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8 avril 20158 avril 2015

Belle Epine – une nouvelle vie

Belle Epine – le plus ancien centre commercial de France

Il était temps qu’il pense à se refaire une beauté : c’est chose faite. Belle Epine renait de son passé pour entrer dans le XXIème siècle.

De grandes allées lumineuses, des boutiques accueillantes, une variété de choix assez spectaculaire, je dois dire, moi qui ne suis pas une grande adepte de centres commerciaux !

Bien sur me direz vous, il s’agissait d’un jeudi après midi. Mais pourtant, la dimension du centre, la distribution des espaces, tout cela laisse penser que même en des périodes plus animées, on pourra s’y promener avec plaisir.

Ce que j’ai particulièrement apprécié, c’est la verrière omni présente qui garantit une lumière naturelle où que vous soyez.

D’ailleurs, jugez par vous même, avec ce petit « avant / Après » !

Le verre omni présent, le blanc comme couleur dominante, un mobilier modernisé pour la joie des visiteurs qui s’y installent avec plaisir.

Le centre mise également sur les services : prêt de poussette, cabines d’essayage dédiées aux achats fait sur Internet et que l’on vient récupérer sur place.

Tout est mis en oeuvre pour que le shopping devienne une expérience ludique pour tous, seuls ou en famille.

220 boutiques, vous y trouverez forcément votre bonheur.

Dans l’ordre, mon coup de coeur va à l’enseigne Uniqlo. Une boutique gigantesque, aux rayonnages parfaitement rangés, riches de promesse de l’été. J’ai d’ailleurs craqué pour des chemises en lin si agréables à porter.

Mais il y a aussi le plus grand H&M de France qui intègre l’ensemble de l’offre de la marque (y compris H&M Home), et très bientôt Desigual, Mango et Calzedonia. sans oublier la famille avec Superdry et IKKS.

Je citerai aussi un Tati à l’entrée pharaonique…

Et un Hema spécial maquillage dont j’ignorais l’existence !

En synthèse, cette aventure hors des frontières de Paris a été extrêmement agréable !

Sans compter la fête d’inauguration, et la performance du groupe Kyo qui m’a replongée dans des souvenirs pas si lointains finalement !

[satellite]

7 avril 20158 avril 2015

Les bancs publics, à Paris et ailleurs

Les bancs publics – Une longue histoire d’amour

Bien sur, il y a LA chanson, celle à laquelle certains d’entre nous penseront sans que j’ai même besoin de l’évoquer.

Mais là ne s’arrête pas l’utilité de ces fameux bancs, que l’on croise dans la ville, à Paris, mais aussi partout en France, et dans le monde entier.

C’est un concours photo sur Terra Eco qui m’a donné envie de parler de ces fameux bancs, et la lecture de l’article associé d’ailleurs.

En y réfléchissant, on comprend à quel point le banc permet de contribuer à la vie sociale de la ville.

Ainsi, l’architecte danois Jan Gehl qui ‘occupe de revitaliser des quartiers à Londres, New York, Sao Paulo, Sydney et Copenhague en fait un des douze critères d’aménagement optimal de quartiers piétons.
Les bancs publics sont indispensables pour permettre à tous de se promener dans la ville et de pouvoir fractionner son trajet : pensez à ces personnes âgées qui n’envisageraient plus de mettre le nez dehors si elles n’avaient pas la certitude de pouvoir ponctuer leur promenade de pauses salutaires.

Le banc permet aussi de profiter des espaces extérieurs, de l’espace urbain, totalement gratuitement. Sans bancs, il faudrait impérativement débourser ne serait ce que quelques pièces pour s’offrir le privilège de s’installer au soleil, dehors, quand le printemps arrive comme aujourd’hui.

Et bien sur, c’est sur les bancs que naissent les échanges entre inconnus, les rencontres, le temps des papotages !

Je me suis promenée dans les rues, et j’ai observé ces fameux bancs …

Même vides, certains invitaient à la rencontre et à l’échange, comme tournés l’un vers l’autre !

On en croise qui accueillent de curieuses créatures….

D’autres font dans l’originalité, et invitent clairement à la lecture.

Le banc est en fait associé au dynamisme de la ville.
Plus elle est créative, plus elle bouge et plus elle installe de bancs comme Nantes ou Bordeaux par exemple, permettant de micros séjours sur la place publique.
Ils sont indispensables, sur les places désertées par les voitures, ou encore les berges offertes aux piétons : sur les berges de Seine, j’en ai vu l’été dernier pour le moins originaux !

Un grand nombre de villes dans le monde ont compris l’importance de ce mobilier urbain.

Aux Etats-Unis, à Central Park, on peut adopter un banc ! Central Park compte un total de 9000 bancs. Si vous avez envie de laisser un mot personnel ou de rendre hommage à quelqu’un qui vous est cher, il ne vous reste donc plus qu’à choisir votre banc et à contacter cette adresse e-mail : benches@centralparknyc.org

Vous aurez alors la joie de découvrir votre banc équipé d’une petite plaque métallique au nom de la personne à laquelle vous le destinez.

Alors, si on prenait le temps de s’assoir sur un banc ?

Merci à Terra Eco pour ce voyage citadin !

2 avril 20153 avril 2015

IT – Italian trattoria Paris

IT – Italian Trattoria

Enfin ! Il était temps ! J’en avais tant entendu parler, et pourtant, je ne l’avais pas encore testée, cette fameuse trattoria installée depuis quelques mois à quelques pas de la rue du Chevaleret dont je vous parlais il y a peu.

De quoi s’agit-il ? D’un restaurant, aux grandes tables que l’on partage, à l’atmosphère conviviale, où l’on est accueilli par de charmantes personnes au Borsalino blanc.

D’emblée, on vous explique : il faut choisir – entrée, plat – plat,dessert , voire trio si vous n’arrivez vraiment pas à faire votre choix. Vous commandez, vous payez, vous vous installez avec votre plateau sur lequel entrées et desserts auront été posés, puis vous attendez que le support qui correspond à vos pâtes ou à votre pizza vibre pour aller récupérer au comptoir l’essentiel, le plat de résistance.

Le choix est vaste, très vaste !

A peine on rentre dans le restaurant que l’on découvre ce mur de flacons qui semblent contenir de précieux élixirs, et qui sont en fait des flacons d’une huile bio en provenance directe des Pouilles.

Commençons par les entrées : mozzarelle, Buffala, de grands classiques indispensables dans tout bon restaurant italien qui se respecte, et qui se doivent d’être de qualité parfaite : c’est le cas ici !

Bien sur, le clou du repas, ce sont les plats : pâtes o pizza ?

Vous remarquerez le symbole qui représente une petite casserole, là haut, à côté du titre ? Il s’agit du symbole du label « fait maison ». En d’autres termes, tout, absolument tout, est confectionné sur place. Et quand on sait que l’intégralité des produits est bio, voilà déjà un certain nombre d’éléments qui permettent d’être optimiste.

Et la vision de ma Parma n’a fait que renforcer cette idée. Et de fait, tout ce que nous avons testé était délicieux.

Sur ce plateau, vous apercevez les pâtes aux truffes, et je vous garantis que leur parfum était enivrant et leur saveur addictive.

Même si je ne les ai pas goûtés, sachez que le mur de fruits et légumes que j’ai photographié sert pour la plus grand partie à la confection de jus de fruits pressés à froid, garantissant ainsi la préservation de toutes les vitamines, pour une énergie décuplée !

Enfin, soyez prudents en ce qui concerne l’heure : victime de son succès, le restaurant se remplit très vite, et il vaut donc mieux opter pour un déjeuner tôt, ou très tard !

Bon appétit !

125 avenue de France 75013 PARIS
c.it@outlook.fr
+33 (0)9 84 40 48 14

1 avril 20151 avril 2015

Fragonard – année capitale

Fragonard – un parfum de soleil

L’évocation de la marque Fragonard propulse naturellement dans un univers ensoleillé, aux parfums de Provence.

En découvrant la nouvelle boutique qui vient à peine d’ouvrir à Paris, à deux pas de l’Opéra et des grands magasins, j’ai découvert qu’il s’agissait de cela, et de bien plus encore.

Fragonard, c’est une histoire de famille qui commence à Grasse en 1926. Cette année sera « CAPITALE » pour la marque puisque, au delà des superbes boutiques qui ouvriront à Cannes, Marseille c’est à Paris qu’aura lieu l’évènement le plus marquant. En effet, il y a tout d’abord l’ouverture de cette nouvelle boutique, puis, en juin 2015, un musée nouvelle génération, mettant en avant les savoir-faire unique de la marque, tous les savoir-faire !

Fragonard donc, ce sont les parfums, les savons, les bougies. toujours superbes, avec cette année une année « jasmin ».

Les bougies sont tout particulièrement spectaculaires, avec une présentation qui donne envie de les collectionner toutes !

Mais certaines savonnettes ont un charme indéniable.

Mais Fragonard, c’est bien plus que tout cela, une véritable marque dédiée à l’art de vivre, et c’est ce que j’ai découvert lors de la visite de la boutique de la rue Boudreau.

Mobilier, vêtements, linge de table. Des couleurs, des textures et des motifs qui font voyager.

Ces motifs me projètent directement dans des images de plages, d’eaux turquoises et de moments uniques.

Et la plus grande surprise provient de la gamme si large de tuniques, robes, kurtas ou encore caftans. Légères, colorées, et très abordables puisque les prix commencent à 60€. Idéales pour l’été, je pense que nous allons toutes craquer.

Et vous trouverez même les colliers indispensables à compléter votre look.

Alors un petit tour du côté de chez Fragonard ?

Fragonard

5 rue Boudreau 75009 PARIS

31 mars 201531 mars 2015

Jean Paul Gaultier – Grand Palais

Jean Paul Gaultier est au Grand Palais.

N’ayons pas peur des mots cette exposition est extraordinaire à tous les égards.
Explication.
Jean-Paul Gaultier revisite intégralement le concept d’exposition : cette première exposition consacrée au couturier a déjà fait le tour du monde avant d’arriver à Paris, sa dixième étape. Et là, il a mis les petits plats dans les grands, créé des installations spécialement conçues pour l’occasion, pour notre grand bonheur !
Non seulement chaque salle raconte une histoire mais nous en sommes les acteurs.
On vogue de surprises en découvertes et chaque fois on est saisi par la surprise et donc l’émotion.

Le démarrage se fait en douceur avec quelques croquis, des photos et ces 4 mannequins qui ont pris vie dans un decor figé dans le mur.
Premier choc : la salle suivante : odyssée.
La, des mannequins en marinières vous accueillent.

Et la vous vous dites et alors ! Ou est le scoop ?

Ces mannequins parlent ! Ils vous parlent, leur bouche se met en mouvement leurs yeux s’animent
Et parmi eux, il est la: jean Paul en personne. Il parle, raconte, s’interrompt pour s’adresser aux spectateurs, et c’est saisissant : la sensation, la quasi certitude qu’il parle à quelqu’un en particulier qu’il interagir directement avec nous.

C’est à la compagnie avant gardiste théâtrale montréalaise UBU que l’on doit cette création audiovisuelle à part entière qui donne vie à ces mannequins inanimés, avec la participation de Jean Paul Gaultier bien sur, mais également de plusieurs personnalités, mannequins et acteurs, qui ont accepté de prêter leur voix et leur visage à ces humanoïdes d’un nouveau genre.

En continuant la visite, on se rend compte que d’autres mannequins s’expriment également, parlent et s’animent.
On se dit que le plus spectaculaire est passé : quelle erreur !

Salle suivante, un defilé grandeur nature.
Le podium, le street style mais dans la salle, et les invités qui tiennent précieusement leur carton d’invitation.

J’ai cherché le mien, il a du être égaré !

L’effet est tellement saisissant que peu à peu la foule devient plus dense et on perçoit un frémissement en tous points identique à celui d’un defilé de la Fashion Week.

Jean PaUl Gaultier s’est approprié le Grand Palais il y a mis son style sa voix et des images.

On y redécouvre les superbes tenues de scène confectionnées pour de grandes stars de la chanson.

Sa passion pour le corset sa vision de l’amour et de ses plaisirs.

Il nous mène en voyage dans la jungle urbaine, là où l’on croise de curieuses créatures et des oiseaux étranges.

Et comme pour tout defilé qui se respecte, c’est sur les robes de mariées que se termine ce parcours unique et inoubliable.

Jean Paul Gaultier

Grand Palais galeries nationales entrée Clémenceau

1 avril – 3 août 2015

30 mars 20151 avril 2015

Astérix et Obelix rentrent à la Monnaie de Paris

La Monnaie de Paris sort régulièrement de nouvelles séries de pièces en argent et en édition limitée.

Je ne suis pas collectionneuse dans l’âme, et pourtant je me surprends à régulièrement les acheter. Sans doute pour la dimension « unique », certainement dans une idée de transmission potentielle, je ne sais pas vraiment.

Quoiqu’il en soit, quand j’ai été invitée au lancement de la nouvelle série de pièces à l’effigie des célèbres personnages de bande dessinée, je n’ai pas résisté, et j’ai adoré !

Tout d’abord, l’occasion pour moi de rentrer pour la première fois dans ce bâtiment pourtant si familier, là, sur le quai de Conti, face au Pont Neuf.

Fondée en 864, la Monnaie de Paris est la plus vieille entreprise du monde, et la doyenne des institutions françaises.

C’est dans ses ateliers que sont gravées toutes les pièces de monnaie françaises, grâce aux 500 salariés basés quai de Conti ainsi qu’à Pessac.

Majesteux, un cadre somptueux pour accueillir un invité de marque, Albert Uderzo, et ses deux créations, Asterix et Obelix ! Petite déception, Idefix n’était pas de la partie !

Des pièces donc, à l’effigie de ces deux personnages mythiques, pour illustrer les valeurs de la République :

Liberté, Égalité, Fraternité. Des valeurs incarnées par ces Gaulois attachants.

Et puis La paix aussi , qui sera valorisée sur la pièce à la valeur faciale la plus forte puisqu’il s’agira de la pièce de 50€.

C’est Donc M.Uderzo qui a pris la parole pour s’exprimer sur cet évènement unique : la sortie de 12 pièces de 10€et d’une pièce de 50€ dès aujourd’hui, lundi 30 mars.

Il félicite les graveurs, Joachim et les autres, qui sont parvenus à ne pas trahir un dessin à plat et à lui donner du relief .

Il a également un mot pour René Goscinny qui nous a quitté il y a longtemps mais qui est toujours présent pour lui.

Alors, amateurs de collections limitées, de belles pièces, vous trouverez ces créations dans le bureaux de poste, et sur place, quai de Conti !

En attendant, je retourne voir mes nouveaux amis…

Monnaie de Paris

11 Quai de Conti

75006 PARIS

29 mars 20154 mars 2019

Un dimanche à Paris – le brunch

Un dimanche à Paris un nom bien choisi pour notre brunch dominical !

Un dimanche à Paris est donc un lieu qui revendique haut et fort sa passion chocolat. Et le chocolat est partout ! dans la boutique, les pâtisseries, mais aussi au restaurant, dans tous les plats, qu’ils soient salés ou sucrés, et donc bien sur pour le brunch également.

Deux formules sont proposées : le brunch et le brunch gourmet.

Nous avons tous opté pour le Brunch « simple » , et les choix à faire ont donc été limités :

quelle omelette, quel jus ( agrumes pressé maison ou nectars Alain Millat) et quelle boisson chaude.

Indéniablement, le cadre est charmant, sur cette ruelle pavée et que l’on pourrait imaginer secrète même si elle se trouve à quelques pas du métro Odéon !

Vous avez remarqué les filets couleur marron sur chacune des assiettes, autour de chaque omelette ? Et oui, il s’agit bien là de sirop de chocolat. dire que j’apprécie ce mélange serait déformer la réalité. Je me suis même appliquée à éviter de faire rentre en contact oeufs et chocolat. S’agit-il d’une vraie avancée gastronomique ? Je ne sais pas. Pour moi, c’est la superposition de saveurs qui n’ont pas grand chose à voir. Mais pour être honnête, nous y allions en connaissance de cause.

Indépendamment de cette touche spécifique, on peut dire que l’omelette était très bonne, cuite à point, et très savoureuse.

Après l’omelette, on en vient à la dimension sucrée, un assortiment de miniatures imposées.

Madeleines, mii muffins au chocolat, tartines au beurre salé recouverte de copeaux de chocolat.

En résumé, un brunch au choix restreint, aux partis pris gustatifs auxquels je n’ai pas adhéré.

A ces éléments, j’ajouterai que mini moi a été malade comme un chien tout l’après midi qui a suivi ce brunch. Cas individuel sans doute, mais qui a clairement contribué à installer mon manque d’enthousiasme !

4-6-8 Cour du Commerce Saint André – Paris 6^ème
Saint-Germain-des-Prés – Odéon – Tél: 01 56 81 18 18

25 mars 201525 mars 2015

Velazquez au Grand Palais

Velazquez est au Grand Palais.

Imaginez, il s’agit là de la première exposition Velazquez organisée en France . Né en 1599 à Séville, il ne peint qu’un nombre limité de toiles durant sa carrière, et la plus grande majorité pour le roi d’Espagne.

Aussi, la quasi intégralité de ses oeuvres est conservée au musée de Prado à Madrid, et cette exposition n’aurait pas pu être organisé sans son soutien.

On commence donc par Séville, là où il commence à apprendre la peinture et là où il produira ses premières oeuvres. Il s’agit de peintures évoquant l’Immaculé Conception, sujet central de la chrétienté à cette période.

Mais c’est vers Madrid qu’il se tourne, avec le souhait de devenir peintre du roi. Même s’il n’y parvient pas cette première fois, sa découverte de la ville sera aussi l’occasion d’être confronté à un nouveau courant de peinture venu d’Italie : le Caravagisme.

Il finit par devenir peintre du roi , apprend à se familiariser avec les goûts de l’époque, et rencontre le plus grand peintre du moment : Rubens.

Rubens, qui inspire les peintres de son époque au point qu’il est copié avec application.

Grâce à ce dernier, il part à la conquête de l’Italie.

Il y passe plusieurs mois et revient ensuite à la cour. Il devient alors le peintre officiel du roi et produis pour lui et pour sa nouvelle résidence de multiples toiles.

On découvre au travers de l’exposition du Grand Palais l’amplitude de son oeuvre,

on admire ses célèbres portraits.

Mais l’oeuvre qui m’a laissée sans voix celle devant laquelle j’aurais pu rester en admiration pendant des heures, la voilà.

Et je ne me lasse pas de ses moindres détails.

Et je ne suis pas la seule à avoir succombé.

Grand Palais

25 mars – 13 juillet 2015

24 mars 201523 mars 2015

Il n’y a que Maille qui m’aille !

Maille – une moutarde, des moutardes !

La moutarde, pas de quoi en faire un plat ? Quoique !

J’ai toujours considéré la moutarde comme un condiment basique, comparable au sel ou au poivre. De forte à moins forte, toujours dans les teintes « moutarde », en résumé je n’y ai jamais attaché d’importance …

Mais quel manque d’imagination de ma part ! Cela vaut d’ailleurs pour le sel, qui est loin d’être juste toujours blanc, mais je digresse !

Revenons en donc à la moutarde, la moutarde Maille.

Saviez-vous que Maille est installée Place de la Madeleine ?

Et là, en pénétrant dans leur boutique, on comprend qu’il y a plus que de la moutarde dans la moutarde …

Des saveurs auxquelles je n’aurais jamais pensé tout d’abord.

Imaginez, de la moutarde à la mangue… Pour celle là, je ne suis pas encore vraiment prête, mais je ne peux plus me passer de celle qui est aux fines herbes !

Chez Maille, vous allez donc pouvoir choisir des arômes et des saveurs qui vous permettront de faire des mariages parfait avec vos plats, un peu dans l’esprit du « wine pairing « , vous aurez le « moutarde pairing » !

Dans cette belle boutique, vous allez également pouvoir faire faire des paquets cadeaux dignes des plus grandes enseignes, et la surprise n’en sera que plus réussie pour celui ou celle qui ouvrira le paquet !

Et puis, pour les vrais amoureux de moutarde, ceux qui sont attachés à leurs jolis pots, et à une démarche responsable permettant de réutiliser son pot encore et encore, vous trouverez dans cette boutique la moutarde « pression » .

Ainsi, tout d’abord, vous sélectionnez votre pot : rouge, noir, ou grès, et en trois tailles.

Puis c’est grâce à ces machines que l’on vous remplira ce pot de la saveur de votre choix.

Vous aurez le choix entre chablis, chablis et truffes, et d’autres encore !

Voilà, prêt à redécouvrir la moutarde ?

Maille PARIS

6 Place de la Madeleine, 75008 Paris
01 40 15 06 00

23 mars 201523 mars 2015

Sofitel Faubourg – un 5 étoiles couture

Le Sofitel Faubourg rénové pour vous accueillir.

Installé rue Boissy d’Anglas, Le Sofitel Faubourg porte bien son nom. Il incarne totalement l’esprit du Faubourg.

Par son architecture tout d’abord. Deux anciens hôtels particuliers du XVIIIème, réunis pour faire un tout au service de ce bel hôtel. Ainsi, qui permettent donc de disposer d’une part d’une verrière splendide au niveau de l’accueil,

et d’autre part d’une charmante cour intérieure rattachée au restaurant, le Stay.

Puis par son esprit couture, en harmonie absolue avec les superbes grands noms de la mode installés à quelques pas. La décoration , qui nous fait voyager dans la mode des années 30 jusqu’à nos jours.

Une décennie par étage, de superbes clichés dans les couloirs comme dans les chambres.

Les chambres donc, chaleureuses, élégamment décorées, et toujours ce lit de rêve, celui dans lequel on se love comme si on se couchait dans un nuage pour une nuit au sommeil apaisant.

Les suites sont conçues sur la base des mêmes precepts, en accord avec cette architecture faubourg du XVIIIème. Poussez la porte pour vous retrouver dans cette configuration si représentative des appartements de maitre à l’enfilade de pièces caractéristique de l’époque qui donne cette profondeur, relayée par le reflet du miroir.

Chambre élégante, décorée de photos toujours dans ce thème récurrent de la mode.

Salon privé pour une pause bien méritée après une virée shopping .

Après cette visite, revenons au bar, ce bar qui très bientôt pourra nous accueillir dans cette terrasse installée au calme de la rue Boissy D’anglas.

Discret et accueillant, il permet une pause snacking en journée au calme, à l’abri du brouhaha de la ville.

Sans oublier les pâtisseries, dont la tarte au citron meringuée que je vous recommande plus que vivement !

Et puis il y a la carte des cocktails, qui portent tous les noms des plus grands couturiers, et il parait qu’ils leur ressembleraient même !

Enfin, et pour finir cette visite, je vous invite à découvrir le clou du spectacle, ce lieu unique et d’une originalité totale, le rêve des gourmandes et et gourmands du monde : la bibliothèque pâtissière du restaurant STAY !

Ici, vous participerez à l’élaboration du dessert de vos rêves. Ici, vous dégusterez en passant un caramel ou un chocolat, en attendant votre café, ou pour l’accompagner. Ici, vous choisirez le parfum de la pâte feuilletée de votre mille feuilles, ainsi que celui de la crème qui le garnira. Ici, vous aurez le droit de dire que la glace qui accompagne votre dessert ne vous convient pas et vous pourrez choisir le parfum de votre choix. Ici, quand vos enfants vous accompagnerons, ils seront aux paradis des petits !

On se retrouve en terrasse dès les premiers rayons du soleil pour prendre un verre ?

Sofitel Faubourg

15 Boissy d’Anglas St, 75008 Paris

Téléphone :01 44 94 14 14