d’entre nous ont opté pour ce plat.

Et pour attendre ces soufflés faits à la commande et qui nécessitent donc 20 minutes de préparation, nous avons opté pour une entrée, « tomates multicolores, caillé de chèvre  » .

Procédons dans l’ordre et commençons par l’entrée

Et comptons tranquillement le nombre de morceaux de tomates, soit 7, et il ne s’agit pas là de quarts. Nous avons donc moins de 2 tomates dans cette entrée, par ailleurs plutôt savoureuse, avec des tomates de qualité.

J’y reviendrai.

Puis venons en au soufflé.

Soufflé au fromage - Restaurant Le Champeaux
Soufflé au fromage – Restaurant Le Champeaux

Il est esthétiquement agréable, gonflé comme il se doit, et donc de fait très prometteur. Seulement voilà, l’apparence ne fait pas tout. Et c’est au moment de la dégustation qu’arrive la déception, majeure. Parce que, bien loin de la texture aérienne que l’on pourrait attendre, on se retrouve face à un plat compact, dans lequel la fourchette a du mal à se frayer un chemin. Lourd à la dégustation, avec cette sensation de manger une omelette plutôt qu’un soufflé, le goût n’est pas non plus au rendez-vous.

Le soufflé au fromage, excessivement poivré, ne laisse aucune place au goût du fromage, qui disparait dans l’oeuf sans doute.

Quand au soufflé « homard/bisque légère », même constats, tant pour la texture que pour le poivre.

Je préciserai néanmoins que le parmentier, lui, a remporté un grand succès. Peut-être que là se trouve la solution.

Le repas s’achève donc plus rapidement que prévu, et nous ne cédons pas à la tentation des desserts après cette énorme déception.

L’addition et le bilan

Vient donc le moment de régler l’addition.

Voilà donc la liste de ce que nous avons consommé, pour une note totale de plus de 80€ ( et oui, cloche que je suis, en posant le verre pour éviter que le ticket ne s’envole, j’ai caché la somme totale, mais il est simple de vérifier en reprenant les tarifs un par un !)

Evidemment, quand on pense que l’entrée de tomates valait 14€, difficile d’être surpris.

Alors il y a la promesse, plus qu’alléchante, puisqu’il s’agit là d’un nouveau restaurant, sous la houlette d’Alain Ducasse, chef étoilé que l’on ne présente plus.

La promesse, avec un lieu à la décoration travaillée.

Et puis il y a la réalité, avec la déception qui l’accompagne.

Parce qu’une note aussi salée pour un soufflé aussi poivré, je dis non.

Parce que le name dropping de grand chef se doit d’être accompagné de plats à la hauteur des attentes que cela suscite.

Alors j’ai été déçue, très déçue, et je n’étais pas la seule si j’en crois l’esclandre entendu à la table voisine pour des coquillettes au beurre demandées pour un petit garçon, et facturées au même prix que celles proposées à la carte, à la truffe cette fois, c’est à dire 18€ !

Si vous testez, ou si déjà fait, dites moi, vous en pensez quoi ?

Champeaux Forum des Halles La Canopée, 75001 Paris

 

 

 

Restaurant RAE’s Paris

edit 2018 : ce restaurant n’existe plus, il a été remplacé par Joia

RAE’s Paris

Une nouvelle adresse dans le quartier de la Bourse, c’est toujours bon à prendre.

Voilà pourquoi RAE’s est une adresse à découvrir.

Créé par  Vincent Rae, cuisinier depuis toujours, et qui lui a donné son nom.

RAE's Paris
RAE’s Paris

Le cadre est celui d’une « néo brasserie « , cuisine apparente, mobilier mi industriel mi traditionnel, et jolie courette intérieure.

Parquet, tables et chaises en bois, marbre et fer, canapés et fauteuil en cuir, le lieu est accueillant et chaleureux.

Ouvert de midi à minuit, du déjeuner au dîner, en passant par l’apéro.

 

Pour que cet endroit puisse devenir votre QG, votre cantine, votre point de chute favori en somme !

La carte

A lire avec attention, car la proposition pour midi diffère de celle du soir.

Au menu du midi, entre autres, de petits assiettes, des huîtres, le clou de l’offre même si, n’étant pas adepte de ce met, je ne le ai pas goutées, ou encore gravlax de saumon gremolata, sandwiches, pasta, , un poisson du jour et une viandesans oublier une belle brochette de  desserts, telle la crème catalane au granité Campari et agrumes.

En entrée, ayant opté pour une classique burratta et ses tomates, je me suis régalée. Il est si rare à Paris de trouver encore des tomates qui ont un vrai goût de tomate, des saveurs, une consistance autre que aqueuse !

RAE's Paris
RAE’s Paris

Ma camarade, elle, a opté pour le gravelax et le ceviche, avec un enthousiasme marque » époux le gravelax.

quant au dessert, une présentation parfaite, et une alliance de saveurs et de textures faisant que chaque bouchée appelle la suivante… Jusqu’à la fin.

Le Rae’s propose les formules traditionnelles, entrée-plat ou plat-dessert (28 €), et entrée-plat-dessert (34 €), permettant ainsi de choisir la sienne et de se régaler  avec un rapport qualité-prix bien équilibré

Le soir, la carte s’étoffe, avec un choix plus large dans toutes les catégories, que ce soit tapas, plats, ou encore desserts.

Voilà donc une nouvelle adresse qui vaut le détour quand vous serez du côté de la Bourse.

Rae’s Paris 39, rue des Jeûneurs Paris 75002
Tél. 01 47 03 42 07

Flow Paris – barge multifonctions

Flow Paris

Sauvé des eaux. Dès son ouverture, le FLOW Paris a du faire face aux intempéries et à la spectaculaire crue de la Seine que nous avons connue il y a quelques semaines.

Heureusement, l’établissement s’est très vite remis sur pieds, enfin sur eaux, et accueille désormais ses clients pour notre plus grand plaisir.

Pourquoi faut-il aller au FLOW ?

Il faut aller tester le FLOW, et plus particulièrement La Table du Flow, maintenant, now, avant la rentrée, parce que c’est l’occasion de découvrir l’endroit tranquillement, sans rush ni foule. Encore peu connu des touristes, abandonné par les parisiens qui ont quitté la ville, on peut y réserver une table sans difficulté, et profiter ainsi d’une configuration parfaite.

Pour le cadre

Le FLOW Paris bénéficie d’un cadre exceptionnel : une vue spectaculaire sur l’intégralité du Pont AlexandreIII, le Grand Palais, mais aussi le sommet de la Tour Eiffel qu’on ne manquera pas de voir scintiller durant le repas, et même la grande roue de la place de la Concorde.

La vue est belle, et la salle du restaurant très agréable. Un bar avec quelques sièges hauts permettant de prendre son déjeuner là même si on est seul, attablé au bar. Des tables rondes avec des fauteuils confortables qui invitent à s’installer pour ne plus en bouger. Et puis des jolies banquettes pour les tablées plus importantes.

Pour le repas

Parce qu’il ne faut pas se le cacher, ce qui compte est dans l’assiette !

Et dans ce cas particulier, ce qui compte est pleinement satisfaisant. En d’autres termes, on s’est régalé.

L’association d’un jeune talent, le Chef Geoffrey Rembert (ancien du Lazare, du Bristol, des Magnolias et de la Tour d’Argent),  Chef Exécutif des cuisines de La Table du Flow et le Chef  Gérard Cagna, étoilé au Guide Michelin durant 30 ans a donné naissance à cette cuisine particulièrement élégante et savoureuse.

Rentrons donc dans les détails de la proposition.

 

Plats de brasserie contemporaine, parfaitement positionnée entre terre et mer. Nous étions quatre, et c’est donc l’occasion de vous montrer un large éventail de la sélection.

Pas d’entrées, allons directement à l’essentiel : les plats.

Dans la sélection de poissons, la lote et son fenouil rôti.

Lotte
lotte

Et le cabillaud. Il est rare de découvrir une assiette si élégante pour un poisson blanc qui peut assez facielemtn avoir l’air triste et sans relief.

Cabillaud
Cabillaud

Et dans la proposition « viandes », les noisettes d’agneau rôti, fondantes, moelleuses. A noter, la polenta, relevée par des dés de lardons qui lui donnent le relief dont elle manque souvent naturellement.

Puis viennent les desserts, dont vous aurez l’image sans le son puisque je n’ai pas photographié la carte !

Tarte fraise - LE Flow
Tarte fraise – Le Flow
Autour de la pomme - Le Flow
Autour de la pomme – Le Flow
Chocolat et glace banane
Chocolat et glace banane

Si je dois résumer, toutes les assiettes sont reparties absolument vides, et chaque convive a ponctué sa dégustation de marques audibles de satisfaction !

Pour Paris

S’installer à la Table du Flow redonne l’occasion de prendre la mesure de la beauté de notre ville.

S’attabler près de la baie vitrée, face au somptueux pont Alexandre III, à la tombée de la nuit.

Prendre le temps d’observer la Seine, et la circulation de bateaux plus intense que l’on imaginait.

Admirer le soleil qui se couche et le ciel qui explose en mille couleurs.

Voilà donc pourquoi j’ai aimé La Table du Flow

FLOW Paris  4 Port des Invalides 75007 Paris

http://www.flow-paris.com

Paris en août – idée 1 : Le Parcours Tuileries

Paris en août

Chaque année, même questions, et quête de réponses originales : mais que faire à Paris en août, quand les parisiens ont déserté la ville et les autres envahissent les hauts lieux traditionnels du tourisme, laissant ainsi la plus grande partie de la ville vide, disponible à la découverte !

Dans la série Paris en Août, je vous propose donc aujourd’hui une première idée.

Le Parcours Tuileries

Ce quartier, que j’affectionne tout particulièrement, s’est organisé pour faire découvrir la richesse de ses enseignes. Ainsi, Une vingtaine d’établissements  s’est associée à l’initiative de la superbe marque de bijoux H.STERN pour proposer un parcours «shopping» d’excellence : le Parcours Tuileries.

Parcours Tuileries
Parcours Tuileries

Ici il s’agit d’excellence à tous les niveaux. Excellence des produits, excellence de l’accueil, excellence du savoir faire.

Les établissements participants prévoient chaque mois un cadeau, une attention particulière pour les clients qui emprunteront ce parcours.

Bien sur, en août, l’activité diminue considérablement. Pourtant, certaines enseignes restent ouvertes, et voilà quelques exemples de ce qu’elles proposeront.

Et puis ce sera l’occasion de commencer la découverte pour revenir en septembre pour la suite de cette expérience.

Programme du mois d’août

Parcours Tuileries
Parcours Tuileries

En août donc, le Parcours Tuileries vous proposera :

le Bar de la Tamise vous offrira une coupe de champagne Esprit de France lors d’un déjeuner

Chez Flottes, du 1er au 31 du mois, c’est un cocktail, Apérol Spritz au prosecco, qui vous sera offert de 17h30 à 20h00

Pour les gourmands, c’est la dégustation d’un chocolat chaud pour chaque déjeuner consommé qui vous sera proposée chez Angelina

Si le mois d’août vous donne l’envie de passer la nuit dans un bel hôtel parisien, l’hôtel Brighton, c’est avec un accueil VIP que vous serez accueilli en chambre dès votre arrivée.

L’initiateur de cette superbe idée de découverte parisienne, H.STERN, vous attend dès le 22 août avec une « Petite Attention surprise  »

WHSmith, une des seules enseignes ouvertes durant tout le mois d’août, vous attend aussi avec une surprise, à l’accueil de la libraire, ainsi qu’au salon de thé. Une bonne raison pour se mettre, ou se remettre, à la lecture en anglais !

Et chez Meyrowitz on pourra visiter la collection privée de lunettes le 31 août.

Cette maison, comme plusieurs des autres maisons qui participent au parcours Tuileries, est établie dans la capitale depuis des décennies.

C’est un des derniers opticiens en France à réaliser des lunettes sur mesure, en particulier en écaille, mais aussi en corne ou encore en acétate.

Un savoir faire unique que cette maison perpétue depuis sa création, en 1875.

Vous pourrez également y faire restaurer les lunettes de votre grand père que vous aurez retrouvées dans un carton ou dans votre grenier.

Et si vous êtes inspirés par le style Sacha Guitry ou Henri Salvador, sachez que c’est ici qu’ils ont faire faire leurs lunettes, et que vous pourrez vous aussi en porter, dans une déclinaison de couleurs actuelles.

Dans toutes ces maisons vous pourrez demander le joli carnet d’illustrations du parcours, qui contient des fiches sur chaque enseigne et sur les attentions à venir, ainsi que le programme du trimestre en cours.

Alors c’est parti ! L’année 2016 promet des découvertes exceptionnelles ! Vous êtes partantes ?

Bel été à vous !

Parcours Tuileries 75001 Paris

 

Michel Houellebecq – Rester vivant

Rester vivant

Michel Houellebecq est au Palais de Tokyo.
Palais de Tokyo
Houellebecq Palais de Tokyo
Michel Houellebecq fait partie de ces artistes qui ne se contentent pas d’exceller dans un domaine. Seul l’art total l’intéresse. Après avoir été romancier, poète, auteur de chansons, essayiste, acteur, réalisateur de cinéma, le voici désormais photographe, plasticien, peintre, et finalement metteur en scène de ses obsessions.
Après avoir présenté ses bulletins de santé, ses radios du cerveau et autres examens biologiques à la Biennale de Zurich, c’est désormais au Palais de Tokyo que Houellebecq expose un pêle-mêle de créations, photographies, collages, montages, vidéos, installations, dans un parcours dont il a conçu le plan « comme il assemble entre eux les poèmes de ses recueils ou les séquences de ses films ».
On y retrouve naturellement les grandes thématiques de ses romans : les territoires périurbains et leur isolement, les grandes surfaces et les aires d’autoroutes, la nature tantôt hostile, tantôt bucolique, le corps des femmes, le tourisme de masse et ses dérives, une certaine fascination pour le côté noir et sinistre du monde, la passion très « shopenhaeuriène » pour les chiens, et surtout pour son chien Clément, le rêve ou la crainte eugéniste de la fabrication d’un homme nouveau …
Un point très positif : la mégalomanie de Houellebecq est telle qu’il n’a laissé à personne le soin de commenter son oeuvre, et surtout pas aux habituels commissaires d’exposition des musées d’art contemporain. Plutôt que de subir la prose absconse des analyses officielles, les visiteurs reçoivent une double page où l’on trouve des explications de Houellebecq lui-même pour chacune des salles de l’exposition. Et c’est plutôt clair, par exemple à propos de deux photos d’un centre commercial et d’un paysage : « Ce qui m’intéresse le plus ici est l’antagonisme entre le Leader Price et la nature, qui restera total. Alors que dans les pierres de Dordogne, il y aura fusion avec la nature ».
La question qui se pose à la sortie est celle de l’intérêt de cette exposition, de son rapport avec le reste de l’oeuvre de Houellebecq. Je ne sais pas ce que peut en penser un visiteur qui n’a pas lu ses romans. Sans doute est-ce une rencontre étrange, un peu dérangeante, dont on sort avec plus de questions que de réponses … et qui conduit soit à passer son chemin, soit à se plonger immédiatement dans « La possibilité d’une ile » ou dans « Particules élémentaires ». Autrement dit, plus Houellebecq veut s’éloigner de la case trop étroite de « romancier », plus son oeuvre semble l’y ramener. Le mythe de l’artiste total est sans doute un leurre. Michel Houellebecq-écrivain a placé la barre trop haut.
écrit par C lui
Rester vivant Palais de Tokyo
13 Avenue du Président Wilson, 75116 Paris