La Parizienne – restaurant place du Marché Saint Honoré

La Parizienne

42, place du Marché St Honoré – 75001 Paris

Tous les jours de 10h à 2h Tel. : 01 42 61 48 43

Site web : www.laparizienneparis.com

cadre service http://storage.canalblog.com/62/30/635918/47393551.gifhttp://storage.canalblog.com/62/30/635918/47393551.gifrapport qualité/prix 

 

le cadre

une terrasse sur la place du marché Saint Honoré : c’est sans aucun doute un endroit parfait pour les journées ensoleillées qui arrivent !

Alors attention : n’espérez pas pouvoir allonger confortablement vos jambes, ni même passer entre deux tables : l’espace est tellement optimisé que la seule façon de s’installer semble être en étant treuillé puis déposé à la verticale sur sa chaise !

Impossible de bouger une fois assis, donc, si vous envisagiez de vous rafraichir avant de manger, faites le avant de commencer votre repas !

le service

Mitigé dirais-je ? Oui, mitigé ! Tout commence par le sourire, d’autant plus que nous avons réservé, nous arrivons tôt, la terrasse est encore vide, l’ambiance détendue.  Nous nous installons donc. Puis vient le moment de la commande, et là, innocemment, nous demandons, avec notre bouteille de vin, une carafe d’eau … Réponse: «  il n’y en a pas  » ! Interloquée, je le fais répéter, et il confirme ! J’interpelle même un deuxième  serveur, et il confirme à son tour ! Non seulement c’est la première fois que j’entends ça en France, mais twitter me confirme ce que je pensais : c’est illégal !

Finalement, après que nous avons demandé 4 verres d’eau cette fois (sur les conseils de mon amie Carole, que je remercie de l’idée !), nous finissons par obtenir une carafe ! Mais ce n’est pas fini … L’heure avance, la terrasse bondée, et la longueur de la file d’attente s’allonge ! Parce que oui, certaines personnes, beaucoup plus nombreuses que je ne l’aurais pensé, sont prêtes à attendre, debout, dans la rue, pour diner ! Et donc, une fois notre repas terminé, difficile de faire durer en sirotant son café : je n’ai jamais vu une addition arriver aussi vite à Paris ! Suivie de très près par la machine à carte bleue, alors que nous n’avions rien demandé ! Faut-il qualifier cet empressement de service efficace ou de goujaterie, signal clair de départ pour libérer la table ?

les plats

La carte n’est pas très originale mais assez variée : viandes, poisson et hamburger maison s’y côtoient. L’entrecôte et ses frites maison est excellente, la cuisson demandée respectée.

Le cheeseburger  » dans sa boite  » est gouteux, moelleux et à la hauteur de mes attentes.

Ensuite, viennent les desserts, pour certains délicieusement régressifs, puisqu’à base de « chamallows »  comme cette crème brulée .!

Vous pourrez aussi opter pour le plus traditionnel cheesecake …

Ou encore, le clou des desserts toutes catégories confondues : le fondant chocolat – noisettes ! Ou comment parvenir à réinventer un dessert tellement galvaudé !

Globalement donc, je dirais que tout ce que nous avons mangé était bon, et le vin, un Minuty parfait pour une soirée d’été, également très bon , même s’il nous a été servi trop vite et donc pas assez frais !

Mais l’impression générale n’est pas très plaisante, malgré les efforts d’un des patrons , très pro et souriant, qui passait régulièrement et échangeait quelques mots avec les clients. Pas suffisant, je le crains, pour oublier l’épisode de la carafe d’eau ou la façon à peine dissimulée de nous mettre dehors alors que nous profitions d’un moment sympathique entre amis !

Alors je dirais donc, quitte à opter pour un lieu moins branché et moins animé, mieux vaut éviter la PLace du Marché Saint Honoré lors des jolies soirées d’été !

Restaurant Maison Blanche : vous prendrez bien un cocktail maison ?

Le restaurant Maison blanche est connu pour plusieurs raisons : tout d’abord, son emplacement au sommet du théâtre des Champs Elysées ! Il est construit tel un pont suspendu, pour ne pas charger la structure du théâtre qui n’aurait pas pu le supporter.

Ensuite, sa décoration : l’architecte Imaad Rahmouni, ancien élève de Starck, donne la place belle à la lumière : baies vitrées, bar phosphorescent et Tour Eiffel scintillante en ligne de mire .

Sa terrasse bien sur, qui s’ouvre sur tout  Paris…

Et puis, finalement, ses cocktails ! et je vous livre là en exclusivité quelques recettes : alors, envie d’un petit cocktail pour l’éte ? Je vous recommande tout particulièrement la Perle rouge … Testez sa recette, et donnez m’en des nouvelles !

Maison Blanche

15 avenue Montaigne • 75008 Paris • T. 01 47 23 55 99

à Paris, j’aime … découvrir un nouveau restaurant : La Penderie !

Dans un lieu à la décoration qui rappelle les merceries d’antan et les ateliers de couture , j’ai découvert, le temps d’un cocktail, un m hamburger à tomber, et des frites gouteuses et croustillantes à souhaits !

 

Et puis bien sur, l’essentiel : les dessserts ! Quel bonheur de sombrer dns la régression absolue en dégustant ce délice, sur une base de sablé LU, du Nutella, des tranches de banane et une crème chantilly à faire craquer les plus résistant(e)s à la tentation !

Le restaurant, ouvert 7 jours sur 7, vient d’ouvrir. Il peaufine donc sa carte mais je peux d’ores et déjà vous dire qu’il propose un brunch, aujourd’hui plus proche du lunch que du breakfast, et que le chef est entrain de finaliser . A savoir par contre, pour les enfants, un atelier avec animation durant tout le repas pour permettre à tous de profiter pleinement de ce moment !

Alors allez y, vous serez accueillis avec le sourire !

 La Penderie

17 rue Etienne Marcel 75001 PARIS

La Rotonde – un lieu hors du commun ! Restaurant, bar, et plus !

La Rotonde

Place Stalingrad
6-8, place de la Bataille, Stalingrad, Paris, 75019, France

Tél: 01 80 48 33 40

La Rotonde, c’est avant tout un lieu ! Un lieu imposant sur la Place Stalingrad, qui en impose par son architecture et , le soir venu, par les lumières roses qui l’éclairent !

Après avoir servi de barrière d’’octroi, de casernement pour la garde municipale (1830-­1865), puis de grenier à sel (1865-­1921), la Rotonde de la Villette échappe de justesse aux destructions du baron Haussmann et à l’’extension par Thiers des limites de Paris (1860), renaît de ses cendres après l’’incendie de la Commune en 1871, et évite de peu le tracé du métro ligne 2 achevé en 1903 !

On ne parler plus d’une seconde vie après une telle histoire ! Cet endroit a survécu à tout !
Dans ce lieu vous pourrez déjeuner, diner, bruncher, ou encore boire un verre  !
Concerts, chorales, pause thé ou grignotage, tout y  est possible !
Mais aussi participer à des ateliers divers et variés, prendre des cours de danse, et que sais-je encore !
Simplement vous trouver dans un lieu exceptionnel dans ce nouvel est parisien qui gagne à être connu !

La cuisine est mise en valeur, permettant à chaque instant de garder un oeil sur tout ce qui s’y mijote !

Les plats proposés varient de 14€ à 21€, comme ces gambas à 17€ ou cet onglet à 15€ .

quant aux desserts, de 6€ à 9E, vous aurez le choix entre autres, entre la gaufre, sa chantilly et ses fraises, ou encore la banane rôie et son sorbet passion .

Pour tout vous dire, l’atmosphère du lieu l’emporte largement sur la dimension culinaire. Les portions gagneraient à être enrichies en ce qui concerne les plats.

Et j’ai finalement regretté mon choix de dessert, la gaufre, trop dense à mon goût, ayant sans aucun doute pu être remplacée avec succès par le dessert chocolat  » trop gourmand  »  !

Si vous n’êtes pas portés sur la danse, vous pourrez quand même, pour finir la soirée, vous détendre en profitant d’un massage assis , prodigué par cette dame si souriante que la détente commence déjà par les quelques mots échangés !

Et cette vue sur la place qui s’étend vers le canal !
Alors merci à La Rotonde de m’avoir permis de découvrir ce lieu, et je vous donne rendez vous aux beaux jours pour prendre place sur la terrasse !

jour de fête au Lancaster … ! Pour un dimanche pas comme les autres !

7, rue de Berri

75008 – Paris

01 40 76 40 18

 

Jour de fête

déjeuner dominical : 65€

C’est Michel Troisgros qui est aux commandes du restaurant étoilé du Lancaster.

L’illustre fils de l’un des non moins illustres frères Troisgros propose un déjeuner dominical en alternative au brunch branché dont nous sommes tous, il faut le reconnaitre, très friands .. Surtout moi !

Un lieu paisible, une atmosphère feutrée, le ton est donné dès que l’on passe la porte de cet hôtel , laissant tout près le vacarme et la foule des Champs Elysées.

Bien loin du brouhaha des buffets, le Lancaster offre une pause dominicale paisible et subtile tout en étant pourtant parfaitement situé pour un petit bain de foule si le cœur vous en dit !

A peine installés on vous met déjà en appétit avec quelques amuses bouche :

Sablé de parmesan, panisse ( farine de pois chiche) et charbon de truffe …

Le concept de  » jour de fête » est donc le suivant : un menu avec trois propositions tant pour l’entrée que le plat et le dessert, sans compter un fromage dont je vous dirai des nouvelles, et des amuse bouche, encore des amuses bouche….

les entrées

précédées de trois petits pains dont un qui donne le ton : le fameux petit pain au citron ! Oui, il s’agit là d’une des signatures de Michel Troisgros, même si je dois humblement avouer que je l’ignorais …

Commenons par le compressé de poulet au basilic : une herbe aromatique à la saveurs fraiche qui révèle parfaitement les saveurs du poulet de Bresse ; tendre, savoureux, le seul élément qui le dessert à mon avis : son intitulé ! Mais personne n’est parfait, et puis le nom s’envole, les émotions des papilles restent …!

L’autre entrée est une réinterprétation des oeufs brouillés telle que vous ne les avez jamais vus … et de leurs mouillettes !

L’oeuf, léger et aéré, support permettant d’exhaler les saveurs chères au chef : tomates, herbes et champignons . Et les mouillettes, elles, sont aux lardons !

Venons en aux plats : un choix s’impose bien sur : le célebrissime saumon à l’oseille, LA création de Michel Troisgros. Et il est au rendez-vous ! Rose à point, une sauce légère à la texture parfaite !

Mais il y a aussi un pigeon au foie gras des plus inattendus ! Il est tendre, goûteux, et je ne saurais pas dire qui du pigeon ou du foie gras est l’alibi de l’autre !

Le fromage de chèvre est léger, frais, et une transition parfaite pour se préparer aux desserts à venir !

Et quels desserts ! Opteriez vous pour ce miracle aérien au citron , conclusion légère et acidulée pour un repas parfait …

ou seriez vous attiré par un sompteux dessert chocolat poire , gourmand que vous êtes !

L’accueil et le service

Comme il est reposant d’être accueilli avec le sourire,  pris en charge , simplement, efficacement . Le verre se rempli sans qu’on ait le temps de se rendre compte qu’il est vide, le pain dégusté se remplace comme par magie, et les conseils du sommelier m’ont guidé vers un verre de vin parfait pour accompagner ce repas.

vous l’aurez compris, une réussite absolue ! Idéal pour un repas dominical paisible et de grande qualité  !

A vous de tester !

Razowski place du Marché Saint Honoré …

Razowski

38 Place du marché Saint Honoré

Paris 75001

http://www.razowski.fr/

cadre service

rapport qualité/prix

Vous est-il déjà arrivé d’avoir une envie soudaine et violente de hamburger ? De ces hamburgers tels qu’on ne les trouve qu’aux Etats Unis, monumentaux, gouteux, délicieux en un mot !

Et bien si c’est le cas, il ne vous reste plus qu’à vous rendre chez Razowski !

Vous trouverez sur leur carte une panoplie de hamburgers, tous proposés en version  » simple  » – soit un étage, ou double – soit deux étages. Les ingrédients sont classiques et multiples, la viande gouteuse , les frites maison … Le bonheur !

Si toutefois vous êtes tentés par une salade, 5 choix vous sont proposés; riches et variées, elles sont extrêmement copieuses et vous ne resterez pas sur votre faim !

bien sur, il y a les plats du jour, et ce jour précis était proposé, entre autres, un bagel pastrami, le sandwich new yorkais par excellence !

Pour conclure ce repas sympathique et copieux, il ne manque plus que le dessert incontournable, j’ai nommé : le cheesecake ! Il est accompagné d’un coulis de framboise, que j’apprécie toujours avec ce gâteau pour sa touche acidulée et colorée !

Pour conclure, un petit raté: alors que l’on me promettait un thé vert menthe, c’est un thé exotique dont je n’ai pas retenu le nom que l’on m’a servi, et qui, de surcroit, était aromatisé au jasmin …

Pour résumer, un accueil souriant, un service efficace – au bémol du thé, et un repas à la hauteur de nos espérances ! Sachez juste que le samedi, il vaut mieux prévoir de déjeuner tôt car la salle comme la terrasse se remplissent très vite et ensuite il ne vous restera plus qu’à patienter à l’extérieur … A bon entendeur .. !

Et si on allait à l’Opéra Restaurant !

l’Opéra restaurant

Palais Garnier
Place Jacques Rouché
75009 Paris – France

Tél : 01 42 68 86 80

le cadre :  le service :

le rapport qualité/prix : 

max : 5

plat : prix moyen 25€

menu du marché 36 € ( entrée+plat ou plat+dessert avec 1/2 bouteille )

Un restaurant au coeur de l’Opéra Garnier ? Il fallait que je le vois !

C’est chose faite !

Opéra restaurant – le cadre

Alors que dire … Les voutes, l’atmosphère de l’Opéra, tout y est . Le côté seventies choisi pour le mobilier du restaurant … Cette couleur rouge vif aujourd’hui pimpante … Est-ce vraiment en accord avec le décor .. Je n’en suis pas sure ! Edit du 15 janvier 2017 : la décoration intérieure a été entièrement revisitée !

le service

Je le qualifierais … d’étrange ! Une serveuse qui nous garantit qu’elle va s’occuper de nous, suivie de près par un serveur qui ouvre la conversation par un « hello  » tonitruant ! Surprenant ! La suite oscille entre un service qui se veut académique, à base de cloche en argent qu’on ouvre pour découvrir le plat, mais en passant , parce que cela se fait, mais en même temps que l’on dessert les assiettes précédentes … Bizarre !

Opéra restaurant – la dégustation

Venons en à l’essentiel donc, les plats !

Un choix assez varié, avec une touche d’originalité . Ainsi, le foie gras aux fraises et vinaigre de banyuls , très réussi en l’occurence …

La canette , plus traditionnelle, parfaitement rosée, et très bonne – et qui est fait partie des plats proposés au menu …

Et les Saint Jacques, plus étranges , et moins réussies, en version  » risotto  de pommes de terre  » !

Le clou du repas, le dessert comme toujours, n’apparaitra pas dans cet article ! Il s’agissait de la poire Belle Hélène, dissimulée sous une coupole de chocolat, qui a été detruite avant que je ne puisse le photographier, par le chocolat chaud que la serveuse a versé dessus avec application : un délice !

Vous vous contenterez donc des mignardises accompagnant le café .. Même si elles étaient très décevantes puisqu’il ne s’agit pas de mini meringues comme on pourrait le croire, mais de guimauves !

Donc, pour conclure, le menu du marché vaut le déplacement, le reste est extrêmement cher et ne le vaut pas vraiment ! Voilà, c’est dit !

Le bon plan : venir prendre un petit déjeuner, mais avant 09h30 ! Ensuite, on est relégué en fond de salle, loin des baies vitrées, puisque le personnel prépare déjà les tables pour le déjeuner…

Les Cailloux – un restaurant italien, un vrai !

Edit du 19 décembre 2014

je suis retournée cette semaine aux Cailloux.  dois avouer que ce fut une grande déception. Peut-être un changement de propriétaire ? D’équipe ? Quoiqu’il en soit, l’accueil et le service étaient chaotiques, les pâtes quasi crues. Peut-être ai je joué de malchance ?

LES CAILLOUX
58, Rue des Cinq Diamants
75013 PARIS

Tél. 01 45 80 15 08

http://www.lescailloux.fr/

le cadre :  le service : 

le rapport qualité/prix : 

max : 5

Edit : je confirme que les déceptions décrites dans cet article devaient être liées à un dysfonctionnement momentané … Parce q que j’y suis retournée, et tout était juste parfait !

Les Cailloux : un des restaurants de Julien Cohen, le pape des restaurants italiens à Paris, niché au coeur de la Butte Aux Cailles .

J’avais déjà testé Grazie, vous vous en souvenez …

Des points communs, tels que l’eau confectionnée sur place dans une volonté de préservation de l’environnement …

Mais, alors que Grazie est une pizzeria avant tout, Les Cailloux est un restaurant italien dans les règles de l’art, un restaurant où j’ai déjà eu l’occasion de me rendre à plusieurs reprises sans avoir pris le temps de vous en parler !

Et bien le jour est venu !

Tout d’abord, un aperçu de la carte, entrées, plats et desserts .

Pour donner le ton : les entrées, une vraie réussite !

Les produits sont frais et de qualité, l’assiette d’antipasti rappelle étrangement celle de Grazie, et la mozzarella est un délice !

Puis viennent les plats, et là je dois avouer que cette fois ci, et ce contrairement à mes précedents passages, une certaine deception…

Des raviolis ricotta et épinards qui manquent de vivacité en saveurs …

des pennette bien trop  » al dente  » à mon goût

et des trofie cuits à merveilles mais dont l’assaisonnement ne rappelle que de très loin le parfum des aubergines qu’elle est censée receler …

Quant aux desserts, passé la déception liée à l’absence du traditionnel Tiramisu ( parce que, avouons le, les desserts ne sont pas le point fort de la proposition culinaire italienne !), passé donc cette déception, le seul dessert qui parviendra sur notre table sera donc une panna cotta, apparemment de bonne facture ….

Enfin, le propriétaire s’autorise un clin d’oeil à l’un de ses autres restaurants par l’intermédiaire du chocolat accompagnant le café !

En résumé donc, cette fois n’a pas été à la hauteur des expériences précédentes, et je vous invite donc à tester malgrè tout !

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Usurpation d’identité par les restaurants Costes : Le Square Trousseau

 

Le Square Trousseau

1 Rue Antoine Vollon
75012 Paris

tel : 01 43 43 06 00

www.squaretrousseau.com/

un bistrot typiquement parisien

dehors ….

comme dedans …

le cadre :  le service :

le rapport qualité/prix :

max : 5

 Mais … Il y a un mais ….

 C’est la carte qui met la puce à l’oreille

plus de doute possible : nous sommes face à un cas d’usurpation d’identité, du genre de celles contre lesquelles on ne peut pas lutter …

Et si certains n’ont pas compris à la lecture des plats proposés que ous sommes rentrés sans le savoir dans un restaurant COSTES, le nom du dernier dessert ne laisse aucun doute !

Oui, mesdames et messieurs, ce bistrot parisien typique, où le bois pâtiné grince sous vos pas , ce bistrot ne vous proposera pas de dékicieuse cuisine traditionnelle comme l’on peut encore en trouver au détour d’une rue dans notre belle capitale ! Non, rien de tout ça, mais plutôt la carte aseptisée de tout restaurant COSTES qui se respecte !

Pour les entrées, pas de surprise : une esthétique sans style, un contenu sans personnalité .. Toutes les caractéristiques de la world cuisine revendiquée par cette chaine  !

Pour les plats, la situation n’est guère plus reluisante : un effort pour le risotto, assez appétissant, et rien pour le thon, qui, en guise de rosé est servi trop cuit !

Et pour finir un dessert …

Alors soyons prudents la prochaine fois que nous passons la porte d’un restaurant parisien … Il ne faut plus se fier aux apparences !

 

Edit : je présente mes plus plates excuses à mes camarades de la photo du mois ! comme vous le constatez tous, j’ai oublié, totalement et complètement !

 

Je m’engage donc ici et maintenant à ce que cela ne se reproduise pas !

 

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Mandarin Oriental PARIS – Restaurant Camélia et Bar 8 : le jour et la nuit !

Le Mandarin Oriental

251 rue Saint-Honoré
75001 Paris
01 70 98 73 35

www.mandarinoriental.com/paris/

Bar 8

le cadre :  le service : 0

le rapport qualité/prix : N / A

max : 5

Imaginez le pire accueil qui vous ait jamais été réservé dans un restaurant …

Imaginez le ton le plus arrogant jamais utilisé pour vous parler …

Et bien vous avez un condensé de notre passage au Bar 8 du Mandarin Oriental !

C’est pour cette raison que ma notation concernant le rapport qualité / prix est quotée « non applicable « .

En effet, à force d’attente, de promesses de table non tenue, d’agression verbale de la part du personnel, aussi arrogant et condescendant que pensent pouvoir se l’autoriser certaines personnes déambulant dans ces lieux suprêmes du luxe qui envahissent notre capitale, après donc de longues minutes d’inconfort et de malaise, nous avons donc rebroussé chemin pour aller prendre l’air, et pouvoir tenter la deuxième partie de cette soirée dans ce nouveau palace parisien, mais cette fois dans le restaurant : le Camélia.

 Le Camélia – restaurant Mandarin Oriental Paris

le cadre :  le service : 

le rapport qualité/prix : 

max : 5

dès l’arrivée des entrées, l’on detecte un véritable parti pris esthétique qui peut étonner …

les tagliatelles de carottes jaunes et oranges sont croquantes à point …

l’effet esthétique se confirme sur cetains des plats : là, poulet  … si, si …et … ?

ou encore … calamars …. si, si !

et pour finir, plus facile … carpaccio de champignons …

Globalement, des saveurs agréables, mais rien d’extraordinaire …. D’aucuns pourraient dire que l’expérience de début de soirée m’aura rendue plus difficile … D’aucuns auraient peut-être raison !

Indéniablement, le clou de ce repas : les desserts. Ces desserts que l’on peut acheter au bar à gâteaux pour les déguster chez soi : vivement conseillé !

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