En mai 1968, Citroën la dévoilait, modèle de loisirs atypique, qui fait rapidement fureur.
En mai 2016, c’est avec E-MEHARI, cabriolet 4 places 100 % électrique, que la Marque crée à nouveau la surprise, en organisant sur les pavés, la plage…
Direction place de la Bastille : c’est là que Citroën convertit en ‘plage de la Bastille’, une plage accessible à tous le week-end des 21 et 22 mai. Pour tout savoir sur l’opération, ça se passe sur les réseaux sociaux avec #PlageDeLaBastille
La marque nous promet donc, à proximité du port de l’Arsenal, sur ce qui est rebaptisé le temps d’un weekend : »la plage de la Bastille » , des animations gratuites, dans une ambiance festive et pleine de surprises, comme par exemple :
un centre d’essai, réservé aux titulaires du permis de conduire, pour prendre le volant de E-MEHARI.
des jeux de plage : beach volley, pétanque, raquettes de plage, surf mécanique.
de la détente, en profitant de chaises longues, poufs et parasols.
des châteaux de sable et un espace dessin pour les enfants.
de la musique l’après-midi avec sets de DJ de la scène parisienne : Westerly le 21 mai et Seb Ale 22 mai.
de la fraîcheur en savourant une eau de coco distribuée par Vaï Vaï, partenaire de l’opération.
une exposition consacrée à E-MEHARI et à la Méhari originelle.
unphotocall E-MEHARI, pour poser comme une star et partager sa photo sur les réseaux sociaux afin de gagner peut-être un des 12 lots mis en jeu par tirage au sort.
des goodies distribués tout au long du week-end.
Donc, si le soleil est de la partie ce weekend, on se donne rendez-vous place de la Bastille pour un avant goût d’été ?
La réponse était bien sur le Jules Verne ! Merci à tous pour vos participations ! La gagnante est Michèle Philiippe. Merci de m’envoyer tes coordonnées postales à nathalie@theparisienne.fr
C’est le jeu qui vous rendra incollable sur notre capitale.
400 questions et plusieurs niveaux de jeu, ParisIQ offre aux amoureux de Paris la chance de prouver leur statut de connaisseurs avertis et d’explorer la ville d’une manière amusante et originale.
Le principe : chaque partie se joue avec 24 cartes en 2 phases, l’une de connaissance et l’autre de mémoire. Chaque co-équipier doit prendre des risques pour marquer plus ou moins de points et mener son équipe vers la victoire… Marque originale qui permet ainsi à tous de participer activement !
De Paul Auster à Djamel Debbouze, du plat préféré des Parisiens à leur apéritif de prédilection, du Louvre aux secrets du métro parisien, ParisIQ regorge d’anecdotes et d’informations fascinantes. Les bonnes réponses sont décomptées en points de QI sur une feuille des scores et l’équipe avec le plus haut quotient l’emporte.
HELVETIQ est une jeune maison d’édition suisse créée en 2008 et qui est à l’origine déjà de NYCIQ, et puis aussi de Wine IQ, et tant d’autres à venir.
Mais en attendant de découvrir les autres jeux proposés, vous pouvez gagner le jeu sur PARIS !
Alors voici une question :
1/ Comment s’appelle le restaurant situé au 2è étage de la tour Eiffel ?
Le Victor Hugo
Le William Shakespeare
Le Jules Verne
On y mange à 125m d’altitude.
Alors pour participer, c’est simple.
Vous laissez la réponse à la question ci dessus dans un commentaire que je n’afficherai pas, ce serait trop simple !
Et puis, vous vous abonnez à ma newsletter, et vous likez la page FB de Helvetiq
Et chaque partage sur FB et/ou Twitter vous donnera une chance de plus au tirage au sort du 20 mai.
Alors, qui de vous connaitra Paris sur le bout des doigts ?
L’enjeu pour l’artiste est multiple. Parce que concevoir une oeuvre d’art dans un lieu qui est lui même si présent, si somptueux, si merveilleusement exceptionnel, c’est un défi difficile à relever.
Monumenta 2016
Faut-il faire oublier le lieu pour donner la part belle à l’oeuvre seule ? Ou faut-il mettre sa création au service d’un lieu si unique ?
Commet faire cohabiter en permettant aux deux éléments de se sublimer mutuellement ?
Les artistes des éditions précédentes ont chacun fait leur choix. Avec, en ce qui me concerne, un vrai coup de coeur pour Anish Kapoor dont le leviathan s’était installé dans la nef pour un échange et un dialogue parfait.
Aujourd’hui donc, c’est l’artiste chinois Huang Yong Ping qui se livre à l’exercice.
Le nom de son oeuvre : Empires.
Le message : il représente ce qu’il décrit comme la modification du monde, les métamorphoses des puissances politiques et économiques.
Des explications détaillées sont données quand à la symbolique du bicorne napoléonien qui trône au centre de l’installation, la symbolique du serpent, ou encore de ces dizaines de containers installés en allées monumentales.
Des détails très techniques sont également communiqués, en particulier le poids et la taille du bicorne par exemple.
Mais, si on y pense, je n’ai pas souvenir d’avoir jamais vu mentionner le nombre de pots de peinture utilisé pour un Van Gogh ou un Matisse lors des expositions de leurs oeuvres. Bref.
En fait, la vraie question pour moi est : qu’est-ce qu’on ressent là dedans ?En ce qui me concerne, je dirais de la perplexité.
L’installation est véritablement monumentale, elle envahit l’espace et l’habite parfaitement.
Monumenta 2016
Certains ont déjà trouvé comme faire de ces containers un setting parfait pour une séance photo improvisée ….
Quant à moi, comme toujours, j’aime prendre de la hauteur, et observer d’un autre angle.
Là, on a presque le sentiment que le serpent se met en mouvement… Et si c’était le cas ? Et si je partais sur ses traces dans la ville plutôt que de lui tourner autour dans cette superbe cage…
Enfin, une dernière chose : surtout, attendez que le soleil brille pour aller découvrir cette oeuvre. L’expérience montre que toutes les installations, même les grues de montage entre deux expositions, sont sublimées par le ciel bleu et la lumière du soleil.
L’éclair de Génie, tout les parisiens connaissent ! Fan de cette pâtisserie ou pas, on a tous entendu parler de ce précurseur de la pâtisserie mono produit, qui a lancé le concept pour les éclairs, et qui fait toujours partie du paysage gourmand parisien.
Mais Christophe Adam, son créateur, a la bougeotte ! Et il a donc décidé d’élargir son champ d’action, d’aller à la rencontre de ses gourmands de clients en les accueillant dans un lieu qui leur proposera bien plus que les éclairs.
Voilà comment est né » L’Eclair de génie café » ! Un endroit accueillant, où le café promet d’être à la hauteur des pâtisseries et viennoiseries qui l’accompagneront.
viennoiseries l’Eclair de génie café
Dans ce café, les crus seront choisis avec précision, l’ambiance promet d’être celle d’un « coffee shop new yorkais » revisité à la sauce parisienne. L’endroit parfait pour une pause gourmande, avec des pâtisseries maison, des viennoiseries gourmandes, et aussi des club sandwich pour pousser jusqu’au déjeuner, ou vice versa.
Il a choisi Montmartre, sur son versant authentique, à proximité des Abbesses. Le Café de L’Eclair de Génie a donc pris ses quartiers Rue Lepic, au coeur d’un 18ème gourmand et authentique.
Et j’avoue que ces viennoiseries ont fait chavirer mes papilles !
Et puis bien sur, les éclairs, encore et toujours, sans oublier la nouveauté : le « chouger », dont on me dit qu’il va désormais aussi se décliner en version glacée, dans la boutique de Montorgueil.
ELSE est un restaurant qui donne une nouvelle dimension aux spécialités du Moyen Orient.
Ce renouveau, le restaurant le doit bien sur à son chef franco-israélien Daniel Renaudie. Il a vécu en Israël, et c’est de là qu’il a ramené dans ses bagages le goût des couleurs, des saveurs ensoleillées et des épices. Puis, il est passé par un restaurant étoilé pendant deux ans à Amsterdam, et cette signature se retrouve dans ses assiettes.
ELSE Paris
Il propose une cuisine méditerranéenne inspirée du Proche-Orient. Avec des produits frais, de saison, et toutes ces épices qu’on ne trouve que là bas. C’est bien pour cette raison que, sur le menu, vous trouverez le détail de la composition de chacune d’entre elles, là, sur la page de gauche.
ELSE – le menu
Ses assiettes sont créatives, et réinventent des classiques de la méditerranée ou du moyen orient.
Prenons par exemple le taboulé.
Loin d’être en vrac dans votre assiette, ici il est subtil, élégant, et délicieux.
Taboulé chez ELSE
Et il en va de même pour tous les plats. La présentation est élégante, le goût fin et savoureux. Pas d’excès de graisses comme on peut en avoir parfois dans des plats tels que le krouvit ou le shwarma. Des saveurs, des couleurs, tout en légèreté.
ELSE – entréesELSE – plats
Et puis il y a le dessert : ne commettez pas notre erreur, et quand vous prendrez la glace au halva, prenez là pour vous, ne partagez pas ! Je répète : ne partagez pas ! Vous le regretteriez amèrement…
Nous avons découverte le restaurant ELSE lors du déjeuner.
Et l’excellente surprise, au delà des saveurs, c’est le prix. En effet, le rapport qualité prix est imbattable. Pour 18€, soit dont un plat et un dessert, vous allez vous régaler, et vous serez parfaitement rassasié. Et avec les beaux jours qui arrivent, ou en tous cas qui vont et viennent, vous pourrez même peut-être vous installer en terrasse.
Enfin, pensez à demander le chef, ne serait-ce que pour lui faire part de vos impressions sur le délicieux repas que vous aurez dégusté. Faites moi confiance, vous ne le regretterez pas …
Les luminaires de Céline Wright ont une histoire. L’histoire de leur créatrice qui, ayant vécu au Japon, s’est inspirée de techniques locales pour créer ses luminaires aériens et poétiques.
Céline Wright
Depuis 18 ans elle créé des luminaires en papier japonais, inspirée par la matériau végétal et minéral.
Ses luminaires sont faits à la main, et ils évoquent calme et sérénité. La main et le pinceau pour uniques outils, ses luminaires sont principalement fabriqués dans son atelier à Montreuil.
Qu’ils soient suspensions ou à poser , ses luminaires m’ont donné l’occasion de découvrir un matériau que je ne connaissais pas : le washi, papier japonais à la blancheur inaltérable, extrêmement résistant, translucide, et permettant de réaliser des créations d’une extrême légèreté.
Ainsi, si vous rêvez d’un luminaire « cirrus », d’une envergure de plus de 2 mètres, sachez qu’il pèsera moins de 5 kilos !
Commercialisés en points de vente spécialisés jusqu’à ce jour, vous pourrez désormais les admirer et les acheter dans la boutique qu’elle vient d’ouvrir sur l’Ile Saint Louis, rue Saint Louis en l’Ile.
Céline Wright
Voici donc un aperçu de ses créations. Chacun porte un nom poétique.
Ainsi, les appliques rondes murales répondent au nom de Diva, et elles existent aussi en suspension, ou encore en version lampadaire à poser au sol.
Le lampadaire longiligne dont la forme rappelle des ailes s’appelle lui » Envol « .
Alors, quand vous serez en quête de lumière, faites un tour chez Céline Wright, sur l’Ile Saint Louis.
En effet, c’est le grand père qui a travaillé le cuir le premier. C’est en 1951 qu’il ouvrit son atelier, et travailla entre autres pour Gerard Darel ou Cacharel pour qui il fabriqua des ceintures. C’est en hommage à cette date que son petit fils qui reprit l’atelier, nomma la marque. Pierre Yang-Chung décide donc de créer cette marque et une nouvelle identité afin d’évoluer dans un univers qu’il aime, tout en restant fidèle aux méthodes de confections traditionnelles et artisanales léguées de père en fils.
Et puis, et surtout, parce qu’il y a un choix extraordinaire de tailles, de couleurs, de textures.
En passant le pas du show room de la rue Caffarelli vous allez découvrir une cavent d’Ali Baba . 6 tailles, des couleurs, des cuirs de textures différentes, des chaines à accorder à votre pochette pour la transformer en sac, j’avoue qu’il faut se préparer à prendre son temps pour choisir !
Et si toutes ces pochettes ne suffisaient pas, 1951 – Maison française proposera de petits cartables ainsi que des bourses dès l’hiver prochain ! Autant dire que le concept d’embarras du choix prendra là tout son sens !
1951 – Maison Française
Sans oublier les nouvelles pochettes bicolores.
1951 – Maison française
1951 – Maison française 6, rue Caffarelli 75003 Paris Tel : +33 9 84 52 04 55
Art Paris Art Fair est un évènement incontournable des grandes foires artistiques qui se déroulent à Paris chaque année, et en particulier au Grand Palais. Cette foire s’est déroulée il y a deux semaines maintenant.
Art Paris Art Fair est le rendez-vous incontournable de l’art moderne et contemporain au printemps à Paris qui rassemble cette année 143 galeries de 22 pays. Fidèle à son concept du régionalisme cosmopolite initié il y a quatre ans, l’édition 2016 explore le territoire européen et ses scènes singulières de Marseille à Milan, de Munich à Zürich tout en accueillant la création venue de rivages plus lointains notamment d’Azerbaïdjan, de Colombie et d’Iran, non sans oublier la Corée, pays invité d’honneur.
Si je résume, il s’agit de réunir des galeries du monde entier pour permettre aux heureux parisiens de venir découvrir les tendances artistiques du moment.
N.B si quelqu’un sait ce que signifie « régionalisme cosmopolite » , je suis preneuse ! Bref.
Art Paris Art Fair est donc le pendant printanier de la FIAC automnale. Sans la partie « Hors les murs ».
Tarifs similaires, 25€ par personne, organisation de la présentation dans la nef du Grand Palais très semblable.
Et puis les badauds qui déambulent dans les allées : généralement lookés, très lookés ! Ils s’improvisent critique d’art, et c’est l’occasion de tendre l’oreille pour capter les perles, tel un Loic Prigent version Culture Week.
Donc, il y a les « tendances« .
Il y a eu, à la FIAC, les oeuvres auto descriptives, auto explicatives, c’est plus simple …
Il y a toujours une « pièce marquante« . Par « marquante », comprenez : « plus grosse, plus visible, plus volumineuse, plus colorée » !
A la Fiac de l’an dernier, une Ferrari, rouge bien sur, vaguement cabossée. Avantage de l’oeuvre : chacun peut y voir son message de « lutte contre le capitalisme et ses emblèmes », voire même s’enthousiasmer devant l’audace de l’artiste; un peu comme si on avait gardé une partie du billet de 500Francs brûlé par Serge Gainsbourg en direct, pour l’exposer là !
Pour Art Paris Art Fair 2016, la pièce maitresse incontournable : un lion empaillé, accompagné d’un jeune homme tatoué.
Art Paris Art Fair
Cette année donc, une tendance au moins à Art Paris Art Fair : la matière multicolore dans tous ses états.
Très coloré, je vous le concède. Mais quelle émotion un tel type d’oeuvre peut-il susciter ? Qu’est ce que ce type d’oeuvre peut inspirer ?
Entendu dans les allées « il faut vraiment beaucoup de patience pour faire ça » … Un peu comme la nouvelle mode des coloriages pour adultes !
Heureusement, quelques belles surprises, en particulier dans la photo, avec un coup de coeur pour cette galerie qui expose Jimmy Nelson et Nick Brandt : la a-galerie Des artistes qui mettent leur art au service d’une cause plus grande qu’eux et qui, sans relâche, oeuvrent pour la défendre.
Nick Brandt, et son projet Inherit the dust, qui photographie encore et encore la nature et surtout sa disparition en Afrique.
Et Jimmy Nelson, qui, avec Before they pass away, a parcouru le monde sans relâche pour immortaliser ceux dont les tribus méconnues sont en voie de disparition. Avec des résultats d’une beauté saisissante.
Jimmy Nelson
Art Paris Art Fair est terminé pour cette année.
Par chance, Paris regorge de galeries variées, riches en oeuvres multiples, et dans lesquelles on peut admirer photographies, sculptures et tableaux tout en profitant de notre belle ville ! Et si vous commenciez par la a-galerie !
Je vais être franche : je ne vais pas très fréquemment dans ce coin de Paris. Il faut bien le dire, chaque parisienne a ses quartiers de prédilection, voire même un coin « village » où nous avons nos habitudes, et dont nous sortons rarement. Et dans mon cas, le lointain 19ème ne fait pas partie de mes quartiers refuge.
Mais la promesse était alléchante, et puis finalement, une fois de temps en temps, sortir de mes zones de confort, au propre comme au figuré, c’est plutôt agréable !
J’ai donc traversé la ville pour découvrir cette nouvelle adresse, et j’ai adoré !
Il s’agit donc là d’une toute jeune adresse, installée sur les quais, face au canal, avec une terrasse dont je suis sûre qu’elle sera prise d’assaut dès les beaux jours venus.
Maison Becquey
Une jolie salle, où l’on retrouve tous les codes du bistrot, la cuisine vitrée en plus. Boiserie et bar traditionnel, menu sur ardoise, tout y est.
On retrouve donc les classiques du bistrot, et puis il y a la rôtisserie, spécialité de la Maison Becquey.
Maison Becquey – le menu
Poulet, bien sûr, mais aussi rôtisserie du jour, voire même à commander pour emmener chez soi. Et la maitrise de la cuisson est parfaite, même pour du blanc, moelleux et tendre.
Maison Becquey – poulet
Cela dit, ne vous y trompez pas, ils font aussi très bien le poisson !
Et pour le dessert, pas de photo du mien, comme cela m’arrive trop souvent. La gourmandise prend le dessus et j’ai dévoré la crème brûlée maison avant même de l’avoir immortalisée.
Mais par chance, vous pouvez en avoir un aperçu dans le café gourmand, en miniature cette fois !
Maison Becquey – café gourmand
La terrasse n’était pas de saison quand je suis allée déjeuner, mais la promesse est sympathique. Bon à savoir avec les beaux jours qui semblent arriver.
Enfin, petit conseil d’amie : dans la salle, ne vous installez pas sur les charmantes petites tables pour deux le long de la baie vitrée. Les chaises y sont jolies, mais nettement moins confortables que dans le reste de la salle.
Deuxième point : si vous préférez la cuisse au blanc, précisez le dès que vous commandez votre poulet.
La Table d’Aligre est un restaurant qui, comme son nom l’indique, se trouve sur la place d’Aligre.
Ce qu’on devine moins facilement à la seule lecture de son nom, c’est que ce restaurant est spécialisés en poissons et produits de la mer.
La table d’Aligre – ce qu’on y mange
Des poissons frais, livrés tous les jours, pêchés dans les règles de la pêche raisonnée, par de petits bateaux.
La table d’Aligre
La carte est le reflet de cette passion pour les poissons. Une large proposition d’espèces, toutes cuisinées à la plancha, dans une volonté de donner toute sa place à ces superbes produits.
Pour commencer le repas, et attendre les retardataires, une assiette de calamars, et la dégustation commence.
calamars
Croustillants à souhait, frais, avec une cuisson parfaite. Idéal à partager, avant d’attaquer le menu du jour pour lequel nous avons tous opté.
L’entrée, un délicieux carpaccio de daurade. Là encore, on sent la fraicheur du poisson, qui fond dans la bouche.
carpaccio daurade – la table d’Aligre
Le poisson qui suit devait être accompagné de purée. Cependant, pénurie, alors elle est remplacée par un mélange de haricots blancs et champignons. Et, après la déception à la vue des légumes, la surprise : un délice !
Et on continue à se régaler jusqu’au dessert, des sorbets faits maison, dans lesquels les fraises s’expriment à chaque bouchée !
Nous sommes arrivés dans ce restaurant par hasard. Lassés d’attendre l’ouverture du spot trendy du quartier, East Mamma, devant lequel la file d’attente s’allongeait alors que l’heure d’ouverture n’était pas encore arrivée. Parce qu’attendre pour manger, aussi bon le restaurant soit-il, ne semble pas très raisonnable dans un ville comme Paris, en tous cas à mon avis !
La table d’Aligre – pourquoi j’y reviendrai
Alors je vous recommande ce restaurant qui, sans compte Twitter ni grande inauguration où le tout Paris se presse, a réussi à se faire connaitre, à créér une clientèle de fidèles, juste parce que leur cuisine est généreuse, de qualité, à base de produits sélectionnés avec soin et respect.