Paris vu par Sylvana – Madame rêve Paris

Paris vu par Sylvana

 Elle c’est Sylvana, du blog Madame Rêve Paris.
Madame Reve Paris - photo-Sammy-Georges
Madame Reve Paris – photo-Sammy-Georges
Son blog est le blog lifesyle d’une vraie parisienne.

Elle a accepté de répondre à mes questions, alors c’est parti pour découvrir Paris vu par Sylvana !

ETAPE 1

On commence par Ton Paris Gourmand, le salé, et le sucré. Quelles sont tes deux adresses fétiches du moment : un restaurant, et un salon de thé, ou une pâtisserie.

Mon salon de thé préféré : Mariage Frères.
J’ai découvert le brunch cet été et j’ai eu un gros coup de coeur. Généreux et gourmand. Les pâtisseries sont irrésistibles !
Une gourmandise : les marrons glacés de la maison Fouquet. Hautement addictif !

ETAPE 2

Paris culturel, Paris ville des musées, de l’art, de l’architecture. Alors pour toi, ton Paris culturel se trouve où ? Dans un musée fétiche, un quartier chargé d’histoire, un lieu mythique de l’art à Paris, un endroit où un film culte a été tourné ?

L’art est partout dans la ville. Il suffit de prendre le temps de lever la tête.
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Une de mes balades préférées : faire un tour en bateau-mouche le soir, lorsque tous les monuments sont illuminés. Magique ! Je ne me lasse pas de la beauté de cette ville.
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ETAPE 3

Ne nous le cachons pas, à Paris, le shopping est roi ! Alors dis nous tout : ton magasin favori, la rue que tu préfères pour une virée shopping, tes adresses déco, modes, accessoires, on veut tout savoir !

Je fait rarement les boutiques, car je garde mes vêtements très longtemps. Je suis une véritable maniaque.

Lorsque c’est le cas, j’aime flâner, chiner. J’essaie de trouver des pièces de qualité au style intemporel avec juste un petit twist. Shopping plutôt rive droite.

Mes derniers achats : un sac selle en cuir, Galeries Lafayette, un blouson en jean, Gap, une écharpe, Monoprix, une paire de ballerines brodées, Bocage, une paire de ballerines d’intérieur Les Souliers de l’Opéra de Paris.
J’avoue acheter les grosses pièces uniquement pendant les ventes presse.  😉
Quelques uns de mes spots préférés :
Homies, rue des Abbesses. Une sélection mode tendance où couleurs et imprimés sont à l’honneur.

Dessine-moi un soulier, rue Houdon. Créer la paire de chaussures de ses rêves à partir de plusieurs modèles de base devient une réalité.

American Vintage, rue Tiquetonne. Des pièces confortables dans des matières souples et fines

ETAPE 4

Paris est une capitale, grande et belle, faite de petits villages. Chacun a son âme, des habitants qui ne le quitteraient pour rien au monde. Ils y ont leurs habitudes, et même s’ils s’aventurent parfois dans d’autres lieux de la ville, c’est là qu’ils se sentent un peu plus chez eux.

Quel est ton village ? Celui où tu vis, celui où tu aimerais vivre, ou même celui que tu as quitté et auquel tu penses encore ?

Les Batignolles. Un quartier dans lequel j’ai vécu pendant plusieurs années et qui me manque.

L’ambiance village avec ses petits commerçants.
J’ai plutôt mes habitudes dans le XVIIIe et le haut du XVIIe où j’ai vécu pendant plus de 10 ans. Des quartiers qui restent encore authentiques.

ETAPE 5

Et pour finir, parce que ce qui compte, avant tout, ce sont les émotions, pourrais-tu partager avec nous un moment d’émotion lié à PARIS ? Cela peut-être une rencontre, un paysage bouleversé, une rencontre, des rencontres, un événement vécu là, et qui restera gravé dans ta mémoire.

Cela s’est passé il y déjà plusieurs années. Assise à la terrasse du Café Wepler par un bel après-midi d’été, une jeune femme est venu m’offrir une feuille sur laquelle était imprimé un de ses poèmes. Juste comme ça. Cela m’a énormément touchée. Un moment fort chargé d’émotion. Il m’arrive d’y repenser.
Mariage Frères Le Marais 30 rue du Bourg-Tibourg 75004 Paris
Tél : +33 (0) 1 42 72 28 11
Fouquet   36 rue Laffitte – 75009 Paris
Bateaux Mouche Port de la Conférence, 75008 Paris
Homies 8 Rue des Abbesses, 75018 Paris
Dessine moi un soulier 7 Rue Houdon, 75018 Paris
American Vintage 62 Rue Tiquetonne, 75002 Paris
Café Wepler 14 Place de Clichy, 75018 Paris

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Laboté – des soins 100% sur mesure

Laboté Paris – un espace 100% beauté

Quand on pénètre dans l’espace Laboté de la rue Madame, on se sent juste bien. L’espace est lumineux, la décoration est épurée. Et puis il y a le laboratoire.

Ce laboratoire entièrement vitré que l’on voit de la rue comme de l’intérieur. Et c’est là que sera créée votre crème, juste pour vous.

Lors de la première visite chez Laboté, une analyse beauté complète est effectuée, sur la base d’un questionnaire simple. Il permet de comprendre l’environnement dans lequel vous évoluez, votre propre perception de votre peau, et puis vos attentes et vos envies.

 

Cette exploration beauté est effectuée par un docteur en pharmacie, et elle permet de déterminer niveau d’hydratation, de nutrition, de la peau, densité tuissualire, réactivité cutanée. Pour un soin sur mesure.

Vient alors le moment de créer LA crème, VOTRE crème sur mesure.

Laboté – frais, naturel et sur mesure

Cette crème sur mesure va être créée sur la base d’actifs naturels. Pas de silicone, ni paraben, aucun conservateur ni additif. C’est l’utilisation de plantes connues pour leurs vertus telles que l’hibiscus régenerant ou encore le magnolia antioxydant qui permet d’obtenir les résultats attendus et de répondre aux envies exprimées.

On choisit sa texture, plus épaisse ou plus légère. Et puis son parfum, si on le souhaite. Même la couleur de l’étiquette.

Une fois la crème définie et conçue, elle porte votre nom, et sera votre pour 3 mois. Les 3 mois pendant lesquels vous l’utiliserez.

A ce jour, Laboté proposait une crème de jour, un une crème de nuit, et un sérum.

Aujourd’hui naît la dernière nouveauté de la marque : l’infusion florale nettoyante.

Laboté – infusion florale nettoyante

Parce que se nettoyer le visage, il faut bien se l’avouer, c’est un vrai défi au quotidien. Le savon est agressif, l’eau calcaire, la peau malmenée encore et encore.

Alors cette infusion florale, allez savoir, c’est peut-être LA solution. Parce que le concept est prometteur !

Je m’explique. Il s’agit d’un liquide à texture huileuse. On en applique deux ou 3 pressions que l’on applique sur le visage, et, en massant légèrement, on voit le maquillage disparaitre, et donc les impuretés invisibles à l’oeil nu également.

Sauf que l’on ne s’arrête pas là ! On applique alors de l’eau et la texture change, pour se transformer en lait, qui hydrate la peau et la laisse parfaitement douce au toucher.

Et là c’est le bonheur !

Je continue le test, et je vous tiens au courant.

Et en attendant, pensez à faire un tour rue Madame.

infusion florale nettoyante : 28€

Laboté 11 rue Madame 75006 PARIS

Gauguin l’alchimiste – Grand Palais

Gauguin l’alchimiste – l’histoire de l’exposition

L’exposition Gauguin l’alchimiste réunit plus de 230 oeuvres de l’artiste, dont seules 54 sont des peintures.

Le ton est donc donné. On va découvrir ici les facettes méconnues de la production artistique de l’artiste.

C’est la première exposition à adopter l’angle de l’étude de la complémentarité des créations de Paul Gauguin. Ici, ce sont céramiques, sculptures, blocs de bois même qui côtoient gravures et dessins en complément des tableaux familiers ou plus méconnus.

Vase avec Leda et le cygne
Vase avec Leda et le cygne

Des oeuvres rassemblées des 4 coins du monde, du musée d’Orsay au Musée Pouchkine en passant par l’Art Institute de Chicago.

C’est en collaboration avec ce dernier qu’est née l’idée de cette exposition unique. L’Art Institute de Chicago détient un fonds extrêmement conséquent d’oeuvres graphiques de Gauguin, mises à disposition pour cette exposition. Pour les sculptures, et céramiques, c’est le musée d’Orsay qui est mis à contribution.

Gauguin l’alchimiste – le parcours de l’exposition

Il s’agit là d’un voyage. Dans le temps avec la fresque chronologique que l’on découvre dans la première salle et qui décrit le parcours de Gauguin. Voyage géographique, au gré des différentes destinations de l’artiste, mais aussi  un voyage dans son oeuvre bien plus multiple que je ne l’imaginais.

Le droit d’oser, c’est ce qu’il revendique et c’est ainsi que l’exposition commence. Avec cette revendication qu’il clame et met en oeuvre de Paris à la Bretagne puis jusqu’aux îles.

On découvre ses premières inspirations dans la première section de l’exposition : la fabrique des images. Ici, dans le laboratoire des formes, on découvre ses débuts avec ce Degas dont il reprend certains motifs dans plusieurs de ses oeuvres.

Pissarro sera son guide et celui qui le lancera dans le monde des impressionnistes.

Il s’inspirera un temps de ses oeuvres.

Camille Pissarro - la bergère bretonne
Camille Pissarro – la bergère
Paul Gauguin - la bergère bretonne
Paul Gauguin – la bergère bretonne

On observe déjà les allers retours d’un support à un autre, la façon dont chacune de ses créations alimente l’autre.

De l’esquisse au tableau.

Et de l’objet lui même à sa représentation.

La deuxième section se concentre sur sa période bretonne.

Ici prennent forme ses variations sur le motif.

D’un support à un autre. Du bois à la céramique comme sur cette oeuvre en céramique et son pendant sculpté.

Cette exposition peut être hautement ludique si l’on se lance dans une chasse aux représentations similaires dans des oeuvres si multiples.

Ou encore en cherchant le mélange des oeuvres quand Gauguin se met en mode Inception

Changeons d’étage, pour entrer dans l’univers des îles. Un premier voyage à Tahiti permet à Paul Gauguin de construire sa première imagerie de la vie tahitienne. Habitée de douceur, simplicité, et jeunes filles pures et en harmonie avec la nature.

Cet imagier des tropiques met également en lumière le manuscrit de Gauguin, Noa Noa, journal de ses voyages riche en illustrations de sa main.

Noa Noa
Noa Noa

L’exposition se finit par « En son décor » et le lieu où Paul Gauguin finira sa vie : la maison du jouir.

Gauguin l’alchimiste – Gauguin sauvage et sulfureux ?

Parce qu’il faut le dire, l’histoire de Paul Gauguin est faite de rencontres et de ruptures assez violentes.

Commençons par Pissarro, son mentor, son modèle, celui qui le lance dans la sphère artistique parisienne.

Et puis il se fâche avec lui, brutalement, définitivement, tel l’élève qui soudain veut dominer son maître.

Entre temps, ou serait-ce en même temps, c’est aussi avec Paul Signac qu’il se brouille pour ne plus jamais revenir sur cette rupture.

En 1888, c’est chez Vincent Van Gogh qu’il s’installe à Arles. Un tête à tête qui se terminera comme on sait : Vincent Van Gogh se coupera une oreille.

Et puis il y a sa relation aux colonies, et aux « bons sauvages » comme il les a décrits.

Gauguin, un homme complexe, dans son oeuvre comme dans sa personnalité.

Gauguin l’alchimiste du 11 octobre 2017 au 22 janvier 2018

GRAND PALAIS, GALERIES NATIONALES
3, avenue du Général Eisenhower
75008 Paris

 

Chez Nathalie – restaurant dans le XIIIème

Chez Nathalie – c’est un peu chez moi

Ce restaurant porte parfaitement son nom, enfin le mien ! Il existe depuis 15 ans, et s’est toujours trouvé sur mon chemin. Face à l’école primaire de mini moi, puis à quelques pas de son collège, et dans tous les cas dans un rayon de quelques centaines de mètres de chez moi.

Voilà des années que je n’y étais pas retournée, et ce n’est donc pas une découverte, mais une redécouverte.

Chez Nathalie – ce qu’on y mange

Ici, tout est fait maison comme l’indique le label sur la carte mais surtout l’animation en cuisine. Une carte resserrée, pour des produits frais et de saison.

En atteste par exemple le velouté de châtaigne ou encore la purée de potiron.

Les produits sont de qualité, la cuisson parfaite, qu’il s’agisse du plat du jour, le coeur de rumsteck et ses pommes sautées, ou encore le cabillaud, dont on sait à quelle point la cuisson fait tout !

Quant au dessert que j’ai choisi, il est parfait de simplicité.

dessert - chez Nathalie
dessert – chez Nathalie

Chez Nathalie – pourquoi j’y retournerai

C’est assez simple. Parce que je viens de redécouvrir cette adresse, et qu’un restaurant de qualité à moins de 500 mètres de chez moi, ça n’a pas de prix !

Sachant que la carte change visiblement régulièrement, voire même très souvent, je sais que je serai surprise à chaque fois, et c’est une perspective qui me convient !

Chez Nathalie 45 Rue Vandrezanne, 75013 Paris tel : 01 45 80 20 42

Exposition Bourdelle et l’antique

Bourdelle et l’antique – la sculpture au début du XXème siècle

L’exposition Bourdelle et l’antique accompagne le visiteur dans la sculpture du début du siècle dernier au travers de l’influence de la sculpture antique sur les artistes qui ont marqué les premières décennies du XXème.

Bourdelle et l'antique
Bourdelle et l’antique

On découvre ainsi dans quelle mesure la Grèce antique a façonné la création de Bourdelle, mais aussi celle de ses contemporains dont on peut admirer de multiple oeuvres.

Ainsi, Picasso, Modogliani, mais aussi Rodin et Maillol bien sûr ( ennemi juré de Bourdelle) sont présentés pour illustrer le propos et alimenter les parralèles créatifs.

L’occasion de (re) découvrir l’oeuvre du sculpteur, et de tous ceux qui l’ont inspiré.

Près de 150 oeuvres d’artistes multiples sont ainsi réunies autour des oeuvres majeures de Bourdelle lui même qui rythment la visite de cette exposition.

Bourdelle et l’antique – le parcours de l’exposition

L’exposition s’articule autour de 7 oeuvres majeures de l’artiste. Pour chacune d’entre elles sont présentés les sources d’inspiration, puisées dans la Grèce antique, dans l’observation des oeuvres que l’artiste étudie, analyse pour créer à son tour.

La première oeuvre sculpturale est ce buste de Pallas.

Son visage deviendra masque, comme s’il sortait d’une fouille archéologique.

Pallas de Bourdelle
Pallas de Bourdelle

Cette oeuvre est un véritable tournant dans son oeuvre.

Nous sommes en 1903, et il modèle un buste de femme en terre, dont on voit ici la version de marbre et de bronze.
Il entre là dans une approche de simplification extrême et s’éloigne d’un certain réalisme de ses oeuvres précédentes.

La deuxième oeuvre que l’on découvre est son Apollon.

Il commence par un modèle en terre qu’il laisse à l’abandon.
Quand il le retrouve des années plus tard, il décide de bâtir une œuvre nouvelle à partir de ce portrait abîmé, détérioré par le temps et les intempéries.

Restée longtemps confidentielle, c’est la version exposée ici en bronze à la patinee dorée qui deviendra l’oeuvre finale.

Apollon - Bourdelle
Apollon – Bourdelle

On arrive ensuite dans la salle qui accueille une des oeuvres les plus célèbres du sculpteur : Herakles archer.

Inspirée du célèbre archer d’Egine, il  donne une dimension charnelle et presque sexuelle à cette oeuvre monumentale.

Positionnée au centre de la pièce elle permet au visiteur de la contempler sous tous les angles.

Herakles archer - Bourdelle
Herakles archer – Bourdelle

Herakles archer fut un très grand succès lors de l’exposition de 1910, et l’on voit comment cette sculpture inspira d’autres artistes tels que Henri Laurens et sa musicienne à la harpe.

Vient ensuite sa Cléopâtre, portrait de son élève grecque, Cléopâtre Stevastos.

Cléopâtre Bourdelle
Cléopâtre Bourdelle

Sont présentées ensemble plusieurs oeuvres des artistes contemporains de l’époque, permettant ainsi de comprendre les influences et inspirations mutuelles.

Une occasion pour moi de tomber en amour devant ce petit bijou de Modigliani.

La visite continue

On passe d’une déesse, Pénélope

A l’univers des faunes et des satyres, inspiration, avec Isadora Duncan des fresques du théâtre des Champs Elysées réalisées par Bourdelle.

 

Cette exposition est donc un voyage dans le temps, de la Grèce antique au début du XXème siècle, mais aussi un voyage dans la sculpture des premières décennies du siècle.

Bourdelle et l’antique du 4 octobre 2017 au 4 février 2018

Musée Antoine Bourdelle 

18, rue Antoine Bourdelle 75015 Paris
Tél. : +33 (0)1 49 54 73 73

Instax Jean-Charles de Castelbajac chez Colette

Instax Jean-Charles de Castelbajac – un objet collector

L’Instax, c’est ce joli appareil aux couleurs acidulées ou pimpantes, qui permet en instantané d’avoir de jolies photos papier.

Cet appareil que l’on saisit au moment d’un éclat de rire, dans les instants de complicité, pour en garder la preuve ailleurs que sur un smartphone.

Un cadeau parfait pour les moments de partage, ceux pendant lesquels on veut immortaliser chaque minute.

Alors c’est avec Jean-Charles de Castelbajac que la marque s’associe cette année pour une collaboration arty en diable!

Jean-Charles de Castelbajac, c’est pour moi une longue histoire d’amour. Des souvenirs qui remontent à si longtemps d’une collection exclusive vendue au Drugstore Publicis. Je ne sais même pas si lui même se souvient de ce superbe imperméable et de son parapluie assorti qui m’ont fait tant rêver.

Et déjà, il y a si longtemps, la même signature : 3 couleurs primaires qui explosent sur fond blanc. Un style unique, inimitable, reconnaissable entre mille.

Et ce sont exactement les qualificatifs que l’on peut attribuer à cet Instax mini bicolore by JCC+

Il est joyeux, pimpant, bicolore pour la première fois pour un Instax, et la dragonne elle aussi est pop à souhaits !

Cette collaboration pense aussi à la famille avec le « INSTAX Family box by JCC+ « . Ici, un appareil uni, un pack de films, et une boite qui se déplie pour se transformer en arbre généalogique décoré par JCC.

Le cadeau de Noël parfait en résumé !

Vous avez déjà terriblement envie du coffret Instax mini bicolore by JCC+ ? Direction Colette dès aujourd’hui : il est en vente en exclusivité dans ce concept store mythique. Et si vous êtes prêts à patienter, ce sera à partir du 15 octobre en ligne sur la boutique FUJIFILM

Colette 213 rue Saint-Honoré 75001 Paris

Instax Jean-Charles de Castelbajac – l’exposition chez Joyce

Jean Charles de Castelbajac est un artiste touche à tout.

Alors, pour illustrer son univers grâce à l’Instar, lui et ses fils ont utilisé l’appareil pour créer, et les résultats de cette expérience unique sont exposé dans la galerie Joyce, au Palais Royal. Des oeuvres photographiques uniques à découvrir jusqu’au 28 octobre 2017.

Une seule famille, mais des personnalités et des styles très différents. Ici, les photos du père.

Et là celles d’un des fils.

A découvrir au détour d’une balade dans les superbes jardins du Palais Royal !

Galerie Joyce 168 Galerie de Valois, 75001 Paris

INDRESS – nouvelle boutique dans le Haut Marais

INDRESS – un esprit avant tout

La marque INDRESS est une marque née en deux temps. En 2001 quand sa créatrice, Wies Schulte, créé le premier produit INDRESS, un cabas réversible en coton qui remporte immédiatement un succès fulgurant.

Puis en 2005, avec le lancement du prêt à porter.

L’esprit d’INDRESS est de proposer des pièces faciles à porter. Des basiques revisités, dans des matières innovantes ou différentes de celles que l’on attend pour chacun des vêtements dessinés.

Ainsi le tailleur pantalon sera décliné en lurex, mais les blouses seront confectionnées en soie.

Des pièces parfaitement coupées, pour une garde robe élégante et féminine, même si certains vêtements sont empruntés à la garde robe masculine.

INDRESS – la boutique rue Charlot

C’est dans le Haut Marais que Wies Schulte, désormais associée à  Maud Courault, ouvre sa première boutique en propre. Un espace lumineux qui se découpe en deux salles permettant de présenter les 25 pièces qui constituent chaque collection.

Ici, chaque robe, pull, top ou costume est présenté en association pour imaginer un look parfait, élégant, féminin et unique.

Et puis il y a les broches signature de la créatrice. La broche qui bouleverse une tenue, même un simple sweat qui devient un fashion statement.

Cette broche est déclinée en des dizaines de couleurs et permet de réinventer un look à volonté !

Mon coup de coeur sera définitivement pour cette robe en soie à l’imprimé délicat en ton sur ton, et la broche bien sur, indispensable !

Les finitions sont raffinées, de délicats boutons couverts de soie qui font ressurgir à l’esprit des images de robe de mariée.

Alors soyons fous, réinventons la plus simple des tenues avec une touche de fantaisie !

 

INDRESS 74 rue Charlot 75003 PARIS

tel : 01 42 41 37 94 

Ouvert du mardi au samedi, de 11h à 19h

Octobre à Paris – envies multiples !

Octobre à Paris

Octobre est arrivé, sans s’presser, et l’été s’en est allé pour de bon.

Pour profiter de ce mois automnal, de quoi auriez vous envie ?

Octobre à Paris
Octobre à Paris

Octobre à Paris – envie d’être éblouis ?

L’exposition Dior au Musée des Arts Décoratifs est faite pour vous.


Elle retrace les 70 ans de la maison Dior dans une succession de salles et d’installations plus spectaculaires les unes que les autres.


Plus on progresse dans le parcours plus l’émotion et l’éblouissement sont intenses. Choisissez dans la mesure du possible un jour de semaine pour échapper à une attente qui pourrait devenir interminable !

Exposition fermée le lundi

Musée des Arts décoratifs
107, rue de Rivoli
75001 Paris
Tél. : +33 (0)1 44 55 57 50

Octobre à Paris – envie de shopping joyeux et abordable ?

Flying Tiger a ouvert ses portes rue Rambuteau et l’on me dit que le magasin ne désemplit pas.

Est ce qu’on est étonné ? Bien sûr que non ! Ici tout est joyeux, coloré, souvent utile, et toujours très abordable.

Flying Tiger Paris
Flying Tiger Paris

En ce qui me concerne, j’ai fait le choix de la couleur, sous toutes ses formes !
Mais vous pouvez aussi trouver des éléments de décoration dans les tons pastels, des jeux de société, les essentiels du DIY.

Et quand on sait que les collections sont renouvelées tous les mois environ, l’enseigne peut vite devenir une étape incontournable d’un shopping sans contraintes.

Flying Tiger
72 rue Rambuteau 75001 PARIS

Octobre à Paris – renouveler sa garde robe

Envie de la pièce signature de votre garde robe pour l’automne hiver 2017/2018  ?
La marque INDRESS vient d’ouvrir sa première boutique rue Charlot.
Pour commencer doucement, une broche de plumes sera l’accessoire marquant de votre saison.
Si vous vous sentez plus intrépide, c’est  le tailleur pantalon en lurex couleur or qui sera votre nouveau It look de la saison.

Indress PARIS
Indress PARIS

INDRESS 74 rue Charlot
75003 Paris
France
+33 1 42 41 37 94

Balade champêtre

Parce que l’automne, à Paris comme ailleurs, la nature se pare de couleurs, dans nos parcs et jardins, et une balade au Parc Montsouris s’impose !


Le moment idéal pour redécouvrir ce jardin qui fête les 200 ans de la naissance de son architecte Jean-charles Adolphe Alphand.
Au grè des cadres installés dans les allées vous allez comprendre l’esprit qu’Alphand a voulu insuffler dans ces perspectives champêtres.

Attention, l’installation n’est là que jusqu’au 15 octobre.

Parc Montsouris entrée principale : 2 Rue Gazan, 75014 Paris

Octobre à Paris – envies nocturnes ?

Shopping, expositions et balades rempliront vos journées.
Et pour le soir ?

Envie de vibrer dans la ville jusqu’au bout de la nuit ?
C’est la Nuit Blanche qu’il vous faut. Ou plutôt cette année dirais la Niut Blnahce !

NIUT BLNAHCE
NIUT BLNAHCE

Ce sera donc le 7 octobre que vous pourrez partir à la découverte  du parcours de cette édition qui fête les 15 ans de l’évènement et se déroulera dès la tombée de la nuit.

Cette année, c’est la création en collectif qui est célébrée au travers des différents parcours proposés dans toute la capitale. Pour préparer votre soirée, le détail est à découvrir sur le site de l’évènement.

Envie de vous régaler ?

Et pour finir, envie d’un diner italien qui fait voyager en Sicile ? Le Noto est le restaurant qu’il vous faut.


Ici c’est la Sicile dans votre assiette, sa chaleur, ses couleurs
Parfait pour un repas automnal à Paris !

Bon à savoir : plusieurs formules sont opposés pour les spectateurs de la salle Pleyel : enfin la réponse à l’éternelle question avant d’aller à un spectacle : mais où et quand vais manger ?

NOTO 252 bis rue du Faubourg Saint Honoré, 75008 Paris

La Monnaie de Paris – Renaissance

La Monnaie de Paris

Le 30 septembre, le 11 Conti ouvre enfin ses portes au grand public, après des années de transformation.

Le 11 Conti, c’est le musée de la Monnaie de Paris. C’est l’adresse de la Monnaie de Paris. Ce « coffre-fort » qu’est la Monnaie de Paris devient un lieu ouvert sur la ville au cœur du 6èmearrondissement, et on peut y découvrir la beauté de l’édifice tout d’abord, des cours intérieurs qui avaient été couvertes et reprennent vie, et bien sur les métiers et l’histoire de cette industrie artisanale qui accompagne la vie des français depuis le IXème siècle.

Enfin, la nouvelle boutique est spectaculaire, installée dans l’ancienne fonderie qui devient l’écrin des créations exceptionnelles de pièces et de monnaies.

Sans oublier le restaurant gastronomique du chef étoilé Guy Savoy, également installé dans ce lieu.

Monnaie de Paris
Monnaie de Paris

La Monnaie de Paris est née en 864 pour « battre monnaie ». Cela en fait la plus vieille entreprise du monde ! C’est en décembre 1775 qu’elle s’installe dans ses locaux de la rue de Conti.

C’est donc dans ses locaux, totalement rénovés, désormais ouverts sur l’extérieur ainsi que sur les artisans qui y travaillent, que nous allons pouvoir découvrir l’art de créer ces monnaies auxquelles on prête aujourd’hui si peu d’attention

La Monnaie de Paris – le parcours de découverte des monnaies

Un parcours expérimental permet aux visiteurs que nous sommes d’être acteurs de la visite, de découvrir à travers des vues sur les ateliers la dernière usine de Paris, de voir les artisans en action, là, à leur poste de travail.

Les savoir-faire, les secrets de fabrication de la monnaie ainsi que les collections patrimoniales de l’institution, pour certaines conservées à l’abris des regards jusqu’alors, seront enfin dévoilés au public.

On assiste en direct à la gravure, la frappe, au calibrage, on découvre les machines utilisées au fil des ans, jusqu’au résultat final que sont les monnaies créées dans cette institution.

On découvre aussi ici le mètre étalon, mais aussi les racines de l’école des Mines !

La Monnaie de Paris – la fonderie devient boutique

La Monnaie de Paris produit donc aujourd’hui des monnaies. Des pièces exceptionnelles qui séduiront tous les collectionneurs, et les autres !

Actuellement par exemple, c’et la collection Jean Paul Gaultier qui est à l’honneur. Faites un tour du côté de l’exposition de ces petites merveilles, et découvrez la mise en scène créée pour les accompagner.

La Monnaie de Paris 11 quai de CONTI 75006 PARIS

 

Restaurant L’Avenue – hype, fashion, branché !

Restaurant L’Avenue – Comment on s’y sent

Le restaurant L’Avenue est une institution du Triangle D’Or à Paris.

Installé sur l’avenue Montaigne, à quelques pas des grandes stations de radio parisiennes que sont RTL et Europe1, mais aussi des palaces et enseignes prestigieuses installées à proximité.

Ici se côtoient riches touristes, hommes politiques,  journalistes de renom, directrices d’agence de RP, acteurs incognitos. Pour exemple, on y rencontrait tous les matins Jean-Pierre Elkabach accompagné d’un ou deux ministres, après sa matinale sur Europe1.

On vient donc pour s’attabler en terrasse ou prétendument dissimulé derrière d’épais rideaux de velours, et pour être vu quand on est célèbre ou que l’on espère le devenir.

Ou pour voir, assister à la comédie humaine qui se déroule là, tout au long de la journée, et pendant toute l’année. Une des périodes clé est la Fashion Week bien sur, quand les mannequins viennent s’ajouter à la clientèle précédemment citée.

C’est donc pour déjeuner, un dimanche, que nous avons vécu notre première expérience à L’Avenue.

Une hôtesse longiligne nous installe en terrasse. Il est tôt, il y a peu de monde, et l’endroit est plaisant.

Restaurant l’Avenue – Ce qu’on y mange

Qualité, efficacité.

Restaurant l'Avenue - La carte
Restaurant l’Avenue – La carte

Les plats proposés sont convenus. Une carte signée Costes, sans surprise.

Les tarifs eux, sont LA surprise. Parce que même pour des parisiens habitués à certains excès tarifaires dans la restauration, là, l’établissement se surpasse.

Le service est très efficace, les plats servis rapidement. Ils sont esthétiques, les produits de qualité, et le tout agréable au palais.

Risotto et tom yam répondent à notre attente gustative.

Les desserts sont bons, parfaitement instagramables, la tarte aux fraises en particulier !

Restaurant l’Avenue – Pourquoi je reviendrai

Certainement pas pour un déjeuner complet. Parce que même si le repas était bon, et l’expérience sympathique, je pense qu’en vous montrant cette note, je n’ai pas besoin d’ajouter quoi que ce soit !

Alors bien sur, il y a eu le surfeur californien qui s’est installé à côté de nous. Il était accompagné de Bob. Son chien. Un tout petit chien qui ne colle pas du tout avec l’idée que j’avais d’un chien de surfeur. Parce que le surfeur, lui, a tous les attributs – du surfeur je veux dire. Grand, blond, les yeux bleus, musclé, souriant, et terriblement sympathique. Comment résister quand il commence la conversation en nous disant : « meet Bob« . Puis il continue avec « you guys live in Paris ?  »

Nous apprendrons donc qu’il adore prendre son café ici, qu’il habite rue François 1er, et qu’il est à Paris « for business and for fun » !

Disons donc que si je retourne à l’Avenue, ce sera pour prendre en café, et espérer revoir Bob et son maitre ! Je prendrai même peut-être son numéro, pour le donner à mini moi qui saura peut-être quoi en faire 😉

Restaurant l’Avenue 41 avenue Montaigne 75008 Paris