DOGNIN Paris – le CUIR en capitale

DOGNIN – un homme, le cuir, une histoire parisienne

Luc Dognin est lyonnais.

Luc DOGNIN - photo Paris.fr
Luc DOGNIN – photo Paris.fr

Et pourtant, son histoire avec le cuir et la marque qui porte son nom sont 100% parisiennes.
C’est dans la grande maison Céline qu’il découvre le cuir. Tout d’abord dans l’univers des sacs, puis avec les souliers. Même matériau, complexité et gestes différents. Tant d’éléments qui nourrissent son intérêt et sa passion pour le cuir qui deviendra sa matière première quand il s’associe à Rafik Mahiout et prend son envol pour créer DOGNIN.

La création, la fabrication, il les a dans le sang. Normal, puisque la famille Dognin est dans la manufacture depuis des générations, ses parents et grands parents étant à l’origine de la dentelle de Lyon.

Au départ était la volonté de fabriquer, dans son propre atelier.
Un démarrage en fond de cour dans un petit local parisien. Et puis dans les années 2000 la Mairie de Paris et la région lancent le projet mode du quartier de la Goutte d’ OR : la rue des Gardes en sera le point de départ. C’est là que s’installera DOGNIN.

DOGNIN et PARIS

Luc Dognin a fait le choix de la fabrication parisienne. Pour maitriser la fabrication et le suivi de toutes les étapes puisqu’il achète ses cuirs à Paris également, fabrique, crée et innove ici dans la capitale.

Pour s’épanouir et fonctionner efficacement, l’écosystème dans lequel on s’insère est capital. Et il l’a précisément trouvé, dans notre capitale. Plus proche encore, il y a l’eco système du quartier, celui de La Goutte d’ OR.

So atelier est donc installé au coeur de Paris, au 4 rue des Gardes. C’est ici qu’il créé le sac dont vous rêvez, dans la couleur que vous souhaitez.

Des gestes précis, l’aiguille qui virevolte pour des finitions parfaites sur le sac que vous ne quitterez plus.

DOGNIN et la Goutte d’Or

C’est Luc DOGNIN qui est le président de l’association « les Gouttes d’Or de la mode et du design« , un pôle dédié aux métiers du textile, de la mode et du design à la Goutte d’Or.

Ce pôle réunit deux entités complémentaires : une association des professionnels du quartier de la Goutte d’OR, et une coopérative : La Fabrique de la Goutte d’OR.

Ici, l’économie collaborative est une réalité qui permet aux dizaines d’ateliers et de fabricants du quartier de collaborer, co créer, et s’épanouir dans un éco système dynamique et en pleine croissance.

Ainsi, La Fabrique travaille régulièrement pour l’Opéra de Paris, en confection ou en retouche, ou encore elle produit des costumes d’époque pour des expositions.

Les divers membres de l’assocation échangent, collaborent, font appel aux compétences de chacun pour grandir ensemble. DOGNIN s’approvisionne  par exemple régulièrement en tissus chez ses voisins. L’association illustre parfaitement le renouveau de ce quartier en devenir.

Les sacs DOGNIN

Ses sacs, il les créé par passion de l’objet et du cuir. Une de ses créations emblématiques est le Polochon. Un bijou d’innovation puisque pour ce procédé unique de cuir flexible DOGNIN a déposé un brevet. Et non seulement il est innovant, mais il est aussi élégant. La preuve : Samantha l’a choisi pour le porter dans « Sex & The City  » !

Le Polochon DOGNIN
Le Polochon DOGNIN

Pour ses sacs il explore les volumes, les formes.

Ainsi, son modèle Vendôme est-il un bijou d’élégance qui accompagnera à merveille une soirée parisienne.

Le Bulle lui est un charmant écrin, structuré et discret.

Quant au Arletty, il contiendra votre vie, dissimulée dans de multiples poches secrètes connues de vous et de vous seule.

DOGNIN - Modèle Arletty
DOGNIN – Modèle Arletty

Alors pour les passionnées de beaux sacs, les amoureuses de jolies rencontres, et les fans du fabriqué à Paris, rendez vous chez DOGNIN rue des Gardes !

DOGNIN  4 Rue des Gardes, 75018 Paris 01 44 92 32 16

Restaurant Josefin – un lieu pas comme les autres

Restaurant Josefin – hôtel BANKE

Jamais un hôtel n’avait si bien porté son nom. En effet, nous sommes ici dans l’ancien siège d’une banque. Le bâtiment, conçu au début du 20ème siècle par les architectes Paul Friesé et Cassien Bernard, a été transformé en hôtel en 2009.

La structure imposante, les escaliers monumentaux ont été conservés et donne au lieu sa majesté.

Si l’on est chanceux, on peut même avoir accès à la salle des coffres historiques, privatisable pour tout évènement lorsque l’on souhaite ajouter une touche de mystère à une soirée qui se déroule dans les sous sols, avec les invités entourés des coffres qui abritaient les trésors des clients d’antan

C’est donc dans cet édifice unique que vous accueille le restaurant Josefin.

Joséfin – ce qu’on y mange

Ici, c’est la rencontre de la cuisine espagnole et de la cuisine française.

L’assiette est élegante, la cuisine raffinée, mêlant saveurs ibériques et terroir français.

Que vous soyez mer ou terre, vous trouverez votre bonheur dans la carte qui évolue avec les saisons.

Cette semaine par exemple, le chef propose du cabillaud confit, ou de l’effiloché de veau. Parfait pour toutes les faims.

Joséfin – pourquoi j’y reviendrai

Une suggestion du jour à 22€ en service rapide, dans un cadre élégant et calme, avec une assiette inventive et savoureuse, c’est inespéré dans ce quartier où les bonnes adresses sont rares.

Et puis je me suis laissée dire que le bar n’était pas sans intérêt… Encore une autre occasion de me rendre à l’hôtel Banke !

Restaurant Joséfin – Hôtel Banke 20 rue Lafayette 75009 Paris

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Le Printemps du Goût – rendez vous des gourmands

Le Printemps du Goût – Quand Le Printemps devient gourmand

Cela n’avait échappé à personne : des grands magasins parisiens, Le Printemps était le seul à ne pas avoir d’offre gourmande.

Le Bon Marché a longtemps été une référence absolue dans le domaine de l’épicerie de luxe avec La Grande épicerie qui a d’ailleurs ouvert récemment une deuxième adresse pour assoir sa présence. Puis ce sont les Galeries Lafayette qui ont ouvert leur Lafayette gourmet.

Jamais deux sans trois. Le Printemps du goût a ouvert ses portes en ce mois de janvier 2018.

Et Le Printemps n’a pas fait les choses à moitié puisque ce sont deux étages qui sont dédiés à la gourmandise et la gastronomie.

Le Printemps du Goût – L’épicerie au 7ème ciel

C’est au 7ème étage du Printemps de l’Homme que l’on pourra faire ses courses en épicerie. Ici, des rayonnages entiers dédiés à la moutarde, à l’huile d’olive ou aux conserves de légumes.

Dégustations orchestrées par les artisans eux mêmes, on peut goûter et choisir parmi ces dizaines de propositions gourmandes en direct de nos terroirs.

Une multitude de miels aussi, et de confitures pour faire honneur au petit déjeuner ou au goûter. Pour les gros gourmands, des confitures en mode gargantuesque de La chambre aux confitures.

Et puis  il y a là premier lieu de restauration, avec la Maison Dubernet & Thierry Marx qui frappent un grand coup. Le Chef signe une carte originale pour cette maison historique.

Bon à savoir : le restaurant est ouvert tous les midis et propose un brunch le dimanche matin à partir de 11h00.

Le Printemps du Goût – se régaler au 8ème

Mais ce n’est pas fini. Passons maintenant au 8ème étage.

Pour un déjeuner sur les toits de Paris, le Printemps du goût a soigné son offre.

A la sortie des escalators des cageots de légumes frais vous plongent dans l’atmosphère de ces halles gourmandes. Ce n’est sans doute pas ici que nous ferons nos achats de légumes, mais le décor est ainsi posé.

Quant aux chefs qui vous régaleront, ils sont à eux seuls une promesse : Akrame Benallal, Gontran Cherrier, Laurent Dubois et Christophe Michalak.

Les univers de la boucherie, de la pâtisserie, ou encore des fromages sont présents.

On peut s’installer dans les multiples espaces de restauration, et se régaler tout en profitant de la vue à couper le souffle.

Alors évidemment, vivement l’été pour pouvoir s’installer aussi en terrasse !

Printemps du Goût 7ème et 8ème étage du Printemps de l’Homme 64, boulevard Haussmann, Paris, 75009

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Opera National de Paris – la saison anniversaire

Opéra National de Paris – deux anniversaires une saison d’exception

En 2019 l’Opéra National de Paris célèbrera ses 350 ans et l’Opéra Bastille ses 30 ans.

Un double anniversaire pour une institution que deux hommes, deux dirigeants, ont impulsée, à 320 ans d’écart : Louis XIV et François Mitterand.

Tous les deux mus par la volonté de transmettre. Et sans doute également par un égo hors du commun les poussant à laisser une trace indélébile dans l’histoire de leur pays.

Transmettre de génération en génération avec l’académie et l’école de danse.
Transmettre le répertoire pour que ce patrimoine vive et perdure.
Mais aussi servir la création, proposer de nouvelles œuvres ainsi que la relecture d’oeuvres plus classiques du répertoire.

Autant d’engagements revendiqués par Stéphane Lissner, le directeur général de l’Opéra National de Paris, qui a introduit la soirée d’exception de lancement de la programmation de cette année anniversaire à laquelle j’ai eu la chance d’assister hier soir.

Opéra National de Paris – La saison anniversaire

Les Opéras français

Cette saison anniversaire reposera sur 3 piliers, trois œuvres emblématiques.
Les Huguenots, créé en 1836 et  plus jamais représenté depuis 1936.

Les Troyens pour l’Opéra Bastille, choix naturel puisque c’est sur cette oeuvre que se déroula le premier lever de rideau à Bastille.

Et enfin les Indes galantes qui sera présenté à l’opéra Bastille en septembre 2019

La saison Opéras rendra hommage aux metteurs en scène avec le retour de metteurs en scène ayant déjà collaboré avec l’Opéra de Paris, tels que Romeo Castellucci, ainsi qu’aux chanteurs. Hommages et grands retours seront au programme.

La saison du ballet

Même philosophie dans la nouvelle saison du ballet puisque la programmation sera faite d’héritage et de création, sans oublier de nombreuses compagnies invitées.

Ainsi la Martha Graham Dance Company reviendra avec des oeuvres emblématiques de son répertoire.

Quant à la découverte de nouveaux chorégraphes, c’est avec Ohad Nahari qui revisitera l’une de ses oeuvres pour les danseurs de l’Opéra de Paris que Decadance fera son entrée au répertoire.

Les collaborations avec de grandes institutions françaises

L’Opéra National de Paris accueillera cette année encore de multiples expositions en collaborations avec des institutions culturelles françaises.
Avec la Bibliothèque Nationale de France l’Opéra retracera l’activité de l’Académie royale de Musique depuis l’époque du Roi Soleil jusqu’à la fin de l’Ancien Régime.

Grâce au musée d’Orsay, Degas à l’Opéra permettra de retracer le portrait de l’Opéra de Paris au XIXème siècle.

Evenement doublement exceptionnel puisqu’à cette occasion l’Orchestre et les choeurs de l’Opéra se produiront pour un concert dans la grande nef du musée alors q’un spectacle associant Aurélie Dupont et le Ballet sera donné dans les espaces publics du musée !

Opéra National de Paris – le saviez-vous ?

On a souvent tendance à associer l’Opéra de Paris à des tarifs inabordables. Et pourtant.

Pourtant depuis quelques années et dans une volonté d’ouverture à de nouveaux publics, l’Opéra National de Paris propose une panoplie d’offres et de propositions permettant d’accéder aux spectacles sans se ruiner.

Commençons par les jeunes. Ils ont moins de 28 ans, et peuvent avoir accès à deux types d’abonnement jeunes.

L’abonnement 4 spectacles pour 65€, ou encore l’accès aux avant premières jeunes ( 11 dans l’année) pour la somme de 10€ !

Toujours jeunes, mais juste un peu plus mûrs, les moins de 40 ans ont eux aussi droit à des faveurs.

Six représentations sont ainsi dédiées à cette population, avec la réduction exceptionnelle de 40% sur toutes les catégories des places !

Enfin, pour les familles, celles n’ayant jamais assisté à un spectacle bénéficieront de prix très attractifs sur 4 spectacles de la saison : 250 places par représentation sont proposées au tarif de 25€ par adulte et 10€ par enfant de moins de 18 ans. Sans oublier un accompagnement et une découverte du théâtre.

Pour conclure, je vous dirais que j’ai vibré pendant l’intégralité de la représentation. J’ai admiré la grâce dès la première performance de Julien Guillemard, danseur du Ballet de l’Opéra national de Paris qui a ouvert la soirée sur un air de Lulli.

Crédit  © E.Bauer / OnP
Crédit © E.Bauer / OnP

J’ai adoré la modernité de l’extrait de Don Giovanni.

Crédit  © E.Bauer / OnP
Crédit © E.Bauer / OnP

J’ai été happée par un tableau de Degas prenant vie sous nos yeux grâce à la délicatesse et la beauté des élèves de l’Ecole de Danse de l’Opéra.

Crédit  © E.Bauer / OnP
Crédit © E.Bauer / OnP

Et je pourrais continuer ainsi pour tous les extraits qui nous ont été offerts, jusqu’au final, « forêt paisible  » de l’opéra « Les Indes Galantes« , dont la modernité de la prestation et des effets techniques était bluffante pour un opéra du XVIIIème siècle !

Crédit  © E.Bauer / OnP
Crédit © E.Bauer / OnP

En résumé, vous l’aurez compris, l’urgence désormais est de se connecter au site de réservations, ouvertes depuis aujourd’hui, et de sélectionner les spectacles de vos rêves !

Palais Garnier Place de l’Opéra 75009 Paris 

Opéra Bastille  Place de la Bastille 75012 Paris

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La Monnaie de Paris – la doyenne et pas une ride

La Monnaie de Paris – un musée, des musées

La monnaie de Paris est une institution parisienne fondée en 864, ce qui en fait donc la plus vieille entreprise du monde ! Elle a pris ses quartiers quai de Conti en 1775.

Monnaie de Paris - 11 quai de Conti
Monnaie de Paris – 11 quai de Conti

Telle une belle endormie, après des années de travaux suite au projet de transformation lancé en 2009, elle a réouvert ses portes et ne cessera de nous surprendre.

Le projet était ambitieux : associer l’industriel, le culturel, le commercial sans oublier la restauration.

Et tout cela est mis en oeuvre, sur place, mais aussi sur le site internet du lieu, histoire de se retrouver dans les multiples options de découverte proposées.

Commençons donc par le culturel.

Activité historique

La Monnaie de Paris propose d’une part de plonger dans l’activité historique de l’établissement, c’est à dire la fabrication de pièces.

Cette découverte se fera grâce à la présence des artisans eux même que l’on peut observer en action, mais aussi grâce à des dispositifs numériques qui permettent d’admirer chaque geste, chaque opération, en situation.

Expositions temporaires

Toujours dans le domaine culturel, la deuxième possibilité est de visiter les expositions temporaires.

De l’art contemporain, des expositions photos, des installations spectaculaires dans les salons de cette superbe bâtisse, la programmation est originale et inventive.

La première exposition que j’y ai visitée était étonnante et ludique : Take me I’m yours. Le concept était simple : on pouvait repartir avec des objets exposés de salle en salle, comme ces charmantes petites Tour Eiffel, ou encore les cartes postales épinglées sur les murs !

Actuellement, c’est une exposition dédiée aux femmes qui est proposée : Women house, jusqu’au 28 janvier. Il est encore temps d’y aller !

La Monnaie de Paris – se restaurer

A La Monnaie de Paris, on nourrit l’esprit, mais pas que. En effet, deux spots permettent de se restaurer sur place.

Un restaurant étoilé

C’est dans cette superbe bâtisse historique que Guy Savoy a décidé de revêtir son tablier pour créer sa nouvelle adresse gourmande. Le restaurant, qui porte son nom, est installé dans ce cadre somptueux, et ses salons portent les noms très évocateurs de salon des bouquinistes, salon vert galant,  salon bibliothèque ou belles bacchantes.

Salon Vert Galant - photo du site https://www.guysavoy.com
Salon Vert Galant – photo du site https://www.guysavoy.com

Un restaurant étoilé, avec une proposition spécial déjeuner pour un tarif unique de 130€ permettant de choisir entrée, plat et dessert dans l’intégralité de la carte.

Un café restaurant fait maison

Pour une petite faim de qualité mais sans se ruiner, Frappé est le nouveau spot gourmand du quartier.

Pour déjeuner, prendre un café, un goûter, et même un brunch le weekend, samedi comme dimanche.

C’est Bloom qui est à l’origine de cette adresse. Le restaurant, dont la signature est le « fait maison »,  avec des produits locaux, décline ici en mode cantine chic son concept qui fait fureur.

On y mange bien, dans un cadre agréable, et à des prix abordables !

La monnaie de Paris – une boutique

Et puis parce qu’on aime repartir avec un souvenir, il faut bien sur une boutique. Et celle-ci n’est pas comme les autres.

Elles est installée dans la fonderie historique du la Monnaie de Paris.

Et puis sa proposition est unique : en effet, il ne s’agit pas des traditionnels produits dérivés, mais de pièces, fabriquées sur place. Avec des collections plus spectaculaires les unes que les autres, en partenariat avec de grand noms du savoir faire français comme de la mode.

Actuellement en magasin, les pièces créées en collaboration avec Jean-Paul Gautier.

Chacune est superbement présentée dans un écrin illustré, et elles sont toutes gravées différemment en fonction du thème et de la région concernée. De petites merveilles à collectionner sans se ruiner !

Vous l’aurez compris, La Monnaie de Paris à beaucoup  à offrir, et je comprends que ce n’est pas fini puisque l’ouverture de nouvelles boutiques est prévue très bientôt.

A suivre donc !

Monnaie de Paris 11 quai de Conti 75006 Paris

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Janvier – le mois parfait pour se remettre au ski

Se remettre au ski ?

Janvier est un mois déprimant, c’est prouvé, démontré, acté ! Il n’y a qu’à voir : le blue monday est précisément en plein mois de janvier.
Et puis cela s’explique assez bien finalement : l’animation de la période des fêtes est finie. Le soleil n’est pas encore présent pour autant même si les journées s’allongent doucement. Il reste éventuellement quelques kilos dus aux abus de chocolats et autre foie gras.

En résumé, je me sens comme un ours, prête à hiberner jusqu’à la belle saison.
Mais ce n’est pas facile à mettre en oeuvre à vrai dire.
Alors parfois je me dis que le sport pourrait me sauver.

Et quand je dis sport, il m’arrive de penser ski. Ce sport que j’ai beaucoup pratiqué pendant de nombreuses années.

Et soudain je m’imagine face aux cimes enneigées, skis aux pieds, prête à dévaler la pente.

La montagne ca vous gagne

Parce qu’il faut reconnaître que les images de montagnes enneigées de cette année sont particulièrement alléchantes.

Parce que cela fait deux années consécutives que je pars pendant les vacances de Noël pour me retrouver face à de superbes champs et pâturages, sans l’ombre d’un flocon et soudain ces images font ressurgir l’envie de respirer l’air pur face à des paysages majestueux.

Ou bien de s’installer en terrasse au soleil, et de profiter !

Il reste un élément clé à finaliser : la tenue. Parce que sport ou pas, il faut rester élégante en toutes circonstance (NdlR : parler à proposer ce thème à Cristina pour les reines du shopping : élégante en tenue de ski )

Tenue élégante pour skier

La question est posée : est-ce que ce genre de tenue existe ? Loin de la silhouette bibendum qui peut venir à l’esprit, on peut, je crois, allier élégance et confort.

J’ai donc fait un tour sur ce site de vente de vêtements de ski, et j’ai trouvé mon bonheur !

Commençons par la veste. Elle sera cintrée ou ne sera pas. La seule question qui subsite concernera la couleur : noire pour amincir ( rapport aux kilos en trop évoqués précédemment) ou de couleur pour claquer sur les pistes ? Je n’ai pas encore décidé !

Quand au pantalon, pas d’hésitation : noir, en mode bootcut !

La tenue est choisie, il ne me reste plus qu’à trouver la destination, mais c’est une autre histoire. Vous avez peut-être des suggestions ?
Article rédigé en partenariat avec Planet Sports

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Food Paris – une adresse qui se réinvente

Restaurant Food Paris –  pour food-trotters

Alors soyons clair. Le restaurant Food Paris, je l’ai adoré à peine avoir passé les pas de la porte.

Parce qu’être accueillie par un tonitruant : « comment allez vous aujourd’hui ? » , c’est si rafraichissant, si surprenant, si agréable dans notre belle capitale. Et immédiatement, l’expérience devient un moment de plaisir, qui va se poursuivre tout au long du repas.

Celui qui accueille ainsi, avec un grand sourire, c’est Jonathan McNamara. Irlandais amoureux des terroirs, il met à l’aise dès le premier échange, bavarde comme si nous étions des habitués, vante les qualités du chef, et fait découvrir sa sélection pointue de vins bios et naturels.

On a pas le choix, il guide avec tant de persuasion et parle avec tant de passion de ses petits producteurs et de leurs vins qu’on ne peut que succomber au charme.

Quant au chef, il s’agit de Kazuki Yasukawa, jeune et brillant chef nippon, qui revisite la bistronomie parisienne avec l’amour du végétal et de subtiles touches exotiques.

Food Paris est en plein coeur du Marais, rue Saint Paul. Les murs sont patinés, la décoration est constituée de photos contemporaines d’artistes amis, collées à même le béton. Poutres et éclairage en mode industriel complètent le tableau pour un bistrot chaleureux et accueillant.

Food Paris – ce qu’on y mange

Ici, tout est fait maison, avec des produits frais et de saison, et les menus changent tous les jours.

Des plats traditionnels revisités. Complètement revisités.

Parce qu’il faut le dire, la burratta, on ne l’avait jamais vue comme ça. Avec ses fruits rouges pour une touche acidulée inattendue et tout à fait bienvenue.

Le cabillaud est un peu plus conventionnel, même si on peut être surpris par le croquant absolu du brocolis qui étonne non par le goût mais par la texture cette fois.

Quand à l’île flottante, qui est mon dessert favori dans la palette traditionnelle des desserts de bistrots, je dois reconnaitre qu’elle m’a trouvée là où je ne l’attendais pas. Parce que, reconnaissons le, oeuf à la neige, et crème d’avocat en lieu et place de la traditionnelle crème anglaise, ça (d)étonne !

Food Paris – pourquoi je reviendrai

Je retrouverai chez Food Paris parce que passer un bon moment, tout en surprenant ses papilles, avec un hôte charmant qui se met en quatre pour que l’experience soit parfaite, on ne trouve pas ça partout.

Je reviendrai parce que ce duo sympathique est enthousiaste et volontaire, et c’est une promesse de réussite et de succès pour cette adresse qui n’a que quelques semaines et qui est en rôdage.

Et lui entrée / plat / dessert à 23€ pour ce niveau de qualité c’est assez rare pour être encouragé ! Sans oublier le verre de vin bio à 3€ pour accompagner le tout.

Food Paris 26 rue Saint Paul 75004 Paris – 09 81 10 69 68

Les Méduses Vertes – votre prochain sac made in Paris

Les Méduses Vertes – Leila Ludwig

Quand un objet, un sac en particulier, raconte une histoire, porte en lui l’âme de sa créatrice, il prend soudainement une nouvelle dimension.

Voilà pourquoi je vais vous conter l’histoire de Leila, la créatrice des méduses vertes.
Leila a eu plusieurs vies. Des vies qui l’ont menée de Tunisie en Normandie, puis à Marseille , et la prochaine étape, on ne sait pas encore !

Plusieurs vies professionnelles aussi.
Et une envie de vivre pleinement, parce qu’on ne vit qu’une seule fois, et on ne le sait que trop quand la maladie passe par là.

Alors elle a décidé de faire ce qu’elle aime, elle qui passe son temps à dessiner des looks, et des sacs.
La rencontre avec le cuir sera décisive. Parce que cette matière elle l’aime, elle vit avec elle.

Ce sera donc des sacs. Les Méduses Vertes  sont nées.

Les Méduses Vertes – naissance d’une marque

Commençons par le nom : pourquoi des Méduses ? Pourquoi vertes ?!
Les Meduses, c’est son enfance. Les vacances à la mer avec ses sœurs, les moments de bonheur de l’insouciance, ponctués par quelques piqûres de ces petits mollusques que l’on trouve en bord de mer !
Quant à la couleur verte, c’est celle de la première peau qui l’a fait vibrer, la première peau qu’elle a achetée, d’un vert vif, joyeux, éclatant.
Le nom est né.
Quand au modèle, il est unique, décline en 3 tailles et de multiples couleurs et matières. Très sobre, il a une signature unique, ce rabas à la découpe discrète qui s’inspire d’une silhouette stylisée de méduse.

Les Méduses Vertes
Les Méduses Vertes

C’est le Sao Tome. Le nom d’une île où le mari de Leila a passé année après année ses vacances de Noël en famille.
Un sac muni d’une chaîne or, que l’on peut porter en bandoulière, ou en pochette pour le plus grand des 3.

Des couleurs sobres,rouge ou noir uni.

Ou bien en mode Rock, le Red Leo. Avec cette touche rouge, symbole de vie et d’amour.

Les Méduses Vertes – Made in Paris

Ces sacs portent en eux une histoire, la joie de vivre, l’amour de la famille.

Et pour couronner cette belle histoire, ils sont fabriqués à Paris !

Parce qu’après une quête de l’artisan qui saurait répondre à ses exigences de qualité et de finition, quête qui l’a menée de Tunisie à Marseille, c’est finalement à Paris que Leila a trouvé ce savoir faire unique qu’elle recherchait avec ténacité.


Les Sao Tome sont donc fabriqués à Paris, et vendus dans de superbes enseignes. Le Printemps Haussmann, où j’ai pu les découvrir dans le popup qui a pris fin hier. La Marque est désormais au niveau -1.


Ou encore chez l’Exception , cette enseigne qui sait tellement bien déceler les talents et les produits de qualité.

Et bien sur, vous pouvez aussi aller sur son site, où vous trouverez l’intégralité des modèles.

Les Méduses Vertes Printemps Haussmann 64 Boulevard Haussmann 75009 Paris

La Goutte d’or – the place to be

La Goutte d’Or – une découverte

Comme un nom qui bruisse dans la ville, comme un quartier qui renait et montre qu’il gagne à être connu, la Goutte d’Or est devenu un des lieux parisiens qui font parler d’eux.

Au commencement était la rue des Gardes, et ces locaux mis à la disposition par la Mairie de Paris à des talents prêts à y créer, en embarquant avec eux, pour certains, les gens du quartier. Ainsi, Sakina M’Sa a lancé ici son atelier il y a plusieurs années maintenant, et tant d’autre lui ont emboité le pas.

Ou encore Marcia Carvalho et ses chaussettes orphelines qui reprennent vie sous de multiples formes grâce à sa seule volonté et une idée de départ si brillante… Parce que avouons le, nous avons toutes (et tous) été confrontées à ce mystère jusqu’à ce jour non résolu de l’apparition de chaussettes orphelines !

En y retournant donc, après plusieurs années j’ai pris la mesure du bouleversement qu’a subi ce quartier.

Jugez par vous même !

Un joli square pimpant, de charmantes boutiques qui donnent envie de pousser la porte. Comme par exemple SAWA shoes et ses sneakers pour lesquels j’ai simplement craqué.

La Goutte d’Or  est donc devenue un haut lieu de la mode solidaire, des bonnes adresses et des jolies surprises.

La Goutte d’Or – suivez le guide

Sur ce plan quelques unes des adresses donc, dont bon nombre rue des Gardes. Mais pas que ! SAWA shoes n’y est pas par exemple.

Ou encore cette autre marque qui fait tant parler d’elle : Maison Château Rouge.

Cette marque, dont la boutique est située rue Myrha, autre artère vitale du quartier comme on peut le constater, part du traditionnel tissus WAX pour le réinventer en style urbain. Première particularité : les tissus des tops sont achetés chez les commerçants du quartier, et chaque pièce devient ainsi quasi unique. Ils ont peut-être été achetés chez MEGA WAX…

Deuxième spécificité : la marque s’inscrit dans le projet social des « oiseaux migrateurs  » qui oeuvre au service d’une « Afrique entreprenante ». Une partie des fonds est donc reversée à l’association. Une belle marque, solidaire, qui propose de jolies pièces colorées et joyeuses aux coupes définitivement urbaines. Un autre de mes coups de coeur.

J’irai même jusqu’à dire « vivement la pluie » pour pouvoir porter un de ces cirés !

Mode, mais aussi lieux de rencontre, et restauration raisonnée.

Commençons par la cantine bio du quartier : le Myrha.

Ici, on peut manger un repas bio à un tarif défiant toute concurrence. Un plat du jour à 7€, ça ne court pas les rue.

Et de surcroit, on peut faire ses courses à l’épicerie attenante, pour faire durer le plaisir chez soi !

Et puis il y a également La Régulière.

Une librairie spécialisée livre d’image, qui accueille des expositions et des ateliers manuels. Elle dispose de surcroit d’un espace café : vous apercevez les clients attablés et plongés dans leur activité sur leur portable ? Ils ont l’air bien installés pour y rester.

Nous ne sommes pas au bout de nos découvertes dans ce quartier qui monte !

Maison Château Rouge 40 bis rue Myrha 75018 – Paris

Cantine bio – Le Myrha 18 Rue des Poissonniers, 75018 Paris

La Régulière – 43, rue Myrha 75018 Paris

Pourchet – maroquinerie made in France

Pourchet – un peu d’histoire

Si je vous dis Pourchet, vous me dites ? Une marque au nom familier ?
Peut-être même celle d’un sac portée par votre maman ?

Le fait est que la marque Pourchet existe depuis 1903, date de sa création. Dès 1920, elle installe ses ateliers rue Charlot à Paris, qui deviennent le haut lieu de fabrication des premières collections de la maison. On peut dire qu’il s’agissait là d’une idée de visionnaire quand on sait ce que la rue Charlot représente aujourd’hui !

Ancrée à Paris, Pourchet est une marque attachée à sa qualité de produits « made in France« .

Elle créé des modèles iconiques, tel que le 509, qui nait en 1990 et devient un des premiers it bags. Il existe encore aujourd’hui, intemporel parfait !

D’ailleurs, s’il est en soldes… Bref.

Pourchet – la boutique place des Vosges

C’est en 2011 que la marque ouvre sa boutique amirale sur la prestigieuse place des Vosges. Un cadre somptueux pour une marque d’exception. Un lieu idéal pour découvrir l’ensemble des collections, créées par la styliste Marie-Laurence Stévigny qui collabore avec la marque depuis 2014.

A proximité de certaines de mes marques fétiches : je citerai Cécile & Jeanne ou encore Dammann Frères !

C’est donc en flânant sur cette belle place royale que vous pourrez découvrir la marque et comment elle évolue tout en continuant à respecter ses valeurs de qualité .

Pourchet – mes futurs sacs

Autant vous dire que j’ai craqué. Pour le moment virtuellement, mais très rapidement réellement je le crains ! En même temps, les prix sont là pour faciliter la tentation. Parce que Pourchet s’attache à maintenir un rapport qualité prix assez unique en son genre.

Pour illustrer le propos, quelques exemples de mes coups de coeur.

Tout d’abord, il y a le modèle cadran. Poignée graphique, sac structuré, il dispose également d’une bandoulière en cas d’excès de sacs de shopping !

Je craque tout particulièrement pour l’imprimé de la bandoulière qui lui donne définitivement un je ne sais quoi que les autres n’ont pas !

Et puis il y a le cassetta. Petit format, à porter en bandoulière , il explose de couleurs pour toutes les situations.

Et pour finir, dans un style plus traditionnel, un intemporel à décliner au grès des saisons dans les couleurs du moment, mon favori étant ce violet.

Et pour finir, quelques idées de prix pour étayer le propos :

modèle cadran : à partir de 205€
modèle cassetta : 145€ pour la version non vernie

 

Pourchet Paris – 13 Place des Vosges 75004 Paris tel : 01 42 77 09 96