Chaque année, même questions, et quête de réponses originales : mais que faire à Paris en août, quand les parisiens ont déserté la ville et les autres envahissent les hauts lieux traditionnels du tourisme, laissant ainsi la plus grande partie de la ville vide, disponible à la découverte !
Dans la série Paris en Août, je vous propose donc aujourd’hui une première idée.
Le Parcours Tuileries
Ce quartier, que j’affectionne tout particulièrement, s’est organisé pour faire découvrir la richesse de ses enseignes. Ainsi, Une vingtaine d’établissements s’est associée à l’initiative de la superbe marque de bijoux H.STERN pour proposer un parcours «shopping» d’excellence : le Parcours Tuileries.
Parcours Tuileries
Ici il s’agit d’excellence à tous les niveaux. Excellence des produits, excellence de l’accueil, excellence du savoir faire.
Les établissements participants prévoient chaque mois un cadeau, une attention particulière pour les clients qui emprunteront ce parcours.
Bien sur, en août, l’activité diminue considérablement. Pourtant, certaines enseignes restent ouvertes, et voilà quelques exemples de ce qu’elles proposeront.
Et puis ce sera l’occasion de commencer la découverte pour revenir en septembre pour la suite de cette expérience.
Programme du mois d’août
Parcours Tuileries
En août donc, le Parcours Tuileries vous proposera :
le Bar de la Tamise vous offrira une coupe de champagne Esprit de France lors d’un déjeuner
Chez Flottes, du 1er au 31 du mois, c’est un cocktail, Apérol Spritz au prosecco, qui vous sera offert de 17h30 à 20h00
Pour les gourmands, c’est la dégustation d’un chocolat chaud pour chaque déjeuner consommé qui vous sera proposée chez Angelina
Si le mois d’août vous donne l’envie de passer la nuit dans un bel hôtel parisien, l’hôtel Brighton, c’est avec un accueil VIP que vous serez accueilli en chambre dès votre arrivée.
L’initiateur de cette superbe idée de découverte parisienne, H.STERN, vous attend dès le 22 août avec une « Petite Attention surprise »
WHSmith, une des seules enseignes ouvertes durant tout le mois d’août, vous attend aussi avec une surprise, à l’accueil de la libraire, ainsi qu’au salon de thé. Une bonne raison pour se mettre, ou se remettre, à la lecture en anglais !
Et chez Meyrowitz on pourra visiter la collection privée de lunettes le 31 août.
Cette maison, comme plusieurs des autres maisons qui participent au parcours Tuileries, est établie dans la capitale depuis des décennies.
C’est un des derniers opticiens en France à réaliser des lunettes sur mesure, en particulier en écaille, mais aussi en corne ou encore en acétate.
Un savoir faire unique que cette maison perpétue depuis sa création, en 1875.
Vous pourrez également y faire restaurer les lunettes de votre grand père que vous aurez retrouvées dans un carton ou dans votre grenier.
Et si vous êtes inspirés par le style Sacha Guitry ou Henri Salvador, sachez que c’est ici qu’ils ont faire faire leurs lunettes, et que vous pourrez vous aussi en porter, dans une déclinaison de couleurs actuelles.
Dans toutes ces maisons vous pourrez demander le joli carnet d’illustrations du parcours, qui contient des fiches sur chaque enseigne et sur les attentions à venir, ainsi que le programme du trimestre en cours.
Alors c’est parti ! L’année 2016 promet des découvertes exceptionnelles ! Vous êtes partantes ?
Voyager, voilà une activité particulièrement adaptée à l’été ! Partir, partir….Loin, dans des contrées lointaines, méconnues, ou bien dans ces villes uniques au monde dont je ne me lasse jamais… Suivez mon regard…
New York
Le voyage libère l’esprit, forme la jeunesse, et permet des découvertes, comme des rencontres. Seulement voilà, parfois, dans les destinations de rêve, la langue pratiquée est incompréhensible pour nos oreilles françaises. Et d’ailleurs, même au plus près de nous, de l’autre côté de la Manche, la situation n’est pas toujours aisée !
Alors que faire ? Comment aller à la rencontre des locaux, quand ils ne parlent pas un mot de français ? Comment découvrir leur culture, échanger, créer le lien ?
Facile : apprendre l’anglais,
Facile : apprendre l’anglais ! Le sésame absolu, la langue universelle, même si cela nous fend le coeur, à nous, dépositaires de la plus belle langue du monde !
Alors il faut se le dire, les français ne sont pas connus pour leur maitrise de la langue de Shakespeare…
Et puis les cours du lycée sont bien loin. Et où trouver un prof, qui s’adapte au niveau de chacun, que l’on appelle précisément quand on en a besoin, au moment qui nous convient ?
Gymglish, c’est la possibilité de progresser à son rythme, quand on veut, où on veut.
Gymglish, c’est du vocabulaire, de la grammaire, sous forme ludique, en suivant les péripéties de la famille Delavigne
Gymglish, c’est de l’écrit et du parlé, pour s’habituer à entendre et comprendre !
J’ai trouvé le concept intéressant, souple, et le principe innovant par rapport aux cours classiques. Progresser, apprendre, tout en s’amusant, c’est tentant non ?
Apprendre l’anglais avec Gymglish et The Parisienne
Alors voilà ce que je vous propose : vous suivez les péripéties de la famille Delavigne et sa société à San Francisco pendant 2 mois, gratuitement, et vous revenez ici pour me dire si vos progrès vous permettent désormais de lire le Times en anglais dans le texte !
Alors, quand on y pense, ça ne coûte rien d’essayer … Will you give it a try ?
C’est plutôt simple comme proposition : qu’en dite vous ? what do you reckon ?
Donc, c’est très simple, avant le 15 août, vous cliquez, vous vous inscrivez, et vous apprenez.
Et l’été prochain vous serez fin prêts pour un tour du monde bilingue, un saut de 24 heures à Londres, ou une virée dans le grand ouest américain !
Michel Houellebecq fait partie de ces artistes qui ne se contentent pas d’exceller dans un domaine. Seul l’art total l’intéresse. Après avoir été romancier, poète, auteur de chansons, essayiste, acteur, réalisateur de cinéma, le voici désormais photographe, plasticien, peintre, et finalement metteur en scène de ses obsessions.
Après avoir présenté ses bulletins de santé, ses radios du cerveau et autres examens biologiques à la Biennale de Zurich, c’est désormais au Palais de Tokyo que Houellebecq expose un pêle-mêle de créations, photographies, collages, montages, vidéos, installations, dans un parcours dont il a conçu le plan « comme il assemble entre eux les poèmes de ses recueils ou les séquences de ses films ».
On y retrouve naturellement les grandes thématiques de ses romans : les territoires périurbains et leur isolement, les grandes surfaces et les aires d’autoroutes, la nature tantôt hostile, tantôt bucolique, le corps des femmes, le tourisme de masse et ses dérives, une certaine fascination pour le côté noir et sinistre du monde, la passion très « shopenhaeuriène » pour les chiens, et surtout pour son chien Clément, le rêve ou la crainte eugéniste de la fabrication d’un homme nouveau …
Un point très positif : la mégalomanie de Houellebecq est telle qu’il n’a laissé à personne le soin de commenter son oeuvre, et surtout pas aux habituels commissaires d’exposition des musées d’art contemporain. Plutôt que de subir la prose absconse des analyses officielles, les visiteurs reçoivent une double page où l’on trouve des explications de Houellebecq lui-même pour chacune des salles de l’exposition. Et c’est plutôt clair, par exemple à propos de deux photos d’un centre commercial et d’un paysage : « Ce qui m’intéresse le plus ici est l’antagonisme entre le Leader Price et la nature, qui restera total. Alors que dans les pierres de Dordogne, il y aura fusion avec la nature ».
La question qui se pose à la sortie est celle de l’intérêt de cette exposition, de son rapport avec le reste de l’oeuvre de Houellebecq. Je ne sais pas ce que peut en penser un visiteur qui n’a pas lu ses romans. Sans doute est-ce une rencontre étrange, un peu dérangeante, dont on sort avec plus de questions que de réponses … et qui conduit soit à passer son chemin, soit à se plonger immédiatement dans « La possibilité d’une ile » ou dans « Particules élémentaires ». Autrement dit, plus Houellebecq veut s’éloigner de la case trop étroite de « romancier », plus son oeuvre semble l’y ramener. Le mythe de l’artiste total est sans doute un leurre. Michel Houellebecq-écrivain a placé la barre trop haut.
Les tendances déco ont profondément évolué ces dernières années. L’art est devenu un élément central d’une décoration que l’on veut personnelle, unique. Une décoration d’intérieur qui serait le reflet parfait de ce que nous sommes.
Etre bien chez soi, passer la porte et s’y reconnaître, chaque élément de décoration étant une parcelle de ce tout parfait, de cet endroit où l’on se sent si bien.
Tendances déco – mobilier
Dans les nouvelles tendances décoration, il y a le mobilier. Une multitude de sites qui raccourcissent les chaines de production, qui permettent de s’offrir des meubles design sans y laisser un bras. Une variété plus large, des tarifs qui ne laissent plus ce sentiment amer de payer trop, encore et encore.
On peut désormais envisager de se meubler dans une tranche intermédiaire entre coûts exorbitants et meubles en série que l’on monte soi même et que l’on retrouve chez tous ses voisins !
Tendance déco – luminaires
Ampoules basses consommation, éclairage industriel, projecteurs réinventés, autant de nouveautés qui participent désormais à l’éclairage de nos intérieurs.
Tendance déco – luminaires industriels
Là aussi de la nouveauté. Ce qui semblait réservé aux usines et autres ateliers envahit nos salons, nos salles de bain et nos chambres à coucher. Tout a commencé dans les sous sols de Merci, là où naissaient les tendances, et l’on retrouve désormais ces luminaires d’un nouveau genre partout, des lieux les plus branchés aux espaces plus mainstream.
Tendance déco – l’art abordable
Et puis il y a l’art. Cet art qu’on imaginait ne pouvoir trouver que dans les musées, ou encore dans les galeries de la rue de Seine, ou encore de l’avenue Matignon.
Et puis l’art a envahi la ville, avec le street art bien sur, mais aussi les grands évènements autour de l’art contemporain qui sont désormais devenus la signature de Paris : la Fiac, Paris Art Fair, et tous les autres.
Des musées au galeries en passant par la rue, l’art est lui aussi désormais rentré chez nous. Des sites spécialisés dans l’art abordable, permettant ainsi de s’offrir une oeuvre que l’on admirera quotidiennement.
C’est dans cette mouvance que se situe la galerie d’art Kazoart. Sur ce site, l’art est à portée de clic, et de porte monnaie. Des oeuvres d’artistes de toute la France, sélectionnés par des experts du monde de l’art.
Des photos, des peintures, des sculptures contemporaines dans des styles qui vont de l’abstrait au figuratif en passant par le géométrique ou encore le popart.
Sur le blog du site, vous trouverez les tendances, des conseils, des mises en scène riches en idées. Bref, tout le nécessaire pour redonner vie à votre intérieur en le rendant unique, exactement comme vous !
Personnellement, je me suis découvert une passion pour la photo noir et blanc type architecture industrielle.
Le palace proposait déjà une grande variétés de propositions. Tout d’abord, il y a le joyau de la couronne, le restaurant étoilé du chef Christian Le Squer : Le Cinq
Et puis il y a Le George, pour voyager, ensemble, puisqu’il s’agit de gastronomie méditerranéenne, inspirée des délices de notre côte d’Azur, et jusqu’à l’Italie. Une particularité : on y propose des plats en demi-portion, ou des plats à partager, pour que tous les convives partagent cette expérience gastronomique de la façon la plus conviviale possible.
Et enfin la Galerie, qui propose une expérience qui va du petit déjeuner au diner en passant par le goûter. Elle se partage entre intérieur orné de tapisseries flamandes et décorée de somptueux objets d’art, et une terrasse pour profiter de la superbe cour intérieure.
Le dernier né donc, le restaurant l’Orangerie, dispose lui aussi d’un emplacement assez unique : une superbe verrière donnant sur la cour intérieure du palace. C’est là que les convives, 20 au maximum, pourront déguster un repas qu’ils n’oublieront pas.
La découverte
Pour vous y rendre, il vous faudra traverser la Galerie. Elégance et raffinement, une douce musique au piano, accompagnée par la voix mélodieuse de la chanteuse qui accompagnera le diner.
La carte proposée consiste en un choix à la carte, suivi de deux menus, l’un à 95€ composé de mets que vous ne trouverez pas dans la partie » à la carte « , et l’autre, le menu dégustation, qui permet de gouter toutes les spécialités du lieu.
Mais pour commencer, tout est dans la carte de cocktails bien sur.
Cocktails l’Orangerie
Et comment résister à l’appel du George fizz !
George fizz
A moins que vous ne puissiez résister au Dreamlover…
Cocktails en main, il ne reste plus qu’à analyser cette carte qui présente des plats d’une cuisine de tradition française, tout en élégance.
Une fois le choix effectué, c’est un festival de finesse et de saveurs qui nous attend, doublé d’une générosité qui décuple le plaisir de l’expérience!
Pour commencer des amuses bouche, comme par exemple ces petites merveilles, et tout particulièrement les sablés parmesan et truffes.
Et puis le repas commence.
L’essentiel
Je ne vous cacherai rien : j’ai tout adoré, et ce fut le cas pour nous quatre.
Chaque plat nous a subjugué, tout d’abord visuellement, puis de la toute première bouchée jusqu’à la dernière.
Et ce bonheur gustatif a été appuyé par ce qui est indispensable pour un moment parfait : un service hors pair. Vous le savez, je suis au moins aussi sensible au sourire qu’au contenu de l’assiette. Et dans ce cas précis, la combinaison a atteint la perception.
L’ensemble du personnel a fait preuve d’un professionnalisme absolu accompagné d’un sourire parfait. Bien loin de la posture guindée que l’on pourrait craindre dans un palace, ils ont su mêler proximité, cordialité, professionnalisme et service d’excellence.
Mais revenons en au repas, dont je vais vous montrer tous les plats, pour le plaisir de vos yeux et de mes papilles !
Commençons donc par l’entrée signature : langoustine à la nage. Subtilité de l’écume de riz, cuisson parfaite, et caviar qui complète la palette des saveurs.
Pour les amoureux des fruits de saison, impossible de résister à ces tomates anciennes, goûteuses, savoureuses, et dignes du mariage avec la truffe qui orne la composition.
Puis vient le plat signature : la sole
Sole
Le ris de veau se présente bien différemment qu’à son habitude.
Je vois bien que vous demandez un zoom sur les pommes de terre soufflées …
Nous n’avons pas su résister à la proposition de déguster un peu de fromage avant le dessert, et c’est la mimolette vieillie que nous avons sélectionnée, pour un partage convivial.
Et puis vient le moment crucial, celui du dessert. Je confesse n’avoir photographié que ce vacherin réinventé. Les autres resteront donc à découvrir sur place.
Parce qu’ail faut bien le dire, cette fleur aux milles pétales de meringue était véritablement l’apothéose visuelle de ce repas.
Et puis il y a eu « l’apothéose, the sequel » avec ces mignardises exquises.
La générosité
Savoureux, subtil, mais surtout généreux, voilà comment je qualifierai ce festin.
Généreux comme cette deuxième assiette de mimolette vieillie qui s’invite sur notre table.
Généreux comme le chef, David Bizet,qui vient s’enquérir des émotions de ses hôtes.
Et généreux comme l’explosion florale de ces compositions spectaculaires créées par JEFF LEATHAM.
La nuit était tombée, il nous a fallu quitté ce lieu, mettre un terme à cette parenthèse enchantée, en rêvant secrètement de revenir vite, très vite.
Restaurant l’Orangerie
réservations +33 (1) 49 52 72 24
Hôtel Four seasons George V 31 Avenue George V, 75008 Paris
Lui, c’est Rémi Porthault, le créateur de Miel Factory. Vous remarquerez la proximité de sa boutique avec L’esprit Parisien, une de mes dernières découvertes !
Alors commençons par la récolte du miel.
Elle a toujours lieu pendant les beaux jours. En France et en Europe, elle commence dès le mois d’avril et se termine en novembre ; et lors de la saison sèche pour les pays exotiques.
Et puis il n’y a pas UN miel, mais DES miels…
Moment » le saviez-vous »
Le miel a deux origines florales : le miel de nectar, récolté par les abeilles directement sur la fleur et le miel de miellat récolté par les abeilles sur les arbres. Le miellat est une substance sucrée rejetée par les parasites présents sur les arbres (pin, sapin épices, chêne). Le miel de sapin est certainement le plus connu, mais les chênes, les châtaigniers et les mélèzes peuvent être à l’origine d’une production abondante de miellat.
Mais revenons en au créateur de cette marque. Rémi Porthault, fils de la famille Porthault, grand maison de linge de maison de qualité, a grandi entouré par les matières nobles, les broderies et les dentelles faites main. C’est la finesse qui sera sa signature dans le miel qu’il va créer.
Tout commence dans une petite boutique de Morzine :le Comptoir du Miel à Morzine, d’où il ramène toujours une cagette garnie à Paris. Et puis c’est une rencontre, celle d’Anne Mella, une apicultrice savoyarde,qui devient son amie.
De voyage en voyage, il découvre des miels du monde entier,et aussi des campagnes françaises. A l’étranger, il entreprend un tour gastronomique de miels plus méconnus .
Des miels de tous les coins du monde, des nectars mono-floraux, à l’arôme plus précis et marqué, voilà ce qu’il recherche sans cesse et propose dans sa boutique.
Miel Factory
Dans la boutique Miel Factory les miels sont présentés et proposés à la dégustation, sur le même principe qu’une dégustation de vins.
Des pots de toutes tailles et aux milles couleurs sans oublier tous les produits de la ruche : gâteaux, bonbons, confitures, pains d’épices et nougats. Alors attention, gourmandes et gourmands, sachez qu’en pénétrant dans cet endroit, vous allez à votre perte !
Et son « Paris vu par Melissa », elle nous le décrit dans son blog, Prête moi Paris, où elle partage ses découvertes parisiennes au travers de son regard d’américaine, elle qui est parisienne d’adoption. On le sait, ce sont souvent ceux qui ne sont pas nés ici qui aiment la ville avec la plus grande passion. C’est cet amour qu’elle nous livre, tout en élégance !
Etape 1
On commence par Ton Paris Gourmand , le salé, et le sucré
Quelles sont tes deux adresse fétiches du moment : un restaurant, et un salon de thé, ou une pâtisserie.
En ce moment, euh… je veux dire depuis plus d’un an pour vraiment tout avouer, je suis folle dingue des tartes de citron. Je suis toujours à la recherche d’une bonne tarte bien acide, onctueux et rempli de parfum de citron. Les meilleures que j’ai gouté à ce stade de ma recherche sont, à La Fille du Boulanger, une belle boulangerie rue des Batignolles, leur tarte au citron SANS meringue (très important), est à dévorer. Mais aussi délicieux et AVEC de la meringue, c’est la tarte servie au Grand Hôtel du Palais Royal, c’est aussi beau que c’est bon (vraiment presque trop beau pour manger) et c’est à déguster délicatement.
Les tartes à part, j’adore prendre des café ou des cocktails sur des terasses à Paris, et la terasse qui me plaît beaucoup en ce moment c’est la terasse du Café Dad, ou chez leurs voisins L’Iguana Batignolles, car on est en plein soleil TOUTE LA JOURNEE! (Quand il décide de faire beau je veux dire).
Ou bien, ce que je considère être LA meilleures terasse de Paris, quand j’ai envie d’un peu de luxe, c’est la terasse de l’hôtel Raphaël…une splendeur.
Etape 2
Paris culturel, Paris ville des musées, de l’art, de l’architecture. Alors pour toi, ton Paris culturel se trouve où ? Dans un musée fétiche, un quartier chargé d’histoire, un lieu mythique de l’art à Paris, un endroit où un film culte a été tourné ?
A Paris, j’aime me cultiver en allant aux expos quand j’ai le temps et la liberté, mais la meilleure manière de découvrir Paris c’est la flânerie, et je crois que c’est le passe-temps préféré des Parisiens, non?!? n’y a rien de plus plaisant que de se perdre dans le rues de Paris, d’observer les gens, prendre le temps de profiter de la beauté de cette ville magnifique où nous avons tellement de chance de vivre! Mais alors pour choisir un musée magnifique, pas fatiguant et loin des foules, je vous envoie au musée de la vie romantique, c’est une perle!
Mais il ne faut pas oublier non plus le bâtiment le plus beau de Paris, l’Opéra Garnier, que j’adore autant pour ses formes et sa splendeur que pour l’integrité de l’art qui se passe dedans. Le palais Garnier est tout autant Paris pour moi que la Tour Eiffel!
Etape 3
Ne nous le cachons pas, à Paris, le shopping est roi !
Alors dis nous tout : ton magasin favori, la rue que tu préfères pour une virée shopping, tes adresses déco, modes, accessoires, on veut tout savoir !
Alors, écoute, comment te dire, mon « day job » me mets en plein Faubourg Saint Honoré, alors je suis complètement déboussolée quand il s’agit de la valeur des choses. Quand on passe ses journée entourée des produits de luxe, on a moins envie des produits de la grande distribution. C’était Sasha Guitry qui a dit, je crois, « Je n’ai pas les moyens d’acheter bon marché ». Mais je n’ai pas les moyens d’acheter du luxe non plus, moi. Donc je me contente de la lèche vitrine, des dépôt-vente, et les soldes privées de temps en temps. Reciproque, rue de la Pompe dans le 16em, est un dépôt-vente où on peut dénicher pas mal de belles choses occasion, à deux pas de Trocadéro.
Sinon, pour des choses plutôit adapté à mon budget, j’adore chiner la rue Henry Monnier dans le 9em. De jolies petites adresses vous y attendent!
Serge Lutens
Et puis, il ne faut pas oublier ma boutique préférée de Paris!!!!!! Serge Lutens, aux galeries du Palais Royal, c’est un vrai bijoux, un endroit féerique, avec de produits d’une qualité exceptionelle et un staff d’experts professionels qui offrent un service luxueux et personnalisé. C’est le meilleur endroit pour s’offrir un vrai souvenir de Paris, un parfum de Serge Lutens acheté dans ce lieu sublime qu’il a créé.
Paris est une capitale, grande et belle, faite de petits villages. Chacun a son âme, des habitants qui ne le quitteraient pour rien au monde. Ils y ont leurs habitudes, et même s’ils s’aventurent parfois dans d’autres lieux de la ville, c’est là qu’ils se sentent un peu plus chez eux.
Quel est ton village ? Celui où tu vis, celui où tu aimerais vivre, ou même celui que tu as quitté et auquel tu penses encore ?
Depuis que j’ai découvert les Batignolles, je rêvais d’y vivre. Avec beaucoup de chance, nous avons pu s’installer au bord de ce quartier en 2013. J’adore ce quartier plus que tout autre à Paris.
Le Square des Batignolles est pour moi un lieu magique, les rues de ce qu’on appelle le « village des Batignolles » sont charmantes et pleines de vie, des familles et des hipsters, des mamans avec leurs poussettes, des boutiques toutes mignonnes, des bons produits, le marché couvert… Je blogue souvent sur des adresses dans mon quartier car il y a tant à découvrir! C’est un quartier riche en activité, pauvre en foules touristiques, et très accueillant. La seule raison pour laquelle je quitterait mon quartier, serait d’avoir une vue énorme sur la Tour Eiffel… (On ne sait jamais…je joue au loto!)
Et pour finir, parce que ce qui compte, avant tout, ce sont les émotions, pourrais-tu partager avec nous un moment d’émotion lié à PARIS ? Cela peut-être une rencontre, un paysage bouleversé, une rencontre, des rencontres, un événement vécu là, et qui restera gravé dans ta mémoire.
Comment en choisir un!?! Paris, c’est l’endroit où je me suis vraiment retrouvé. J’aime tellement cette ville avec toutes ses façades, toutes ses diversités, tous ses beautés et laideurs, ses amoureux et ses râleurs…
Alors voilà un moment inoubliable : la nuit avant mon mariage, ma meilleur amie venue des Etats-Unis passait la nuit avec moi (mon chéri était chez ses parents pour la nuit), et nous sommes allées toutes les deux voir la Tour Eiffel (qu’elle n’a jamais vu). Arrivées sur la ligne 6 quelques minutes avant minuit, nous nous sommes ajoutées à la petite foule qui se réunit toujours à Trocadéro avec cette vue immense sur l’édifice le plus beau du monde. Et puis, d’un coup la tour s’est mit à pailleter (chose dont je ne me lasse jamais), mais mon amie ne savais pas qu’elle allait voir un tel spectacle! Et toute la foule a fait en même temps un grand « Oooooooh! ». C’était magique. Nous deux, complices, la veille d’un des plus beaux jours de ma vie, et devant cet belle surprise que je lui ai réservée, on n’arrivait pas a contenir notre joie. Comme deux gamines, on se prennait par les mains et se faisait tourner en virevoltant encore et encore riant comme des enfants. Un moment de bonheur, de beauté et d’amitié que je garde précieusement dans mon coeur.
Ce nom est peut-être familier pour certains d’entre vous.
Brulerie Saint Jacques
Ceux qui seraient passé devant le bâtiment historique de cette marque disparue et qui renaît aujourd’hui de ses cendres. Ceux qui, en véritables amoureux de Paris connaissent l’enseigne, située rue Saint Jacques, toujours présente, mais apposée à un bâtiment qui héberge désormais une résidence pour étudiants.
En effet, il s’agit de la réactivation d’une enseigne de torréfaction parisienne disparue à la fin des années 1970.
Le café de la Brûlerie Saint-Jacques est un café torréfié, moulu et bu sur place. Il se veut comme le café « quotidien » du francilien depuis 1930. Derrière la réactivation d’une enseigne emblématique de l’artisanat français, la volonté de deux passionnés de café, qui lui ont redonné vie, et proposent un café de qualité en toute simplicité, à un prix abordable. Avec de surcroît une démarche équitable puisqu’il respectent les normes du commerce équitable, de respect de l’environnement et de fabrication « made in France ».
Mais qui sont-ils ?
Les créateurs de Paris Authentic . Vous les connaissez forcément ces charmantes deux chevaux tri colores qui arpentent les rue de Paris avec à leur bord des touristes ravis !
Ils ont donc une autre passion : le café. Et ils ont donc décidé de se lancer dans cette nouvelle aventure.
Une idée qui répond aux envies du moment. Le « made in France », le locavore , et les foodtrucks !
Le café de la Brûlerie Saint Jacques est donc bio, issu du commerce équitable. Il est torréfié, moulu et bu en Ile-de-France.
Et c’est dans un « Coffee truck », nouveauté en France, qu’il sera servi.
Alors pour les trouver cet été, c’est simple. Il suffit de suivre leur page Facebook, et ils vous diront tout.
Le Général hôtel a pris vie dans les années 2000 avec son créateur, Jean-Philippe Nuel. Il se réinvente aujourd’hui dans un nouvel univers, toujours signé par le même architecte.
Idealement situé à quelques pas de la place de la République, mais aussi du Haut Marais, ses jolies boutiques, ses bars, speakeasy et autres restaurants. Sans oublier Merci, temple des tendances, et la maison Plisson, paradis des gourmets.
Le décor est tendance et design, en phase avec l’esprit du designer qui l’a conçu, en insistant de façon marquée sur l’importance du lien social, pour faire sortir le voyageur de l’anonymat,lui offrant de multiples possibilités de se connecter aux autres habitants du lieu, du quartier, de la ville.
Une grande salle commune, un bar, des murs ardoise permettant de laisser un message, et puis des portraits photos accrochés aux murs, comme s’il s’agissait là de ses amis, sa famille. On vous proposera des idées d’itinéraires de promenades dans la ville, à pieds, à vélo. Tous les soirs, l’équipe du Géneral Hôtel proposera une coupe de champagne à ses hôtes entre 19h00 et 20h00 pour un moment de partage et d’échanges.
Et puis il y a la gourmandise ! Quel meilleur vecteur de lien et de convivialité ! Le général hôtel proposera donc des cours de cuisine, autrement appelés désormais Master Class, avec un pâtissier parisien que l’on ne présente plus.
Carl Marletti – Le roi du fraisier
Carl Marletti, pâtissier, et roi du fraisier ! C’est le Figaroscope qui le dit, puisqu’il l’a désigné meilleur fraisier de Paris.
C’est donc lui qui dispensera des cours de pâtisseries au Géneral Hôtel pour les heureux élus qui parviendront à obtenir une place.
Il a débuté le 15 juin avec la Tanariva, et ça continue !
Carl Marletti- le Général Hôtel : le programme
Mercredi 6 juillet – la Pavlova
Mercredi 7 & 21 septembre – Cakes et fours secs
Mercredi 5 & 19 octobre – le Mont-Blanc
Mercredi 2 & 16 novembre – la bûche de Noël
Ainsi, semaine après semaine, il vous confiera ses secrets pour faire votre propre fraisier, votre cake automnale, ou encore votre bûche de Noël. Chaque geste sera décortiqué, expliqué, déroulé, pour vous garantir la réussite sur place, mais aussi plus tard, chez vous, quand vous réitérez l’expérience ! Et puis, comme on n’est jamais à l’abri d’un petit loupé, Carl sera là pour rattraper vos erreurs, et vous garantir une dégustation en fin de cours.
Alors vous l’aurez compris, parisien gourmand ou touriste en quête d’un logement parisien, le Général Hôtel vous accueille dès maintenant.
Voilà, l’été est enfin là. Moi qui avais l’impression d’être encore en février, voire même en novembre, j’ai du mal à y croire.
Et qui dit été, dit envie de voyager, en tous cas en ce qui me concerne !
Cet été, c’est le sud de la France qui m’accueillera. Mais je rêve de voyages plus lointains, de destinations inconnues, et aussi de retourner vers celles que j’aime tant.
J’ai donc décidé de voyager un peu en images avec vous, et de vous montrer quelques images de ma dernière destination.
Venise – la sérenissime
Lors de notre dernière escapade à Venise, nous avons emprunté des chemins de traverse.
Loin de la Place Saint Marc, que nous avons quand même traversée, parce que sinon, ce n’est juste pas possible, nous avons marché, flané, nous nous sommes laissés porter par l’envie, la découverte. Et d’ailleurs, cette fameuse place Saint Marc, nous l’avons découverte sous un jour inattendu pour cette saison : recouverte d’eau ! Et Oui, il y a acqua alta en juin parfois…
Venise – place Saint Marc
Et de l’eau, il y en a eu, de la place St Marc à toutes les petites rues de la ville ! quelques heures les pieds dans l’eau, et puis plus aucune trace, jusqu’au lendemain soir, où l’eau montait à nouveau !
Mais dans la journée le soleil revenait, et nous avons alors pu admirer le Grand Canal du côté du palazzo Grassi et du pont de l’Accademia.
Nous avons déjeuné dans le quartier Dorsoduro, au pied du pont de l’Accademia, avec une vue dont il est impossible de se lasser…
Et en plus, la pizza était plutôt bonne !
Et aussi, pour la première fois, nous sommes allés à Burano, cette jolie petite île connue pour ces maisons multicolores et ses brodeuses. Et la couleur était bien au rendez-vous.
Venise Burano
La brodeuse aussi !
Au delà de la couleur des maisons elles même, c’est la multitude de portes entrouvertes et de rideaux frémissants avec la brise de la mer qui m’a le plus séduite.
Les gondoles sont restées à Venise, le temps pour nous de découvrir ces destinations dont je rêve encore, celles que j’espère bientôt découvrir. Et comme le monde est vaste, très vaste, ce n’est pas fini !
Gondoles à Venise
Peut-être que je tenterai une destination en la choisissant en fonction de son plus joli billet, dans les 10 plus beaux billets du monde !
Ou peut-être que je ferai tourner une mappemonde pour laisser le hasard me guider.
Ou encore peut-être que, pour avoir des idées, je retournerai faire un tour sur le blog de maman voyage qui en est à son deuxième tour du monde, ou encore sur Happy city blog.
Et dans tous les cas, je vous souhaite d’excellentes vacances d’été, où que vous soyez, où que vous alliez !