Restaurant Cleo – Hôtel Le Narcisse Blanc

Restaurant Cleo – comment on s’y sent

Le Narcisse Blanc est un charmant hôtel situé avenue de la Tour Maubourg. Il est aussi délicat et élégant que la fleur dont il porte le nom.

C’est donc ici que se trouve le restaurant Cleo.

Luminosité. C’est le premier qualificatif qui me vient à l’esprit à l’évocation de cette adresse.


Car même si le restaurant est en intérieur, la présence de la verrière qui éclaire l’ensemble du lobby de l’hôtel ainsi que le jeu de miroirs font que la salle du Cleo bénéficie d’une douce lumière tellement agréable en tout temps et particulier et el cette période de fortes chaleur.


On est si agréablement installé, le mobilier est élégant, confortable, laissant présager d’un moment parfait qui pourrait durer des heures.

Restaurant Cleo – ce qu’on y mange

Une carte, et une formule. Et la formule est parfaite !


Idéale pour un déjeuner de qualité, abordable et surtout délicieux. Parce que tout est bon. Délicat, d’une finesse particulièrement excitante pour les papilles.
Qui eût cru que l’on puisse se délecter d’une soupe de concombres !

Le merlu lui aussi, réserve des merveilles de saveur. Et ça aussi c’est inattendu. Parce que le poisson blanc peut rapidement être triste à mourir !

Quand aux desserts, un régal pour la gourmande que je suis. Une tarte qui chante l’été, et un tiramisu qui se réinvente en couleurs.

Le Cleo – pourquoi j’y reviendrai

Parce qu’une pépite telle que le Cleo, ça devient facilement l’adresse favorite que l’on choisit quand on a envie de ne prendre aucun risque.

Quand on veut savoir à l’avance que le moment sera parfait, et savoir aussi que l’on surprendra ceux qui découvriront l’adresse grâce à nous.

Sans oublier le fait que pour l’instant j’ai testé la première formule, mais il y en a d’autres, et aussi la carte ! Que de délices en perspective.

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Restaurant Cléo – Le Narcisse Blanc 
19, BOULEVARD DE LA TOUR-MAUBOURG, 75007 PARIS tel:  01 40 60 44 32

Musée de Montmartre – le café Renoir

Le café Renoir – ça reste entre nous !

On connait tous Montmartre, sa place du Tertre, toujours si animée. Les marches du Sacré Coeur où les passants s’agglutinent pour admirer le paysage, admirer des spectacles de rue, ou simplement se poser et bavarder.

Montmartre - Le Sacré Coeur
Montmartre – Le Sacré Coeur

Ou encore la rue du chevalier de la Barre, spot photo préféré des touristes et instagrameurs en goguette.

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Mais il suffit de faire quelques pas pour découvrir une autre facette de la Butte Montmartre. Pour plonger dans le Montmartre des montmartrois, calme, paisible, et innatendu.

C’est là que se trouve le café Renoir. Au coeur du Musée de Montmartre.

Le Musée de Montmartre

Engagez vous dans la petite rue Cortot, à quelques pas de la place du Tertre, et pénétrez dans le musée de Montmartre.

Bucolique et charmant, l’espace se repartit en cour et jardins.

Ici, le dépaysement est total et absolu. Pas étonnant que le lieu ait séduit tant d’artistes du siècle dernier, comme Renoir, qui donne son nom au café.

Le musée a été créé en 1960 dans la bâtisse la plus ancienne de la Butte, construite du XVIIe siècle : la Maison du Bel Air.
Lieu de rencontres et de résidence, le 12 rue Cortot attira de nombreux artistes. Auguste Renoir y eut son atelier tout comme Suzanne Valadon, Émile Bernard et les fauves Émile-Othon Friesz et Raoul Dufy.

On peut d’ailleurs visiter l’atelier qui accueillit tous ces artistes.

L’endroit est chargé d’histoire artistique, et propose aussi une promenade aussi inattendue que merveilleuse : la promenade dans les vignes. Ces vignes qui sont fêtées chaque année et produisent toujours leur célèbre vin.

Comme vous pouvez le constater, le coucher de soleil de juin est particulièrement propice à cette promenade !

L’heure est venue de faire une pause gourmande. Et cette pause, c’est dans les jardins du café Renoir que vous allez pouvoir la faire.

Le Café Renoir

Ici, vous allez pouvoir vous régaler. Que ce soit pour déjeuner, ou pour goûter. Pour le déjeuner, les quiches de chez Rachels sont proposées pour les gourmands.

En mode formule. Un vrai délice. Présentées ici en mode bouchée, elles sont habituellement servies en parts copieuses.

Quiche ou dessert ? Il sera impossible de choisir ! Je vous recommande de choisir les deux évidemment. Parce que ce cheese cake, c’est la signature de Rachels, et c’est l’occasion ou jamais de le goûter. Ou bien d’opter pour des brownies, ou pour cette tarte au citron meringuée qui met l’eau à la bouche à sa seule vue.

Pour accompagner tout ça, rien de moins que le meilleur cidre du moment, mon favori depuis sa sortie : le cidre Sassy. Qui propose aussi une version « poiré », et désormais un cidre rosé. 
Bien sur, vous pourrez prendre un café ou un thé, ou encore un jus de fruit Alain Millat. Sans oublier le champagne de la maison Jean-NoËl Haton. Le seul champagne que j’achète depuis que je l’ai découvert.
Vous l’aurez compris, à Montmartre, vous pouvez désormais fuir la foule pour une pause gourmande, avant d’attaquer la descente par les petites rues et les dizaines de marches d’escaliers.
 Café Renoir 12-14 Rue Cortot, 75018 Paris de 12h15 à 17h
Téléphone :01 49 25 89 39

 

 

 

Apérol Spritz – café OZ rooftop

Apérol Spritz  – rendez-vous à la Spritz piazza

Pendant trois jours, sur le toit de la Cité de la Mode et du Design, l’APEROL PIAZZA s’installe pour vous offrir des soirées estivales uniques.

Des stands en mode décalé, type fête foraine, une programmation musicale unique, des cocktails aux couleurs de l’été, et tout cela sur un des rooftops les plus branchés de la capitale ( dans le XIIIème d’ailleurs !)

la pince humaine
la pince humaine

C’est donc le rooftop de la Cité de la Mode et du Design et son nouveau spot le Café Oz Rooftop qui passent du vert au orange, pour 3 jours.

Des stands aux couleurs de la marque donc, le orange est partout !

Pommes d’Amour Aperol, Barbe à Spritz géante, Pop-corn goût Aperol Spritz. L’Aperol sous toutes ses formes.

Aperol Spritz – c’est quoi ?

L’Aperol Spritz c’est un héritage italien, la simplicité avant tout et une recette facile à réaliser : 3 volumes de Prosecco, 2 volumes d’Aperol et 1 trait d’eau gazeuse.

Prêts à la dégustation ?

Comment participer et venir à la SPRITZ PIAZZA ?

Rendez-vous sur le Facebook Aperol Spritz pour s’inscrire et obtenir une invitation valable pour 3 personnes

Cité de la Mode et du Design Les 6, 7 et 8 Juillet 2017
34, quai d’Austerlitz, 75013 Paris

Christian DIOR Musée des Arts Décoratifs

Christian DIOR – couturier du rêve

Christian DIOR : un nom si familier, et pourtant.

Je pensais le connaitre. J’ai tout découvert grâce à cette exposition extraordinaire.

Christian DIOR a commencé sa vie d’adulte en tant que galeriste.
Il collectionne des oeuvres éclectiques d’artistes tels que Dali, Calder ou encore Cocteau.
Mais la crise de 1929 met un terme à cette carrière. Sa création dans la mode sera cependant riche en références à cette passion de l’art, et il puisera son inspiration dans sa passion du XVIIIème siècle comme dans son amour des jardins.

On commence donc l’exposition par un parcours chronologique de sa vie puis on plonge directement dans sa création
et le voyages au pays des merveilles commence.

Colorama Dior

Que tous ceux qui associent le nom de ce créateur à une seule couleur revoient leur copie.
Chrisitian Dior a parcouru l’intégralité de la palette colorimétrique dans ses créations.

Robes manteaux chaussures, il leur a donné toutes les teintes y compris les plus improbables.

C’est le premier parcours et on est déjà pris à bras le corps par l’émotion et la beauté de ces créations.

LE XVIIIème était la période préférée de Christian DIOR.

C’est cet amour qui marquera la décoration de la maison Dior au 30 avenue Montaigne. Ecrin parfait pour la mise en valeur de ses robes.

Le parcours continue et c’est un jardin merveilleux qui est l’écrin de ses robes légères et aériennes qui incarnent la féminité à la perfection.

Christian Dior Musée des Arts Décoratifs – jardin merveilleux

L’amour de Christian DIOR pour les jardins remonte à son enfance passée à Granville.

Les fleurs, qui ont une place toute particulière dans cette oasis de son enfance le suivront toute sa vie. Ce sont elles qui lui inspireront cette silhouette de femme fleur qui le caractérise.

Des robes rêvées, des robes féeriques aux envolées fleuries.

Le voyage dans le passé prend fin et l’on passe dans la deuxième partie de l’exposition dont le coeur est l’adresse emblématique de la Maison Dior avenue Montaigne.

Chrisitian Dior – 70 ans d’une Maison emblématique de la mode

Une scénographie spectaculaire nous permet de pénétrer dans cet univers sans se rendre sur place, dans la boutique mythique.


Ici on découvre les grands noms qui ont succédé à Christian DIOR décédé prématurément en 1957 à l’âge de 52 ans.


Il y a Yves Saint Laurent bien sûr, qui a commencé son parcours chez Dior. Puis Marc Bohan, John Galliano, jusqu’à aujourd’hui, Maria Grazia Chiuri. Tous ont élaboré une grammaire stylistique fidèle à la signature initiale de l’artiste, cette signature qui, en 1947, avec Le New Look, fait de lui le couturier le plus encensé de l’après guerre.

Et c’est quand on croit qu’on a tout vu, tout ressenti, que la blancheur magique de ce sanctuaire de la création se dresse devant nous.


Des patrons de toutes les pièces merveilleuses signature de la maison.

Et des artisans au travail qui font la démonstration de leur art de leur talent.

Cette semaine il s’agit de la couture, puis de semaine en semaine il y aura la broderie, le parfum ou encore la maroquinerie.
Cette pureté est-elle la conclusion du parcours ? On pourrait le croire et pourtant….

Dior citadin se livre à nous dans un jeu de clair obscur dans lequel chaque pièce prend vie, encore et encore, au grè de la lumière.

Et quand on pense que cette overdose de beauté nous a définitivement mis à terre, c’est un feu d’artifice qui nous achève dans une salle transformée en salle de réception de château pour le plus grand plaisir de notre émotion qui n’en peut plus d’avoir vivre au fil du parcours de ce grand monsieur de la mode.

Merci Monsieur.

Christian DIOR – couturier du rêve du 5 juillet 2017 au 7 janvier 2018

Musée des Arts Décoratifs 

107, rue de Rivoli
75001 Paris

Tél. : 01 44 55 57 50

 

 

Lectures d’été – vous avez votre liste ?

Lectures d’été – pour des vacances réussies

L’été approche. Propice au voyage peut-être, à la découverte surement, à la détente définitivement, et à la lecture.

Parce que je ne sais pas vous, mais en ce qui me concerne, mon rythme de lecture est plutôt erratique durant l’année. Et quand l’été arrive, je tente de rattraper mon retard. De retrouver le délice de se plonger dans un livre qui me captivera, de ceux que j’ai envie de retrouver jour après jour, ou de dévorer en une journée si ça me chante.

Je suis digitale, et pourtant, quand il s’agit de lecture, je suis 100% papier ! Comme visiblement 61% des européens

Lectures d’été – les romans

Découvrir un univers, s’attacher à des personnages, les retrouver au bord de la piscine, au petit matin ou au coucher du soleil : j’adore. S’évader pour devenir une autre, s’identifier, vivre la vie d’une autre, ou d’un autre, l’espace d’un instant.

 

Pour cet été, j’ai déjà un stock de démarrage. Je commencerai peut-être par relire Dora Bruder de Patrick Modiano. Après des débuts difficiles avec ce prix Nobel, j’ai fini par prendre goût à son oeuvre, et à en saisir l’unité, la cohérence, ces qualités qui lui ont fait mériter cette récompense.

romans
romans

Puis je partirai à la rencontre d’un autre prix Nobel de littérature, Mario Vargas Llosa, et son Héros discret. Et d’un autre monde : celui de la mafia péruvienne, et de l’universelle cupidité, particulièrement celle des fils en quête d’héritage.

Sans oublier le dernier roman de Philippe Zaouati : les refus de Grigori Perelman. Il nous emmène dans les rues de Saint Petersbourg à la rencontre de ce personnage hors du commun, un génie des mathématiques à la personnalité aussi complexe que la conjecture qu’il a résolue.

Ces romans ont un point commun : ils font voyager. Et en vacances, quoi de mieux que de préparer les voyages à venir !

Lectures d’été – guides de voyage

Parce qu’on sait à quel il est difficile de quitter brutalement l’été et d’affronter la frénésie de la rentrée. La solution est de préparer les voyages à venir. Même s’il s’agit de simples weekends ! Et pour cela, les guides « Un grand weekend  » chez Hachette sont juste parfaits !

De bonne taille, ils tiennent dans un sac. J’adore leur plan détachable, parce que là aussi, je suis encore restée très « papier » ! Une lecture de la ville par quartier : ça me parle ! Pour visiter, mais aussi pour boire et manger, et bien sur pour faire du shopping.

J’emmène donc avec moi Séville, Prague et Amsterdam. Histoire de me projeter vers de prochains weekends !

Lectures d’été – à la découverte de Paris

Et puis les voyages, on peut aussi les faire dans sa propre ville ! Surtout pour découvrir une rue ou un quartier que je ne connais pas encore assez bien ! Et c’est pour cette raison que je vais étudier de près ce dernier livre : Village Paul Bert.

Histoire de programmer dès la rentrée une découverte du quartier avec le livre en trame de fond.

Parce qu’une balade gourmande, cela ne se refuse pas. Et puis la perspective de croiser Fabrizio Ferrara dans son osteria, ou bien Laetitia et Andrea dans leur univers des Cocottes, c’est plutôt tentant !

Et vous, quelles sont vos lectures estivales

 

Graine Paris – Fast good

Graine Paris – fast food méditerranéen

Le restaurant Graine Paris ( anciennement Graine bar à couscous) permet de manger rapidement de délicieux plats d’inspiration méditerranéenne.

C’est pour cette simple raison que le qualificatif de « fast good » trouvé par son créateur, Majed, colle parfaitement au concept.

Au commencement était le couscous. Et puis le taboulé a fait son apparition, la chakchouka, et tant d’autres délices du sud .

Ici, on choisit son entrée dans un présentoir réfrigéré, où se trouvent également les desserts, puis c’est au comptoir que l’on confectionne son plat en choisissant la base ( taboulé ou couscous) et les ingrédients qu’on ajoutera.

Restaurant Graine Paris
Restaurant Graine Paris

On peut ajouter de multiples ingrédients. De la viande bien sur ( tout particulièrement pour le couscous) , une très grande variété de légumes, du fromage.

Mais ce qui m’a le plus marquée, c’est la qualité de ce que j’ai dégusté. Parce que je dois reconnaitre que le côté fast, même s’il est good, avec la dimension « plateau et bol en plastique » , ne me transportait pas d’envie à priori. Et la surprise de me régaler fut donc d’autant meilleur

Graine Paris – pourquoi y revenir

En ce qui me concerne tout d’abord, pour reprendre de ce dessert aérien et délicieux – dont j’ai malheureusement oublié le nom – mais dont mes papilles se souviennent !

Une autre raison de s’y rendre, c’est précisément quand on est dans ce quartier et qu’on souhaite bien manger, sans se ruiner, et vite ! Parce que dans la catégorie « fast food », difficile de trouver mieux !

Graine Paris – http://www.grainebaracouscous.fr

7 Place Saint Augustin 75008 PARIS 01 45 22 95 78

Musée Jacquemart-André – un musée et un café

Musée Jacquemart-André – un hôtel particulier

Le musée Jacquemart-André porte les noms de ceux qui l’ont construit, puis donné vie, ensemble.

Musée Jacquemart André
Musée Jacquemart André

C’est Edouard André, riche héritier amateur d’art et collectionneur, qui confie la construction de son hôtel particulier à Henri Parent, un spécialiste de l’architecture traditionnelle. Il réalise, de 1869 à 1876, cette superbe construction, inspirée des modèles classiques, par son plan parfaitement symétrique et par le décor de ses façades.

Superbes enfilades de pièces, tentures élégantes, boiseries, et un escalier très original font les charmes du lieu.

Le salon de musique est tout particulièrement charmant et invite à la rêverie avec la musique qui envahit l’espace.

Chacune des pièces a son cachet propres, et elles sont toutes baignées de lumière.

Après leur mariage, Edouard André et Nélie Jacquemart se consacrent intégralement à leur passion de collectionneur d’art. Leur collection est très marquée par leurs voyages multiples en Italie. Les pièces ainsi collectionnées sont disposées dans tout l’hôtel particulier.

Musée Jacquemart André – expositions temporaires

Il y a donc ce que l’on peut qualifier d’exposition permanente, mais le musée accueille régulièrement des expositions temporaires.

La dernière en date, « de Zurbaran à Rothko, Collection Alicia Koplowitz – Grupo Omega Capital « , est un petit bijou mais il vous faudra vous presser pour la découvrir puisqu’il ne reste plus qu’une semaine avant qu’elle ne se termine.

Il s’agit d’une des plus grandes collectionneuses espagnoles de notre époque.
Diversité des techniques des époques et des styles, la collection est le reflet du goût et des émotions de celle qui a parcouru le chemin de l’art.

L’exposition retrace un paysage artistique large, de Goya à Gauguin et Modigliani, en passant par Rothko et Giacometti.

On commence par des artistes espagnols, Zurbarán et Goya.

La 2ème salle des italiens qui ont travaillé en Espagne Tiepolo et Antonio Joli.

Antonio Joli
Antonio Joli

Très grands plans de Venise par Antonio Joli et deux merveilles de Canaletto – Giovanni Antonio Canal.

De salle en salle des artistes aussi divers que Picasso ou Van Gogh sont exposés.

Mon coup de coeur : ce portait de Modigliani, si caractéristique de ce vague à l’âme et de l’infinie tristesse qui transparait de tous ses portraits.

Une superbe exposition à ne pas manquer, si vous trouvez une heure ou deux avant la fin de la semaine.

Musée Jacquemart André – un café restaurant

La bonne nouvelle, c’est que le musée Jacquemart-André vaut largement le déplacement, exposition temporaire ou pas, grâce à son extraordinaire café restaurant !

Ici, on peut déjeuner, bruncher, et se régaler avec les pâtisseries qui sont simplement divines et tellement nombreuses qu’il est quasiment impossible de faire un choix.

 

De multiples salades sont proposées, ainsi qu’une formule très avantageuse avec la quiche du jour ou le plat du jour ( sauf le dimanche) et la pâtisserie de son choix. Tout est servi avec le sourire, et avec une telle efficacité que même lorsque le restaurant est plein l’attente ne dépasse pas quelques minutes.

Les salades sont délicieuses, les produits frais et savoureux.

Et quant aux desserts…..Voici un aperçu restreint du chariot.

Et voici ce que nous avons dégusté. Une tarte aux abricots légèrement acidulée, et un gâteau café et noix pour lequel les qualificatifs me manquent, mais j’en ai à nouveau l’eau à la bouche à sa seule évocation !

Rendez-vous au musée Jacquemart-André donc.

158 boulevard Haussmann 75008 Paris
Tél. : 01 45 62 11 59

Ouvert tous les jours y compris les jours fériés de 10h à 18h. Nocturnes les lundis jusqu’à 20h30 en période d’exposition.

Marlette BHV MARAIS – nouvelle adresse !

Marlette – la marque bio et bonne

J’avais essayé de bruncher chez Marlette, rue des Martyrs. Mais autant dire qu’accéder à une chaise chez Marlette un dimanche après 12h15, c’est juste mission impossible.

Alors je m’étais rabattue sur la confection de leurs gâteaux chez moi, à la maison. Avec leurs préparations, si simples à utiliser, que même la plus incapable des cuisinières fait des miracles !

Si je vous dis : « ouvrir un paquet, ajoutera quelques oeufs, ou et du lait, peut être du beurre, et le tour est joué » , vous comprenez mon enthousiasme ? N’essayez pas, vous ne pourrez plus vous en passer.

Nous sommes restés jusqu’à présent dans l’univers sucré. Mais il s’avère que Marlette est parfait également pour le salé ! Et pour s’en rendre compte, il suffit de se rendre au 3ème étage du BHV Marais.

Marlette BHV Marais – excellente nouvelle

La bonne nouvelle, c’est que pour l’instant, l’information n’a pas encore vraiment circulé. Cela signifie donc que c’est le moment pour découvrir cette bonne adresse encore presque secrète.

Ici, on peut déjeuner, confortablement installé, entre deux étapes d’un shopping effréné ( surtout maintenant, précisément pendant les SOLDES ! )

Une carte alléchante, des produits frais, des formules déjeuner, et tout est préparé sur place.

Le lieu est lumineux, paisible, et donne furieusement envie de s’installer pour rester !

Pour le choix, de multiples salades, des formules, et une large proposition à emporter.

Personnellement, j’ai dégusté un bol gourmand, habituellement proposé à emporter, mais servi à table exceptionnellement par l’équipe particulièrement attentionnée je dois dire !

Marlette au BHV MARAIS
Marlette au BHV MARAIS

Le déjeuner est servi jusqu’à 14h30, mais on peut ensuite venir se régaler d’une des préparations sucrées de la marque, proposées ici à la dégustation.

En dessert, je me suis régalée avec le fondant au chocolat, un des MUST de la marque.

Marlette BHV MARAIS – pourquoi je reviendrai

Inutile de dire que je suis une gourmande invétérée, et que la perspective de tester tous les desserts MARLETTE sans avoir à les faire est alléchante, très alléchante.

Par ailleurs, j’ai une véritable affection pur le BHV, dont l’évolution en BHV MARAIS me séduit mois après mois. Un grand magasin à taille humaine, proposant une sélection de plus en plus pointue, un vrai plaisir shopping en somme.

Et savoir qu’il y a où faire une pause gourmande sans effort est un nouvel atout !

P.S je dois préciser que MARLETTE a remplacé l’espace Pâtisserie des rêves, que j’appréciais beaucoup, et j’ai donc une pensée gourmande pour cette autre marque de douceurs et délices divers !

Marlette BHV MARAIS – 52 Rue de Rivoli, 75004 Paris

Optik by Michèle B – lunettes made in Paris

Optik By Michele B – créatrice de lunettes made in Paris

Les Lunettes, chez Michele B, c’est une histoire de famille.

Optik by Michele B
Optik by Michele B

Les lunettes, elle les dessine, les conçoit, et les fabrique intégralement, à Paris, dans son atelier de la rue Pastourelle.

La gamme est si vaste qu’il faut son aide et ses conseils pour choisir entre les matériaux, les teintes, les formes.

Alors elle guide, s’imprègne des lignes du visage, et surtout des contraintes de vue, que vous soyez très myope, astigmate ou simplement presbyte.

Elle le dit : « je suis là pour faire plaisir » et elle s’adapte donc pour que vos lunettes, objet indispensable et accessoire de mode, vous les adoriez !

Optik by Michèle B – l’atelier

Dans son atelier, c’est toujours « work In progress« . Parce que tout, absolument tout est fait ici. De vrais produits « fabriqués à Paris ».

Des ébauches de monture, et puis les  précieuses machines, celles qui permettent de façonner chaque monture à la main, celles qui sont devenues si rares et si précieuses que son fils, opticien lui aussi, s’est installé à quelques centaines de mètres pour pouvoir les utiliser aussi !

Optik by Michèle B. – le choix

Quelque soit la couleur que vous aimez, votre matériau de prédilection, ou encore si vous avez envie d’une bonne dose d’excentricité, Michèle B est là pour vous.

Elle vous proposera des exemples, qu’elle adaptera à vos goûts, à la taille de votre visage, l’écartement de vos yeux, et bien sur à votre prescription.

Pour les couleurs, l’embarras du choix n’est pas une image ici.

Ceci n’est qu’un tout petit échantillon de la variété qu’elle propose, et qui peut aller jusqu’à ce type de résultat…

lunettes Optik by Michèle B
lunettes Optik by Michèle B

Pour les prix, les montures en acétate sont à partir de 449€, celles en corne de buffle 999€, et celles en écaille de tortues 2499€ (c’est donc la rareté des stocks très réglementés qui explique ce prix élevé).

Alors si vous passez dans le Haut Marais et que vous adorez les belles montures, faites un tour chez Optik by Michele B.

Optik by Michèle B. 11 Rue Pastourelle, 75003 Paris tel 09 53 87 99 41

Paris 13 – ennui total ou hype absolu ?

Quartier hype : définition

Il y a quelques semaines, Topito sortait sa carte de Paris « version honnête » . Ils y attribuaient aux 12ème et 13ème arrondissements le qualificatif de « ennui total  » ! Lors de la publication de cette carte je m’insurgeais bien sur, étant moi même habitante du 13ème depuis si longtemps.

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Et aujourd’hui, je viens faire la démonstration de la tendance, celle qui me donne raison et inscrit le 13ème,dans la tendance de l’été, et de l’avenir aussi !

Back to basics.

Mais qu’est-ce donc qu’un quartier hype ? Ou encore branché ? Je dirais même trendy ?

Est ce un repère de hipsters ? Un quartier à haute concentration de juice bars ? Un arrondissement qui abrite un barbier vintage à chaque coin de rue ? Dans lequel chaque nouveau restaurant à forcément une petite touche de déco scandinave ?

Il y faut bien sur au moins un restaurant où l’on doit faire la queue dans la rue pendant une heure minimum avant d’espérer parler à l’hôtesse.

Et puis, il y a la moyenne d’âge. Plus de 35 ans s’abstenir !

Des bars, mais pas n’importe lesquels. Perchés, dissimulés, pas forcément confortables mais où les mixologues ont une partie du corps visible couvert de tatouages. Idem d’ailleurs pour les baristas !

Voilà, quelques indices. Mais surtout, il s’agit de ce type de quartier pour lequel on est prêt à traverser Paris. Ce lieu si riche, qui a tant à offrir, qu’on y passerait volontiers quelques heures, encore et encore.

Alors revenons en au XIIIème pour découvrir ce qu’il nous propose. Parce que, contrairement à ce que certains pourraient croire, on ne s’ennuie pas dans le XIIIème ! Et nous allons découvrir ensemble que ce quartier est en passe de devenir hype, et plus encore.

Paris 13 – le charme de ses villages

Ennui total dans le 13ème ? Oui, pour ceux qui ne savent pas apprécier les promenades bucoliques en peine ville.

Le XIIIème fait partie de ces arrondissement périphériques de Paris qui ont été intégrés à la capitale il y a à peine 150 ans. Il en garde ce parfum de village, et il est courant de croiser des visiteurs qui s’aventurent dans ses petites rues charmantes armés du dernier guide livrant les quartiers secrets de Paris.

La Bute aux Cailles bien sur, connue pour ses ruelles pavées mais aussi pour ses bars et ses restaurants.

Citée florale, aux rues qui portent chacune le nom d’une fleur, rue Dieulafoy et ses maisons colorées, l’arrondissement permet une promenade bucolique au coeur de la ville.

Le square des Peupliers

La rue Dieulafoy et ses charmantes petites maisons multicolores.

Et tant d’autres encore à découvrir au fil des déambulations.

Ennui total dans le 13ème ? Oui, pour ceux qui n’aiment pas la découverte ni le voyage sans quitter la ville !

Paris 13 – l’exotisme au coin de la rue

Quand on parle du XIIIème arrondissement, il est fréquent d’entendre  » ah oui, le quartier chinois ! ». Bien sur, il s’agit là d’un raccourci pour un arrondissement si riche et aux facettes si multiples.

Néanmoins, la communauté asiatique y est effectivement très présente, et avec elle toute l’offre exotique qui permet de voyager sans sortir du périphérique.

On peur s’équiper en vaisselle et autres mugs pour un effet « ailleurs  » garanti.

Et on peut bien sur aussi se régaler, il n’y a que l’embarras du choix.

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Ennui total dans le 13ème ? Oui, pour ceux qui ne s’intéressent pas à l’art, et au street art tout particulièrement.

Paris 13 – le street art everywhere

Le XIIIème arrondissement est devenu depuis quelques années le quartier incontesté du street art à Paris. Des fresques géantes visibles du métro aérien, comme cette superbe oeuvre de INTI, ici en cours de création.

Une tour, la tour 13, qui avait tant fait parler d’elle avant de disparaitre, cet art est tellement présent qu’il existe désormais des balades guidées à sa découverte.

Sans oublier Les Frigos, qui n’ouvrent leurs portes au grand public que quelques fois par an, pour permettre de partir à la découverte de ce lieu pour le moins insolite.

J’ai listé jusqu’ici ce qui fait le charme de cet arrondissement.

Mais au delà du charme, il est désormais vivant, animé, et je m’oserai même à dire branché !

Paris 13 – bars branchés et autres péniches

Ennui total dans le 13ème ? Oui, pour ceux qui ne se sont pas rendus compte que désormais, les bars branchés sont ici !

On commence par le Perchoir. Même si celui ci n’est pas encore perché. Je m’explique.

Le célèbre perchoir a pris ses quartiers au MK2 Bibliothèque. Entendez bien : pour le moment, il est en mode « posé » plutôt que « perché ». Après enquête, il s’avère que la raison en est technique et que l’an prochain il devrait pouvoir prendre de la hauteur sur les toits du cinéma.

Continuons vers les quais de la Seine, en contrebas de la BNF. C’est ici que la branchitude prend toute sa signification. Le bateau phare, le Petit Bain.

Sans oublier le Off Seine, le premier et unique hôtel flottant, célèbre pour sa bouée cygne géante, et où l’on peut prendre un verre même si on ne réside pas sur place.

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Ou encore le café OZ rooftop qui s’est posé sur le toit de la Cité de la Mode et du Design.

Enseigne australienne réputée pour sa convivialité, les couleurs vives de sa déco, tout bois massif, tôle ondulée, fresque aborigène, avec un bar extérieur, une cabine Dj sur la terrasse, tout ce qui en fait un des hotspots parisiens incontournables de cette année !

Paris 13 – sans oublier tout le reste

J’ai parlé d’un certain nombre des multiples attraits du quartier. J’aurais pu aussi parler du cinéma, dont le XIIIèeme est un haiuut lieu avec sa fondation Jérôme Seydoux-Pathé, son cinéma historique les Fauvettes ou encore le célèbre MK2 bibliothèque.

Et puis il y a aussi le XIIIème estudiantin. Parce que l’arrondissement est le premier en termes de population étudiante dans toute la capitale. Et donc un arrondissement à la population jeune.

Ndlr Tiens, on a là plusieurs éléments qui concourent à faire de cet endroit un endroit cool non ?

Sans parler du plus grand incubateur européen de startups, la station F, dont l’ouverture est imminente.

En résumé, vous l’aurez compris,  le XIIIème, ça vous gagne !