Mercredi 23 juin 2021 à 10:00, la Samaritaine Paris a rouvert ses portes en grande pompe. Le grand magasin emblématique de la capitale était resté clos pendant 16 ans. Autant dire que la curiosité était à son comble lorsque les parisiens présents pour l’événement ont passé les portes sous les applaudissements de l’ensemble du personnel présent pour l’occasion.
La Samaritaine Paris – histoire d’un grand magasin
La Samaritaine, c’est l’emblème de l’évolution du commerce des années 1870. Le Bon Marché avait déjà lancé la révolution commerciale quelques années auparavant en instaurant des prix fixes, la livraison à domicile, les soldes ou encore la vente par correspondance. La Samaritaine va aller encore plus loin. C’est un couple de professionnels de la vente qui va développer cette nouvelle enseigne : Ernest Cognacq, un ancien vendeur de tissus, et son épouse Marie-Louise Jaÿ qui a commencé sa carrière dans la vente comme première vendeuse au magasin Le Bon Marché ! En 1871 Ernest, qui était surnommé le « Napoleon du déballage » s’installe dans un petit local à un café à l’angle de la rue du Pont-Neuf et de la rue de la Monnaie. Il se marie et le couple continue à développer ce magasin qui est le premier à permettre l’essayage des vêtements, et propose des prix fixes affichés, une organisation en rayons thématisés. Le succès est au rendez-vous et rapidement le couple fait l’acquisition des bâtiments alentours.
L’architecture se veut détonante. L’architecte, Frantz Jourdain, inspiré par l’Art Nouveau, habille la façade de mosaïques et de frises représentants des motifs floraux, dans des tons jaune et vert. Ce débordement de couleurs est unique et demeure jusqu’à aujourd’hui, magnifiquement restauré, pour le plus grand plaisir des parisiens.
La Samaritaine – les nouveaux aménagements
Le chemin fut long et douloureux. Le grand magasin a fermé ses portes il y a 16 ans. Seize années pour définir la façon dont seraient réaménagés ses 70000m2 et effectuer les travaux pour y aboutir.
La Samaritaine réunira donc un grand magasin, un hôtel cinq étoiles de 72 chambres, Le Cheval Blanc, des bureaux, des logements sociaux, ainsi qu’une crèche.
La Samaritaine Paris
La partie magasin s’étend aujourd’hui sur 20000 mètres carrés, alors qu’elle avait atteint jusqu’à plus de 40000m2. Mais ces 20000m2 valent largement le déplacement ! Sans oublier l’hôtel qui doit ouvrir ses portes en septembre 2021. On y trouvera également plusieurs espaces de restauration qui permettront de profiter de la vue spectaculaire sur la Seine. C’est effectivement la seule note négative en ce qui me concerne : le magasin La Samaritaine proposait une vue spectaculaire sur la Seine et ses quais. Cette partie du bâtiment est désormais réservée aux résidents de l’hôtel. D’ailleurs, en guise de clin d’oeil, un écran vidéo géant a été installé au dernier étage du magasin, le long du mur qui fait face à la rivière. On peut y voir la Seine, ses péniches et ses berges. Le paysage tel qu’on pouvait l’admirer directement « avant » !
La Samaritaine – on y trouve toujours (presque) tout
La nouvelle Samaritaine s’orchestre toujours autour du majestueux escalier, sous la verrière qui baigne les lieux de lumière. Mais ce bâtiment principal est également relié par une passerelle au nouveau bâtiment Rivoli ou l’expérience shopping se poursuit.
Plus de 600 marques présentes, allant du luxe au plus abordable selon les espaces.
Des corners restauration sont dispersés dans tout le magasin, un food court au dernier étage permettant ainsi de prendre le temps d’admirer la superbe fresque en prenant un verre ou en déjeunant paisiblement.
La Samaritaine propose également le plus grand espace beauté d’Europe !
Autant dire qu’elle a plus d’un tour dans son sac. La Samaritaine et le Bon Marché étaient déjà concurrents lors de leur création à la fin du XIXème siècle. Quelque-chose me dit que cette bataille est loin d’être terminée !
Dans le cadre de son installation « Rayons de soleil sur la Rive Gauche« , le Bon Marché accueille de très jolies jeunes marques, comme toujours. Trois d’entre elles m’ont séduite. Il s’agit de marques de bijoux personnalisables et chacune d’entre elles raconte une belle histoire. Pour de superbes idées de cadeaux, pour soi, ou pour offrir. Clairement les bijoux indispensables de cet été.
Monsens – Soie Vintage pour bracelets à pampilles
Monsens propose des bracelets, mais aussi des ceintures, des turbans ou encore des bandeaux, ornés de pampilles. Tous confectionnés dans des étoffes vintage chinées sur les brocantes et dans les vide greniers. Une approche responsable pour des accessoires élégants et originaux.
Victoria, la créatrice, vient d’être diplômée de l’Institut Français de la Mode quand elle se lance dans cette aventure de création. Et le succès est au rendez-vous. Pour une première rencontre dans la vraie vie avec ses clientes elle est au Bon Marché ! Pas mal pour une jeune marque pleine de promesses qui devient très rapidement addictive puisque chaque pièce est forcément unique.
On choisit le tissus, mais aussi toutes les pampilles qu’on va y accrocher. Autant dire que les possibilités flirtent avec l’infini ! La tentation d’accumulation s’impose donc très rapidement…
Pour créer votre foulard / bracelet fétiche, direction Le Bon Marché au rez-de-chaussée. Puis ensuite en ligne ! Dans tous les cas, c’est l’accessoire parfait pour égayer une soirée d’été.
Bracelet double MONSENS
Simone à Bordeaux – bijoux résilients
Simone à Bordeaux c’est avant tout une histoire de résilience. Quand Agnès, la créatrice de Simone à Bordeaux, tombe malade il y a deux ans, elle commence à confectionner pour elle des bracelets chargés de positivité et d’optimisme.
Très vite ses amies sont séduites et l’encouragent à quitter son activité salariée pour faire le grand saut. Elle se lance, et aujourd’hui, elle rayonne en continuant à imaginer des bracelets joyeux et colorés pour toute la famille.
Métal émaillé, pierre reconstituée ou néoprène recyclé pour les perles assemblées sur élastique, cordon ou jonc semi-rigide. Coup de coeur pour ses modèles d’été en mode jonc surfeur !
Quand à la fabrication, Agnès l’a confiée en grande partie à des salariées de l’Adapei33 à Pessac, des femmes en situation de handicap intellectuel, psychique ou avec autisme. Enfin, elle verse 1% de son chiffre d’affaires annuel hors taxe à l’association, 1% FOR THE PLANET.
Une jolie marque, créée par une battante au grand coeur, qui met de la joie et de la bonne humeur à nos poignets. Un incontournable de cet été 2021 !
Medai – collier à médaille(s)
Medai, c’est la certitude de trouver votre médaille, dans la forme et le métal qui vous convient, avec le message que vous aurez choisi !
Medaï – toutes les médailles, tous les messages
Medaï vous propose de « devenir le créateur de vos émotions » .
Pour commencer, choisissez votre médaille. Elle peut être simple, romantique, torsade, ou vintage.
médaï – torsade, plaquée or, bélière diamants de synthèse
Puis c’est le métal, le diamètre ainsi que la finition – miroir ou sablé. Enfin, il faut déterminer l’attache qui permettra d’accrocher, déplacer ou enlever la médaille de sa chaine. Elle peut être lisse ou pavée de diamants de synthèse, les diamants les plus écologiques qui soient.
Enfin, vient la gravure. Et là, c’est à vous de jouer. Laissez libre cours à votre imagination pour rédiger le message le plus poignant, le plus fort, le plus touchant, le plus léger, le plus drôle ou le plus inspirant. Mais si vous êtes à court d’imagination, Medaï propose une large variétés de motifs ou illustrations : vous trouverez forcément votre bonheur !
Ca y est, c’est fait. L’Hôtel de la Marineplace de la Concorde a rouvert ses portes après cinq années de travaux. Lui qui a déjà connu plusieurs vies aborde désormais un nouveau chapitre de son existence. Il devient lieu multiple, ancré dans la vie de Paris et des parisiens, ouvert à tous, à toute heure du jour et de la nuit !
Hôtel de la Marine – verrière cour de l’Intendant
Hôtel de la Marine – rappel historique
L’Hôtel de la Marine commence sa vie mouvementée en tant que garde-meuble royal en 1767 du temps de Louis XV.
Cette institution en charge du mobilier des résidences royales sera successivement dirigée par deux intendants : Pierre Elisabeth de Fontanieu puis Marc-Antoine Thierry de Ville d’Avray.
Chacun laissera sa signature dans ce lieu dont l’aménagement permettra de répondre aux besoins de stockage, de restauration, mais aussi de réception, et de lieu de vie pour les intendants qui y demeureront.
La Révolution française va mettre un terme à cette époque de faste, et c’est en 1789 que le ministère de la Marine prend ses quartiers place de la Concorde. Il y demeurera pendant plus de deux siècles.
Hôtel de la Marine – la visite
La visite commence en entrant par la cour d’honneur, dont il faut préciser qu’elle sera ouverte à tous sans droit d’entrée.
Hôtel de la Marine – cour d’honneur
Parisiens, habitants du quartier et touristes pourront la traverser, de la rue Royale à la place de la Concorde, s’appropriant ainsi le lieu ainsi que la place de la Concorde.
Puis on pénètre dans la cour de l’intendant et c’est le premier émerveillement.
Hôtel de la Marine – verrière cour de l’intendant
Ici, l’architecte Hugh Dutton a imaginé une superbe verrière, transparente et lumineuse. Elle vient coiffer la cour en s’appuyant sur une corniche du XVIIIème siècle. C’est là que se trouve l’espace d’accueil et d’orientation des visiteurs.
Hôtel de la Marine – espace d’accueil
C’est à ce moment qu’il faut faire un choix.
Hôtel de la Marine – salons d’appârat
Si vous avez moins d’une heure, le circuit « salons & loggia » vous propose une découverte des salons d’apparat du XIXème siècle et de la loggia en 45 minutes.
Hotel de la Marine Salons d’apparat et miroirs dansants
Les miroirs dansants vous plongeront dans les bals somptueux organisés dans ces salons ainsi que dans l’histoire du XVIIIème siècle. Comme si vous y étiez !
Pour ceux qui souhaitent tout découvrir, c’est parti pour le grand tour ! Vous visiterez les appartements de l’Intendant, des parties publiques aux pièces les plus intimes.
Puis vous continuerez avec la salle à manger, les salons d’apparat et la loggia . La visite s’effectue avec un confident, ce casque au son spatialisé qui s’active au fil des pièces traversées. Il vous murmure à l’oreille les histoires secrètes de chaque recoin, vous donne l’opportunité d’entendre les échanges de Suzon et les autres domestiques, ou encore de l’intendant avec son ébéniste . Une expérience d’immersion absolue comme aucun musée n’en propose, et un vrai voyage dans le temps et l’espace.
Shopping, restauration et évènements
La boutique est la dernière étape du parcours, classique, mais avec une sélection pointue et particulièrement réussie. Elle propose des créations en écho à l’histoire du monument, à travers de nombreux ouvrages et objets, dont la majeur partie sont des fabrications françaises.
Pour se restaurer, vous disposerez de deux options. Le Café Lapérouse au rez-de-chaussée dans la cour d’honneur, côté place de la Concorde sur laquelle il s’ouvre avec une terrasse somptueuse. Ou le restaurant dans la cour d’honneur sur son côté nord . Ils occupent ce qui était à l’origine des remises et pièces de déchargement des meubles. Alors que le café Lapérouse devrait ouvrir ses portes dans les jours à venir, il faudra attendre la rentrée pour le restaurant. On sait néanmoins déjà qu’il s’appellera le Mimosa et que c’est Jean-François Piège qui le dirigera.
Depuis le 19 mai, c’est la ruée sur les terrasses. Contre vents et marées, qu’il pleuve ou qu’il vente, on a tous voulu en profiter. Avec plus ou moins de succès d’ailleurs au regard des trombes d’eau qui se sont abattues sur la capitale. Mais aujourd’hui il semblerait que les perspectives soient plus ensoleillées. Ce serait donc enfin l’occasion de découvrir de nouvelles terrasses à Paris ?
Nouvelles terrasse à Paris – la plus parisienne : Les Petites Mains
Dans le superbe parc du Palais Galliera, face à la Tour Eiffel, des tables ont envahi l’espace.
Les Petites Mains – Palais Galliera
Dans un cadre estival, et sous la direction du Chef Vincent Mallo, Les Petites Mains proposent une cuisine qui rend avant tou hommage au produit, ainsi qu’à leurs producteurs qui pratiquent une agriculture vertueuse. Les légumes sont cuits à la plancha, les viandes et les poissons simplement saisis.
En ces temps de couvre-feu, un autre atout du lieu est la proposition gourmande tout au long de la journée. On commence par le déjeuner, on peut enchainer sur une assiette fraicheur, des tapas, le tout accompagné , ou pas, d’un cocktail maison. Une expérience savoureuse face à la Dame de Fer… que demander de mieux ?
Nouvelles terrasses à Paris – la plus incarnée : FOREST
On ne présente plus Julien Sebbag, le jeune chef rock and roll qui a transfiguré le paysage culinaire parisien. On lui doit des adresses où le légume est roi, telles que Créatures, Tortuga, Chez Oim, Micho et aujourd’hui, sa nouvelle adresse : FOREST.
Julien Sebbag – FOREST
On imagine qu’il fera toujours la part belle à la nature, aux produits de saison, et on attend la surprise du chef pour le reste parce que, pour le moment, le secret est bien gardé !
FOREST Musée d’Art Moderne de Paris 11 Avenue du Président Wilson, 75116 Paris
La plus californienne : Cali Uptown
Vous avez aimé Cali Sisters, l’adresse que tout le monde s’arrachait quand on pouvait encore aller au restaurant ? Vous allez adorer Cali Uptown !
Cette fois, ce sera direction Palm Springs ! « Sit back and relax » sera le mot d’ordre dans ce restaurant aux couleurs flamboyantes. Ici, on lunch ou on brunch, toujours en se régalant de produits faits maison.
Comme le weekend approche, je vous livre le menu du brunch, histoire de vous mettre en conditions !
Brunch Cali Uptown
Cali Uptown 36, rue de Paradis 75010 Paris ouvert tous les jours : du lundi au dimanche – midi et soir / brunch samedi et dimanche / terrasse ouverte dès 17h30 pour la Golden Hour : drinks only et pour les contacter: uptown@thecalisisters.com
Lors du discours qu’il prononça pour accueillir Madame Simone Veil à l’Académie Française, Jean d’Ormesson conclut ainsi : « Je baisse la voix, on pourrait nous entendre : comme l’immense majorité des Français, nous vous aimons, Madame ». Cette exposition reprend cette phrase pour rendre l’hommage qu’elle mérite à cette grande dame qui a marqué son époque.
Nous vous aimons, Madame
Nous vous aimons, Madame – une grande dame
C’est à la lecture de l’autobiographie de Simone Veil, « Une vie », que cette grande dame est devenue pour moi la référence absolue de courage, de beauté intérieure, extérieure, d’élégance et de résilience. Cette femme a été confrontée à l’horreur sous ses formes les plus multiples et n’a pourtant jamais abandonné, faisant toujours le choix de la vie.
Simone Veil
Qui d’entre nous aurait eu le courage et la dignité dont elle a fait preuve tout au long de son existence face aux obstacles et aux drames que la vie lui a réservés ?
La déportation, l’agressivité de ses pairs masculins, les moqueries, les insultes et les huées, elle a su traverser tous les obstacles sans jamais baisser les bras. Tout en gardant toujours la tête haute et en ne se détournant jamais de ses objectifs.
On l’associe souvent à certains moments charnières de son parcours personnel ou de la vie de la nation, tels que la déportation ou, plus tard, la défense du droit des femmes à l’avortement. A ce sujet, elle le disait elle même » Je savais que le combat allait être sans merci, violent. Mais je ne mesurais pas la haine terrible que j’allais susciter » Rien ne lui a jamais été épargné. Attaquée, insultée, et toujours debout.
On sait moins qu’elle a été la femme des premières fois, elle qui fut successivement :
la première femme secrétaire générale du Conseil supérieur de la Magistrature
la première femme ministre de la Vème République
la première femme à la tête du parlement européen
Tout au long de cette exposition on apprend donc à quel point elle fut plus qu’unique.
L’exposition – un parcours chronologique
L’exposition est donc construite chronologiquement. On commence par l’enfance heureuse à Nice d’une jeune fille, ses parents, ses soeurs et son frère.
Simone Veil – Nice
Documents d’archives , photos personnelles confiées par la famille et documents publics ont permis de construire ce chemin heureux, dramatique, vivant. Les souvenirs d’un monde heureuxdisparu laissent la place à l’horreur de la déportation.
Simone Veil reviendra vivante, même si elle laissera un morceau de son âme dans les camps, comme tous les déportés.
Simone Veil – fiche de santé à la sortie du camp
« Au moment de la libération je me suis vue dans le regard des premiers anglais quisont entrés dans le cas, c’est la que j’ai eu conscience «
Alors, de retour, elle fera le choix de la vie.
Devenue étudiante, elle rencontre son mari à Sciences Po. Après la naissance de ses trois fils, elle choisit de travailler et devient magistrate. On découvre une part méconnue de cette carrière si riche : son engagement pour améliorer les conditions de détention des prisonniers, en France, mais aussi en Algérie.
Puis tout s’enchaîne lorsqu’elle devient ministre de la santé et porte la loi pour le droit à l’avortement. Son discours, manuscrit, fait partie des archives inédites présentées.
Pourtant, ce qui est le plus émouvant et le plus fort, c’est son combat pour le devoir de mémoire avec un témoignage poignant sous forme d’entretien intimiste avec Serge Moati.
Là, elle que l’on a souvent décrite comme froide et dénuée d’émotion se livre. Ses mots sobres et pudiques m’ont fait verser des larmes impossibles à contenir.
La dignité de ses mots ne rendant le témoignage que plus fort et bouleversant.
« Les forces physiques sont revenues très vite. Le reste n’est jamais revenu »
On la découvre fille, sœur, déportée, étudiante, épouse, mère, magistrate, ministre, européenne, académicienne, porteuse de mémoire, toujours avec la même détermination.
« Son courage et sa dignité l’honorent et nous obligent » a dit le commissaire de l’exposition.
Merci Madame.
Simone Veil 1927 – 2017
Nous vous aimons, Madame – exposition du 28 mai au 21 août 2021
Gratuite sur réservation
Hôtel de Ville Salle Saint-Jean 5 rue Lobau 75004 Paris
A Paris, il pleut souvent. C’est une parisienne qui vous le dit. C’est sans doute la raison pour laquelle j’ai développé une affection toute particulière pour les parapluies. Et ma dernière découvert m’a totalement séduite ! Merci le Parapluitier !
Le Parapluitier – 100% made in France
La créatrice de la jeune marque « Le Parapluitier » a la durabilité chevillée au corps. Passionnée de parapluies, elle s’attaque à cet univers pour le rendre plus éco-responsable, et 100% français.
Lorsque l’on sait que plus de 10 millions de parapluies finissent chaque année dans nos poubelles, on prend la mesure de ce gâchis écologique. Et quand on sait que 95% des parapluies vendus en France viennent de Chine, on comprend la volonté de relocaliser une partie de la production de cet incontournable de notre quotidien !
Les parapluies Le Parapluitier sont donc confectionnés et assemblés dans le Jura ou le Cantal, précisément là où se trouve le savoir-faire nécessaire à la fabrication. La marque privilégie des matériaux locaux, de la poignée en bois du Jura, à la toile tissée dans la Loire, et jusqu’au carton d’emballage !
Le Parapluitier – les modèles
Chez Le Parapluitier, il n’y a pas une collection mais trois catégories de modèles. Chacune d’entre elles répond à un objectif précis.
La collecterie
Afin de donner une seconde vie à certains de ces millions de parapluies abandonnés, il y a la Collecterie. Pour celles et ceux qui n’ont plus l’usage de cet objet qui a accompagné leur quotidien, plutôt que de le jeter, donnez-le ! La Parapluiterie remettra en vente les modèles de qualité en bon état, et vous récompensera pour votre générosité en vous offrant un bon cadeau de 20€.
La collection
Le Parapluitier propose six modèles, parfaitement pensés, pour toutes les occasions de la vie sous la pluie. Le plus couvrant, le plus classique s’intitule le Duo. Sa structure constituée de huit baleines en acier trempé doublées d’aiguillette en zamak ( alliage aluminium et acier) le rendent résistant à tous les temps. Son long manche en bois à la poignée recourbée lui donne un style résolument dandy. Le Tom Pouce quant à lui se positionne dans la gamme de l’élégance ultra pratique et fonctionnel. Il est le plus petit dans sa catégorie de parapluie droit. Proposé avec un étui, il se porte en bandoulière pour garder les mains libres. Et mon préféré, le Carré du Parapluitier.
Un parapluie, certes, mais il protège aussi du soleil avec sa toile protection UV 50+. Zero couture, des baleines doubles, il résiste à tout. Enfin, tous les modèles sont garantis pendant deux ans. Sans oublier le service après-vente à vie !
Le luxe vintage
Cette catégorie s’adresse aux passionnés. Les collectionneurs en quête de la pièce rare. Ceux qui connaissent les noms de ces marques emblématiques aujourd’hui disparues. Les véritables amateurs qui sauront comprendre l’importance d’assortir la rosette et la chouquette à la toile comme c’est le cas sur « Le Amore » !
Le Parapluitier – modèle vintage Le Amore
Alors pour vous protéger contre les intempéries, pensez au Parapluitier !
Merci Le Parapluitier pour mon Carré que je ne quitte plus
Quand l’univers des galeries d’art se réinvente, ça donne la Galerie Démasqués ! Un passionné d’art urbain qui créé un concept jusque là purement digital, et qui aujourd’hui, rentre de plein pied dans le monde du réel.
Galerie Démasqués
Galerie Démasqués – docu-série sur l’art
Lui, c’est Arthur Bessaud. Passionné d’art, il veut en savoir plus sur les coulisses, les motivations et les envies des artistes. Voilà comment nait l’idée de sa série « Démasqués ». Il part alors à la rencontre des étoiles (montantes ou déjà ultra scintillantes) de l’art urbain. Depuis juin 2018 il filme les artistes en pleine création. Il les interroge également, les interview, les suit dans leur démarche. Et au fil des mois la série « Démasqués » en est déjà à sa saison 4 ! Cette docu-série rencontre un tel succès qu’en 2020 il créé sa Galerie Démasqués qui éditetous les mois avec les artistes des oeuvres en série limitée. Et ça marche ! Avec treize collections éditées à l’appui, il décide de fêter le premier anniversaire de la galerie en faisant sa première incursion dans le monde physique.
Avec Outside In, accompagné de 4 artistes qui n’ont plus à faire leurs preuves, il s’attaque à un superbe appartement et leur donne carte blanche pour exprimer leur art.
Outside In – l’art urbain s’attaque aux murs d’un appart du XVIème siècle
Un appartement parisien, quatre artistes, un projet : faire du lieu un chef-d’oeuvre éphémère de l’art urbain.
Arthur Bessaud s’est entouré de quatre noms connus et reconnus de l’art urbain : Tanc, Alexone Dizac, Skio et Arnaud Liard. Chacun s’est vu attribuer une pièce pour laisser libre cours à sa créativité.
Dans le Grand Salon, TANCenvahit les murs mais tout en restant dans le cadre des moulures. Des oeuvres signature, intitulées « écritures automatiques » directement sur les murs, mais aussi sur toiles, à emporter. Parce que chaque artiste proposera un nombre limité de ses oeuvres à la vente.
SKIO
SKIO
SKIO
Pour la Master bedroom, c’est SKIO qui prend la main. Ses silhouettes féminines s’intègrent à la perfection au décor qu’il créé pour leur donner l’écrin qu’elles méritent.
Dans la chambre d’amis, les bestiaire joyeux et coloré d’Alëxone Dizac prend possession des lieux. Ses créatures cohabiteront avec une série de 15 bustes en porcelaine faits à la main.
Et pour finir, ou serait-ce pour commencer, dans le boudoir de l’entrée, Arnaud Liard balafre les murs du sol au plafond de couleurs éclatantes. Sans oublier une série de neuf petites oeuvres encadrées qui sauront séduire le visiteur, vendues à l’unité (200€) mais qui sont présentées en tryptiques, histoire de vous donner des idées !
Arnaud Liard
Outside In
Du 29 mai au 13 juin l’appartement ouvrira ses portes au public. Pour vous rendre dans ce lieu encore mystérieux, il vous faudra aller dans le Marais. Les visites se feront sur réservation. Pour bloquer votre créneau, il vous suffit de suivre le compte de la galerie, c’est à dire @arthurbessaud sur Instagram, et il vous dira tout !
Là, vous pourrez explorer chaque recoin de chacune des pièces, mais aussi faire l’acquisition des tableaux et oeuvres exposés.
Une partie des bénéfices de la vente sera reversée à l’association Le Filon qui soutient des femmes sans-abri.
On nous la promet depuis si longtemps cette réouverture des musées à Paris que je ne tiens plus en place. Mais ça y est, nous n’avons jamais été aussi proches de la date clé : le 19 mai. D’ailleurs, je ne sais pas ce que vous faites encore ici si vous n’avez pas réservé vos billets pour vos musées préférés ! Alors voici une petite sélection…
Palais Galliera – Gabrielle Chanel. Manifeste de mode
Gabrielle Chanel. Manifeste de mode
Plongez dans les créations de celle qui a indéniablement impulsé un tournant dans l’histoire de la mode. Même si la créatrice a eu un parcours personnel plus que trouble, tout particulièrement pendant la seconde guerre mondiale, on ne peut lui retirer l’empreinte indélébile qu’elle a apposée à la garde-robe féminine.
On commence sur les premières robes en jersey qui libèrent le corps et font tomber les corsets.
Robe jersey – Gabrielle Chanel
On continue en admirant ses multiples déclinaisons du noir en robes, tailleurs et jupes.
On passe bien sur par l’incontournable tailleur sous toutes ses formes.
tailleur Chanel – Palais Galliera
Et puis je vais vous livrer un secret : à partir du 19 mai, un restaurant terrasse ouvrira ses portes dans les jardins du Palais Galliera : les Petites mains. Le combo parfait pour une sortie de confinement, non ?
Restaurant Les Petites Mains – musée Galliera
Palais Galliera, musée de la mode de la Ville de Paris 10, Avenue Pierre Ier de Serbie 75116 Paris Tél : 01 56 52 86 00
L‘exposition Luxes va vous couper le souffle. Elle offre un voyage à travers un univers protéiformes. Des objets d’exception à la mode en passant par la décoration d’intérieur, vous ne cesserez de vous émerveiller.
Luxes – Musée des Arts Décoratifs
Et ça va faire du bien après ces longs mois d’absence de vie culturelle.
Exposition LUXES – véhicule Hispano Suiza
Le parcours est chronologique, explorant ainsi les diverses significations prises par le terme de « Luxe ».
pavillon bois – Exposition LUXES
On plonge également dans un pavillon tout en bois préservé depuis l’exposition universelle de 1900 pour laquelle il avait été construit.
A tout seigneur tout honneur, le parcours se termine sur la mode, et le bonheur est total !
LUXES – Musée des Arts Décoratifs
L’exposition est prolongée jusqu’au 18 juillet, Alors surtout, réservez !
Musée des Arts Décoratifs 107 rue de Rivoli 75001 Paris
Là aussi, une possibilité de restauration en terrasse, mais pour réserver, c’est le parcours du combattant. Bien sur, la vue est imprenable, alors qui ne tente rien …
Musée des Arts décoratifs 107 rue de Rivoli 75001 Paris
Réservation au 01 42 60 41 96
Le Louvre
Durant toute cette année de confinement le Louvre s’est conté en version digitale. Ainsi, chaque mois, Le Louvre nous a offert une découverte exclusive d’une oeuvre nous permettant de patienter jusqu’à la réouverture des portes.
Louvre – la victoire de Samothrace
Maintenant que ce moment approche, direction le musée pour les redécouvrir dans la vraie vie. J’en frémis juste en le disant ! Parce qu’il faut regarder la vérité en face : l’absence totale de touristes plus la jauge vont nous permettre de savourer chaque oeuvre comme si nous étions dans notre salon. Seul(e)s, face à la quintessence de l’art !
Si vous souhaitez un tête à tête avec Leonardo Da Vinci, c’est maintenant ou jamais !
Saint Jean-Baptise – Leonardo Da vinci
Si le sacre de Napoleon et le couronnement de l’impératrice Joséphine par David vous fascine, il vous attend…
Je n’irai pas plus loin, tous ces chefs d’oeuvre sont à portée de regard, il ne reste qu’à réserver !
Le Musée Carnavalet est par essence le plus parisien des musées. C’est d’ailleurs le plus ancien des musées de la Ville de Paris. Il plonge le visiteur dans l’histoire de la capitale. Après quatre longues années de travaux, il nous ouvre à nouveau ses portes à partir du samedi 29 mai. Ces années ont été mises à profit pour magnifier les espaces, réinventer l’expérience tout au long du parcours.
Musée Carnavalet – salons La Rivière
L’occasion de voyager dans le temps et dans l’espace, au coeur de la capitale. Des expositions seront aussi proposées. La prochaine débutera le 15 juin. Il s’agira de « Henri Cartier Bresson – revoir Paris« . Autan de bonnes raisons pour prendre ses billets dès que cela sera possible !
La Cité de l’économie s’emploie à aborder le thème plutôt rébarbatif de l’économie par tous les angles possibles. Pour sa réouverture le 19 mai, l’exposition « Largo Winch » est prolongée et permet d’explorer les grands thèmes de ce vaste sujet dans les traces du milliardaire humaniste. Une approche ludique, qui s’adresse à tous les publics.
La bonne nouvelle, c’est que l‘exposition est gratuite jusqu’au 8 juin inclus ! Bien sur, il faut réserver quand même, jauge oblige.
Cité de l’économie – 1 place du Général Catroux 75017 Paris
Opéra Gallery – Pierre Soulages
Bien qu’il ne s’agisse pas d’un musée, je devais vous en parler. La galerie d’art « Opera Gallery » présente exceptionnellement 13 toiles du peintre Pierre Soulages.
Une occasion unique d’admirer de près les oeuvres de celui qui s’emploie depuis toujours à explorer le noir, lui permettant ainsi de découvrir l’outrenoir.
outrenoir – Pierre Soulages
La quête fut longue, mais c’est ainsi qu’i fit une découverte qui allait changer le cours de son art. Comme il le dit lui-même » le noir n’était plus le noir , il devenait le siège d’une lumière particulière…une aventure nouvelle commençait« .
Pierre Soulages jusqu’au 12 juin
Opéra Gallery 62 rue du faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris tel : 33 (0)1 42 96 39 00
On pourrait penser que les drogueries telles que nos parents les connaissaient ont eu tendance à disparaitre des rues parisiennes. Celles où l’on savait que tout problème ménager trouverait sa solution. Que l’on se rassure, c’est le grand retour des drogueries à Paris.
Les Drogueries d’Aujourd’hui
Les drogueries à Paris : La Droguerie d’Aujourd’hui
Nous avons toutes en tête une de ces drogueries de quartier où produits d’entretien côtoient poêles et plats, et où l’on sait que quelque soit notre besoin il sera résolu grâce aux conseils éclairés du patron. Mais beaucoup de ces adresses historiques ont peu à peu perdu de leur attrait et fermé leurs portes. Heureusement la Droguerie d’Aujourd’hui a pris le relai. Une touche de modernité, mais la même sélection démultipliée et la garantie de trouver tout, absolument tout pour la maison ! Il fut un temps où l’on disait « On trouve tout à La Samaritaine ». J’aurais tendance à l’appliquer à cette droguerie nouvelle génération ! Pour commencer, soyons précis : il ne s’agit pas d’une, mais de trois adresses, toutes situées dans un rayon de quelques mètres autour du croisement rue du Bac et rue de Grenelle. Une des boutiques est dédiée au bricolage et au jardinage. On y trouve tous les clous et toutes les vis imaginables, dans le cadre élégant de ce quartier paisible.
Droguerie d’Aujourd’hui
La deuxième, voisine, propose de la vaisselle de jolies marques telles que Gien, tous les accessoires indispensables en cuisine, et du petit électroménager SMEG, parce qu’on est hype ou on ne l’est pas. Et dans la dernière, la plus grande des trois, on trouve tout pour le ménage et l’entretien. Quand je dis tout, c’est à prendre littéralement. Prenons pour exemple l’entretien de l’argent. Avec un peu de chance, on peut trouver un type de produit. Celui qui est parfaitement adapté au nettoyage d’une bague par exemple. Mais alors comment faire pour récupérer les couverts de l’argenterie de notre grand-mère ? Pas d’inquiétude : il y a tous les formats à la Droguerie d’Aujourd’hui !
Droguerie d’Aujourd’hui
Idem pour les produits d’entretien Starwax.
Ou encore pour les poubelles, de toutes les tailles et pour tous les usages.
Je m’arrêterai là, mais vous l’aurez compris, quoique vous cherchiez, vous le trouverez !
La Droguerie d’Aujourd’hui 86 rue du Bac 75007 Paris
Drogueries à Paris – L’Amour Fou
Ouverte il y a à peine quelques jours, cette nouvelle adresse réinvente l’univers de la droguerie.
La façade est pimpante, les carreaux blancs reflètent la lumière et les jolies plantes qui y sont accrochées semblent frétiller de plaisir dans ce bain de soleil.
A l’intérieur le rouge flamboyant contraste avec le blanc des étagères.
Quant à la sélection d’objets, que. ce soit pour la cuisine ou le jardin ce serait comme siFleux avait rencontré Merci !
Des objets fonctionnels, mais colorés, décalés !
Chacun est présenté dans ce qui semble être un écrin. Ici on favorise la qualité d’une sélection étroite plutôt que la quantité. Le lieu parfait pour trouver de jolis cadeaux utiles fonctionnels, à se faire ou à offrir.
L’Amour Fou 3 rue Sedaine 75011 Paris
Landline – General Supply Store
Landline – General Store Supply
La façade donne le ton et annonce la couleur. Dans ce « General Supply Store » , on trouve quincaillerie, droguerie, jouets d’antan et même vêtements de tradition.
Landline – General Supply Store
Le décor rappelle les boutiques d’antan, et certains produits aussi.
LANDLINE – jouets en bois
Ainsi, on y trouve les jouets en bois du siècle dernier ou encore une carafe poisson qui rappelle furieusement celles de la brasserie Bellanger.
LANDLINE – carafe poisson
Des plumeaux, des brosses et des savons aussi. Un savant mélange qui fait de Landline une destination shopping inspirante.
Et voilà, on commence à y penser. Soudain, tout est possible, y compris faire des projets de voyage. Alors pour moi, ce sera direction Tel-Aviv !
Tel-Aviv – la promenade ( Ha Tayelet)
Tel-Aviv nous attend
Et elle a tout pour séduire ! Tous ceux qui sont allé ne serait-ce qu’une fois à Tel-Aviv vous le diront : cette ville est envoûtante. Chacun en garde une image, un souvenir précis. chaque expérience est unique et différente, mais toujours enthousiasmante !
Tel-Aviv La plage
Bien sur, il y a la plage, 10 kilomètres de sable, terrasses de cafés et de restaurants, espaces dédiés aux sports nautiques, aux sports terrestres, et au farniente aussi bien sur !
Tel-Aviv Hanamal
Tel-Aviv est connue pour être la ville qui ne dort jamais. Et aussi celle où le petit-déjeuner est une institution ! Rien de tel que la chachuka typique parfaite pour bien commencer la journée. Nombreux son les restaurants qui la proposent, mais je vous conseille tout particulièrement ceux du Shouk Hapishpishim ( marché aux puces) de Jaffa : les meilleures sont là ! quand au déjeuner, c’est sur le port de Jaffa que ça se passe avec le célèbrissime « Ha zaken ve Ha yam » (le vieil homme et la mer)
The old man & the sea – Yaffo
Mais attention, préparez vous à un repas pantagruelique ! Avant même de commander la table se couvre des salades et des fritures les plus délicieuses… Et puis bien sur, il y a l’incontournable hummus !
Vous avez envie de danser au grand air ? C’est possible, tous les samedis matins, au pied des grands hôtels de la plage côté nord…
Tel-Aviv
Et si ce sont les activités intellectuelles qui vous tentent, vous n’aurez pas à renoncer au soleil pour autant !
Nahalat Benyamin – Tel-Aviv
Je pourrais aussi vous parler culture, musées ou shopping, parce que tout y est. Alors, cet été, Tel-Aviv nous attend !
Et pour les amoureux de Jazz, sachez que les réservations sont d’ores et déjà ouvertes pour le célèbre « The Tel-Aviv Jazz Festival » connu de tous les amoureux de ce genre musical .
Tel-Aviv dès cet été !
Les touristes sont rois à Tel-Aviv, alors la ville nous attend, et ce sont ses habitants qui nous le disent ….
Ils nous parlent de tout ce qui est donc prêt pour nous : une mer étincelante, et salée à point, des mixologues au taquet, des gardiens de musée parfaitement organisés pour maintenir un silence de circonstance devant les oeuvres d’art qu’ils protègent. Et de la vie, de la fête, des terrasses ou retentissent les voix et les rires !
Un pourcentage élevé de la population israélienne est d’ores et déjà vacciné. Les restaurants, bars, salles de sport , cinémas et musées sont désormais ouverts, et tout le monde déambule dans les rues sans masque ! Pour ce qui concerne les touristes, les conditions sont aujourd’hui les suivantes :
Les touristes individuels seront accueillis dès le mois de juillet et les groupes dès le 23 mai.
Il faudra être vacciné avec les 2 doses, effectuer un test PCR 72 heures avant l’embarquement ainsi qu’un test sérologique à l’arrivée. Une assurance Covid-19 sera proposée et devra être souscrite.
Bien évidemment, toutes ces conditions sont susceptibles d’être modifiées selon l’évolution de la pandémie.