Les Partisanes – gagnez une montre 100% française

edit du 15 avril

Merci pour toutes vos participations ! La gagnante est donc Tianadeviz ! Merci de m’envoyer tes coordonnées postales complètes ainsi que ton numéro de telephone à nathalie@theparisienne.fr !

Très bon weekend à tous !

Les Partisanes – des amies une idée

Les montres, j’adore ! Pourquoi ? difficile à dire. Peut-être simplement que je courre après le temps ?
Fin de la minute philosophique, je vais vous parler d’une nouvelle petite marque de montres, 100% française : Les Partisanes.

Les Partisanes
Les Partisanes

Tout commence par une amitié.
Ce sont donc deux amies d’enfance, Elise et Jessica qui décide de créer une marque horlogère qui leur ressemble. Des montres, accessoire intemporel, tout en se déclinant au rythme des saisons avec leurs deux collections annuelles.

Des montres exclusivement féminines donc, à la forme tout en rondeur.

Et des montres exclusivement made in France.

Les partisanes – 100% made in France

Le coeur de l’horlogerie française, c’est Besançon. C’est donc bien là que les montres sont assemblées, une à une, à la main.

Quant aux bracelets en cuir, ils sont fabriqués en Auvergne. Des gammes de couleurs qui s’enrichissent et évoluent au fil des collections, et un système d’interchangeabilité simplisme qui permet d’habiller la montre selon ses envies et selon ses tenues.

Les Partisanes – les modèles

Rondes donc, et féminines, elles ont chacune leur petit nom.
Insouciante, audacieuse, amoureuse. La gamme est déclinée en or rose, or jaune ou or blanc.

Chacune à sa taille et sa signature donc.

L’insouciante est bien présente sur le poignet, l’audacieuse se fait plus discrète, tel un bijou.

Insouciante
Audacieuse

Pour les acheter, c’est en ligne ou dans le show room de la rue Condorcet, sur rendez vous.

bracelet de montre Les Partisanes - prototypes
bracelet de montre Les Partisanes – prototypes

Une fois sur place vous pourrez d’ailleurs en profiter pour compléter votre montre d’un des bracelets prototypes au prix unique disponibles exclusivement sur place et vendus au prix très intéressant de 16€,  pour vous permettre de donner plusieurs vies à votre montre.

Gagnez une montre Les Partisanes

Vous l’aurez compris dans le titre de l’article, je vous propose de gagner une montre pour vous faire plaisir à l’approche de l’été.

Il s’agit d’une montre Audacieuse dorée, fond champagne, et son bracelet jean clair, idéal pour les journées de printemps et d’été !

Pour cela, c’est très simple.

Rendez-vous sur le site de la marque : vous faites un tour, découvrez les modèles, et vous revenez ici pour laisser un commentaire en racontant ce que vous avez aimé, ce que vous avez découvert. Vous en profitez pour liker la page FB.

Et puis vous partagez, partagez, partagez sur vos réseaux préférés, chaque partage donnant droit à une chance complémentaire.

Et le 14 avril, je tirerai au sort la gagnante.

Alors n’oubliez pas, ce weekend, on change d’heure !

Participation France Metropolitaine exclusivement

 

Olga Picasso – la femme de sa vie ?

Olga Picasso – l’inspiration

Olga Picasso
Olga Picasso

« Il y a les filles dont on rêve
Et celles avec qui l’on dort
Il y a les filles qu’on regrette
Et celles qui laissent des remords
Il y a les filles que l’on aime
Et celles qu’on aurait pu aimer
Puis un jour il y a la femme
Qu’on attendait »

Pablo Picasso était un homme à femmes, et aux enfants multiples. Certains légitimes, d’autres nettement moins. Olga, qu’il rencontre en 1918, après s’être séparé de sa première femme en 1916, marque sa production artistique, et continuera à l’influencer même lorsqu’il commencera à la tromper, même quand ils seront séparés.

L’exposition se concentre sur la présence de cette femme/muse qu’il peine à éradiquer de ses tableaux même s’il l’a écartée de sa vie.

Une femme pour laquelle il aurait pu fredonner les paroles de cette chanson…. Sauf que ….

Olga Picasso – la mélancolie

Dès leur rencontre Olga devient le modèle de Picasso.  De superbes portraits, des croquis, elle est partout.

Ce qui saute aux yeux, c’est l’absence de sourire, le regard lointain, la mine pensive.  Pas un sourire donc, pas un signe de joie de vivre.  Serait-ce de la mélancolie, attribuée à la séparation d’avec sa famille restée en russie ? Peut-être.

Ou bien est-ce un parti pris de l’artiste ?

Le doute s’installe indéniablement quand on voit les films de famille plus loin dans l’exposition, et qu’on découvre là une Olga rayonnante, joyeuse, et toujours prompte à jouer avec son fils, et à sourire à l’objectif.

Mais revenons en au parcours de l’exposition.

Le couple connait rapidement une ascension sociale fulgurante, et leurs lieux de villégiature en témoignent. Appartement bourgeois, villa à Juan Les Pins, et même château dont ils feront l’acquisition.

Changement de style de vie, suivi d’un changement encore plus profond : la maternité.

Olga – la maternité

Pablo et Olga auront donc un fils : Paul. Nous le connaissons tous, tant son portrait en arlequin est une des pièces clé de l’oeuvre de l’artiste.

Arlequin
Arlequin

Ici,on découvre pourtant d’autres portraits de l’enfant, dont celui-ci, qui a été mon coup de coeur.

Mais on découvre surtout la mère et l’enfant dans une relation fusionnelle.

Et tout particulièrement ce croquis, sans doute celui dans lequel transparait l’émotion la plus pure.

Et puis il suffit de rien, quelques marches, pour pénétrer dans la deuxième partie de l’exposition, celle où Olga n’est plus que difformité, bestialité et rage.

Olga Picasso – trahie

Picasso prend donc une maitresse bien plus jeune que lui, et Olga se métamorphose dans son oeuvre.

Elle le cannibalise dans cet autoportrait par exemple, ou apparait, vorace, dans le célèbre baiser.

La femme s’effacera de sa vie, mais pas de l’oeuvre de l’artiste.

Olga Picasso – Musée Picasso 21 mars – 3 Septembre 2017

5 rue de Thorigny 75003 Paris

Téléphone: 33 1 85 56 00 36.
De 9h30 à 18h00 du lundi au dimanche.

Paris vu par Cédric

Paris vu par Cédric

Lui, c’est Cédric. Dans son blog, The Parisian Eye, il partage sa vision du luxe dans le lifestyle et le voyage, dans la langue de Shakespeare.

Paris vu par Cédric
Paris vu par Cédric

 

Il a accepté de répondre à mon interview, et de surcroit, il l’a fait en français. Merci à lui, et partons à la découverte de son Paris.

Etape 1

On commence par Ton Paris Gourmand , le salé, et le sucré. Quelles sont tes deux adresse fétiches du moment : un restaurant, et un salon de thé, ou une pâtisserie.

Pour le restaurant, Le Lulli au Grand Hôtel du Palais Royal.

Je suis tout le temps dans ce quartier, c’est très pratique pour moi… Et qui refuserait la délicatesse de la cuisine d’un 5 étoiles, avec les prix des brasseries parisiennes ! Le tout qui plus est dans un cadre à la fois design et cosy. C’est mon QG pour les déjeuners !

Pour les pâtisseries et les pauses gourmandes, j’avoue avoir un faible pour le bar Vendôme du Ritz :)))

Etape 2

Paris culturel, Paris ville des musées, de l’art, de l’architecture.

Alors pour toi, ton Paris culturel se trouve où ? Dans un musée fétiche, un quartier chargé d’histoire, un lieu mythique de l’art à Paris, un endroit où un film culte a été tourné ?

Sans aucun doute, le Grand Palais et ses expos fabuleuses. J’ai hâte de revoir prochainement la grande exposition de bijoux indiens, que j’avais vue à Londres l’année dernière. Il y a des merveilles absolues à voir.

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Etape 3

Ne nous le cachons pas, à Paris, le shopping est roi !

Alors dis nous tout : ton magasin favori, la rue que tu préfères pour une virée shopping, tes adresses déco, modes, accessoires, on veut tout savoir !

Je suis très éclectique…

Pour la déco, j’aime bien Conran Shop : j’y ai acheté une superbe lampe Starck le mois dernier. J’aime aussi beaucoup Le Bon Marché, et la rue Saint Honoré : on a tout sous la main !

Etape 4

Paris est une capitale, grande et belle, faite de petits villages. Chacun a son âme, des habitants qui ne le quitteraient pour rien au monde. Ils y ont leurs habitudes, et même s’ils s’aventurent parfois dans d’autres lieux de la ville, c’est là qu’ils se sentent un peu plus chez eux.

Quel est ton village ? Celui où tu vis, celui où tu aimerais vivre, ou même celui que tu as quitté et auquel tu penses encore ?

En déménageant de la Rive Gauche au 10ème il y a 5 ans, je ne pensais pas y rester longtemps. Au final, je ne le quitterais pour rien au monde. Un quartier qui évolue en permanence, très mélangé mais tellement  parisien dans son architecture.

Etape 5

Et pour finir, parce que ce qui compte, avant tout, ce sont les émotions, pourrais-tu partager avec nous un moment d’émotion lié à PARIS ? Cela peut-être une rencontre, un paysage bouleversé, une rencontre, des rencontres, un événement vécu là, et qui restera gravé dans ta mémoire.

Un fabuleux dîner qui a eu lieu au Plaza Athénée, mon palace préféré à Paris.

Un dîner avec des personnes incroyables, pendant que l’hotel était fermé pour travaux, et qui s’est terminé sur les toits de l’hotel, coupe de champagne à la main, à admirer la ville. Un moment que je n’oublierai jamais !

Un grand merci à Cédric, et pour suivre ses découvertes, tout est sur son blog.

Le Lulli – Grand hôtel du Palais Royal 4 Rue de Valois, 75001 Paris

Bar Vendôme – le Ritz 15 Place Vendôme, 75001 Paris

Le Grand Palais 3 Avenue du Général Eisenhower, 75008 Paris

Conran shop 117 Rue du Bac, 75007 Paris

Plaza Athénée  25 Avenue Montaigne, 75008 Paris

Chez Minna – bienvenue en Corse

Chez Minna – restaurant corse

Ce restaurant se trouve rue d’Hauteville dans le Xème. Sachez le, cette rue gagne à être connue !

Cosmopolite et de plus en plus tendance, c’est elle qui accueille ce restaurant 100% made in corse.

Chez Minna
Chez Minna

D’ailleurs, je ne le savais pas, mais Minna signifie Grand Mère. Une version corse de La Nonna italienne en somme.

Chez Minna – comment on s’y sent

Une décoration urbaine d’inspiration industrielle.

De la récup’ pour les chaises d’école autour des tables en bois et métal. Des éclairages en mode suspensions d’ampoules basse consommation.

Et un accueil chaleureux, souriant.

Chez Minna – ce qu’on y mange

La Corse, de l’île directement dans l’assiette.

Chez Minna - la carte
la carte

La charcuterie corse bien sur, les cannellonis au broccio, des fromages des montagnes de l’île.

Pour ce qui nous concerne, en entrée, le plus typique était sans doute le mille feuilles au Brocciu.

Même si le velouté de panais était particulièrement goûteux.

Chez Minna - entrées
Chez Minna – entrées

Quant aux plats, l’épaule était fondante à souhait.

Chez Minna - épaule d'agneau confite
épaule d’agneau confite

Ici, le rapport qualité prix est parfait. Et tout particulièrement quand on opte pour le menu du jour à l’ardoise.

Pourquoi je reviendrai

Vous l’aurez remarqué, je n’ai pas testé les desserts : première bonne raison de revenir ! D’autre part, j’avoue que ne pas avoir testé les fameux cannelloni au Brocciu me laisse un goût de regret qu’il faudra vite combler !

Chez Minna 20 rue d’Hauteville 75010 Paris
fermé le dimanche

Boutique hôtel à Paris – Paris Boutik

Paris Boutik – une expérience unique

Les boutiques hôtels, on connait. Mais le concept de Paris Boutik, lui, est unique.
En effet, il s’agit là de boutiques intégralement transformées pour en faire ce qui peut être assimilé à une suite d’hôtel.

Ceci n’est donc pas vraiment un hôtel, malgré le clin d’oeil que livre l’immeuble dans lequel se trouve La Suite, et ce dès qu’on passe la première porte sur rue, et que l’on découvre au sol cette mosaïque, témoin de l’histoire de ce lieu devenu depuis immeuble de logement.

Paris Boutik – la chambre

Vue de la rue, cela donne ceci.

Paris Boutik - La Librairie
Paris Boutik – La Librairie

Une librairie donc, dont la façade a été préservée tout en l’adaptant au nouvel usage en terme d’isolation et d’insonorisation.
Cette librairie a été transformée en suite « La Librairie », soit une suite de 45m2.

Une Partie chambre et salon.

 

Une salle de bains avec baignoire, un coin cuisine équipé, et des bibliothèques, des bibliothèques, des linéaires de livres.

 

En effet, même si elle a été transformée en chambre d’hôtel par le cabinet CKA Paris, spécialisé en hôtellerie, la suite Librairie Marais a conservé le décor d’une authentique librairie du quartier du Marais avec ses poutres apparentes, ses bibliothèques et ce sentiment diffus d’être au coeur de la lecture.

Soyons clairs. Ceci n’est plus une librairie !

Et c’est pour cette raison qu’il est si surprenant de découvrir une baignoire entourée de romans et de bibliothèque rose et verte ou encore un coin cuisine où trône la comédie Humaine.

Les livres sont présents partout, à commencer par ceux que l’on vous offre dès votre arrivée : une sélection des fondateurs, aujourd’hui « L’homme à venir », un guides des meilleurs restaurants de Paris.

 

Alors, il faut le reconnaitre, être entouré de tant d’auteurs, tant de styles et tant de genres littéraires provoque une irrésistible envie de lire.

Et là, l’idée est simple. Vous laissez sur place votre dernier livre, celui que vous venez de terminer et qui est au fond de votre sac de voyage, et en échange, vous en choisissez un autre dans les rayonnages. De cette façon, même si vous en commencez la lecture en sachant que vous ne pourrez pas le terminer pendant votre séjour, vous pouvez repartir avec et terminer tranquillement de retour chez vous.

Parisboutik – les services

Quand on est à l’hôtel, on s’attend à un certain nombre de services. La possibilité de se faire un café dans sa chambre, d’écouter sa propre musique, de s’installer confortablement pour découvrir les chaines de télévision nationales et internationales.

Jusque là, c’est assez simple puisqu’il s’agit de mise à disposition de matériel. Et tout y est.

La machine Nespresso, la base Bose, et un téléviseur géant écran plat, le tout connecté à Internet bien sûr.

Et puis il y a les services qui nécessitent une intervention humaine.

Commençons par le Room service.

Pariboutik a mis en place un partenariat avec Resto In, spécialisé en livraison à domicile de plats cuisinés en provenance de restaurants parisiens . Ainsi, vous pouvez avoir accès à une sélection de restaurants qui livreront en un délai de 30 à 45 minutes.

Et le Spa ? Pour moi, un hôtel de qualité dispose d’un Spa. Un lieu qui permet de faire un massage délassant après une journée de découverte trépidante de la ville, pour se recharger avant de partir à la découverte de la ville version nocturne.

Et bien Parisboutik propose son Spa préféré, à 500 mètres de là.

Et puis, pour ceux qui arrivent tôt et ne savant pas quoi faire de leurs bagages, Paris Boutik a mis en place des accords avec des commerces à quelques pas, comme le Café Pinson, ou bien Trévor, spécialisé en mode homme.

Trevor - Haut Marais
Trevor – Haut Marais

La suite Librairie Paris Boutik – Vivre son quartier

Parce que si Paris Boutik propose tous les services que l’on peut attendre, l’idée est aussi, et surtout, de faire découvrir le quartier, au travers d’un vrai réseau de commerces amis à vivre et à découvrir.

Et en passant une nuit dans cette suite tout à fait unique, on vit une expérience qui l’est tout autant.

Aller à la découverte des multiples petites rues alentour, de la multitude de restaurants qui s’y trouvent, et faire son choix pour diner.

Dans ceux que je peux vous recommander pour les avoir testés, il y a par exemple Les Chouettes. Le cadre y est aussi convaincant que l’assiette.

Et dans les recommandations, l’Ilôt, spécialisé en produits de la mer, mais où il n’est pas possible de réserver.

Le matin, découvrir le Marché des Enfants rouges avant que la foule n’envahisse les allées fait exactement partie du type d’expérience que l’on ne peut vivre que quand on s’immerge dans un quartier et que l’on y vit, même l’espace d’une nuit.

Ce quartier est si riche en découvertes que le mieux est de se laisser porter par ses pas.

Mais pour finir, une pause au Café Charlot s’impose. Que ce soit pour prendre un café, un brunch dominical, ou un excellent déjeuner, il réunit l’essentiel : accueil, contenu de l’assiette, et décor délicieusement rétro !

Et pour passer une nuit ou plusieurs dans La Suite Librairie, ou une des prochaines qui vont ouvri dans les semaines à venir, tout est sur le site Paris Boutik.

12 rue Caffarelli
75003 PARIS
FRANCE

Kongo à la galerie Taglialatella #DigitalUnderground

Kongo – street artist français

Sa bande, c’est Jonone et tous les autres de cette génération des précurseurs du graffiti. Des influences multiculturelles puisqu’il est né à Toulouse, passe son enfance au Vietnam et dans le Sud de la France, puis part à 14 ans pour Brazzaville au Congo – c’est de là que lui vient le choix de son nom d’artiste : Kongo.

Le graffiti, moyen d’expression universel, convient parfaitement à ce défenseur du street art. Il fonde entre autre le festival international de graffiti à Bagnolet : Kosmopolite.

Sa signature est reconnaissable entre mille : un graphisme calligraphique coloré et explosif.

Aujourd’hui, c’est un nouveau projet qu’il présente à la galerie Taglialatella

Kongo – Digital Underground

Nouvelle étape pour Kongo, le projet « Digital underground » est soutenu par la galerie Taglialatella.

Au coeur de ce projet, ces nouveaux outils de communication qui ont envahi nos vies, réseaux sociaux, applications en tous genres, le digital dans tous ses états.

Je m’explique.
Sur chacun des tableaux, les icônes de nos réseaux sociaux préférés. Parce que finalement, ne sont-ils pas à la jeunesse d’aujourd’hui ce que le graffiti était à la jeunesse d’hier !
Bon, je m’emballe.
Au dela de ces icônes, qui constituent la trame, l’explosion calligraphique colorée parle aussi digital.
Approchez-vous. Regardez de plus près. vous les voyez ?
Bon, je vous en livre un, cadeau : Youtube sur celui qui a le fond vert aux icônes rouges !

Pour les autres, à vous de jouer.

Mais ce n’est que le début de l’expérience. Parce que Kongo a créé pour chaque oeuvre un complément digital, une histoire qui vient compléter l’oeuvre picturale. Une possibilité de passer d’un monde de sensations et de sentiments à un autre, la toile étant le passage entre ces univers.

Pour chaque oeuvre donc, un flashcode, et un contenu associé.

Flashez, et entrez dans l’expérience. Elle sera musicale, visuelle.
Mais elle vous invitera aussi à créér le lien avec ceux qui vous entourent dans le cas où le chargement de l’expérience prend trop de temps.

Des exemples ?
 » Dites bonjour à votre jolie voisine »
ou bien
« Il est temps de faire un gros chèque à la galerie » ( version dédiée à l’expo ! )

Pour découvrir ces expériences il vous faut donc vous rendre à la galerie Tagliealatella.

Cette exposition est le point de départ d’un projet plus vaste dans lequel Kongo va explorer ces nouveaux outils de communication.

Ne la manquez pas.

Galerie Taglialatella

117 Rue de Turenne 75003 Paris FRANCE Tel : +33 1 42 71 87 72 Info @ djtfa-paris.com

Exposition Kiefer Rodin à Paris

Exposition Kiefer Rodin

L’année 2017 est l’année du centenaire de la mort du sculpteur. A cette occasion, le musée Rodin organise tout au nom de l’année un programme riche d’expositions autour de l’artiste.

Le musée Rodin invite donc des artistes contemporains à dialoguer avec Rodin.

L’exposition Kiefer Rodin fait partie de ce programme.

Ici, il s’agit donc de la rencontre de deux artistes passionnés de recherche et d’expérimentation qui vont confronter leurs talents à travers le temps .

Kiefer Rodin – au commencement était le livre

C’est en lisant le livre que Rilke consacre à Rodin en 1903 que Kiefer découvre l’artiste.

Et c’est à partir de l’ouvrage que Rodin consacra aux « Cathédrales de France » que germe l’idée de l’exposition KieferxRodin, même si très vite Kiefer décide d’élargir son travail de création à l’univers complet du sculpteur.

Dès les premières salles de l’exposition, une série de livres donc, créée par Kiefer, et qui fait naître de la matière des silhouettes féminines, en écho au livre de Rodin, il y a plus d’un siècle.

Kiefer Rodin – Tours cathédrale

ll y a plus d’un siècle donc, Rodin s’intéresse aux cathédrales, à la dimension organise qu’il leur attribue.

Kiefer entreprend à son tour un travail autour de la « cathédrale » en hommage au sculpteur. Il utilise des matériaux tels que le plomb qui lui est si cher, coupé, fondu, plié, oxydé, pour nous offrir ses « tours cathédrale » dès le début du parcours de l’exposition.

La visite continue en passant par cet espace où la cathédrale est transcrite par ses lumières et ses vitraux.

Et ce sont là des vitrines qui sont installées, dans lesquelles Kiefer s’approprie des débris des multiples sujets de plâtre de Rodin, et se les approprie en introduisant de nouveaux éléments, de nouveaux matériaux.

Kiefer Rodin – regards croisés

Dans la dernière salle de la partie dédiée à Kiefer comme dans celles où se trouvent les oeuvres de Rodin, dans le bâtiment principal du musée, les regards des deux artistes se croisent, sur l’usage du tissus par exemple, matière présente sous forme de vêtements chez Kiefer, ou de large drap et drapé chez Rodin.

Kiefer - Tuniques désincarnées
Kiefer – Walkyries tuniques désincarnées
Mercure avec draperie - Rodin
Mercure avec draperie – Rodin

Ne manquez pas cette superbe exposition, qui permet aussi, et il ne faut pas bouder son plaisir, de redécouvrir les oeuvres de Rodin, magnifiquement scénaristes dans ce superbe hôtel particulier.

Kiefer Rodin – du 14 mars au 22 octobre 2017

Musée Rodin de Paris 77 rue de Varenne 75007 Paris Tel +33 1 44 18 61 10
Ouvert tous les jours de 10h00 à 17h45 sauf le lundi

Atelier Moynat – au coeur de la création

Atelier Moynat

Je vous ai déjà parlé de cette marque qui, telle une Belle au bois Dormant, renaît en 2013 après des années de sommeil pour reprendre sa place historique rue Saint-Honoré.

Au commencement était la malle.

Puis sont venus les sacs à main, petits bijoux de création 100% made in France. Comme ce modèle, le « ballerine« , qui est entre tous mon grand coup de coeur.

C’est donc au coeur de l’atelier parisien de Moynat que je vous emmène aujourd’hui.

Ici, prototypes et petites séries sont fabriqués entièrement à la main. Pour les séries plus importantes, elles sont fabriqués dans les autres ateliers Moynat,  en France, principalement en Bourgogne et dans le Limousin.

Atelier Moynat – artisan parisien

L’adresse est tenue secrète.
Pourtant je peux vous dire que l’atelier est situé dans ce quartier emblématique de la maroquinerie et des malles, le quartier Saint-Honoré.

Quand on pousse la porte, ce sont des peaux qui nous accueillent.


De toutes les couleurs, elles sont là, attendant patiemment leur transformation, celle qui fera d’elles un « ballerine« , un « Réjane » ou un de ces sacs emblématiques de la marque Moynat.

Ces peaux sont toutes passées par un tannage végétal. Ramesh Nair, le directeur artistique y tient beaucoup. Il s’agit donc d’un tannage à base de végétaux, qui limite au maximum l’usage des produits chimiques.

Dans l’atelier chacun est à l’œuvre.
Du travail d’orfèvre, semblable à celui d’un joaillier ou d’un horlogerie. Un savoir-faire d’exception qui passe par des étapes très précises telles que découpe, couture, astiquage  ou encore collage.

Atelier Moynat – un travail de passion

La concentration est perceptible.

Elle est imposée par ces gestes si précis qui permettront  aux sacs de prendre vie.

Ici, chaque artisan va créer le sac de A à Z.

Chaque sac sera donc le bébé de celui ou celle qui l’aura façonné et le verra partir vers son nouveau propriétaire.

Les parcours de ces experts sont variés et inattendus.
Par exemple Anaïs, qui rentre chez Moynat pour un stage après des études de psychologie, et tombe en amour avec ce métier de la maroquinerie de luxe trop peu connu. Elle en parle avec un enthousiasme lisible dans son sourire et audible dans le ton de sa voix.

Atelier Moynat
Atelier Moynat

Ou encore Manon qui vient d’un lycée professionnel qui l’a menée ici.

La précision de chaque geste est visible pour chacune des actions nécessaires et ce pour un fini parfait, exigence de cet univers du luxe.

Ses mains volent au dessus du sac en devenir.

Pendant que Manon travaille la tranche de son mini Réjane, Kotaro s’applique à la création des lanières, véritable puzzle pour rendre les jointures invisibles.

Je ne verrai pas un sac fini à ma sortie de cette visite. Seulement la promesse de ces modèles de la collection à venir, des mini Réjanes aux teintes innovantes.

Moynat Paris – 348 rue Saint-Honoré 75001 Paris

Tel-Aviv aux mille couleurs et mille saveurs

Tel-Aviv en couleurs – le bleu de la mer

Tel-Aviv est une ville qui prend la mer dans ses bras.

Omniprésente elle fait partie intégrale de l’art de vivre des habitants de la ville – dites telavivim.

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Lieu de rencontre, de fête, mais aussi de restauration sans oublier les balades à vélo ou à pied sur la promenade – dites tailet – qui longe la plage du nord au sud jusque Jaffa.

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On passe par la plage le matin pour un footing matinal suivi d’un latte – dites afouch – face aux vagues.
Puis c’est la promenade du chien, la baignade, et le soir, l’indispensable étape du coucher de soleil spectaculaire à chaque fois.

Tel-Aviv – la ville Blanche

La ville dans sa diversité architecturale.
Haut lieu de l’architecture Bauhaus Tel Aviv est surnommée la ville blanche.

architecture Bahaus
Tel-Aviv – architecture Bauhaus

Aujourd’hui elle est en pleine explosion, et les tours y fleurissent à une vitesse qui laissent pantois tout européen habitué à une progression des travaux urbains bien moins rythmée !


Habitations, centres commerciaux, elles jaillissent entre les quartiers historiques en cohabitant à la perfection avec ces constructions du siècle dernier rénovées pour l’occasion

Tours Azrieli
Tours Azrieli

Ainsi le célèbre quartier de Sarona et son marché alimentaire se protégent du soleil à l’ombre des tours Azrieli et leurs nouvelles sœurs qui continuent à apparaitre autour de ce qui s’appelait la moshava germanit – ancien quartier allemand lors de la première immigration d’Europe après la guerre.

Ou encore Neve Tsedek qui connaît une nouvelle jeunesse avec les multiples commerces qui s’y sont installés – épiceries, bijouteries, modes – et au sein duquel des tours d’habitations luxueuses ont posé leurs fondations.

Tel Aviv - Neve Tsedek
Tel Aviv – Neve Tsedek

D’ailleurs, c’est un des quartiers où les Francais sont les plus présents. Vous le comprendrez en lisant les noms de certaines boutiques !

Tel-Aviv – multi couleurs et multi saveurs

Pour commencer, il y a le célèbre petit déjeuner israélien.

Tel Aviv - petit déjeuner chez Greg
Tel-Aviv – petit déjeuner chez Greg

Un Must, le repas incontournable de la journée.
Copieux, varié, salé et sucré , tous les restaurant en proposent un c’est à celui qui concoctera le plus copieux et le plus instagrammable.

Je dois dire que celui de Greg à la Tahana – ancienne gare transformée en zone commerçante, est un choix simple et efficace !

L’autre explosion de couleurs et de saveurs se vit en visitant le Shouk Hacarmel.

Shouk Hacarmel
Shouk Hacarmel

Soleil et irrigation high-tech, en Israel on trouve les conditions parfaites pour la culture de fruits et de légumes.
Et pour en prendre la pleine mesure il suffit de faire un tour au shouk Hacarmel.
Ici, c’est le bonheur des yeux et des papilles.
Fraises savoureuses, tomates multicolores, épices en tous genres, tous les sens sont sollicités et il est impossible de repartir les mains vides.

Et ne parlons pas des jus de fruits frais que l’on trouve partout dans la ville.

Alors vous l’aurez compris, Tel Aviv est une destination parfaite pour passer quelques jours au soleil, dès le mois de mars et jusqu’au moi d’octobre – à noter : il fait souvent beau les autres mois de l’année mais on n’est pas à l’abri de quelques précipitations et d’une baisse des températures !

Tel-Aviv : Où dormir ?

J’ai choisi l’hôtel Shenkin, à quelques pas de la rue du même nom, et j’ai adoré. De taille humaine, parfaitement localisé, il dispose d’un rooftop parfait pour se poser au retour de la plage, ou des balades à pieds.

Comme un certain nombre d’hôtels de Tel-Aviv, il propose un concept super original pour le petit déjeuner : on peut prendre son petit déjeuner dans un des trois coffee shop proposés, qui se trouvent tous à moins de 5 minutes à pieds, et on peut ainsi découvrir les alentours tout en se régalant !

Tel-Aviv – où manger ?

Là, le choix est vaste, très vaste. Je vais donc vous donner une liste non exhaustive, à enrichir au gré des envies.

Commençons par La Tahana. Au sud de la ville, face à la mer et à quelques pas de Yafo ( Jaffa) , l’endroit propose de nombreuses boutiques, et deux lieux de restauration qui ont fait leurs preuves.

Greg café
Greg café

Il y a donc Greg Café, précédemment évoqué, et où l’on peut déguster le célèbre petit déjeuner, toutes les salades méditerranéennes dont on peut rêver.

Vicky Cristina vous accueillera également, et là il s’agira de tapas et verre de vin, ou de diner.

Dans la même zone géographique, plusieurs restaurants s’offrent à vous sur la rue Shabazi, artère centrale du quartier Neve Tsedek – celui là même où tout le monde parle français !

En vrac : Dalal, Suzana, pour des plats typiquement méditerranéens et telaviviens.

Si on s’éloigne de la mer, le célèbre Sarona Market propose une multitude de possibilités alimentaires, du thaïlandais au français en passant par l’italien. Le bémol en ce qui me concerne : tout se passe à l’intérieur, et donc pas de possibilité de profiter du soleil.

On peut donc s’attabler à l’intérieur.

Sarona Market
Sarona Market

Ou prendre à emporter, et s’installer dans le quartier de Sarona, à l’ombre des palmiers et des tours géantes.

Et pour finir, il y a la plage.

Là, face à la mer, seulement si on n’est pas très pressé – le service peut être « à son rythme », il est temps de s’installer confortablement et de savourer le moment.

Sur le sable même, quand on se dirige vers le nord, du côté de la rue Frishman.

Ou au sud, où il s’ira là de s’assoir dans un vrai restaurant avec vue sur la plage et sur la vieille ville de Jaffa : le Manta Ray.

Enfin, il semblerait que du côté de Frishman, un restaurant gastronomique soit sur le point d’ouvrir ses portes avec le chef israélien Omer Miller. Stay tuned.

Bon voyage !

 

Paris vu par Charlotte

Paris vu par Charlotte

Voilà quelques semaines que je n’avais pas posté d’interview d’amoureux de Paris.

charlotte

Et bien c’est donc Paris vu par Charlotte qui reprend le flambeau. dans son blog, Secrets de parisiennes, elle nous parle sorties, bons plans et mode aussi ! Voici donc son interview.

ETAPE 1

On commence par Ton Paris Gourmand , le salé, et le sucré.
Quelles sont tes deux adresse fétiches du moment : un restaurant, et un salon de thé, ou une pâtisserie.
Difficile de choisir, j’ai tellement de coups de coeur en matière de restaurants !
Si je devais en choisir qu’un, je choisirai le Bissac (10 rue de la Bourse 75002), à deux pas de chez moi.
Bissac - crédit le Bissac
Le restaurant est plein de charme et le Chef Damien Boudier fait des merveilles. Le menu change tous les mardis et me donne à chaque fois l’eau à la bouche !
A vrai dire, je ne suis pas trop sucré mais il y a un salon de thé que j’aime beaucoup, c’est Chloé.S, 40 rue Jean-Baptiste Pigalle 75009.
credit photo Chloe S
credit photo Chloe S
On a l’impression de rentrer dans une maison de poupée et les cupcakes sont délicieux !

ETAPE 2

Paris culturel, Paris ville des musées, de l’art, de l’architecture. Alors pour toi, ton Paris culturel se trouve où ? Dans un musée fétiche, un quartier chargé d’histoire, un lieu mythique de l’art à Paris, un endroit où un film culte a été tourné ?

Mon musée préféré est sans aucun doute le Musée d’Orsay. Cette ancienne gare est pour moi chargée d’histoire. Concernant le quartier, difficile de concurrencer le Marais en terme de galeries d’art contemporain. Outre ses nombreuses galeries, j’adore le musée Carnavalet ( malheureusement fermé pour rénovation jusqu’en 2019), consacré à l’histoire de Paris ou encore la sublime place des Vosges.

ETAPE 3

Ne nous le cachons pas, à Paris, le shopping est roi !

Alors dis nous tout : ton magasin favori, la rue que tu préfères pour une virée shopping, tes adresses déco, modes, accessoires, on veut tout savoir !

J’achète énormément de vêtements sur internet, je trouve qu’il y a plus de choix et surtout, de meilleurs prix. J’aime beaucoup la rue Montmartre, pas loin de chez moi, pour flâner dans les boutiques.
Il y a &Other Stories (35 rue Montmartre 75002) pour shopper des vêtements et surtout des accessoires, j’adore leurs bijoux et leurs chaussures.
Dans cette même rue, une boutique de déco à ouvert récemment, Le Petit Souk (49 rue Montmartre 75002 / www.lepetitsouk.fr/). Elle est principalement dédiée aux enfants mais j’ai envie de tout acheter (je ne sais pas si c’est normal).
Une super adresse également à deux pas de ces deux boutiques, c’est Les Bougies de Charroux (65 rue d’Argout 75002). Il y a une centaine de choix parmi des bougies artisanales et labellisées, qui sentent divinement bon. Les vendeurs sont adorables et vous conseilleront toujours si vous avez du mal à choisir.

ETAPE 4

Paris est une capitale, grande et belle, faite de petits villages. Chacun a son âme, des habitants qui ne le quitteraient pour rien au monde. Ils y ont leurs habitudes, et même s’ils s’aventurent parfois dans d’autres lieux de la ville, c’est là qu’ils se sentent un peu plus chez eux.

Quel est ton village ? Celui où tu vis, celui où tu aimerais vivre, ou même celui que tu as quitté et auquel tu penses encore ?

Je vis dans le 2ème et mon village est Le Sentier. J’adore me balader dans le quartier dit de « la petite Egypte », regroupant la rue d’Alexandrie, rue du Caire, rue du Nil , etc.
Coup de coeur également pour le 3ème arrondissement, entre Temple et Filles du Calvaire.
On y trouve le Marché des Enfants Rouges (rue de Bretagne), le plus vieux marché de paris, il existe depuis 1615 ! On y prend un énorme sandwich de chez Alain Miam Miam et on se pose dans le square du Temple pour le dévorer.
Copyright_Lionel_MOREAU
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A deux pas du Carreau du Temple, on commande un Thé au Marché Noir (18 rue Perrée 75003), à la fois friperie, salon de thé et boutique, dépaysement garanti !

ETAPE 5

Et pour finir, parce que ce qui compte, avant tout, ce sont les émotions, pourrais-tu partager avec nous un moment d’émotion lié à PARIS ? Cela peut-être une rencontre, un paysage bouleversé, une rencontre, des rencontres, un événement vécu là, et qui restera gravé dans ta mémoire.

Le premier souvenir qui me vient en tête est lorsque je suis rentrée pour la première fois dans l’Hôtel des Ventes de Drouot, dans le 9ème arrondissement. Je voulais à l’époque découvrir ce milieu qui m’était encore inconnu et j’ai tout de suite été fascinée par l’animation qui se dégageait des salles de ventes. On y croise de tout : novices comme experts ou encore artistes, tout le monde s’y réunit autour d’un même goût pour l’Art et c’est quelque chose qui me touche.
Merci encore à Charlotte d’avoir accepté de répondre à ces quelques questions.
Retrouvez toutes ses adresses et plus encore sur son blog !
Le Bissac 10 rue de la Bourse 75002 Paris
Chloé.S, 40 rue Jean-Baptiste Pigalle 75009 Paris
&Other Stories 35 rue Montmartre 75002 Paris
Le Petit Souk 49 rue Montmartre 75002  Paris
Les Bougies de Charroux 65 rue d’Argot 75002 Paris
Thé au Marché Noir 18 rue Perrée 75003 Paris