A pieds bien pour tous ceux qui aiment s’imprégner de la ville en la parcourant rue par avenue, ruelle par passage.
A vélo, pour allier découverte immersion et efficacité.
Et puis en voiture, en métro ou en bus, pour les plus pressés, ceux pour qui la destination prime sur le parcours.
Et enfin, il y a l’eau.
Paris en Scène – pour voir Paris sur l’eau
La Seine est au coeur même de la Ville. Elle est son poumon, son oxygène, depuis toujours. Et elle est également idéale pour prendre le temps de découvrir, sans effort, bon nombre des sites les plus spectaculaires de la ville.
Parce que depuis la Seine, on voit tout, ou presque. Comme par exemple, the one and only, j’ai nommé la Tour Eiffel bien entendu !
Tour Eiffel Nuit
Et puis les ponts, d’autant plus somptueux lorsque la nuit tombe et que les éclairages urbains leur donnent ce relief unique au dessus de l’eau.
Pont Alexandre III
Voguer sur l’eau est donc la façon la plus spectaculaire mais aussi la plus paisible de découvrir la ville.
Et tant qu’à le faire dans de superbes conditions, autant en profiter pour dîner !
Paris en scène – diner sur les flots
Paris en scène propose donc des dîners croisière. Au vin ou au champagne, avec ou sans enfants, il y a forcément une formule qui vous conviendra.
La promesse est belle. Parfaite même quand on voit que les fauteuils sont tous tournés vers les baies vitrées par exemple. Tout le monde a la meilleure vue !
Et puis il y a le dîner, préparé à bord, pour une fraîcheur assurée.
2 heures au fil de l’eau, en se régalant, tout en admirant le plus beau spectacle qui soit : la ville lumière éclairée de mille feux !
Des fauteuils confortables…
Le Paris en scène – photo officielle
Un parcours parfait…
Parcours de la croisière
Et la ville en cadeau.
Alors pour un moment arrêté dans le temps, une pause illuminée, une redécouverte de cette capitale dont je ne me lasse jamais, que diriez-vous d’une croisière ?
Paris en scène – dîner croisière, brunch croisière.
La Cristallerie des Parfums – rencontre entre deux univers
Cristal pur et parfum d’exception sont les deux éléments clé de la première collection de la Cristallerie des Parfums.
C’est Héléna Robin qui est à l’origine de cette toute jeune marque de parfums qui s’impose dans le monde du luxe en alliant savoir faire des souffleurs de cristal et celui des nez des parfums Charrier à Grasse qui donnent naissance à ces 5 fragrances.
Aeria – 5 fragrances, 2 déclinaisons
Les parfums Aeria se déclinent en deux séries : Aeria Prestige et Aeria Luxe.
Aeria Prestige qui propose des flacons faits main, en cristal, et en deux tailles : 50 ou 100 ml.
Et puis Aeria Luxe, pour les mêmes fragrances, dans de superbes flacons en verre, et toujours en deux tailles.
Je dois le reconnaître : je suis difficile en ce qui concerne les parfums.
Out les trop capiteux, out les overdoses de fleuris, bref.
Et bien Aeria m’a fait une vraie belle surprise.
5 fragrances, toutes testées, et toutes approuvées (sauf une, j’avoue, que j’ai moins appréciée ) !
Eles portent toutes des noms de pierres précieuses, en écho à un ou plusieurs des arômes utilisés.
Mon favori, véritable coup de coeur : Amethystus. Coïncidence ou pas, il s’agit aussi de ma pierre de naissance – je suis du mois de février !
J’ai donc trouvé ma fragrance, et la cerise sur le gâteau : l’élégance du flacon.
Un flacon, une oeuvre d’art
Les flacons Aeria Prestige sont en cristal et or, travaillé à la main, pièce par pièce.
Difficile d’imaginer que trois ans ont été nécessaires pour atteindre le parfait équilibre entre le bouchon et le flacon, le souffle et la matière de la première collection de la Cristallerie des Parfums. Chaquepièce est unique et faite à la main. Impossible d’utiliser moules ou tout procédé industriel pour parvenir au résultat escompté. Chaque flacon est d’ailleurs marqué du sceau de la Cristallerie des Parfums et d’un numéro de série gravé qui garantit leur authenticité et leur caractère unique.
Ces merveilles sont vendues chez L’Eclaireur. Logique.
L’Eclaireur – séduire et surprendre
En effet, ces deux mots, pris de la bouche des créateurs Martine & Armand Hadida, expliquent si bien ce qui sous tend leurs choix depuis la création :
« L’ECLAIREUR se tourne toujours vers l’avenir, en interaction avec ceux et celles qui se démarquent, se remarquent, même, pour oser et bousculer les codes – c’est notre devoir de séduire, et de surprendre. »
Séduire et surprendre : c’est clairement le cas pour ces sublimes flacons.
Avec eux, les créateurs de cette adresse incontournable parisienne confirment leur vision disruptive de la mode, du lifestyle et du design.
Alors, pour découvrir les 5 fragrances et être séduites à votre tour…
J’aime l’idée de passer une nuit dans un bel hôtel parisien. Et pourtant, oui, j’habite bien à Paris.
Call me crazy !
Parce que, pour moi, 24 heures hors de chez soi, peuvent être complètement dépaysantes. Même si ces 24 heures se déroulent sans ma propre ville.
Parce que d’un coup, le quotidien n’a plus le même visage. Parce que soudain, il n’y a plus à organiser, gérer, mais juste se laisser porter, profiter, découvrir avec les yeux ouverts.
On me propose régulièrement de tester des établissements en tous genres, mais, contraintes du calendrier et mise en place logistique ont fait qu’à ce jour, je n’avais jamais accepté.
Jusqu’à aujourd’hui.
Quand une agence, dont je tairai le nom, me propose de découvrir une résidence hôtelière 5 étoiles en plein centre de Paris, à côté des jardins du Palais Royal, je réfléchis, et je dis oui.
Parce q’une de mes contraintes organisationnelles s’appelle Ebène, mon labrador, qui nécessite d’être doggy sittée quand nous ne sommes pas là. Et la Clef du Louvre Paris accepte les chiens. Assez rare pour que je sache apprécier.
Et parce que demain, c’est mon anniversaire.
Et comme C Lui a décidé de prendre sa journée en cette occasion, toutes les conditions étaient réunies pour un séjour qui promettait d’être parfait.
J’accepte donc, nous échangeons de nombreux messages, et la réservation est confirmée, validée, y compris mon horaire d’arrivée.
La clef du Louvre – promesse et préparatifs
Alors j’avoue : j’ai joué le jeu.
J’ai tout préparé.
Le sac avec les affaires d’Ebène.
Ma valise, y compris la tenue complète pour faire du sport et découvrir ainsi les équipements proposés par la résidence.
Et puis, un anniversaire n’est-il pas la date rêvée pour se livrer au jeu des bonnes résolutions du genre : je vais me remettre au sport, je vais manger sainement, je serai bienveillante avec mon entourage, etc, etc… ?!
Nous voilà donc prêts, valise bouclée, et nous prenons la route, direction la rive droite et une aventure de 24 heures.
Ce qui aurait du être un séjour parfait
Arrivés sur place, pendant que C Lui part garer la voiture, je rentre dans le lobby et m’approche joyeusement de l’accueil en annonçant : bonjour, j’ai une réservation au nom de …..
Et là, étonnement, regard interrogatif, appuyé d’un « ça m’étonne« …
Et c’est là que les échanges deviennent surréalistes. Et c’est là que je commence à bouillonner, intérieurement pour commencer, extérieurement ensuite.
Parce que, tout le monde peut se tromper. SOIT.
Mais une fois que le problème est là, il y a de multiples possibilités.
Et dans un établissement 5 étoiles, c’est assez simple, puisqu’il n’y en a qu’ une.
D’abord, règler le problème du client, en payant du principe simple qu’il a raison, et ensuite gérer la sauce interne. Dans le secret de son bureau, sans exposer au client l’ampleur de la débâcle organisationnelle qui a mené à cette situation.
Mais à La Clef du Louvre, les choses se passent autrement.
Et pourtant. J’ai même été jusque’à montrer les mails, tous les mails échangés avec l’agence pour aboutir à cette réservation.
Mais rien n’y fait. Non, non, non.
Eux : « Nous allons faire notre possible pour régler ça «
Moi : « Ne pouvez pas joindre le directeur ? »
Eux : « Nous allons lui envoyer un mail »
Moi : » Et un coup de fil sur son mobile ? Ce serait sans doute plus rapide non ? »
Eux : » Ah, oui… Mais elle ne répond pas »
Moi : « Mais enfin, en cas d’urgence, il y a bien quelqu’un que vous pouvez joindre de façon immédiate non ?! »
Etc… Etc…
Entre temps, C lui est revenu du parking, et, pour éviter de m’énerver encore plus, nous partons nous dégourdir les jambes dans les jardins du Palais Royal, en leur disant qu’à notre retour, nous sommes sûrs que tout serait forcément réglé.
Jardins du Palais Royal
Et bien non ! Rien n’est réglé.
Et le discours est le suivant : il suffit que vous preniez une chambre, vous la payez, et on verra demain.
Et ça avec un sourire sur demande qui respire l’arrogance et la désinvolture. Ce n’est pas ça le service client.
Action, réaction : nous sommes repartis.
La clef du Louvre – bilan d’une expérience calamiteuse
Nous voilà donc de retour chez nous.
Avec notre valise, qui n’a jamais été déballée.
Avec les affaires de sport, qui resteront encore longtemps là où elles sont. Avec ce sentiment déplaisant d’avoir perdu notre temps.
Mais surtout, avec quelques éléments d’information sur ce qu’est l’approche client dans la résidence La Clef du Louvre.
Parce que ce qui s’est passé là est une preuve flagrante de l’incapacité à prendre en compte un client dans une situation « hors norme ».
Parce qu’il a été clair pendant ces dizaines minutes d’échange que nos interlocuteurs étaient enfermés dans ce qui semblait être leur « procédure » et en aucun cas formés ou même désireux d’en sortir pour se mettre à la place du client et lui faciliter la vie.
Parce que du personnel réellement à l’écoute ne nous aurait jamais laissés repartir. D’aucune façon, dans aucune circonstance.
Alors voilà.
C’était la première fois que j’acceptais ce genre de test. Je ne sais pas vraiment quand sera la prochaine !
Par ailleurs, je tiens à ajouter un message personnel, à l’attention de l’agence, et aussi du groupe hôtelier, c’est à dire celles que j’ai eues en ligne après cet épisode, et qui m’ont tenu ces mêmes propos :
» je ne peux que me confondre en excuses, je suis vraiment désolée »
Et bien non, dans ce genre de circonstances, la seule option n’est pas de se confondre en excuses, même si c’est déjà un premier pas.
Les autres choix ? Laissez libre votre à votre imagination, demandez vous quels petits plaisirs pourraient atténuer le souvenir de cette expérience !
Il s’agit là d’un restaurant japonais, vous l’aurez deviné. De ces restaurants où les mets défilent sous vos yeux. Difficile de résister, tout a l’air si appétissant !
Matsuri
Matsuri – comment on s’y sent
L’atout de ce restaurant n’est pas le confort. Ne vous méprenez pas, le cadre est agréable, on s’installe au comptoir, face aux cuisiniers, ceux-là même qui confectionnent les délices qui défilent sous vos yeux pendant tout le repas.
Par contre, très peu d’espace entre les convives, et en particulier en hiver, avec manteau, accessoires et autre sac à main !
Une fois installées donc, c’est l’heure de faire son choix, encore et encore.
Le service est très efficace. Dès notre arrivée, on nous propose des explications parce qu’on ne devine pas forcément la fonctionnement quand on vient là pour la première fois.
Il suffit donc de se servir en attrapant au vol les assiettes qui passent. Pour le prix, tout est à base de codes couleurs, expliqués dans le menu.
Matsuri – on y mange quoi ?
Sashimi, maki, sushi, name it, you have it !
Et puis brochettes, petites salades, du cru, mais aussi du cuit, fait à la minute par les chefs qui cuisinent là, sous nos yeux.
Il est donc important de savoir se maitriser ! Ici, on tend la main, et l’assiette est là, devant vous. Pour le plat suivant, pas besoin d’attendre que le serveur revienne, c’est l’indépendance totale !
voici donc un échantillon de ce que nous avons dégusté.
Dans la gamme « crue « .
californiagunkan crabe
Et dans la gamme « chaud »
beignets de crevettegyosa de crevettes
Vous remarquerez le liseré de couleur sur chaque assiette. C’est de cette façon que le coût du repas est calculé. Chaque couleur correspond à un coût, et c’est la somme qui représentera l’addition !
Pour les desserts, des salades de fruits, des litchis, mais aussi des cheese cakes au thé vert ou nature, et ces pancakes à la pâte de haricots rouges, les dorayakis.
litchies
Pourquoi j’y reviendrai ?
Parce que je me suis régalée.
Et parce que j’ai apprécié l’efficacité du concept : on peut manger en un temps record en prenant pourtant une vraie pause.
Pour la Saint Valentin, il y a bien sur le cadeau traditionnel, mais, comme pour tout cadeau, cela se transforme souvent en casse tête !
Saint Valentin 2017 – grand hôtel du Palais Royal
Alors, pour la version Saint Valentin 2017, pourquoi pas envisager une soirée, ou une nuit, dans des plus jolis hôtels de Paris ?
J’ai quelques idées pour vous !
Diner ou nuit romantique au Cinq Codet
Le Cinq Codet, c’est cet établissement atypique logé dans un ancien bâtiment industriel, est un hôtel 5 étoiles. A quelques pas des Invalides, il dissimule l’inattendu : une jolie cour jardin, un restaurant chaleureux autour d’une cheminée, un bar idéal pour s’installer et oublier le froid extérieur.
Tendance design, la suite principale propose une vue imprenable sur le dôme des Invalides, ainsi que sur la Tour Eiffel !
Et pour la Saint Valentin, deux propositions :
le diner, servi le 14 février exclusivement
la nuit romantique, qui elle peut être réservée tout au long de l’année.
Prenons l’option nuit romantique : de quoi s’agit-il ?
Un package complet pour une escapade en amoureux qui inclue l’hébergement pour 2 personnes avec de multiples attentions qui donnent envie de ne jamais repartir
Accueil « gourmandise » en chambre avec bouteille de Champagne
Pétales de roses sur le lit et la baignoire
Petit déjeuner buffet pour 2 personnes
Départ tardif garanti à 14h00
Bonne nouvelle, cette escapade romantique est disponible toute l’année !
Le Cinq Codet à partir de 349€ le weekend du 11 février
5 Rue Louis Codet, 75007 Paris
Grand Hôtel du Palais Royal
Elegant et discret, à quelques pas des jardins dont il porte le nom, cet hôtel 5 étoiles a le charme discret de l’élégance parisienne.
Pour la Saint Valentin, du 10 au 19 février, l’hôtel propose une escapade inoubliable .
Une chambre spécialement décorée pour l’occasion, une vue imprenable, champagne et bouquet de fleurs : tout le nécessaire pour un weekend ou une nuit parfaitement inoubliable.
Le petit déjeuner sera servi en chambre ou au restaurant, selon l’humeur du moment, et le départ à 15h00 pour profiter pleinement de la superbe chambre dans laquelle vous serez installés.
L’amour toujours est le thème même de cet hôtel 4 étoiles qui se raconte tel une ode aux amoureux célèbres.
Alors, ici aussi jeté de pétales de roses sur le lit, champagne, avec une Pop de Pommery.
Maisaussi chocolats en forme de coeur, et surtout, une escapade dans les rues de la Capitale de l’Amour dans la célèbre 2CV
C’est avec 4 roues sous un parapluie que l’hôtel s’est associépour vous faire vivre un moment hors du temps : 1h30 de découverte des monuments et lieux incontournables de Paris en 2CV.
Le package complet est donc le suivant :
1h30 de balade unique en 2CV dans les rues de Paris
1 Pop de champagne Pommery de 25cl
Des chocolats en coeur
Un jeté de pétales de roses sur le lit
Une photo polaroïd souvenir encadrée
Offre exclusive à partir de 199 € valable du 1er au 28 février 2017
Vous voyez de quoi je parle ? Il s’agit de cet espace au pied des escalators centraux du grand magasin.
Atrium du Printemps haussmann
L’atrium du Printemps, c’est cet endroit que l’on voit où que l’on aille dans le magasin. Il accueille des créateurs, des designers, des grands noms, de la gourmandise par exemple.
Pierre Marcolini – atrium du Printemps
Pierre Marcolini et la (haute) chocolaterie
Pierre Marcolini est indéniablement le pape de la tendance « from bean to bar« . Je m’explique : Pierre Marcolini sélectionne ses fèves, il connait ses producteurs, et a la maitrise de son chocolat de A à Z.
On comprend mieux la variété de ses tablettes, chacune ayant les particularités d’un grand cru, exactement à l’image du monde des experts en oenologie.
Le chocolat est son univers, son monde, et il en parle avec passion et délice !
Alors quand son univers s’installe au Printemps, un des grands magasins emblématiques de la ville, on ne peut que se réjouir !
Pierre Marcolini à l’atrium du Printemps
C’est donc un bar à chocolat qui vous attend pendant les 6 mois à venir. Bar, parce que vous pourrez y déguster une variété de boissons, avec le chocolat comme ingrédient phare.
Un choix parfait pour les saisons en cours et celles à venir ! Chocolat chaud ou glacé, infusion chaude, ou glacée !
Et le chocolat, ou le cacao plus précisément, est l’ingrédient clé.
Alors, que vous ayez des envies d’achat compulsif en périodes de soldes, ou simplement de faire un tour du côté des grands magasins, vous pensez à Pierre Marcolini j’en suis sure.
D’autant que pour les gourmandes, les délices de la Saint Valentin sont déjà en place, sans parler des créations délicieusement kawaï !
Alors, pour une urgence chocolat, vous saurez désormais où aller !
Atrium du Printemps Haussmann 64 Boulevard Haussmann, 75009 Paris
C’est le 21 janvier que sera lancée cette 3ème édition de la Paris Cocktail Week
Je vais vous livrer ici toutes les informations que je peux vous communiquer pour faciliter la découverte des cocktails à Paris, aussi bien pour les novices que pour les plus aguerris !
C’est parti !
Paris Cocktail Week en chiffres
50 lieux, bars et restaurants, participent à cet évènement. Le tout dans 10 quartiers différents, couvrant ainsi toute la capitale. Parce que traverser la ville à chaque fois que l’on a envie de prendre un verre, ce n’est pas toujours tentant !
Paris Cocktail Week – la carte des lieux
Alors bien sur, on note une concentration très marquées dans les quartiers les plus branchés de ces dernières années, le Haut Marais étant très très largement représenté !
De nombreuses adresses, mais aussi de très nombreux évènements. Cours de cocktails, masterclass, combats de chefs : tout y sera !
25 évènements dédiés organisés pour l’occasion dans des lieux emblématiques tels que Colette, la maison Plisson, la Candelaria, un des premiers speakeasys de la ville, et j’en passe.
D’ailleurs, pour voir la liste complète des animations, c’est par ici : http://pariscocktailweek.fr/events
Paris Cocktail week – ça se passe où ?
De multiples lieux, dans tous les quartiers parisiens, je l’ai déjà dit.
Et plus précisément ? Ils sont tous de la partie ! Les speakeasy, comme Little Red Door par exemple.
little red door
Les adresses déjà historiques qui ont installé la tendance cocktails à Paris, j’ai nommé l’Expérimental Cocktail club ou encore le Andy Wahloo.
Les hôtels et palaces parisiens sont également largement représentés. Une occasion de pénétrer dans cet univers feutré et qui peut parfois sembler un peu inaccessible.
Le Meurice est de la partie par exemple dans la catégorie Palace et il proposera un cocktail intitulé Rivoli’s dream, cognac Hennessy, jus de cranberry et crème de mûre. Elegant et parfaitement en phase avec les fauteuils profonds en cuirs dans lesquels vous vous installerez pour le savourer.
Les cocktails, on en parle, on en parle, mais quelles sont les tendances du moment pour ces boissons qui, il n’y a pas si longtemps, rimaient avec New York plutôt qu’avec ancien continent ?
Premier élément, que l’on retrouve dans les tendances food de façon générale : moins de sucre. Les cocktails auront donc des saveurs fumées, ou encore poivrées, mais nettement moins sucrées. Et quand saveur sucrée il y aura, ce sera plutôt à base de sirop d’agave que de sucre raffiné.
Le poivré, mais aussi le bitter avec le grand retour du gin et surtout l’explosion du Spritz.
Et puis il y a l’omni présence du concombre ! Cette tendance plutôt estivale mais qui est devenue un incontournable du mojito branché.
Maintenant, si vous demandez mon avis, je vous le donne avec plaisir : je déteste !
Paris Cocktail week du 21 au 28 janvier
Téléchargez votre pass gratuitement sur www.pariscocktailweek.fr
Oui, on peut trouver une bonne crêperie ailleurs que du côté de Montparnasse !
Crêperie Paris Breizh
Et la preuve se trouve dans le XIIIème arrondissement, à quelques pas de la Place d’Italie.
Parce que parfois on a de bonnes surprises quand on ne s’y attend pas, par hasard, au détour d’un weekend.
Paris Breizh – comment s’y sent-on ?
L’équipe est jeune et accueillante. Et la décoration bien loin des boiseries des crêperies traditionnelles. Ici, du mobilier design, une salle lumineuse.
Inattendu pour une crêperie, et très agréable pourtant.
Ce qu’on y mange
J’ai déjà spoilé si je ne m’abuse, mais je vais vous le redire : il s’agit donc de crêpes !
Attention, pour ceux qui ont envie d’une crêpes en dessert mais de quelquechose de différent en plat, Paris Breizh propose aussi un grand choix de salades.
Dans la catégorie galettes, il y a bien sur les traditionnelles, complètes déclinées avec différents fromages, une variété de viandes. Et puis il y a les spécialités, recettes signatures.
Crêpe Issé – Paris Breizh
Pour le sucré, j’ai du mal à sortir des choix traditionnels, et la crêpe crème de marron n’est pas très photogénique.
Mais la pâte est très bonne, moelleuse et le tout est très réussi !
Pourquoi j’y reviendrai
Parce qu’une adresse simple, de qualité, aux tarifs raisonnables, c’est toujours bon à avoir en magasin, en particulier quand il s’agit d’une adresse à quelques centaines de mètres de chez moi.
Alors, quand vous serez dans le XIIIème, sachez que la variété de l’offre de restauration est encore plus large que ce que l’on imagine ! Ca ouvre des possibilités !
Paris Breizh 166 boulevard Vincent Auriol 75013 PARIS
Il faut le savoir, il peut faire froid, très froid à Paris. Et avec le dérèglement climatique, on ne sait pas ce qui nous attend.
Alors, pour être parée en toute circonstance, y compris pour passer du froid extérieur à la chaleur de nos intérieurs sans souffrance, j’ai la solution : le poncho en cachemire !
Léger mais chaud, douillet à souhait, il sera votre meilleur ami dès lundi !
Alors vous vous demandez : mais où vais-je acheter mon poncho à Paris ? J’ai la réponse !
Poncho Rue du Cachemire
Poncho rue du Cachemire
Commençons par le dernier en date, mon chouchou, mon favori, celui qui ne me quitte jamais. Chez Rue du Cachemire vous pourrez choisir la longueur, l’épaisseur, la couleur, et pour fini, apporter votre touche de personnalisation avec un galon, de dentelle, de velours, ou de ce que vous voulez !
J’ai opté pour un galon de dentelle noire mais les possibilités sont infinies… Enfin très nombreuses !
Alors, pour lutter contre le froid à Paris, et ailleurs d’ailleurs, rue du Cachemire est là, que vous soyez parisiens ou pas !
Rendez-vous rue de la Sourdière, à quelques pas de Palais Royal. Cette rue vous réservera plus d’une surprise, des boutiques de produits made in France, en matériaux nobles, tels que le cuir, ou le cachemire justement.
Poncho Gallery porte bien son nom. Le poncho est au coeur des créations proposées. Et la cape aussi. Et au fil des années, ils se sont enrichis de cols, poches, devenant l’indispensable hivernal sporty chic.
Poncho Gallery
Ici le poncho revêt de multiples formes, et révèle toutes ses facettes !
Kujten – dernier né des cachemire stores parisiens
Chez Kujten, le cachemire vit une explosion de couleurs et de formes.
Et le poncho n’est pas en reste. Kujten dispose de boutiques dans tout Paris, ma préférée étant celle de la rue des Francs Bourgeois.
Les ponchos et les capes se font plus douillets en 4 fils pour les hivers glacials, ou plus légers en s’adaptant ainsi aux saisons intermédiaires.
Le classique des ponchos – Eric Bompard
Parce que sa renommée n’est plus à faire, je finirai par Eric Bombard. Classique des classiques, le poncho en cachemire 2 fils se décline en plus de 10 couleurs, pour s’accorder à toutes vos tenues.
Je concluerai très simplement par un seul mot : SOLDES !!!
Dans toutes ces boutiques, c’est le moment de se faire plaisir, et de se préparer à affronter les frimas en toute élégance !
Fondation Louis Vuitton – la collection Chtchoukine
J’ai découvert la fondation Louis Vuitton lors de son ouverture, et c’est avant tout par l’architecture de Frank Gehry que j’ai été impressionnée.
Fondation Louis Vuitton
Et puis il faut le dire, la Fondation est loin, très loin, pour ce qui me concerne en tous cas. Et je n’y étais pas retournée.
Jusqu’à aujourd’hui. Pour découvrir la collection Chtchoukine.
Mais commençons par le commencement : le bâtiment lui même.
Fondation Louis Vuitton – une architecture unique
Ce lieu, ouvert au public depuis octobre 2014, est donc une oeuvre de l’architecte américain Frank Gehry. Verre et structures aériennes, ce vaisseau tout en lignes et courbes s’est amarré au coeur du bois de Boulogne, pouvant ainsi être vu de loin et sous tous les angles.
Fondation Louis Vuitton
L’extérieur est spectaculaire, tout particulièrement actuellement avec le travail in situ de Daniel Buren qui l’a habillé de couleurs.
La fondation Louis Vuitton a pour volonté « d’offrir à Paris un lieu d’exception pour l’art et la culture » (Bernard Arnault)
Et aujourd’hui, elle accueille, jusqu’au 20 février 2017, une exposition exceptionnelle.
La collection Chtchoukine – icônes de l’art moderne
Sergueï Chtchoukine est un grand collectionneur russe. Sa collection, particulièrement remarquable, constitue un véritable panorama de l’art et de l’histoire de la peinture, à cette époque où il fit le choix d’acquérir les oeuvres de ceux qui étaient rejetés par les grandes institutions artistiques du moment.
Ainsi, sa collection contient un grand nombre d’oeuvres impressionnistes, cubistes, fauves, mais aussi naïfs ou réalistes.
Certains artistes sont tout particulièrement présents, tels que Cézanne ou encore Matisse, sans oublier Monet et les 13 oeuvres dont il fit l’acquisition, et dont 8 sont présentées dans cette exposition.
L’exposition est organisée en 14 salles. Certaines sont reconstituées à l’image de leur lieu d’exposition dans le palais Troubetskoï du collectionneur. Les autres sont orchestrées par thématiques, avec la prédominance d’un ou plusieurs artistes.
La toute première salle nous parle du collectionneur et de ses artistes.
Des portraits de Chtchoukine, et des peintres qui l’ont marqué.
Puis, après la salle de « la première collection », présentant des oeuvres d’artistes qui n’ont pas forcément marqué l’histoire, on arrive dans la première salle spectaculaire, qui présage de celles à venir.
La salle 4 : « paysages impressions » . Celle qui permet de découvrir les Monet, artiste dont il fut extrêmement proche.
Attention, éblouis par les Monet, vous pourriez passer à côté des Pissaro : ne faites pas ça, d’autant que ces oeuvres représentent Paris !
Puis vient Cézanne, la puissance de ses oeuvres, dans la salle 5.
Collection Chtchoukine – Cézanne
Faisons d’ailleurs un petit comparatif : Cézanne versus Derain, pour le même sujet…
Cézanne ou Derain ?
Alors, votre choix ? Le mien est fait, sans hésitation !
Après les paysages, la salle 6 : la grande iconostase. Là, c’est Gauguin avec 11 des 16 toiles du collectionneur.
La salle 7 est dédiée aux portraits. De vrais bijoux, dont ce Renoir extraordinaire – opinion personnelle bien sur.
Elle contient également l’unique Degas de cette exposition. Un Degas quasi dérangeant, avec cette pose figée, presque douloureuse, si différente de ses autres oeuvres dans cet univers de la danse qui l’a tant inspiré.
La 8ème salle est également spectaculaire. Matisse, central dans la collection Chtchoukine, et dans le palais Troubetskoï, explose ici. Explosion de lumières et de couleurs.
L’idée n’est pas ici de vous livrer l’intégralité de l’exposition, et je m’arrêterai là en ce qui concerne les oeuvres exposées, qui sont, comme vous l’aurez déjà compris, extrêmement nombreuses, spectaculaires, du pinceau des plus grands artistes de la fin du XIXème siècle / début du XXème.
Et je concluerai donc sur les aspects plus techniques de l’exposition, accrochage, circulation, et audioguide, ou plus précisément l’app à télécharger pour accompagner la visite.
Découvrir l’exposition
L’exposition « Icônes de l’art moderne – la collection Chtchtoukine » s’organise donc en 14 salles et sur tous les étages de la Fondation. Vous l’aurez compris, elle est très longue, très riche, et il faut prévoir deux heures pour passer par toutes les salles et voir toutes les oeuvres.
La circulation est fluide, et permet de faire une incartade vers les terrasses pour admirer la vue unique, particulièrement quand le soleil est de la partie !
Chaque angle de vue est unique.
Et tout est super photogénique !
Pour découvrir l’exposition, plutôt qu’un audio guide c’est une app à télécharger qui est proposée.
Pourquoi pas. Même pour ceux qui ont des difficultés à trouver l’app ou à la télécharger, on peut demander de l’aide aux helpers présents dans chaque salle.
Le contenu lui est plus discutable. Je m’explique. Pour chaque salle, une vidéo d’introduction. Puis, pour chaque salle, un, deux, peut-être trois tableaux grand maximum dispose d’une bande son explicative.
Sauf que.
La voix principale est celle d’Anne Baldassari, la commissaire générale de l’exposition. Gageons qu’elle a une très haute estime d’elle même. Je n’ai jamais entendu une telle concentration du pronom « je » dans un discours explicatif.
La découverte commence plutôt bien. Le « on » est le pronom, typiquement français, sélectionné pour décrire le contexte, l’environnement historique, le contenu de la première salle.
Mais très vite, cela se gâte.
« J’ai décidé d’installer les oeuvres de telle et telle manière »
« J’ai choisi d’accrocher ce tableau de cette façon »
« J’ai opté pour ces tableaux et … »
« Bien évidemment, je ne vais pas accrocher sous forme d’iconostase mais ce que J’AI conservé ce sont … »
Et bien JE propose à cette dame de revoir sa posture.
Peut-être pourrait-elle envisager de s’effacer derrière le collectionneur, ou encore derrière les artistes extraordinaires qui sont présentés.
Et surtout, peut-être pourrait-elle adopter une posture explicative et bienveillante plutôt que ce ton professoral exagérément égocentré.
Je m’emballe bien sur. Mais des souvenirs d’audio guides qui bouleversent la compréhension et subliment les oeuvres me viennent à l’esprit. Rares, alors qu’ils devraient être au coeur de la préparation d’une exposition.
Pour les amateurs éclairés comme pour les novices.
Il n’en demeure pas moins que l’exposition est superbe. Et je vous la recommande sincèrement.
La collection Chtchoukine – jusqu’au 20 février 2017
prolongé jusqu’au 5 mars 2017
Fondation Louis Vuitton 8 Avenue du Mahatma Gandhi, 75116 Paris