Pierre Marcolini à l’Atrium du Printemps

L’atrium du Printemps Haussmann

Vous voyez de quoi je parle ?  Il s’agit de cet espace au pied des escalators centraux du grand magasin.

Atrium du Printemps haussmann
Atrium du Printemps haussmann

L’atrium du Printemps, c’est cet endroit que l’on voit où que l’on aille dans le magasin. Il accueille des créateurs, des designers, des grands noms, de la gourmandise par exemple.

Pierre Marcolini - atrium du Printemps
Pierre Marcolini – atrium du Printemps

Pierre Marcolini et la (haute) chocolaterie

Pierre Marcolini est indéniablement le pape de la tendance « from bean to bar« . Je m’explique : Pierre Marcolini sélectionne ses fèves, il connait ses producteurs, et a la maitrise de son chocolat de A à Z.

On comprend mieux la variété de ses tablettes, chacune ayant les particularités d’un grand cru, exactement à l’image du monde des experts en oenologie.

Le chocolat est son univers, son monde, et il en parle avec passion et délice !

Alors quand son univers s’installe au Printemps, un des grands magasins emblématiques de la ville, on ne peut que se réjouir !

Pierre Marcolini à l’atrium du Printemps

C’est donc un bar à chocolat qui vous attend pendant les 6 mois à venir. Bar, parce que vous pourrez y déguster une variété de boissons, avec le chocolat comme ingrédient phare.

Marcolini

 

Un choix parfait pour les saisons en cours et celles à venir ! Chocolat chaud ou glacé, infusion chaude, ou glacée !

Et le chocolat, ou le cacao plus précisément, est l’ingrédient clé.

Alors, que vous ayez des envies d’achat compulsif en périodes de soldes, ou simplement de faire un tour du côté des grands magasins, vous pensez à Pierre Marcolini j’en suis sure.

D’autant que pour les gourmandes, les délices de la Saint Valentin sont déjà en place, sans parler des créations délicieusement kawaï !

Alors, pour une urgence chocolat, vous saurez désormais où aller !

Atrium du Printemps Haussmann 64 Boulevard Haussmann, 75009 Paris

Lothantique – éditeur de parfums

Lothantique – une marque qui porte bien son nom

Lothantique est spécialisée en parfum, savon, bougies parfumées.

La société qui existe depuis les années 20 mise en valeur d’un savoir-faire authentique avec les technologies d’aujourd’hui.

Lothentique Paris
Lothantique Paris

Lothantique – un peu d’histoire

Dans cette société de trente salariés, on respecte le savoir-faire, le savoir-vivre et l’environnement. C’est pour cette raison que les produits sont formulés avec soin, dans un souci d’efficacité, de sécurité, et de plaisir. Emballages en matières recyclables, chasse au gaspillage, respect de la nature et des animaux, nous sommes ici dans un univers où l’humain a toute sa place et tant mieux !

Et puis  2015 est l’année des changements puisque Lothentique signe deux licences avec les héritiers de Marcel Pagnol et avec Les parfums Miller et Bertaux donnant ainsi naissance à deux nouvelles collections.

La gamme de produits

Tous les produits sont fabriqués en France, A Grasse pour les parfums et Peyruis pour les bougies et bâtons parfumés.

Ce qui distingue cette marque et ses produits, c’est d’abord la qualité des ingrédients utilisés, 100% naturels.

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Les parfums donnent des envies de sud comme par exemple ces nouveautés telles que l’huile sèche, dont les effluves ont des parfums d’embruns et le flacon est orné d’un cordon agrémenté d’un coquillage pense pour que vous puissiez immédiatement en faire un bracelet !

Lothantique – la boutique

Elle se trouve rue Ferdinand Duval dans le Marais, et a, elle aussi, des parfums de sud.

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Des éponges sont accrochées sur un portant échelle la dans la rue, identiques à ces boutiques que l’on trouve dans les rue d’Aix en Provence ou se trouve une des autres boutiques de la marque.

Ces éponges se trouvent également dans la boutique, dans une grande variété de tailles et de couleurs.

A l’intérieur aussi, cabas en osier et serviettes en nid d’abeille inspirent vacances et cigales.

Une très grande variété de produits, aux superbes flacons qui donnent envie de tout acheter !

Et puis il y a la dernière bonne surprise : les prix ! Comme par exemple les éponges, avec la grande serviette – 1m50 x90 –  à 26 euros ou encore la serviette invité à 5euros et le tout en 100%coton, 100% made in France

Alors, direction la boutique Lothantique rue Ferdinand Duval

Lothantique 17 Rue Ferdinand Duval, 75004 Paris

Paris Cocktail Week – 3ème édition

Paris Cocktail Week

C’est le 21 janvier que sera lancée cette 3ème édition de la Paris Cocktail Week

Je vais vous livrer ici toutes les informations que je peux vous communiquer pour faciliter la découverte des cocktails à Paris, aussi bien pour les novices que pour les plus aguerris !

C’est parti !

Paris Cocktail Week en chiffres

50 lieux, bars et restaurants, participent à cet évènement. Le tout dans 10 quartiers différents, couvrant ainsi toute la capitale. Parce que traverser la ville à chaque fois que l’on a envie de prendre un verre, ce n’est pas toujours tentant !

Paris Cocktail Week - la carte des lieux
Paris Cocktail Week – la carte des lieux

Alors bien sur, on note une concentration très marquées dans les quartiers les plus branchés de ces dernières années,  le Haut Marais étant très très largement représenté !

De nombreuses adresses, mais aussi de très nombreux évènements. Cours de cocktails, masterclass, combats de chefs : tout y sera !

25 évènements dédiés organisés pour l’occasion dans des lieux emblématiques tels que Colette, la maison Plisson, la Candelaria, un des premiers speakeasys de la ville, et j’en passe.

D’ailleurs, pour voir la liste complète des animations, c’est par ici : http://pariscocktailweek.fr/events

Paris Cocktail week – ça se passe où ?

De multiples lieux, dans tous les quartiers parisiens, je l’ai déjà dit.

Et plus précisément ? Ils sont tous de la partie ! Les speakeasy, comme Little Red Door par exemple.

little red door
little red door

Les adresses déjà historiques qui ont installé la tendance cocktails à Paris, j’ai nommé l’Expérimental Cocktail club ou encore le Andy Wahloo.

Les hôtels et palaces parisiens sont également largement représentés. Une occasion de pénétrer dans cet univers feutré et qui peut parfois sembler un peu inaccessible.

Le Meurice est de la partie par exemple dans la catégorie Palace et il proposera un cocktail intitulé Rivoli’s dream, cognac Hennessy, jus de cranberry et crème de mûre. Elegant et parfaitement en phase avec les fauteuils profonds en cuirs dans lesquels vous vous installerez pour le savourer.

Ou encore le grand hôtel du Palais Royal avec son Pepper Star 182 aux ingrédients pile dans la tendance !

Paris cocktail week - Grand hôtel du Palais Royal
Paris cocktail week – Grand hôtel du Palais Royal

Les tendances cocktails

Les cocktails, on en parle, on en parle, mais quelles sont les tendances du moment pour ces boissons qui, il n’y a pas si longtemps, rimaient avec New York plutôt qu’avec ancien continent ?

Premier élément, que l’on retrouve dans les tendances food de façon générale : moins de sucre. Les cocktails auront donc des saveurs fumées, ou encore poivrées, mais nettement moins sucrées. Et quand saveur sucrée il y aura, ce sera plutôt à base de sirop d’agave que de sucre raffiné.

Le poivré, mais aussi le bitter avec le grand retour du gin et surtout l’explosion du Spritz.

Et puis il y a l’omni présence du concombre ! Cette tendance plutôt estivale mais qui est devenue un incontournable du mojito branché.

Maintenant, si vous demandez mon avis, je vous le donne avec plaisir : je déteste !

Paris Cocktail week du 21 au 28 janvier

Téléchargez votre pass gratuitement sur www.pariscocktailweek.fr

Paris Breizh – crêperie

Paris Breizh – crêperie

Oui, on peut trouver une bonne crêperie ailleurs que du côté de Montparnasse !

Crêperie Paris Breizh
Crêperie Paris Breizh

Et la preuve se trouve dans le XIIIème arrondissement, à quelques pas de la Place d’Italie.

Parce que parfois on a de bonnes surprises quand on ne s’y attend pas, par hasard, au détour d’un weekend.

Paris Breizh – comment s’y sent-on ?

L’équipe est jeune et accueillante. Et la décoration bien loin des boiseries des crêperies traditionnelles. Ici, du mobilier design, une salle lumineuse.

Inattendu pour une crêperie, et très agréable pourtant.

Ce qu’on y mange

J’ai déjà spoilé si je ne m’abuse, mais je vais vous le redire : il s’agit donc de crêpes !

Attention, pour ceux qui ont envie d’une crêpes en dessert mais de quelquechose de différent en plat, Paris Breizh propose aussi un grand choix de salades.

Dans la catégorie galettes, il y a bien sur les traditionnelles, complètes déclinées avec différents fromages, une variété de viandes. Et puis il y a les spécialités, recettes signatures.

Crêpe Paris Breizh
Crêpe Issé –  Paris Breizh

Pour le sucré, j’ai du mal à sortir des choix traditionnels, et la crêpe crème de marron n’est pas très photogénique.

Mais la pâte est très bonne, moelleuse et le tout est très réussi !

Pourquoi j’y reviendrai

Parce qu’une adresse simple, de qualité, aux tarifs raisonnables, c’est toujours bon à avoir en magasin, en particulier quand il s’agit d’une adresse à quelques centaines de mètres de chez moi.

Alors, quand vous serez dans le XIIIème, sachez que la variété de l’offre de  restauration est encore plus large que ce que l’on imagine ! Ca ouvre des possibilités !

Paris Breizh 166 boulevard Vincent Auriol 75013 PARIS

 

Avis de grand froid à Paris : pensez au poncho !

Grand froid à Paris

Il faut le savoir, il peut faire froid, très froid à Paris. Et avec le dérèglement climatique, on ne sait pas ce qui nous attend.

Alors, pour être parée en toute circonstance, y compris pour passer du froid extérieur à la chaleur de nos intérieurs sans souffrance, j’ai la solution : le poncho en cachemire !

Léger mais chaud, douillet à souhait, il sera votre meilleur ami dès lundi !

Alors vous vous demandez : mais où vais-je acheter mon poncho à Paris ? J’ai la réponse !

Poncho Rue du Cachemire
Poncho Rue du Cachemire

Poncho rue du Cachemire

Commençons par le dernier en date, mon chouchou, mon favori, celui qui ne me quitte jamais. Chez Rue du Cachemire vous pourrez choisir la longueur, l’épaisseur, la couleur, et pour fini, apporter votre touche de personnalisation avec un galon, de dentelle, de velours, ou de ce que vous voulez !

J’ai opté pour un galon de dentelle noire mais les possibilités sont infinies… Enfin très nombreuses !

Alors, pour lutter contre le froid à Paris, et ailleurs d’ailleurs, rue du Cachemire est là, que vous soyez parisiens ou pas !

Poncho Gallery

Rendez-vous rue de la Sourdière, à quelques pas de Palais Royal. Cette rue vous réservera plus d’une surprise, des boutiques de produits made in France, en matériaux nobles, tels que le cuir, ou le cachemire justement.

Poncho Gallery porte bien son nom. Le poncho est au coeur des créations proposées. Et la cape aussi. Et au fil des années, ils se sont enrichis de cols, poches, devenant l’indispensable hivernal sporty chic.

Poncho Gallery
Poncho Gallery

Ici le poncho revêt de multiples formes, et révèle toutes ses facettes !

Kujten – dernier né des cachemire stores parisiens

Chez Kujten, le cachemire vit une explosion de couleurs et de formes.

Et le poncho n’est pas en reste. Kujten dispose de boutiques dans tout Paris, ma préférée étant celle de la rue des Francs Bourgeois.

Les ponchos et les capes se font plus douillets en 4 fils pour les hivers glacials, ou plus légers en s’adaptant ainsi aux saisons intermédiaires.

Le classique des ponchos – Eric Bompard

Parce que sa renommée n’est plus à faire, je finirai par Eric Bombard. Classique des classiques, le poncho en cachemire 2 fils se décline en plus de 10 couleurs, pour s’accorder à toutes vos tenues.

Je concluerai très simplement par un seul mot : SOLDES !!!

Dans toutes ces boutiques, c’est le moment de se faire plaisir, et de se préparer à affronter les frimas en toute élégance !

Rue du cachemire 20 Rue Montmartre, 75001 Paris (show room )

Poncho Gallery 11 Rue de la Sourdière, 75001 Paris

Kujten 20 rue des Francs Bourgeois 75003 PARIS

Eric Bompard 31 rue du Bac 75007 PARIS

 

Fondation Louis Vuitton – la collection Chtchoukine

Fondation Louis Vuitton – la collection Chtchoukine

J’ai découvert la fondation Louis Vuitton lors de son ouverture, et c’est avant tout par l’architecture de Frank Gehry que j’ai été impressionnée.

Fondation Louis Vuitton
Fondation Louis Vuitton

Et puis il faut le dire, la Fondation est loin, très loin, pour ce qui me concerne en tous cas. Et je n’y étais pas retournée.

Jusqu’à aujourd’hui. Pour découvrir la collection Chtchoukine.

Mais commençons par le commencement : le bâtiment lui même.

Fondation Louis Vuitton – une architecture unique

Ce lieu, ouvert au public depuis octobre 2014, est donc une oeuvre de l’architecte américain Frank Gehry. Verre et structures aériennes, ce vaisseau tout en lignes et courbes s’est amarré au coeur du bois de Boulogne, pouvant ainsi être vu de loin et sous tous les angles.

Fondation Louis Vuitton
Fondation Louis Vuitton

L’extérieur est spectaculaire, tout particulièrement actuellement avec le travail in situ de Daniel Buren qui l’a habillé de couleurs.

La fondation Louis Vuitton a pour volonté « d’offrir à Paris un lieu d’exception pour l’art et la culture » (Bernard Arnault)

Et aujourd’hui, elle accueille, jusqu’au 20 février 2017, une exposition exceptionnelle.

La collection Chtchoukine – icônes de l’art moderne

Sergueï Chtchoukine est un grand collectionneur russe. Sa collection, particulièrement remarquable, constitue un véritable panorama de l’art et de l’histoire de la peinture, à cette époque où il fit le choix d’acquérir les oeuvres de ceux qui étaient rejetés par les grandes institutions artistiques du moment.

Ainsi, sa collection contient un grand nombre d’oeuvres impressionnistes, cubistes, fauves, mais aussi naïfs ou réalistes.

Certains artistes sont tout particulièrement présents, tels que Cézanne ou encore Matisse, sans oublier Monet et les 13 oeuvres dont il fit l’acquisition, et dont 8 sont présentées dans cette exposition.

L’exposition est organisée en 14 salles. Certaines sont reconstituées à l’image de leur lieu d’exposition dans le palais Troubetskoï du collectionneur. Les autres sont orchestrées par thématiques, avec la prédominance d’un ou plusieurs artistes.

La toute première salle nous parle du collectionneur et de ses artistes.

Des portraits de Chtchoukine, et des peintres qui l’ont marqué.

Puis, après la salle de « la première collection », présentant des oeuvres d’artistes qui n’ont pas forcément marqué l’histoire, on arrive dans la première salle spectaculaire, qui présage de celles à venir.

La salle 4 :  « paysages impressions » . Celle qui permet de découvrir les Monet, artiste dont il fut extrêmement proche.

Attention, éblouis par les Monet, vous pourriez passer à côté des Pissaro : ne faites pas ça, d’autant que ces oeuvres représentent Paris !

Puis vient Cézanne, la puissance de ses oeuvres, dans la salle 5.

Collection chtchoukine - Cézanne
Collection Chtchoukine – Cézanne

Faisons d’ailleurs un petit comparatif : Cézanne versus Derain, pour le même sujet…

Cézanne ou Derain ?
Cézanne ou Derain ?

Alors, votre choix ? Le mien est fait, sans hésitation !

Après les paysages, la salle 6 : la grande iconostase. Là, c’est Gauguin avec 11 des 16 toiles du collectionneur.

La salle 7 est dédiée aux portraits. De vrais bijoux, dont ce Renoir extraordinaire – opinion personnelle bien sur.

Elle contient également l’unique Degas de cette exposition. Un Degas quasi dérangeant, avec cette pose figée, presque douloureuse, si différente de ses autres oeuvres dans cet univers de la danse qui l’a tant inspiré.

La 8ème salle est également spectaculaire. Matisse, central dans la collection Chtchoukine, et dans le palais Troubetskoï, explose ici. Explosion de lumières et de couleurs.

L’idée n’est pas ici de vous livrer l’intégralité de l’exposition, et je m’arrêterai là en ce qui concerne les oeuvres exposées, qui sont, comme vous l’aurez déjà compris, extrêmement nombreuses, spectaculaires, du pinceau des plus grands artistes de la fin du XIXème siècle / début du XXème.

Et je concluerai donc sur les aspects plus techniques de l’exposition, accrochage, circulation, et audioguide, ou plus précisément l’app à télécharger pour accompagner la visite.

Découvrir l’exposition

L’exposition « Icônes de l’art moderne – la collection Chtchtoukine  » s’organise donc en 14 salles et sur tous les étages de la Fondation. Vous l’aurez compris, elle est très longue, très riche, et il faut prévoir deux heures pour passer par toutes les salles et voir toutes les oeuvres.

La circulation est fluide, et permet de faire une incartade vers les terrasses pour admirer la vue unique, particulièrement quand le soleil est de la partie !

Chaque angle de vue est unique.

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Et tout est super photogénique !

Pour découvrir l’exposition, plutôt qu’un audio guide c’est une app à télécharger qui est proposée.

Pourquoi pas. Même pour ceux qui ont des difficultés à trouver l’app ou à la télécharger, on peut demander de l’aide aux helpers présents dans chaque salle.

Le contenu lui est plus discutable. Je m’explique. Pour chaque salle, une vidéo d’introduction. Puis, pour chaque salle, un, deux, peut-être trois tableaux grand maximum dispose d’une bande son explicative.

Sauf que.

La voix principale est celle d’Anne Baldassari, la commissaire générale de l’exposition. Gageons qu’elle a une très haute estime d’elle même. Je n’ai jamais entendu une telle concentration du pronom « je » dans un discours explicatif.

La découverte commence plutôt bien. Le « on » est le pronom, typiquement français, sélectionné pour décrire le contexte, l’environnement historique, le contenu de la première salle.

Mais très vite, cela se gâte.

« J’ai décidé d’installer les oeuvres de telle et telle manière »

« J’ai choisi d’accrocher ce tableau de cette façon »

« J’ai opté pour ces tableaux et … »

« Bien évidemment, je ne vais pas accrocher sous forme d’iconostase mais ce que J’AI conservé ce sont … » 

Et bien JE propose à cette dame de revoir sa posture.

Peut-être pourrait-elle envisager de s’effacer derrière le collectionneur, ou encore derrière les artistes extraordinaires qui sont présentés.

Et surtout, peut-être pourrait-elle adopter une posture explicative et bienveillante plutôt que ce ton professoral exagérément égocentré.

Je m’emballe bien sur. Mais des souvenirs d’audio guides qui bouleversent la compréhension et subliment les oeuvres me viennent à l’esprit. Rares, alors qu’ils devraient être au coeur de la préparation d’une exposition.

Pour les amateurs éclairés comme pour les novices.

Il n’en demeure pas moins que l’exposition est superbe. Et je vous la recommande sincèrement.

La collection Chtchoukine – jusqu’au 20 février 2017

prolongé jusqu’au 5 mars 2017

Fondation Louis Vuitton 8 Avenue du Mahatma Gandhi, 75116 Paris

 

restaurant KULT Paris devient Les Parisiens

Restaurant KULT Paris

EDIT de mai 2022

ce restaurant a été totalement revisité et porte désormais le nom de :  » Les parisiens »

Une pépite parisienne. KULT est un nouveau restaurant du côté de Saint Germain des Près. Discret, à l’angle de deux rues dont les noms ne vous seront pas forcément familiers alors qu’elles sont situées en plein coeur d’un des quartiers les plus connus de la capitale.

KULT - photo officielle
KULT – photo du site

Lesquelles ? Rue du Pré aux Clercs, et rue de l’Université. Bon, je l’admets, vous connaissez probablement la rue de l’Université qui n’est pas si méconnue que ça !

Restaurant KULT – comment s’y sent-on ?

Un cocon.

De larges fauteuils, des tentures chaleureuses, voilà le décor.

KULT
KULT – photo du site

Et puis il y a l’accueil. Simple et accueillant, particulièrement attentionné. Souriant. On se sent juste bien, avec le sentiment précis que tout ce qui suivra sera à l’image de ces premières impressions.

Confort des sièges, moelleux de la banquette, qui, marié aux charmants coussins qui l’agrémentent, pousse à s’installer là pour de longues, longues heures !

KULT Paris – qu’est-ce qu’on y mange ?

KULT est un néo bistro. Un qualificatif qui annonce la tendance.

De fait, la carte propose des plats traditionnels revus, réinventés, et terriblement tentants.

Chaque plat a été particulièrement apprécié. Fin, savoureux, élégant. En voici donc un échantillon. En commençant par les amuse bouches qui accompagnent parfaitement le Chablis que nous avons sélectionné.

Ces petits sablés au fromage si délicieusement savoureux sont une parfaite entrée en matière pour un diner qui s’annonce aussi délicieux que possible !

Venons en à l’essentiel  donc.

Et commençons par les entrées.

Des Saint Jacques qui se redécouvrent en se sublimant dans une crème de cresson.

KULT - Saint Jacques snackés
KULT – Saint Jacques snackés

Un tartare de veau réinventé avec une touche exotique de grenade et passion !

Tartare
Tartare

Les plats sont dans le même esprit : moi qui pensais qu’un dos de cabillaud ne pouvait pas être joyeux et sexy : preuve du contraire vient d’être faite !

Et pour preuve de la qualité parfaite du service : quand le filet de canette arriva, bien plus cuit que prévu, il est reparti aussi vite en cuisine pour être remplacé par sa version rosée, absolument délicieuse.

Quand on sait que le chef, Julien Lacaille, a été formé par Dominique Bouchet, chef une étoile au guide Michelin, on commence à comprendre. Et on a envie de souhaiter tout le meilleur à ce si jeune chef de 22 ans !

KULT – pourquoi j’y reviendrai

Pour le déjeuner, mais aussi le tea time, ou encore le cocktail du jour.  En effet, le restaurant propose une formule pour le déjeuner. Et puis un cocktail du jour.

KULT cocktail du jour
KULT cocktail du jour

Mais aussi un tea time que l’on peut déguster sans remords : un gâteau et une boisson chaude, finalement, c’est si simplement délicieux et sans excès que cela ne se refuse pas, surtout pour 9€ !

Alors, pensez à réserver !

KULT Paris 3, RUE DU PRE AUX CLERCS 75007 PARIS

Daroco Paris – j’ai enfin testé !

Daroco Paris

Voilà un restaurant qui fait parler depuis son ouverture. Logique quand on sait où il s’est installé. Un lieu hors du commun puisqu’il s’agit de l’ancienne boutique Jean Paul Gautier en plein coeur de la galerie Vivienne.

Daroco
Daroco

Comment on s’y sent ?

Ici, de l’espace et de la lumière. Une cuisine ouverte, des serveurs aux T shirts rayés, clin d’oeil au précédent propriétaire des lieux, et à l’accent chantant, chantant d’Italie. Parce que Daroco est un restaurant italien comme son nom l’indique. Et comme dans les vrais restaurants italiens, le personnel l’est aussi – italien !

Le mobilier est léger, version chaises cannées, ou plus confortable, banquettes en velours et tables en bois, au fond de la salle. Et puis il y a la mezzanine qui surplombe la salle principale, et pour laquelle il faut impérativement réserver sa table.

Daroco – qu’est ce qu’on y mange ?

De la cuisine italienne bien sur. Mais principalement des pizze, et encore des pizza !

La pizza est à l’honneur au menu, et aussi dans l’assiette. Faite minute, la pâte est légère et croustillante, la roquette fraiche et pimpante.

Et puis il y a le test absolu, l’incontournable dessert du restaurant italien : le tiramisu.

Et là, réussite totale. Il est consistant et moelleux, savoureux et en un mot délicieux !

tiramisu Daroco
tiramisu Daroco

Pourquoi je reviendrai ?

Pour goûter les autres pizza, mais aussi pour tester le reste de la carte. Parce que les pizze, je ne sais pas vous, mais personnellement, à la longue, je m’en lasse, et le reste de la carte est prometteur !

Daraco 6 rue Vivienne 75002 Paris tel : 01 42 21 93 71

http://www.daroco.fr

Galette des rois 2017 – Dalloyau bien sur !

Fève Dalloyau – une tradition joaillière

Alors soyons clairs : j’adore les galettes des rois, et en particulier celle que l’on qualifie de « traditionnelle ».

Call me old fashioned !

Mais avec Dalloyau, c’est une longue histoire d’amour… Avec leurs fèves ! Il faut savoir que Dalloyau entretient une tradition de fèves bijoux, et ce depuis aussi longtemps que je me souvienne.

galette des rois 2017 - Dalloyau
galette des rois 2017 – Dalloyau

Alors, quand on sait que leur frangipane est également une des meilleures de Paris, je ne vois soudain plus aucune raison d’acheter ma galette ailleurs. Et cette année plus encore que les années précédentes.

Dalloyau et Swarovski

En effet, cette année, c’est avec le célèbre bijoutier Swarovski que Dalloyau choisit de s’associer pour créer une fève pendentif particulièrement spectaculair

fève Dalloyau
fève Dalloyau

Dalloyau 2017

Crème aux noisettes du Piémont parfumée à la bigarade et à la vanille de Papouasie Nouvelle Guinée puis parsemée de Gianduja chocolat noir, la galette CRISTAL allie douceur et gourmandise. La bigarade est un agrume unique, très délicat, rare, et produit dans le Sud- Ouest par un expert en agrumes : Michel Bachès

Remercions les chefs pâtissiers, sans lesquels rien de tout cela ne serait possible. Ils assurent la conception de la recette, la mise en oeuvre, pour finalement nous offrir ce régal du début d’année !

Merci donc à  Yann Brys, Meilleur Ouvrier de France 2011, Jérémy Del Val, Champion de France du Dessert et Nicolas Boucher, Finaliste Meilleur Ouvrier de France 2015 !

Cette année donc, Dalloyau propose sa galette Cristal « haute couture » pour 6/8 personnes, avec sa fève étincelante de cristaux Swarovski fournie dans son écrin.

Par ailleurs vous pourrez bien sur toujours vous régaler de la recette frangipane traditionnelle dans toutes les tailles souhaitées.

Là, la fève aura la même forme, scintillera grâce au travail de martelé du métal, mais ne sera pas ornée de cristaux.

Galette Cristal 6/8 personnes : 45€ disponible dès le 1er janvier 2017

Dalloyau 2 Place Edmond Rostand, 75006 Paris

Paris vu par Aurélie

Paris vu par Aurélie – le blog de Lili

Elle, c’est Aurélie.

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Son blog, c’est le Blog de Lili. Vous y trouverez des restaurants, des hôtels testés à Paris, des voyages dans le monde, et des brunchs, beaucoup de brunchs !

Etape 1

On commence par Ton Paris Gourmand , le salé, et le sucré.
Quelles sont tes deux adresse fétiches du moment : un restaurant, et un salon de thé, ou une pâtisserie.
Je me rends compte que j’ai testé des centaines d’adresses parisiennes !
Le choix est difficile mais je dirais, parmi les adresses qui ont marqué cette année 2016.
Paris vu par Aurélie - restaurant Else
Paris vu par Aurélie – restaurant Else
– Côté salé : Else, un restaurant proche des Halles dont la cuisine créative est au croisement de la gastronomie française et du Proche-Orient.
Paris vu par Aurélie - Hotel Bristol Paris Tea Time
Paris vu par Aurélie – Hotel Bristol Paris Tea Time
– Côté sucré : je n’y ai pas d’habitude mais j’ai passé pour la première fois les portes du palace le Bristol pour l’heure du thé. La harpe, la terrasse, les salles traversées, la finesse des pâtisseries, la vaisselle… Tout était magnifique !
Déjeunant régulièrement au restaurant ou à l’extérieur, j’essaie de ne pas abuser des pâtisseries (coucou ma balance).

Etape 2

Paris culturel, Paris ville des musées, de l’art, de l’architecture. Alors pour toi, ton Paris culturel se trouve où ? Dans un musée fétiche, un quartier chargé d’histoire, un lieu mythique de l’art à Paris, un endroit où un film culte a été tourné ?
Mon Paris culturel est partout !
Pour ce qui est de l’architecture, je suis toujours éblouie par les immeubles haussmanniens. Chaque matin, quand je sors du métro et que j’aperçois un coin d’immeuble derrière les feuilles des arbres, je me dis « c’est beau ! ».
Je vois moins d’expos qu’à une époque (le fameux temps qui me manque) mais j’adore contempler des tableaux d’impressionnistes ou des œuvres fauves.
Les musées du Luxembourg et Marmottan montent souvent des expos en accord avec ce que j’aime admirer.

Etape 3

Ne nous le cachons pas, à Paris, le shopping est roi !
Alors dis nous tout : ton magasin favori, la rue que tu préfères pour une virée shopping, tes adresses déco, modes, accessoires, on veut tout savoir !
J’aime beaucoup le Grand comptoir, 116 rue du Bac (Paris 7e). On peut y trouver à coup sûr un cadeau déco et/ou cuisine et beaucoup de choses sont accessibles.
Je dois avouer que j’achète peu de vêtements à Paris même car je rends régulièrement visite à ma famille qui habite encore majoritairement dans une ville très connue pour ses magasins d’usine ! Pour couronner le tout, je suis cette année ambassadrice d’un centre commercial situé dans les Yvelines. Cela ne me laisse guère le temps d’aller beaucoup plus dans les magasins parisiens.

Etape 4

Paris est une capitale, grande et belle, faite de petits villages. Chacun a son âme, des habitants qui ne le quitteraient pour rien au monde. Ils y ont leurs habitudes, et même s’ils s’aventurent parfois dans d’autres lieux de la ville, c’est là qu’ils se sentent un peu plus chez eux.
Quel est ton village ? Celui où tu vis, celui où tu aimerais vivre, ou même celui que tu as quitté et auquel tu penses encore ?
« Mon village » est probablement le 12e arrondissement, dans le quartier de Bercy. Je n’y vais plus depuis mon déménagement « à l’autre bout » de Paris et parce que j’ai un mauvais souvenir à digérer mais je me suis longtemps imaginée habiter cet arrondissement et ai vécu tout autour.
Quand je venais à Paris adolescente, c’est par là que nous arrivions en voiture. C’est aussi au POPB, renommé depuis, que nous allions voir du tennis chaque automne. C’est à l’UGC de Bercy village que je suis allée au cinéma pendant des années. C’est là-bas également que je faisais un tour de magasins en sortant.
Et j’ai laissé une super prof de danse dans le quartier de Bel-Air. Je vis en proche banlieue, travaille à Paris et ai des repères dans pas mal de quartiers mais il n’y en a plus un qui se détache autant que ce coin de Paris que j’ai quitté et que j’ai beaucoup arpenté.

Etape 5

Et pour finir, parce que ce qui compte, avant tout, ce sont les émotions, pourrais-tu partager avec nous un moment d’émotion lié à PARIS ? Cela peut-être une rencontre, un paysage bouleversé, une rencontre, des rencontres, un événement vécu là, et qui restera gravé dans ta mémoire.
C’est mon admiration pour notre belle capitale dès que je l’ai découverte qui me vient à l’esprit !
Je suis venue pour les premières fois à Paris vers mes 7-8 ans, une fois avec l’école (nous avions fait du bateau mouche !) et une autre avec mes parents et ma sœur.
J’avais rapporté en souvenir une carte postale de la Tour Eiffel « by night » que j’ai longtemps regardée en rêvant. C’était sûr : vivre à Paris devait être fabuleux !
Paris a accompagné tous mes rêves d’adolescente et je suis venue y vivre, après un détour par la Lorraine pour le début de mes études, à 20 ans. Le rêve continue !
Un grand merci à Aurélie d’avoir accepté de jouer au jeu des questions réponses sur Paris, notre passion commune !
Restaurant Else Paris 49 Rue Berger, 75001 Paris
Le Bristol Paris 112 Rue du Faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris
le Grand comptoir, 116 rue du Bac (Paris 7e)