Tous au Restaurant Edition 2016

Tous au Restaurant 2016 

Les inscriptions ont commencé ! Pensez-y !
Chaque année, j’y pense, chaque année, trop tard !

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Est-ce votre cas ? Est-ce que cette année sera la bonne ?

Du lundi 19 septembre au dimanche 2 octobre 2016 pour la septième année consécutive, Tous au Restaurant revient.

Pendant ces 15 jours vous pourrez  déguster la cuisine de tables étoilées, de bistrots contemporains de jeunes chefs talentueux ou encore de brasseries et autres cuisines du terroir. C’est l’occasion ou jamais de s’offrir ce que l’on ne se permettrait pas durant l’année au prix habituel de ces établissements.

Parmi le millier de restaurants participants dans toute la France, déjà 33 restaurants étoilés participent !

Les gastronomes pourront également découvrir à travers le menu « Tous au Restaurant », les tables traditionnelles, les tables récompensées ou montantes en fonction de leurs envies…

Tous au restaurant – comment ça marche ?

Le restaurateur compose un menu spécial et en fixe le prix.

Un menu acheté, un menu offert.

Pour un menu acheté, celui de l’accompagnant, identique, est gratuit. Chaque restaurateur est maître de sa prestation, de ses prix et du nombre de tables qu’il met à disposition pendant la quinzaine de Tous au Restaurant.

Pour réserver.
Les réservations se font exclusivement sur le site de Tous au Restaurant  : www.tousaurestaurant.com

Les nouveautés 2016

Un menu Tous au Restaurant « Fromage Compris ! »
Formidable opportunité pour faire découvrir et valoriser la diversité et la richesse des fromages français ! Les restaurants participants à l’opération « Fromage Compris » seront identifiés par un pictogramme sur le site www.tousaurestaurant.com
Tous au Restaurant prend de la hauteur
Pour célébrer sa 7e édition, Tous au Restaurant créera 3 restaurants éphémères sur 3 rooftops parisiens exceptionnels qui mettront en scène le «restaurant de demain». Les chefs invités imagineront à 4 mains, à 6 mains, voire même à 10 mains un menu unique.

Alors, est-ce que pour vous cette édition 2016 sera la bonne ?

Allez-y, réservez, parce que Tous au Restaurant, ça commence demain !

Fou de pâtisserie – rue Montorgueil

Fou de Pâtisserie

Cette pâtisserie n’est pas comme les autres.
A plusieurs titres.

Fou De Pâtisserie rue Montorgueil
Fou de pâtisserie rue Montorgueil

Commençons par l’origine de sa création. Fou de pâtisserie a été conçue et créée par les créatrices du magazine du même nom !

Voilà sans doute ce qui explique les différentes particularités de cet endroit décidément pas comme les autres.

Et voici donc la liste des spécificités de cette nouvelle adresse gourmande de la rue Montorgueil.

Un pâtissier – des pâtissiers

Tout d’abord vous y trouverez des pâtisseries de pâtissiers hyper connus qui ont tous leur propre pâtisserie/ salon de thé / lieu d’expression.
Oui, vous avez bien compris.

Fou de pâtisserie
Fou de pâtisserie – macarons Pierre Hermé

Ici vous pourrez acheter des macarons Pierre Hermé ou bien des gâteaux de Hugo Pouget (Hugo&Victor) ou de Jonathan Blot (Acide macaron)

Vous pourrez aussi repartir avec des biscuits de Gilles Marchal ou des pâtes de fruits de Jacques Genin.


Cette semaine vous pourrez même déguster deux pâtisseries de Michaël Bartocetti, le chef pâtissier du Shangri La.

Fou de pâtisserie
Fou de pâtisserie

Autant vous dire qu’il s’agit là d’une première : un chef de palace qui créé hors ses murs !

Prix unique

Chez fou de pâtisserie, toutes les pâtisseries présentées sont à un tarif unique et fixe : 5,90€

J’aime cette dimension rassurante de se dire que l’on sait ce que l’on va payer, et cela pour les pâtisseries des plus grands chefs pâtissiers de la place.

Parce que je dois reconnaitre que les pâtisseries individuelles à près de 10€ la pièce qui fleurissent chez certains pâtissiers particulièrement en vogue, je n’en peux plus. Il faut savoir raison garder non ?!

Toujours des nouveautés

Chez fou de pâtisserie, vous ne pourrez jamais vous dire que vous avez fait le tour de tout ce qui était proposé pour la bonne raison que l’offre change en permanence.
Un pâtissier prèsent aujourd’hui ne le sera pas la semaine prochaine mais il peut revenir la semaine d’après !
Autant vous dire que si vous avez une envie soudaine de douceur et que vous êtes du côté de la rue Montorgueil, « Fou de pâtisserie » est là pour vous.
Fou de pâtisserie
45 Rue Montorgueil 75002 Paris

Restaurant MûRE – local et artisanal

Restaurant MûRE

Autour de la Bourse les banquiers et les journalistes se font désormais rares. La « Corbeille » de la Bourse n’est plus qu’un vestige au Palais Brognard. Il reste certes les locaux de l’AFP (Agence France-Presse) et de l’AMF (Autorités des Marchés Financiers), mais l’ambiance n’est plus vraiment celle du film « Le Sucre ». La population et les activités se sont diversifiées, rajeunies, et du côté de la restauration, les grandes tendances sont bien présentes.

Exemple caractéristiques : le petit restaurant « Mûre ».

Restaurant Mûre
Restaurant Mûre

Mûre a ouvert il y a un peu moins de deux ans et qui ne désemplit pas à l’heure du déjeuner.

Certains viennent chercher une salade ou un plat à emporter, d’autres se battent pour une des tables entourées de fauteuils profonds et de chaises Tolix.

Le système est simple.

Quand on pénètre chez Mûre, on prend son plateau et le parcours commence : bar à salade, pizza, plat du jour, et choix de desserts maison. On vous sert à chaque étape, et pour finir, vous payez à la caisse pour aller vous installer ensuite.

Restaurant Mûre : local et artisanal

Le credo est simple :

des plats « fait maison avec des produits ultra frais essentiellement bio, locaux et artisanaux ».

Aujourd’hui le plat du jour : Falafel et boulgour avec sauce au yaourt et à la menthe. Excellent.

L’ambiance est sympathique, le personnel accueillant et on devine à travers les sourires et les échanges qu’il y a beaucoup d’habitués parmi la clientèle.

Le restaurant Mûre propose des formules « petit dej’  » , déjeuner et même brunch le samedi.

Une bonne adresse pour manger sain, rapidement ou pas dans le quartier de La Bourse !

Restaurant Mûre 6, rue Saint-Marc 75002 Paris

article par C Lui

Restaurant Le Champeaux – j’ai testé

Restaurant Le Champeaux

Le Champeaux est un des nouveaux établissements du nouveau Forum des Halles.

restaurant Le Champeaux
restaurant Le Champeaux

J’avais découvert le nouveau forum des Halles dès son inauguration et j’avais été enthousiasmée. De la lumière, des plafonds surrélevés, de nouvelles enseignes : ce quartier allait-il enfin revivre, attirer la parisienne que je suis ? Alors bien sur, la couleur de la canopée ne fait pas l’unanimité… Mais il sera toujours temps de la changer dans quelques année ! Après tout, la tour Eiffel a bien changé de couleurs à multiples reprises.

Et puis l’ouverture le dimanche de ce centre « revisité » , un plus indéniable pour les fans de shopping dominical !

J’attendais donc avec impatience de découvrir le centre plus en détails, et plus particulièrement de tester les restaurants.

J’ai donc commencé par Le Champeaux.

Ce restaurant est présenté comme une brasserie contemporaine qui fait renaitre les grands classiques en général, et les soufflés en particulier, spécialités affichées de la maison.

Restaurant Le Champeaux
Restaurant Le Champeaux

Le restaurant Le Champeaux a une longue histoire puisque l’enseigne existe depuis 1800 comme on peut le lire sur l’enveloppe papier dans laquelle se trouve la serviette.

Le lieu

Un restaurant à la décoration moderne, un tableau d’affichage mode « aéroport  » , une salle vaste et lumineuse, et une terrasse sous la canopée.

La carte est présentée en mode « courrier à déplier » .

L’assiette

Le boeuf est très présent, sous toutes ses formes, bavette, onglet, filet, et les soufflés au coeur du sujet, visiblement.

Voilà pourquoi deux d’entre nous ont opté pour ce plat.

Et pour attendre ces soufflés faits à la commande et qui nécessitent donc 20 minutes de préparation, nous avons opté pour une entrée, « tomates multicolores, caillé de chèvre  » .

Procédons dans l’ordre et commençons par l’entrée

Et comptons tranquillement le nombre de morceaux de tomates, soit 7, et il ne s’agit pas là de quarts. Nous avons donc moins de 2 tomates dans cette entrée, par ailleurs plutôt savoureuse, avec des tomates de qualité.

J’y reviendrai.

Puis venons en au soufflé.

Soufflé au fromage - Restaurant Le Champeaux
Soufflé au fromage – Restaurant Le Champeaux

Il est esthétiquement agréable, gonflé comme il se doit, et donc de fait très prometteur. Seulement voilà, l’apparence ne fait pas tout. Et c’est au moment de la dégustation qu’arrive la déception, majeure. Parce que, bien loin de la texture aérienne que l’on pourrait attendre, on se retrouve face à un plat compact, dans lequel la fourchette a du mal à se frayer un chemin. Lourd à la dégustation, avec cette sensation de manger une omelette plutôt qu’un soufflé, le goût n’est pas non plus au rendez-vous.

Le soufflé au fromage, excessivement poivré, ne laisse aucune place au goût du fromage, qui disparait dans l’oeuf sans doute.

Quand au soufflé « homard/bisque légère », même constats, tant pour la texture que pour le poivre.

Je préciserai néanmoins que le parmentier, lui, a remporté un grand succès. Peut-être que là se trouve la solution.

Le repas s’achève donc plus rapidement que prévu, et nous ne cédons pas à la tentation des desserts après cette énorme déception.

L’addition et le bilan

Vient donc le moment de régler l’addition.

Voilà donc la liste de ce que nous avons consommé, pour une note totale de plus de 80€ ( et oui, cloche que je suis, en posant le verre pour éviter que le ticket ne s’envole, j’ai caché la somme totale, mais il est simple de vérifier en reprenant les tarifs un par un !)

Evidemment, quand on pense que l’entrée de tomates valait 14€, difficile d’être surpris.

Alors il y a la promesse, plus qu’alléchante, puisqu’il s’agit là d’un nouveau restaurant, sous la houlette d’Alain Ducasse, chef étoilé que l’on ne présente plus.

La promesse, avec un lieu à la décoration travaillée.

Et puis il y a la réalité, avec la déception qui l’accompagne.

Parce qu’une note aussi salée pour un soufflé aussi poivré, je dis non.

Parce que le name dropping de grand chef se doit d’être accompagné de plats à la hauteur des attentes que cela suscite.

Alors j’ai été déçue, très déçue, et je n’étais pas la seule si j’en crois l’esclandre entendu à la table voisine pour des coquillettes au beurre demandées pour un petit garçon, et facturées au même prix que celles proposées à la carte, à la truffe cette fois, c’est à dire 18€ !

Si vous testez, ou si déjà fait, dites moi, vous en pensez quoi ?

Champeaux Forum des Halles La Canopée, 75001 Paris

 

 

 

Restaurant RAE’s Paris

edit 2018 : ce restaurant n’existe plus, il a été remplacé par Joia

RAE’s Paris

Une nouvelle adresse dans le quartier de la Bourse, c’est toujours bon à prendre.

Voilà pourquoi RAE’s est une adresse à découvrir.

Créé par  Vincent Rae, cuisinier depuis toujours, et qui lui a donné son nom.

RAE's Paris
RAE’s Paris

Le cadre est celui d’une « néo brasserie « , cuisine apparente, mobilier mi industriel mi traditionnel, et jolie courette intérieure.

Parquet, tables et chaises en bois, marbre et fer, canapés et fauteuil en cuir, le lieu est accueillant et chaleureux.

Ouvert de midi à minuit, du déjeuner au dîner, en passant par l’apéro.

 

Pour que cet endroit puisse devenir votre QG, votre cantine, votre point de chute favori en somme !

La carte

A lire avec attention, car la proposition pour midi diffère de celle du soir.

Au menu du midi, entre autres, de petits assiettes, des huîtres, le clou de l’offre même si, n’étant pas adepte de ce met, je ne le ai pas goutées, ou encore gravlax de saumon gremolata, sandwiches, pasta, , un poisson du jour et une viandesans oublier une belle brochette de  desserts, telle la crème catalane au granité Campari et agrumes.

En entrée, ayant opté pour une classique burratta et ses tomates, je me suis régalée. Il est si rare à Paris de trouver encore des tomates qui ont un vrai goût de tomate, des saveurs, une consistance autre que aqueuse !

RAE's Paris
RAE’s Paris

Ma camarade, elle, a opté pour le gravelax et le ceviche, avec un enthousiasme marque » époux le gravelax.

quant au dessert, une présentation parfaite, et une alliance de saveurs et de textures faisant que chaque bouchée appelle la suivante… Jusqu’à la fin.

Le Rae’s propose les formules traditionnelles, entrée-plat ou plat-dessert (28 €), et entrée-plat-dessert (34 €), permettant ainsi de choisir la sienne et de se régaler  avec un rapport qualité-prix bien équilibré

Le soir, la carte s’étoffe, avec un choix plus large dans toutes les catégories, que ce soit tapas, plats, ou encore desserts.

Voilà donc une nouvelle adresse qui vaut le détour quand vous serez du côté de la Bourse.

Rae’s Paris 39, rue des Jeûneurs Paris 75002
Tél. 01 47 03 42 07

Flow Paris – barge multifonctions

Flow Paris

Sauvé des eaux. Dès son ouverture, le FLOW Paris a du faire face aux intempéries et à la spectaculaire crue de la Seine que nous avons connue il y a quelques semaines.

Heureusement, l’établissement s’est très vite remis sur pieds, enfin sur eaux, et accueille désormais ses clients pour notre plus grand plaisir.

Pourquoi faut-il aller au FLOW ?

Il faut aller tester le FLOW, et plus particulièrement La Table du Flow, maintenant, now, avant la rentrée, parce que c’est l’occasion de découvrir l’endroit tranquillement, sans rush ni foule. Encore peu connu des touristes, abandonné par les parisiens qui ont quitté la ville, on peut y réserver une table sans difficulté, et profiter ainsi d’une configuration parfaite.

Pour le cadre

Le FLOW Paris bénéficie d’un cadre exceptionnel : une vue spectaculaire sur l’intégralité du Pont AlexandreIII, le Grand Palais, mais aussi le sommet de la Tour Eiffel qu’on ne manquera pas de voir scintiller durant le repas, et même la grande roue de la place de la Concorde.

La vue est belle, et la salle du restaurant très agréable. Un bar avec quelques sièges hauts permettant de prendre son déjeuner là même si on est seul, attablé au bar. Des tables rondes avec des fauteuils confortables qui invitent à s’installer pour ne plus en bouger. Et puis des jolies banquettes pour les tablées plus importantes.

Pour le repas

Parce qu’il ne faut pas se le cacher, ce qui compte est dans l’assiette !

Et dans ce cas particulier, ce qui compte est pleinement satisfaisant. En d’autres termes, on s’est régalé.

L’association d’un jeune talent, le Chef Geoffrey Rembert (ancien du Lazare, du Bristol, des Magnolias et de la Tour d’Argent),  Chef Exécutif des cuisines de La Table du Flow et le Chef  Gérard Cagna, étoilé au Guide Michelin durant 30 ans a donné naissance à cette cuisine particulièrement élégante et savoureuse.

Rentrons donc dans les détails de la proposition.

 

Plats de brasserie contemporaine, parfaitement positionnée entre terre et mer. Nous étions quatre, et c’est donc l’occasion de vous montrer un large éventail de la sélection.

Pas d’entrées, allons directement à l’essentiel : les plats.

Dans la sélection de poissons, la lote et son fenouil rôti.

Lotte
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Et le cabillaud. Il est rare de découvrir une assiette si élégante pour un poisson blanc qui peut assez facielemtn avoir l’air triste et sans relief.

Cabillaud
Cabillaud

Et dans la proposition « viandes », les noisettes d’agneau rôti, fondantes, moelleuses. A noter, la polenta, relevée par des dés de lardons qui lui donnent le relief dont elle manque souvent naturellement.

Puis viennent les desserts, dont vous aurez l’image sans le son puisque je n’ai pas photographié la carte !

Tarte fraise - LE Flow
Tarte fraise – Le Flow
Autour de la pomme - Le Flow
Autour de la pomme – Le Flow
Chocolat et glace banane
Chocolat et glace banane

Si je dois résumer, toutes les assiettes sont reparties absolument vides, et chaque convive a ponctué sa dégustation de marques audibles de satisfaction !

Pour Paris

S’installer à la Table du Flow redonne l’occasion de prendre la mesure de la beauté de notre ville.

S’attabler près de la baie vitrée, face au somptueux pont Alexandre III, à la tombée de la nuit.

Prendre le temps d’observer la Seine, et la circulation de bateaux plus intense que l’on imaginait.

Admirer le soleil qui se couche et le ciel qui explose en mille couleurs.

Voilà donc pourquoi j’ai aimé La Table du Flow

FLOW Paris  4 Port des Invalides 75007 Paris

http://www.flow-paris.com

Restaurant l’Orangerie – George V Paris

Restaurant l’Orangerie

C’est le dernier né de l’offre culinaire du Four Seasons George V Paris.

Four seasons Georges V
Four seasons Georges V

Le contexte

Le palace proposait déjà une grande variétés de propositions. Tout d’abord, il y a le joyau de la couronne, le restaurant étoilé du chef Christian Le Squer : Le Cinq

Et puis il y a Le George, pour voyager, ensemble, puisqu’il s’agit de gastronomie méditerranéenne, inspirée des délices de notre côte d’Azur, et jusqu’à l’Italie. Une particularité : on y propose des plats en demi-portion, ou des plats à partager, pour que tous les convives partagent cette expérience gastronomique de la façon la plus conviviale possible.

Et enfin la Galerie, qui propose une expérience qui va du petit déjeuner au diner en passant par le goûter. Elle se partage entre intérieur orné de tapisseries flamandes et décorée de somptueux objets d’art, et une terrasse pour profiter de la superbe cour intérieure.

Le dernier né donc, le restaurant l’Orangerie, dispose lui aussi d’un emplacement assez unique : une superbe verrière donnant sur la cour intérieure du palace. C’est là que les convives, 20 au maximum, pourront déguster un repas qu’ils n’oublieront pas.

La découverte

Pour vous y rendre, il vous faudra traverser la Galerie. Elégance et raffinement, une douce musique au piano, accompagnée par la voix mélodieuse de la chanteuse qui accompagnera le diner.

La carte proposée consiste en un choix à la carte, suivi de deux menus, l’un à 95€ composé de mets que vous ne trouverez pas dans la partie  » à la carte « , et l’autre, le menu dégustation, qui permet de gouter toutes les spécialités du lieu.

Mais pour commencer, tout est dans la carte de cocktails bien sur.

Cocktails l'Orangerie
Cocktails l’Orangerie

Et comment résister à l’appel du George fizz !

George fizz
George fizz

A moins que vous ne puissiez résister au Dreamlover…

Cocktails en main, il ne reste plus qu’à analyser cette carte qui présente des plats d’une cuisine de tradition française, tout en élégance.

Une fois le choix effectué, c’est un festival de finesse et de saveurs qui nous attend, doublé d’une générosité qui décuple le plaisir de l’expérience!

Pour commencer des amuses bouche, comme par exemple ces petites merveilles, et tout particulièrement les sablés parmesan et truffes.

Et puis le repas commence.

L’essentiel

Je ne vous cacherai rien : j’ai tout adoré, et ce fut le cas pour nous quatre.

Chaque plat nous a subjugué, tout d’abord visuellement, puis de la toute première bouchée jusqu’à la dernière.

Et ce bonheur gustatif a été appuyé par ce qui est indispensable pour un moment parfait : un service hors pair. Vous le savez, je suis au moins aussi sensible au sourire qu’au contenu de l’assiette. Et dans ce cas précis, la combinaison a atteint la perception.

L’ensemble du personnel a fait preuve d’un professionnalisme absolu accompagné d’un sourire parfait. Bien loin de la posture guindée que l’on pourrait craindre dans un palace, ils ont su mêler proximité, cordialité, professionnalisme et service d’excellence.

Mais revenons en au repas, dont je vais vous montrer tous les plats, pour le plaisir de vos yeux et de mes papilles !

Commençons donc par l’entrée signature : langoustine à la nage. Subtilité de l’écume de riz, cuisson parfaite, et caviar qui complète la palette des saveurs.

Pour les amoureux des fruits de saison, impossible de résister à ces tomates anciennes, goûteuses, savoureuses, et dignes du mariage avec la truffe qui orne la composition.

Puis vient le plat signature : la sole

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Sole

Le ris de veau se présente bien différemment qu’à son habitude.

Je vois bien que vous demandez un zoom sur les pommes de terre soufflées …

Nous n’avons pas su résister à la proposition de déguster un peu de fromage avant le dessert, et c’est la mimolette vieillie que nous avons sélectionnée, pour un partage convivial.

Et puis vient le moment crucial, celui du dessert. Je confesse n’avoir photographié que ce vacherin réinventé. Les autres resteront donc à découvrir sur place.

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Parce qu’ail faut bien le dire, cette fleur aux milles pétales de meringue était véritablement l’apothéose visuelle de ce repas.

Et puis il y a eu « l’apothéose, the sequel » avec ces mignardises exquises.

La générosité

Savoureux, subtil, mais surtout généreux, voilà comment je qualifierai ce festin.

Généreux comme cette deuxième assiette de mimolette vieillie qui s’invite sur notre table.

Généreux comme le chef, David Bizet,qui vient s’enquérir des émotions de ses hôtes.

Et généreux comme l’explosion florale de ces compositions spectaculaires créées par JEFF LEATHAM.

compositions florales

La nuit était tombée, il nous a fallu quitté ce lieu, mettre un terme à cette parenthèse enchantée, en rêvant secrètement de revenir vite, très vite.

Restaurant l’Orangerie

réservations +33 (1) 49 52 72 24

Hôtel Four seasons George V 31 Avenue George V, 75008 Paris

Manger une glace à Paris

Envie d’une glace à Paris

C’est l’été… si, si !

Nous avons donc tous envie de manger une glace, moi en tous cas. Voilà donc pourquoi je vous soumets ici et maintenant cinq idées. Un échantillon des possibilités multiples que propose notre belle ville qui sait penser aux gourmandes et gourmands !

1. La glace champêtre

Quand le soleil est de la partie, c’est dans les parcs et les jardins que l’on retrouve les parisiens. Par exemple, dans les jardins du Palais Royal.

C’est là que vous pourrez croiser le chariot de glace Evok.

Glacier EVOK

Installé à proximité du restaurant du Palais Royal, il vous permettra de déguster de délicieuses glaces particulièrement réussies. Je vous recommande sans hésiter le café !

Vous le trouverez dans les jardins, tout près du restaurant du Palais Royal. Normal : ils appartiennent tous les deux au groupe hôtelier Evok Hotels.

Dans un autre registre, et pour s’autoriser une pause sucrée lors d’une promenade rue des Rosiers :  Magnum s’installe au centre de Paris pour vous faire vivre une expérience gourmande unique.

2. La glace classique revisitée

Ici, on redécouvre les glaces Magnum. Les célèbres esquimaux, mais version personnalisée.

Magnum Cone Geant

Parfum, enrobage, ajouts de toppings… vous choisissez tout.

Il suffit de quelques minutes pour créer SON Magnum.

On choisit donc pour commencer le parfum de la glace : vanille ou chocolat, puis  son enrobage chocolaté, qu’il soit au chocolat blanc, chocolat au lait ou chocolat noir. Et enfin, les finitions puisqu’il est possible d’ajouter 3 toppings au choix parmi une large sélection d’ingrédients gourmands (amandes grillées caramélisées, copeaux de chocolat, éclats de sucre à la mûre, pistaches grillées, céréales soufflées argentées…).

Passons donc des glaces plus traditionnelles citées ci dessus aux pâtisseries qui elles aussi se glacent à l’approche de l’été.

3. l’esquimau personnalisé façon artisanale

C’est Pierre Marcolini qui vous propose une nouveauté cet été. Ce passionné de chocolat a mis sa passion et son enthousiasme dans la conception d’esquimaux sur mesure qui seront faits à la demande, devant vos yeux, avec le même savoir faire qu’il applique à la création de ses chocolats.

esquimaux glacés Pierre Marcolini
esquimaux glacés Pierre Marcolini

Choix du parfum de la glace, puis du topping, dans une large variété pour dégustation gourmande immédiate ! Vous pourrez choisir votre glace à la vanille ou au chocolat bien sur, mais aussi au sorbet mangue ou même au thé !

4. Le Chouger glacé

Je vous ai parlé il y a peu de temps de L’atelier de l’éclair qui élargissait sa gamme gourmande, sortait de l’univers des éclairs pour proposer pâtisseries et viennoiseries. Et tout particulièrement le chouger, résultat de la rencontre d’un chou gourmand et d’un burger audacieux.

Chouger

Pour l’été ce chouger se pare de ses plus beaux atours glacés. Passion-framboise, vanille pécan, voilà deux exemples des 6 parfums que vous pourrez déguster dans ce chouger glacé qui sera confectionné sur place, rien que pour vous. Ces délices sont disponibles exclusivement dans la boutique de la rue des Petits Carreaux.

5. La pâtisserie des rêves, glacée et personnalisé

Et pour terminer, le millefeuille glacé de la pâtisserie des rêves !

Pour le printemps/été, La Pâtisserie des Rêves propose une nouvelle création, en collaboration avec Raimo, institution de la glace parisienne depuis 1947.

Le millefeuille de La Pâtisserie des Rêves, qu’on ne présente plus, se voit donc revisité en version glacée.

Et pour le plaisir des gourmands, ce dessert glacé permettra de composer le montage soi-même.

Le célèbre glacier parisien a donc imaginé toute  une collection de parfums permettant de jouer avec les saveurs entre les couches de feuilletage ! Chocolat noir, framboise, mangue Alfonso, noisette et vanille… Ce sera à vous de décider et de composer.

Vous choisirez deux « lits de glaces », délicatement emballés pour préserver toute leur fraîcheur, et l’on vous donnera les 3 bases du fameux feuilletage. Une fois à la maison, les glaces se conservent au congélateur et les feuilletages se réservent à température ambiante. Au dernier moment, il suffit de monter le millefeuille : une base de feuilletage, puis un lit de glace, puis une nouvelle couche de feuilletage, le second lit de glace, et enfin le chapeau de feuilletage.

Vous pourrez même dire : « c’est moi qui l’ai fait  » !

L’été parisien glacé s’annonce plutôt bien …!

Chariot de glaces Evok jardins du Palais Royal 75001 Paris

Magnum popup store 4 rue des Rosiers 75004 Paris

Pierre Marcolini 235 Rue Saint Honoré, 75001 Paris

L’éclair de génie 2 Rue des Petits Carreaux, 75002 Paris

La pâtisserie des Rêves 93 rue du Bac 75007 Paris

Restaurant Loulou – Musée des Arts décoratifs

Le restaurant Loulou

Il s’est installé au Musée des art décoratifs où il a remplacé Le Saut du Loup, que j’avoue ne pas regretter surtout après la dernière expérience calamiteuse que nous y avions vécue.

Alors quand j’ai vu qu’un nouveau nom reprenait cet endroit, à l’emplacement unique et remarquable, j’ai sauté de joie !

Restaurant Loulou
Restaurant Loulou

Sauf que….

Avis mitigé

J’ai d’abord pensé que j’avais un avis mitigé.
Puis j’ai longuement réfléchi et j’ai fini par décider…

Mais commençons par le début.
L’accueil est souriant et efficace.
Mais cette hôtesse, fine, très fine, postée sur des talons de 12, et une robe qui oscille entre robe et liquette, courte, très courte.
Jolie? Je ne sais pas. Aguichante, indéniablement.
Bref, une sorte de descendance spirituelle des serveuses des restaurants Costes, mais un peu moins aboutie peut-être.
Oublions cela et passons aux plats.


La mozzarella prise en entrée à partager est parfaite : crémeuse, goûteuse, et idem pour les tomates qui l’accompagnent.
Tiens, la serveuse enlevé tous les verres à vin sans nous avoir posé la moindre question à ce sujet …. Why?
Passons, je l’interpelle pour lui demander la sélection de vin au verre : une cartes des vins ? Naaan !
Je me contenterai de l’annonce de ce qui est disponible au verre.

Réponse : Minuty or ou Minuty prestige ?
On repassera pour l’originalité. Je dois dire que moi qui étais fan de ce rosé, je n’en peux plus de le voir servi à toutes les sauces dans des restaurants qui se veulent branchés et qui n’ont pas fait l’effort de chercher plus loin que le bout de ces cuvées désormais vues et revues.

Revenons en à ce que certains pourraient qualifier d’essentiel dans un restaurant : la carte !
Le restaurant propose une large variété de pizza, pâtes, mais aussi viandes et poissons.


Vous ne verrez pas là de pizza puisqu’aucun d’entre nous n’en a pris.

Commençons par les tagliatelles au ragoût de veau : plutôt goûteux mais définitivement trop salé de l’avis de deux convives qui les ont goûté.


Le tartare et l’ossu buco ont visiblement fait leur effet, mais pas les frites, de panisse !

Osso bucco
Osso bucco

Quand à mon filet de dorade il est plutôt assez bon, mais sans excès. Un goût que je ne suis pas parvenir à identifier avec précision est venu me distraire de la saveur de la chair blanche.


Et puis il y a ma plus grosse déception, même si mini moi a vanté les qualités de son tiramisu qu’elle a fini jusqu’à la dernière miette : le dessert.

Tiramisu
Tiramisu

Gaspiller des calories sur cette coupe café-chocolat cardamone qu’on aurait plutôt dû qualifier de cardamone café-chocolat m’a brisé le coeur. D’autant que certaines bouchées étaient délicieuses !


Je le reconnais, les épices ne sont pas mon fort, et j’aurais sans doute du y réfléchir à deux fois avant de faire ce choix. Mais cela étant dit je pense qu’un peu de subtilité dans les dosages aurait été bienvenue.

J’ai donc parlé du service, moyen, entre l’épisode des verres à vin et le ton glacial de celle qui s’est occupée de nous et qui nous a laissé ce sentiment étrange de la déranger à chaque échange.

J’ai parlé des plats, certains très appréciés par les convives, d’autres très décevants.

Et c’est la suite qui a fait que j’ai donc fini par décider.

J’ai un avis tranché : j’ai détesté !

Avis tranché

C’est donc là, à ce moment précis que tout s’est joué. Quand j’ai décidé d’aller me laver les mains, et que je l’ai vue, là, qui m’attendait : la dame pipi.
Et oui, vous pensiez comme moi que ces pratiques d’un autre temps avaient disparu au nom d’une certaine modernité, du respect d’autrui, du respect des femmes, d’une redistribution des tâches, que sais-je encore.
Et bien non ! Il y a chez Loulou une dame pipi !
Une charmante jeune femme debout là et qui vous indique la cabine disponible puis passe ensuite derrière chaque client pour nettoyer et revenir à son poste, debout, à côté du bol où je suppose qu’on doit déposer des pourboires !
Et là je dis non.

Et même si la clientèle  pourrait laisser imaginer qu’elle apprécierait d’être flattée jusqu’au fond des toilettes , comment cautionner le retour d’une telle hérésie ?

Et là, tout m’est revenu en bloc : du port de la mini robe probablement obligatoire pour les hôtesses d’accueil, au ton passablement glacial de celle qui s’occupait de nous, en passant par le service finalement médiocre, et le repas, finalement plutôt onéreux.

Faut-il laisser une seconde chance au produit ? Je ne sais pas, là encore, je reste mitigée …!

Restaurant Loulou

107 Rue de Rivoli, 75001 Paris  tel : 01 44 55 57 50

Strada café

Strada café

Du café, et le meilleur cookie que j’ai jamais mangé !

Strada café fait partie de ces endroits que j’ai découverts par hasard, au détour d’une promenade, un dimanche de juin.

Strada Café
Strada Café

Parce que c’était là

Vous est-il arrivé de passer devant une terrasse, un restaurant, un café, et de sentir qu’il fallait que vous poussiez la porte, que cet endroit était fait pour vous ?

C’est précisément ce qui s’est passé avec Strada café alors que nous marchions énergiquement en direction d’ailleurs. Notre regard s’est arrêté sur l’ardoise installée sur le trottoir, puis nous avons jeté un coup d’oeil à l’intérieur, et nous étions installés.

Tout ce qui s’est passé ensuite a conforté notre intuition.

Parce que c’était lui

Le Strada café propose une formule brunch, mais on peut aussi y prendre un café, accompagné d’une gourmandise au choix.

cookies strada café
cookies strada café

Nous n’avions pas très faim, mais comment résister en passant devant cette assiette chargée de cookies ! Nous ne savions juste pas que ce choix allait changer notre vie gourmande …

Nous avons mangé le meilleur cookie du monde ! Et il nous est tombé dessus par surprise, alors que nous nous y attendions le moins !

Bien sur, je suis gourmande, très gourmande. Mais cela faisait bien longtemps que je n’avais pas expérimenté un plaisir aussi simplement parfait.

Tout d’abord l’aspect de ce cookie : bombé, parfaitement doré, laissant paraitre les pépites fondues du chocolat qu’il dissimule.

Et puis il y a cette première bouchée, que je ne suis pas prête d’oublier. Moelleux, savoureux, sucreé à la perfection, avec le chocolat des pépites fondu et qui continue à fondre dans la bouche.

Vous comprendrez que je n’ai pas pu résister, et que j’en ai pris un deuxième, et j’aurais pu continuer …

Parce que c’était eux

Encore sous le choc des saveurs du cookie, j’ai malgré tout était très sensible à la gentillesse et au sourire de celui qui nous servait et qui a été charmant de notre arrivée à notre départ.

Alors si je récapitule, le lieu est agréable, le service parfait, le café délicieux, et les cookies à tomber.

L’endroit propose aussi un brunch, des jus, des tartines, permettant ainsi de petit déjeuner, déjeuner ou encore goûter. Autant de possibilités pour vous de tester aussi !

Strada café 24 rue Monge 75005 PARIS