Le Skrei est le nom donné aux cabillauds ayant effectué une migration de plus de mille kilomètres depuis la mer de Barents à la côte nord de la Norvège.
Célèbre en Norvège pour son goût légendaire, il arrive désormais en France pour le plaisir de nos papilles.
Skrei
C’est au restaurant UMA que j’ai pu le déguster, sous toutes ses formes !
Skrei au restaurant UMA Paris
Ce restaurant, ouvert depuis quelques mois, fait déjà beaucoup parler de lui. Le chef, c’est Lucas Felzine qui est passé par des grandes tables comme l’Arpège ou Ze kitchen Gallerie.
Parlez de tour du monde gastronomique ! Parce que UMA propose une cuisine Nikkei – traduisez : entre le Pérou et le Japon. Et comme si cela ne suffisait pas, il accepte le défi d’y introduire un poisson norvégien. Et ça marche !
Un menu riche qui permet de découvrir le Skrei de mille et une façons, et toutes réussies. Nous avons donc pu tester le Skrei, cru, cuit, fumé, sous toutes ses formes en somme.
Commençons donc par le jus de ceviche et Skrei brûlé.
Suivi des bols de Skrei à la truffe et poutargue.
Bolas de Skrei
Viennent ensuite ceviche, tiradito et gyoza, avec pour finir le skrei mariné au miso.
Gyosas
Et que serait un repas sans un dessert, surtout s’il s’agit d’un alfajor !
Le Skrei à la carte
Le chef du restaurant UMA a parfaitement su exploiter la richesse et la finesse des saveurs de ce poisson hors du commun.
Et pour notre chance à tous, durant l’opération « Le Skrei à la carte, du 18 mars au 15 avril« , ce sont 50 restaurants gastronomiques en France qui feront figurer sur leur carte un plat à base de Skrei.
50 recettes, 50 interprétations pour permettre aux français de découvrir les 1001 facettes de ce poisson au parcours unique et aux saveurs extraordinaires.
Et voici quelques noms des restaurants parisiens qui vont participer, histoire de vous mettre l’eau à la bouche !
Il s’agit là d’un restaurant japonais, vous l’aurez deviné. De ces restaurants où les mets défilent sous vos yeux. Difficile de résister, tout a l’air si appétissant !
Matsuri
Matsuri – comment on s’y sent
L’atout de ce restaurant n’est pas le confort. Ne vous méprenez pas, le cadre est agréable, on s’installe au comptoir, face aux cuisiniers, ceux-là même qui confectionnent les délices qui défilent sous vos yeux pendant tout le repas.
Par contre, très peu d’espace entre les convives, et en particulier en hiver, avec manteau, accessoires et autre sac à main !
Une fois installées donc, c’est l’heure de faire son choix, encore et encore.
Le service est très efficace. Dès notre arrivée, on nous propose des explications parce qu’on ne devine pas forcément la fonctionnement quand on vient là pour la première fois.
Il suffit donc de se servir en attrapant au vol les assiettes qui passent. Pour le prix, tout est à base de codes couleurs, expliqués dans le menu.
Matsuri – on y mange quoi ?
Sashimi, maki, sushi, name it, you have it !
Et puis brochettes, petites salades, du cru, mais aussi du cuit, fait à la minute par les chefs qui cuisinent là, sous nos yeux.
Il est donc important de savoir se maitriser ! Ici, on tend la main, et l’assiette est là, devant vous. Pour le plat suivant, pas besoin d’attendre que le serveur revienne, c’est l’indépendance totale !
voici donc un échantillon de ce que nous avons dégusté.
Dans la gamme « crue « .
californiagunkan crabe
Et dans la gamme « chaud »
beignets de crevettegyosa de crevettes
Vous remarquerez le liseré de couleur sur chaque assiette. C’est de cette façon que le coût du repas est calculé. Chaque couleur correspond à un coût, et c’est la somme qui représentera l’addition !
Pour les desserts, des salades de fruits, des litchis, mais aussi des cheese cakes au thé vert ou nature, et ces pancakes à la pâte de haricots rouges, les dorayakis.
litchies
Pourquoi j’y reviendrai ?
Parce que je me suis régalée.
Et parce que j’ai apprécié l’efficacité du concept : on peut manger en un temps record en prenant pourtant une vraie pause.
ce restaurant a été totalement revisité et porte désormais le nom de : » Les parisiens »
Une pépite parisienne. KULT est un nouveau restaurant du côté de Saint Germain des Près. Discret, à l’angle de deux rues dont les noms ne vous seront pas forcément familiers alors qu’elles sont situées en plein coeur d’un des quartiers les plus connus de la capitale.
KULT – photo du site
Lesquelles ? Rue du Pré aux Clercs, et rue de l’Université. Bon, je l’admets, vous connaissez probablement la rue de l’Université qui n’est pas si méconnue que ça !
Restaurant KULT – comment s’y sent-on ?
Un cocon.
De larges fauteuils, des tentures chaleureuses, voilà le décor.
KULT – photo du site
Et puis il y a l’accueil. Simple et accueillant, particulièrement attentionné. Souriant. On se sent juste bien, avec le sentiment précis que tout ce qui suivra sera à l’image de ces premières impressions.
Confort des sièges, moelleux de la banquette, qui, marié aux charmants coussins qui l’agrémentent, pousse à s’installer là pour de longues, longues heures !
KULT Paris – qu’est-ce qu’on y mange ?
KULT est un néo bistro. Un qualificatif qui annonce la tendance.
De fait, la carte propose des plats traditionnels revus, réinventés, et terriblement tentants.
Chaque plat a été particulièrement apprécié. Fin, savoureux, élégant. En voici donc un échantillon. En commençant par les amuse bouches qui accompagnent parfaitement le Chablis que nous avons sélectionné.
Ces petits sablés au fromage si délicieusement savoureux sont une parfaite entrée en matière pour un diner qui s’annonce aussi délicieux que possible !
Venons en à l’essentiel donc.
Et commençons par les entrées.
Des Saint Jacques qui se redécouvrent en se sublimant dans une crème de cresson.
KULT – Saint Jacques snackés
Un tartare de veau réinventé avec une touche exotique de grenade et passion !
Tartare
Les plats sont dans le même esprit : moi qui pensais qu’un dos de cabillaud ne pouvait pas être joyeux et sexy : preuve du contraire vient d’être faite !
Et pour preuve de la qualité parfaite du service : quand le filet de canette arriva, bien plus cuit que prévu, il est reparti aussi vite en cuisine pour être remplacé par sa version rosée, absolument délicieuse.
Quand on sait que le chef, Julien Lacaille, a été formé par Dominique Bouchet, chef une étoile au guide Michelin, on commence à comprendre. Et on a envie de souhaiter tout le meilleur à ce si jeune chef de 22 ans !
KULT – pourquoi j’y reviendrai
Pour le déjeuner, mais aussi le tea time, ou encore le cocktail du jour. En effet, le restaurant propose une formule pour le déjeuner. Et puis un cocktail du jour.
KULT cocktail du jour
Mais aussi un tea time que l’on peut déguster sans remords : un gâteau et une boisson chaude, finalement, c’est si simplement délicieux et sans excès que cela ne se refuse pas, surtout pour 9€ !
Le dernier né du groupe Big Mamma est arrivé. Et il va plus loin que ses grands frères puisqu’il est ouvert dès 08h00 le matin, pour le plaisir du petit déjeuner ou du brunch, tous les jours de la semaine !
A tel point que les propriétaires ont décidé de céder à cette nouvelle tendance déco qui tend à mettre les étagères en salle en mode épicerie pour stocker les matières premières : farine, sucre, sel, poivre, etc..
Et ça fonctionne !
Biglove caffé – en mode épicerie
Ce qu’on y mange
D’abord, le « quand » ! Et bien ce sera dès le matin, du petit déjeuner, en passant par le brunch et le déjeuner, et jusqu’au diner.
Tout ce qu’on y mange provient d’Italie.
Biglove caffé – la carte
Des camions font l’aller retour 3 fois par semaine avec l’Italie. Les producteurs expédient à Milan ou Naples, et c’est là qu’ils récupèrent la marchandise pour la transporter jusqu’à Paris. Tout cela permet de consommer des produits en provenance de producteurs qui sont des petits artisans, des structures de rarement plus de 5 personnes. 180 producteurs en direct, dans toutes les régions italiennes, 16 charcuteries, 17 fromages, selon les saisons autour de 60 légumes et herbes fraîches et 180 cuvées de rouges, de blancs, des rosés, de pétillants, etc… Tout cela est clairement porteur de promesse de se régaler !
Et puis tout est frais !
Le frais, le fait maison, c’est la base chez Big Mamma.
Je le sais, moi qui n’avais jamais encore pu tester leur cuisine – il faut dire que pour moi, faire la queue pour manger est rédhibitoire …
Tout passe donc entre leurs mains, du café torréfié minute, aux pâtes fraiches roulées une à une chez Mamma Primi, en passant par les pâtisseries et desserts, faits chaque matin, dans chaque restaurant.
D’ailleurs, pas de congélateur, c’est la règle !
Et puis il y a le café, ou plutôt les cafés !
Tenu par des italiens exclusivement, le café tient une place centrale dans les valeurs de Biglove café. Et il est décliné, dans de multiples variantes.
les cafés du Biglove caffé
Par exemple ici, ce latte dans sa superbe tasse – j’adore leur porcelaine d’ailleurs !
Avec une machine pareille, on ne demande pas moins !
Pourquoi j’y reviendrai
Pour goûter les cafés, tous les café. Pour entendre l’accent chantant en direct d’Italie de tout le personnel. Et puis pour goûter les pâtes fraiches… Quant aux pizze sans gluten, pour l’instant, je laisse ça à ceux qui pensent en avoir besoin.
BIGLOVE CAFFE
30 rue Debelleyme, 75003 Paris Ouvert tous les jours du Lundi au Dimanche, non-stop de 8h à 23h
Un hôtel à l’emplacement parfait, à côté des jardins éponymes, sur une charmante place devenue piétonne depuis quelques mois : la place de Valois.
Comment s’y sent-on ?
Pénetrer dans un hôtel 5 étoiles est toujours un moment plaisant. C’est particulièrement vrai pour l’hôtel du Palais royal à l’ambiance tamisée, chaleureuse et élégante.
Direction le Lulli donc, pour une pause déjeuner.
Qu’est ce qu’on y mange ?
Au restaurant Le Lulli, le chef propose une carte très équilibrée (5 entrées, 5 plats et 5 desserts), claire, lisible, et construite autour de produits de qualité et de saison.
Alors, commencer le repas par un excellent foie gras, c’est un très bon choix !
Et enchainer avec les moules en risotto , courgettes et amandes, c’est une des multiples façons d’avoir la certitude de se régaler.
Restaurant Le Lulli
Qui a besoin d’un dessert quand il y a un café gourmand !
De délicieuses surprises dans l’assiette donc.
Mais rien d’étonnant. En effet, le chef, Clément Le Norcy, prend la tête des cuisines après avoir passé 9 ans auprès de chefs étoilés aux 4 coins de la France. C’est donc cette belle expérience qu’il met au services de ses hôtes pour notre plaisir non dissimulé.
pourquoi j’y reviendrai
Pour commencer, pour découvrir la nouvelle carte qui arrivait 2 jours pares mon passage, et pour gouter les desserts aussi !
Mais aussi, à chaque fois que je chercherai une adresse élégante, de qualité ET très abordable dans ce quartier.
Parce que le rapport qualité/ prix des formules proposées pour le déjeuner sont imbattables. Jugez vous même !
Entrée-Plat/ Plat – Dessert 29 €
Entrée-Plat-Dessert 38 €
Restaurant Le Lulli 4 Rue de Valois, 75001 Paris +33 1 42 96 72 20
Les cuisses de grenouille ? C’est fini, passé, dépassé. Seuls les touristes en mangent, et dans les restaurants que les parisiens ne fréquentent certainement pas depuis des décennies.
C’est ce que je prenais plaisir à dire quand mes amis venus de l’étranger me demandaient une adresse pour gouter ce met « so frenchy « .
Mais ça, c’était avant !
Parce que figurez vous qu’en quelques semaines, deux nouveaux lieux parisiens mettent la grenouille à l’honneur.
Et même si je n’ai pas encore eu l’occasion de les tester, il fallait que j’en parle : la tendance est là, saisissons la !
Alors comparons les deux dernières adresses en date dans la catégorie « restaurant de grenouilles » !
Roger la grenouille
Ici, on est dans le restaurant version historique. Un restaurant créé en 1930, dans une ancienne cordonnerie, repris par Roger Spinhirny, dit « Nini », né en 1900. Bien connu des parisiens, bénéficiant d’un emplacement unique au coeur du triangle St Germain des Prés, Odéon, St Michel, il a accueilli pendant de longues années toute la crème de la crème de Saint Germain.
Il réouvre donc ses portes avec une nouvelle équipe de passionnés et quelques beaux et discrets aménagements.
A la carte : des grenouilles bien sur, et des escargots mais pas que ….
Crédit photo Roger La Grenouille
Roger La Grenouille propose une cuisine française de saison et de proximité, exclusivement composée de produits ‘bien traités’. Viande de Bœuf de chez Alexandre Polmard, poissons de chez Miko (pêcheur de Port en Bessin), crèmerie et fromages de la Ferme d’Alexandre …
Chez Roger La Grenouille, on prête avant tout la plus grande attention à la sélection de ses fournisseurs.
Parce que la volonté de proposer une cuisine française de saison et de proximité, exclusivement composée de produits bien traités est ce qui guide la carte. Viande de Bœuf de chez Alexandre Polmard, génisses « Blonde d’aquitaine » élevée en plein air, maturée entre 3 et 9 semaines selon le muscle. Rumsteak 5 semaines. Les grenouilles fraiches sont préparées en France par la Maison Fenouillet et /ou Patrice François.
Agneau et foie de veau, Guillaume Verdin de la ferme de Clavisy en Bourgogne. Cochon, et veau de la maison Conquet. Les poissons proviennent de chez Miko, pêcheur de Port en Bessin qui livre sa pêche en direct deux fois par semaine. Les fruits et légumes sont travaillés de saison et proviennent des Vergers St Eustache et de leurs petits producteurs.
Tout est fait maison, les pâtisseries, les frites, les buns, et même les pâtes. Seules les glaces provient d’un voisin : Grom
Les vins aussi sont sélectionnés un par un, bios pour la plus grande part.
Et quand vient le moment de l’addition, arrondi solidaire Orphelins d’Auteuil, pour perpétuer la tradition de Roger lui-même orphelin qui avait institué les orphelins d’Elancourt
Et pour un ordre d’idée des tarifs :
« Greenwich », Le burger de grenouilles, frites, sauce tartare 22 €
D’un côté donc, un restaurant historique qui se réinvente.
De l’autre, une nouvelle adresse, un bar à grenouilles.
Rainettes – bar à grenouilles
Rainettes – bar à grenouilles
Chez Rainettes, le bar à grenouilles, on pourra déguster les cuisses de grenouilles « à la française », sous forme de plat ou d’apéritif à partager, dans une ambiance conviviale au coeur du Marais à Paris.
Murs de briques, carreaux de ciment, plancher, tables en bois massif, suspensions en cuivre…, l’environnement chaleureux de « Rainettes » se décline sur deux espaces, entre le rez-de-chaussée et le sous-sol, pour que chacun puisse, selon son humeur et ses envies, déguster la grenouille dans tous ses états :
elles seront provençales (sur leur lit de purée d’ail et de persil), normandes (pommes, calvados, crème fraîche), sichuanaises (coriandre, gingembre, oignon, ail, piment, sauce soja, miel), alsaciennes (Riesling, échalotes, persil) ou encore ibériques (chorizo piquant, citrons confits, basilic, poivrons rouges).
« Rainettes » propose un plat complet et copieux avec accompagnement (différentes variétés de riz ou légumes selon les saisons) à 25€. Un bon rapport qualité/prix ! Et si l’on hésite, de la catégorie à laquelle j’appartiens, perdue face à un choix trop large, il suffit de commander un triptyque de grenouilles à partager pour 35€.
Enfin, pour ceux qui accompagnent le gourmand adepte de batracien mais qui préfèrent se régaler autrement, il y aura le choix : des planches de foie gras, de charcuterie ou de fromage et au restaurant : un plat végétarien, de viande ou de poisson (17€)
www.rainettes.com
5 rue Caron, 75004 PARIS Tel 09 86 59 63 85
Métro : Saint-Paul (Ligne 1)
Alors, vous êtes plutôt bistrot historique revisité rive gauche ou nouveau lieu branché rive droite ?
Voilà une adresse à noter pour vos prochaines ballades du côté des Champs Elysées. Parce qu’il faut bien le dire, un tel rapport qualité prix dans ce quartier, vous n’en trouverez pas aisément.
Le W se trouve donc au rez de chaussée de l’hôtel Warwick Paris.
Il faut savoir qu’il se trouve là pour passer la porte, traverser le lobby, et finalement s’installer à une des tables qui entourent la cuisine ouverte permettant ainsi d’admirer le chef en action
Comment on s’y sent
Une atmosphère chaleureuse et discrète, un accueil parfait, et le chef en ligne de mire pour avoir un oeil sur ce qui se passe en cuisine !
Restaurant Le W – cuisine ouverte
On peut même déjeuner au comptoir, et découvrir les secrets des recettes !
Ce qu’on y mange
Le menu s’adapte aux saisons. Il présente la particularité d’être plutôt accessible pour des plats de cette qualité, caractéristique tout particulièrement appréciable dans ce quartier où l’on oscille entre étoilés et attrape touristes !
Tout est fait maison, et démonstration en est faite tout au long du repas dans les cuisines ouvertes précédemment évoquées.
Le W – velouté de potimaron cromexquis
Les plats sont élégamment présentés, et particulièrement savoureux.
Et les desserts sont sournoisement pensés pour prendre au piège tous les gourmands, même ceux qui affirment qu’ils résisteront.
Parce qu’il n’est pas possible de résister devant un plateau chargé de gourmandises !
Pourquoi je reviendrai
Tout d’abord bien sur, pour gouter les autres desserts. Et puis ensuite, parce que je me suis laissée dire que le brunch était extraordinaire, et ça, je dois le tester !
Un buffet salé, un buffet sucré ( avec ile flottante, et ça, c’est un vrai plus, en ce qui me concerne en tous cas !), des oeufs aux choix, ainsi qu’un plat. De quoi rassasier les plus gourmands !
Le Nolinski a ouvert ses portes cet été, premier hôtel 5 étoiles sur l’aventure de l’Opéra.
Le Nolinski pense à ses clients, touristes du monde entier, mais il pense aussi aux parisiens, et ça c’est une bonne nouvelle !
Brasserie Réjane Paris
Voilà pourquoi la brasserie Réjane accueille clients de l’hôtel bien sur, mais aussi tous les parisiens en quête d’une adresse gourmande et élégante avenue de l’Opéra.
Comment s’y sent-on ?
Une brasserie traditionnelle, l’incontournable bar.
Et puis de la lumière qui traverse la verrière pour éclairer ce salon où cohabitent fleurs tropicales et mobilier design.
Brasserie Réjane
Ce qu’on y mange
Des plats de brasserie, de ceux qui réconfortent, de ceux dont on aime se dire qu’ils rappellent ceux de nos gradns mères, même si ce n’est pas forcément le cas.
Brasserie Réjane – saumon fumé bio
Du saumon fumé, bio, et fun sur place. Ou de la terrine maison.
Et c’est avec les plats que le bonheur s’installe.
Parce que ce boeuf bourguignon, il est de ceux que l’on oublie pas. Une viande d’une tendresse absolue, qui fond dans la bouche, et donc chaque bouchée appelle la suivante.
Enfin, les desserts. bien sur, il y a l’Opéra, localisation oblige !
L’opéra
Mais c’est le Paris Brest qui remporte tous les suffrages des gourmandes et gourmands.
En même temps, quand on sait que le pâtissier n’est autre que le chef pâtissier Meilleur Ouvrier de France Yann Brys, on comprend mieux qu’ici, un délice de pâtisserie nous attendra toujours !
Pourquoi j’y reviendrai
Pour le boeuf bourguignon, qui fond dans la bouche. Et ce même si je ne mange presque plus de viande.
Le truc en plus
Evidemment, on peut aller manger au restaurant, mais parfois, se régaler en restant chez soi mais sans cuisiner est bien tentant.
Et bien la brasserie Réjane prévoir d’ouvrir dès le début de l’année prochaine un espace de vente à emporter : l’épicerie Rej. Autant dire que je serai la première à le tester !
Et en attendant, la brasserie Réjane vous propose déjà des mets de fin d’année, en vente à emporter du 5 décembre au 8 janvier 2017 : marbré de foie gras de canard au vieux porto, pâté en croûte, cannette foie gras et fruits secs, …
Vous savez tout !
Brasserie Réjane 16 Avenue de l’Opéra, 75001 Paris tel : 01 42 86 10 10
Mieux vaut tard que jamais, j’ai enfin découvert Les Pinces.
Tout à fait par hasard, lors d’une promenade dominicale qui nous a guidés vers le Marais.
Il nous a suffi de sortir d’une rue trop fréquentée que les autres, et nous voilà devant ce restaurant dont j’avais tellement entendu parler.
Comment on s’y sent ?
Je ne vous cacherai pas que le point fort du lieu n’est pas le confort et la décoration.
Plutôt brute, plutôt industrielle, ne venez pas chercher ici un cadre douillet et chaleureux qui vous donnera envie de vous attarder.
Qu’est ce qu’on y mange ?
Question simple, réponse quasi binaire !
Ici, le homard est roi. En version XXL, le bavoir en prime.
Ou, pour les moins courageux, ceux qui préfèrent la solution de facilité : le lobster roll.
Il y a aussi une côte de boeuf XXL pour les carnivores, mais nous ne l’avons pas testée.
Et les desserts ne sont pas en reste. En provenance directe de Rachel’s, le cheese cake est à tomber, et le crumble ne peut laisser personne indifférent.
Pourquoi j’y retournerai
Sans hésitation, pour goûter le lobster roll cette fois, et le crumble !
La rue des Martyrs est connue pour ses enseignes gourmandes. Tous les noms grands noms parisiens associés à l’univers alimentaire se retrouvent là.
Dans le désordre et en vrac : Popelini, Marlette, Les Grands d’Espagne et leur pata negra, Sebastien Gaudard et ses pâtisseries à tomber, maison Landemaine, Le Pain quotidien, et j’en oublie, ils sont tous là.
Rose Bakery fait partie depuis ses débuts des noms emblématiques de la rue, même si son enseigne a toujours été aussi discrète qu’elle l’est aujourd’hui. Mais l’endroit était exigu, vitrine de présentation, file d’attente et convives attablés cohabitaient dans une promiscuité peu adaptée à un repas plaisant.
Tout ceci n’est plus qu’un mauvais souvenir. Désormais, plutôt qu’une seule adresse il y en a trois !
La première, Rose Bakery Takeout, permet d’acheter pour emporter. Quiches, salades et pâtisseries sont là, disponibles, frais du jour.
Le restaurant, lui, respire désormais, tables confortablement espacées, lieu lumineux et plaisant, avec une jolie cuisine ouverte. C’est le Rose Bakery nouvelle génération.
Et tout cela est possible en partie grâce à la troisième adresse : Rose Bakery shop.
Parce que c’est de là que viennent tous les produits utilisés pour la cuisine dans les deux espaces précédemment cités.
Et c’est là aussi que vous pourrez acheter ces produits bruts, majoritairement bios, et tous de qualité, pour les utiliser dans vos proposer recettes, chez vous.
Et pour compléter encore la palette des saveurs, le restaurant Belle Maison vient également d’ouvrir ses portes, rue de Navarin, juste en face de l’épicerie évoquée ci dessus !
Là, c’et une ambiance maritime et conviviale qui vous attend. Et en regardant bien, vous verrez rapidement quel est le point commun de ces 4 adresses, au delà d’une assiette gourmande et alléchante….
C’est Emilie Bonaventure. La décoratrice d’intérieur. Sa signature est là : matériaux bruts , naturels, lignes simples, luminosité dans chacun des espaces.
Alors il ne nous reste plus qu’à retourner rue des Martyrs, pour nous régaler encore et encore !
Rose Bakery 46 rue des Martyrs 75009 Paris
Rose Bakery takeout 46 bis rue des Martyrs 75009 Paris