Paris 13 – ennui total ou hype absolu ?

Quartier hype : définition

Il y a quelques semaines, Topito sortait sa carte de Paris « version honnête » . Ils y attribuaient aux 12ème et 13ème arrondissements le qualificatif de « ennui total  » ! Lors de la publication de cette carte je m’insurgeais bien sur, étant moi même habitante du 13ème depuis si longtemps.

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Et aujourd’hui, je viens faire la démonstration de la tendance, celle qui me donne raison et inscrit le 13ème,dans la tendance de l’été, et de l’avenir aussi !

Back to basics.

Mais qu’est-ce donc qu’un quartier hype ? Ou encore branché ? Je dirais même trendy ?

Est ce un repère de hipsters ? Un quartier à haute concentration de juice bars ? Un arrondissement qui abrite un barbier vintage à chaque coin de rue ? Dans lequel chaque nouveau restaurant à forcément une petite touche de déco scandinave ?

Il y faut bien sur au moins un restaurant où l’on doit faire la queue dans la rue pendant une heure minimum avant d’espérer parler à l’hôtesse.

Et puis, il y a la moyenne d’âge. Plus de 35 ans s’abstenir !

Des bars, mais pas n’importe lesquels. Perchés, dissimulés, pas forcément confortables mais où les mixologues ont une partie du corps visible couvert de tatouages. Idem d’ailleurs pour les baristas !

Voilà, quelques indices. Mais surtout, il s’agit de ce type de quartier pour lequel on est prêt à traverser Paris. Ce lieu si riche, qui a tant à offrir, qu’on y passerait volontiers quelques heures, encore et encore.

Alors revenons en au XIIIème pour découvrir ce qu’il nous propose. Parce que, contrairement à ce que certains pourraient croire, on ne s’ennuie pas dans le XIIIème ! Et nous allons découvrir ensemble que ce quartier est en passe de devenir hype, et plus encore.

Paris 13 – le charme de ses villages

Ennui total dans le 13ème ? Oui, pour ceux qui ne savent pas apprécier les promenades bucoliques en peine ville.

Le XIIIème fait partie de ces arrondissement périphériques de Paris qui ont été intégrés à la capitale il y a à peine 150 ans. Il en garde ce parfum de village, et il est courant de croiser des visiteurs qui s’aventurent dans ses petites rues charmantes armés du dernier guide livrant les quartiers secrets de Paris.

La Bute aux Cailles bien sur, connue pour ses ruelles pavées mais aussi pour ses bars et ses restaurants.

Citée florale, aux rues qui portent chacune le nom d’une fleur, rue Dieulafoy et ses maisons colorées, l’arrondissement permet une promenade bucolique au coeur de la ville.

Le square des Peupliers

La rue Dieulafoy et ses charmantes petites maisons multicolores.

Et tant d’autres encore à découvrir au fil des déambulations.

Ennui total dans le 13ème ? Oui, pour ceux qui n’aiment pas la découverte ni le voyage sans quitter la ville !

Paris 13 – l’exotisme au coin de la rue

Quand on parle du XIIIème arrondissement, il est fréquent d’entendre  » ah oui, le quartier chinois ! ». Bien sur, il s’agit là d’un raccourci pour un arrondissement si riche et aux facettes si multiples.

Néanmoins, la communauté asiatique y est effectivement très présente, et avec elle toute l’offre exotique qui permet de voyager sans sortir du périphérique.

On peur s’équiper en vaisselle et autres mugs pour un effet « ailleurs  » garanti.

Et on peut bien sur aussi se régaler, il n’y a que l’embarras du choix.

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Ennui total dans le 13ème ? Oui, pour ceux qui ne s’intéressent pas à l’art, et au street art tout particulièrement.

Paris 13 – le street art everywhere

Le XIIIème arrondissement est devenu depuis quelques années le quartier incontesté du street art à Paris. Des fresques géantes visibles du métro aérien, comme cette superbe oeuvre de INTI, ici en cours de création.

Une tour, la tour 13, qui avait tant fait parler d’elle avant de disparaitre, cet art est tellement présent qu’il existe désormais des balades guidées à sa découverte.

Sans oublier Les Frigos, qui n’ouvrent leurs portes au grand public que quelques fois par an, pour permettre de partir à la découverte de ce lieu pour le moins insolite.

J’ai listé jusqu’ici ce qui fait le charme de cet arrondissement.

Mais au delà du charme, il est désormais vivant, animé, et je m’oserai même à dire branché !

Paris 13 – bars branchés et autres péniches

Ennui total dans le 13ème ? Oui, pour ceux qui ne se sont pas rendus compte que désormais, les bars branchés sont ici !

On commence par le Perchoir. Même si celui ci n’est pas encore perché. Je m’explique.

Le célèbre perchoir a pris ses quartiers au MK2 Bibliothèque. Entendez bien : pour le moment, il est en mode « posé » plutôt que « perché ». Après enquête, il s’avère que la raison en est technique et que l’an prochain il devrait pouvoir prendre de la hauteur sur les toits du cinéma.

Continuons vers les quais de la Seine, en contrebas de la BNF. C’est ici que la branchitude prend toute sa signification. Le bateau phare, le Petit Bain.

Sans oublier le Off Seine, le premier et unique hôtel flottant, célèbre pour sa bouée cygne géante, et où l’on peut prendre un verre même si on ne réside pas sur place.

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Ou encore le café OZ rooftop qui s’est posé sur le toit de la Cité de la Mode et du Design.

Enseigne australienne réputée pour sa convivialité, les couleurs vives de sa déco, tout bois massif, tôle ondulée, fresque aborigène, avec un bar extérieur, une cabine Dj sur la terrasse, tout ce qui en fait un des hotspots parisiens incontournables de cette année !

Paris 13 – sans oublier tout le reste

J’ai parlé d’un certain nombre des multiples attraits du quartier. J’aurais pu aussi parler du cinéma, dont le XIIIèeme est un haiuut lieu avec sa fondation Jérôme Seydoux-Pathé, son cinéma historique les Fauvettes ou encore le célèbre MK2 bibliothèque.

Et puis il y a aussi le XIIIème estudiantin. Parce que l’arrondissement est le premier en termes de population étudiante dans toute la capitale. Et donc un arrondissement à la population jeune.

Ndlr Tiens, on a là plusieurs éléments qui concourent à faire de cet endroit un endroit cool non ?

Sans parler du plus grand incubateur européen de startups, la station F, dont l’ouverture est imminente.

En résumé, vous l’aurez compris,  le XIIIème, ça vous gagne !

La galerie Véro-Dodat – joyau parisien

Galerie Véro-Dodat – un peu d’histoire

La galerie Véro-Dodat n’est certainement pas la plus connue des galeries et passages parisiens.
Et pourtant.
Pourtant elle est une des plus charmante et élégante. Mais aussi discrète, très discrète.

Elle relie deux rues : la rue Jean Jacques Rousseau, et la rue du Bouloi.

Contrairement à certains passages parisiens super animés et joyeusement désordonnés, ici on a presque envie de parler à voix basse tant la discrétion semble de mise.

Ce passage fut créé en 1826 en pleine période spéculative de la Restauration.

Deux investisseurs : le charcutier Vero et Le financier Dodat décidèrent donc la création de ce passage permettant un raccourci plaisant entre Les Halles et le Palais Royal.
C’est ce positionnement qui garantit le succès immédiat du lieu, mais aussi la presence des Messageries Lafitte et Gaillard côté rue Jean Jacques Rousseau.
Ainsi , les voyageurs, en attendant leur diligence , flânaient entre les commerces de mode installés dans ce passage qui fut l’un des premiers à être éclairé au gaz à Paris.
C’est au Second Empire, quand les messageries disparaissent et que le Palais Royal de vide de ses animations plus ou moins légales que la fréquentation du lieu décroît.

Aujourd’hui encore, un peu à l’écart, elle reste relativement boudée par les badauds. Sauf pour certaines fashionistas du monde entier bien informées.

Shopping galerie Véro-Dodat

Ici se trouve la caverne d’ali baba d’amateurs de souliers à semelle rouge, le temple du stiletto, le graal des fashionistas
Christian Louboutin a installé ici sa plus somptueuse boutique, tant pour femmes que pour hommes.

photo prise sur le blog de la galerie
photo prise sur le blog de la galerie

Et c’est donc ainsi que, même si les parisiens viennent peu fréquenter la galerie, on y croise régulièrement des modeuses du monde entier les yeux pleins de petites chaussures à semelle rouge.

Et dans sa foulée ( jeu de mot subtil) il y a le cordonnier, lui même spécialisé en Louboutin.

Sa vitrine fait autant rêver que la boutique elle même !

Et c’est ainsi que la boucle de la mode est bouclée.

Dans la galerie, on trouve aussi des accessoires, comme ces bijoux anciens chez Bruno Pepin.

Ainsi que les créations couture de l’italienne Angela Caputi.

Dans cette galerie si discrète, on trouve également des sacs en cuir : les sacs Il Bisonte, nés eux aussi à Florence, comme les bijoux et créations d’Angela Caputi. Comme si un coin d’Italie s’était installé ici.

Mon coup de coeur sans hésitation, le modèle modulable !


La mode est donc bien présente , mais aussi la beauté avec la marque By Terry qui elle aussi à la son flagship parisien.

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Pour finir la balade, une pause dégustation. Que nous propose la galerie ?

Galerie Vero dodat – ce qu’on y mange

En fait le choix est vite fait : ce sera le Café de l’Epoque.
Installé là où se trouvaient les messageries il propose une charmante terrasse au soleil.

Je n’ai pas encore eu l’occasion de le tester, mais le cadre est juste charmant.

Et en plus, ils ont une proposition petit-déjeuner !

A bientôt pour d’autres découvertes de galeries et passages parisiens.

Galerie Véro-Dodat 19 rue Jean-Jacques Rousseau – 75001 Paris

Une bonne adresse : le petit Médicis.

Le Petit Médicis – face au Luxembourg

Le petit Médicis est une adresse comme j’aime les découvrir, un peu par hasard, puis les partager.

Le petit Médicis
Le petit Médicis

C’est après être pesée devant à plusieurs reprises, puis avoir tenté la réservation de dernière minute, sans succès, que j’ai fini par parvenir à mes fins : un déjeuner en terrasse au Petit Médicis. Vivent les weekends prolongés durant lesquels Paris se vide et c’est le bonheur pour ceux qui restent !

Le Petit Médicis – comment on s’y sent

Joli cadre, charmante terrasse à taille humaine, et jolie salle aux boiseries traditionnelles et carreaux de ciment au sol.

De la terrasse on a une vue directe sur les grilles du jardin du Luxembourg, et les expositions photos qui y sont installées régulièrement.

terrasse - Le Petit Medicis
terrasse – Le Petit Medicis

La salle n’est pas grande mais les multiples miroirs permettent de donner une sensation de volume et de profondeur.

Quant à l’accueil, il est attentionné, chaleureux. Rapide et efficace aussi. Agréable pour tout dire.

Le Petit Médicis – ce qu’on y mange

Une carte variée qui propose quelques classiques de la cuisine de bistrot, comme par exemple des poireaux en vinaigrette ou encore des escargots de Bourgogne.

Salades copieuses, viandes et poissons. Des plats simples, traditionnels, et de qualité.

Comme par exemple ce dos de cabillaud et ses légumes confits.

Les plats à la carte sont assez onéreux, comme par exemple 25€ pour ce cabillaud.

Mais il y a une vraie bonne surprise : la formule, à 19,5€, disponible même le samedi pour le déjeuner.

Le Petit Médicis - la formule
Le Petit Médicis – la formule

L’entrée est travaillée, le sablé au parmesan dissimulé sous les petits légumes particulièrement réussi.

Et quant au canard, la viande fond dans la bouche, dans les règles de l’art.

Nous finirons sur le plat essentiel, le dessert, qui lui aussi est largement à la hauteur.

Des fraises melba : le dessert estival parfait.

Le Petit Medicis – pourquoi je reviendrai

J’ai beaucoup apprécié l’atmosphère estivale de cette terrasse parfaitement située. Mais je testerai volontiers la salle, peut-être en soirée, puer-être en hiver, pour une autre atmosphère, et ce tout en dégustant sans doute le mille feuille minute maison qui m’a fait de l’oeil !

Le Petit Médicis  13 Rue de Médicis, 75006 Paris

Galerie Vivienne – l’élégance de la Restauration

Galerie Vivienne

Cette galerie est sans aucun doute une des plus élégantes de la ville qui compte au moins 20 passages et galeries.

Galerie Vivienne
Galerie Vivienne

Elle est en tous cas certainement celle qui est la plus photographiée et instagramée en période de fêtes, et tout le reste de l’année !

Galerie Vivienne – un peu d’histoire

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La galerie Vivienne est née en 1823 de la volonté de Maitre Marchoux, notaire habitant au 6 rue Vivienne.

Il confie à un architecte le projet de créer une galerie reliant la rue Vivienne et la rue des Petits Champs. Mais pourquoi me direz-vous ? Pour permettre de se rendre aisément dans les jardins du Palais Royal, et ses galeries, connues pour être à l’époque un haut lieu de fêtes et de jeux.

Avec ce projet, il est précisément dans l’air du temps. En effet, les premières galeries parisiennes naissaient au début du siècle et étaient la grande tendance de l’architecture urbaine de l’époque. Ces galeries et passages couverts permettant aux promeneurs et aux touristes de profiter de la ville en se protégeant de la pluie et de la boue des rues parisiennes, et des animations proposées.

La galerie est inaugurée en 1826, riche de boutiques de mode, d’une librairie, et de multiples cafés aussi.

Mais la zone de non droit des galeries du Palais Royal prend fin, sa fréquentation chute, et entraine dans son sillage la galerie Vivienne qui tombe peu à peu dans l’oubli.

Pendant le XXème siècle, toutes les galeries parisiennes tombent dans l’oubli, mais dans les années 1970 des mouvements se créent pour protéger et rénover ces vestiges architecturaux et c’est ainsi que les passages et galeries parisiens reviennent peu à peu à la vie.

Et la vie est bien là dans la galerie Vivienne !

Manger dans la Galerie Vivienne

Plusieurs options, dont ces deux restaurants : Daroco, et le bistrot Vivienne.

Chez Daroco, qui occupe ce qui était le flagship de Jean Paul Gaultier, on se régale principalement de délicieuses pizzas.

Le bistrot Vivienne lui propose une carte plus traditionnelle de bistro, dans un cadre historique.

Le bistrot Vivienne propose une terrasse sur rue.

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Mais il existe également des terrasses dans la galerie, options parfaites pour les intempéries parisiennes !

A Priori Thé, Legrand filles et fils, et aussi Odette et Zoé.

Dans la galerie Vivienne, après s’être restaurés, on peut faire un peu de shopping !

Galerie Vivienne – shopping

Ici, enseignes de mode, de décoration, objets anciens, il y en a pour tous les goûts.

Commençons par la mode.

Une ancienne aux sonorités japonaises : Yuki Torii.

Et puis il y a les robes de princesse d’Alexis Mabille.

 

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Dans une gamme plus bobo chic, Nathalie Garçon propose des robes estivales, aux couleurs joyeuses.

La boutique la plus connue de cette galerie est certainement sa superbe librairie, la librairie Jousseaume.

La célèbre librairie Jousseaume, coup de coeur des instagrameurs du monde entier !

Dans cette librairie, on trouve de tout !

Sur leur site, la revendication est claire : « Sans spécialité particulière : XVIII,  XIX,  XX,  histoire,  littérature,  voyages,  poésie,  illustrés,  théâtre,  musique, varia. . . . »

Une telle variété attire forcément tous les types de lecteurs, et il y en aura pour tous.

Dans la galerie Vivienne, vous trouverez les jouets de votre enfance, ou plutôt de l’enfance de vos parents chez Si Tu Veux.

Si tu veux - galerie Vivienne
Si tu veux – galerie Vivienne

La galerie est large, lumineuse, et on y déambule aisément.

Et lorsque l’on ressort par la rue Vivienne, là, à l’angle, face à Daroco, vous voyagerez en découvrant de superbes mappemondes anciennes.

Et si vous regardez bien dans la vitrine remplie de livres, vous découvrirez 3 étranges locataires…

Et, même si la boutique est fermée, vous pourrez repartir avec quelques livres quand même !

Alors, rendez-vous à la galerie Vivienne ?

Galerie Vivienne 4 rue des Petits Champs 75002 Paris 

L’Apero Blog parisien

Un blogs, des blogs

Je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre.

Alors youtubeurs, instagrameurs à plus de 250K abonnés et autres snapchateurs, passez votre chemin.

Parce que les blogs sont devenus les dinosaures de la révolution digitale, supplantés, si on en croit certains, par la frénésie des réseaux sociaux.

Et pourtant. Pourtant les blogs sont toujours vivants. Bien vivants. Et animés par des blogueurs qui prennent encore plaisir à partager, échanger, et se rencontrer IRL aussi, pour le plaisir, sans rémunération ni autre promesse que le moment passé ensemble. Des puristes quoi !

L’Apero Blog – une rencontre pour le plaisir

photo de @parisiantouch
photo de @parisiantouch

Cette semaine s’est déroulé l’apéro blog. Une rencontre organisée par Géraldine et Sandrine, pour le plaisir de réunir la bande historique, de ceux qui se connaissent depuis les débuts de la blogosphère des amoureux de Paris et de ses trésors.

Et c’était bien. Si bien. Se revoir, échanger nos dernières adresses, mais aussi échanger des constats de dinosaures tels que :

« je n’en peux plus d’Instagram. Liker, commenter, et relier, recommencer pour gagner 5 abonnés et les perdre 3 jours après ? « 

Ou encore

« On sort moins ces derniers temps. Il y a moins d’évents que d’habitude non ? »

Ou bien

« En fait, les marques aujourd’hui exigent des Igers à plus de 100K »

« Ils n’ont pas encore compris que les micros influenceurs comme nous étaient bien plus importants dans une stratégie de market d’influence que des mastodontes à 250K abonnés ! « 

Bref.

Et puis on découvre de nouveaux produits. On fait des ateliers, on rit, on passe un bon moment. Juste un bon moment.

Ce que j’ai découvert ou redécouvert

et bien sur, on fait des découvertes aussi. Et comme les blogueurs sont gourmands, beaucoup de ces découvertes passent par les plaisirs du palais.

Nous avons donc dégusté, mais aussi confectionné, de superbes cookies, aussi beaux que bons : les cookies de Tatie Cookie !

Un délice pour les papilles, un ravissement pour les yeux !

Et il faut le préciser, vous pouvez commander ces superbes sablés décorés à la main si vous habitez à Paris et sa proche banlieue. Idéal pour un anniversaire, une soirée, ou même un évènement professionnel.

Toujours pour se régaler, les célèbres tartes Tropéziennes, en version « bouchée » !

Et pas besoin de descendre dans le sud pour les déguster. Il suffit de se rendre dans la boutique parisienne, au 3 Rue de Montfaucon, 75006 Paris.

Tout ceci se déroulait dans le nouvel Hôtel Square Louvois qui a ouvert ses portes il y a quelques mois seulement.

A quelques pas de La Bourse, de la galerie Vivienne, des jardins du Palais Royal, ce charmant hôtel se situe sur la place éponyme, au calme, et propose tous les services que l’on peut attendre d’un 4 étoiles. Il est élégant, les chambres le sont également, décoration sobre et discrète et confort absolu.

Quant au clou du lieu, si vous me demandez mon avis : la piscine bien sur !

L’apéro blog – et après ?

La soirée est vite passée. Il y a ceux avec qui on a pris le temps d’échanger. On se dit  » on se voit bientôt pour un prochain évent ? « . Il y a ceux avec qui on échangera un DM, un MP, ou tout autre moyen de se dire « on a pas beaucoup eu le temps de parler cette fois, mais c’était sympa de te voir ! »

Et puis on se dit qu’il y aura bientôt un évènement qui nous réunira c’est sur, et nous permettra de prendre le temps une fois encore : la soirée e-Parisiennes de l’été. Et ça, c’est une bonne nouvelle.

Merci encore à Geraldine et Sandrine d’avoir organisé tout ça. Et coucou à Parisian Touch, frenchies à Paris, Bambi à Paris, Ylan little world, la parisienne du nord, les petits riens, Paris pêle mêle, unitedstatesofparis, et aussi Comme un Reflex dont j’ai fait la connaissance ici. Parce que cela fait aussi partie des plaisirs de la blogosphères : rencontrer de nouveaux passionnés.

Et puis aussi, des pensées pour tous ceux qui n’étaient pas là, mais que j’aurai plaisir à revoir et recroiser très vite.

Ceci était un post dédié à la blogosphère. Cela faisait si longtemps que je n’en avais pas fait….

Rue Saint-Sauveur – Haut lieu de la food trendy

Rue Saint-Sauveur

Une petite rue discrète, qui croise la célèbre rue Montorgueil. Alors comment se démarque-t-elle ? En se réinventant. Et en accueillant de multiples spots food super trendy. Et ça marche !

Rue Saint-Sauveur – un peu d’histoire

La rue Saint-Sauveur doit son nom à une église aujourd’hui disparue, l’église Saint-Sauveur, et dont l’emplacement se situerait de nos jours à l’angle nord-est de la rue, c’est-à-dire aux numéros 2 et 2bis de parue telle que nous la connaissons. Eglise qui présentait plusieurs particularités. Pour commencer, elle était mal orientée, son chevet étant tourné vers l’occident.

Et puis elle possédait une unique tour que l’on situe à l’angle des rues Saint-Sauveur et Saint Denis. Regardez bien, vous la verrez sur cet extrait du plan de Turgot, là, en haut à gauche.

Sur ce plan, on voit également que la partie de la rue qui était comprise entre les rue Montorgueil et Montmartre s’appelait alors rue du Bout-du-Monde, puis en 1937 elle prend le nom de rue Léopold-Bellan.pour enfin être réunie à la rue Saint-Sauveur en 1851. (source Wikipedia)

Qu’est ce qu’on y mange

Un peu de tout. Commençons par l’enseigne reine : Big Fernand. Ici vous pourrez donc vous régaler à l’atelier du hamburgé ! Pourtant, je me pose une question : pourquoi sur cette façade n’est-il pas question d' »atelier du hamburgé », mais plus banalement, atelier du Hamburger ? A creuser !

Big Fernand pour les carnivores, et pour les autres ?

Tout y est !

Pour les amoureux de Fish and Chips, Johana’s Fish & chips est là.

rue Saint-Sauveur - Johana's fish&chips
rue Saint-Sauveur – Johana’s fish&chips

La salle est minuscule, et l’option « à emporter » semble parfaitement appropriée.

On a donc la viande, le poisson, mais quid des gluten free ? Pas d’inquiétude, il y en a pour eux aussi !

Le restaurant Thaï Kapunka propose les grands classiques de la cuisine thaï, tout comme son grand frère, Monsieur K, à quelques pas de là.

Et c’est pas fini !

On le sait, dans les tendances food du moment, le manger sain est roi, et les céréales au coeur du sujet.

Qu’à cela ne tienne ( expression désuète que je me surprends à bien aimer !). Pour les amoureux des graines, le Muesli bar est là.

Premier lieu parisien à proposer le « muesli sur mesure » . Salé ou sucré, à consommer sur place ou à emporter, les ingrédients proposés sont bio ou issus de l’agriculture raisonnée. Pour le salé, une sélection de sandwichs ( en partenariat avec la maison Landemaine) et des soupes aussi. Bref, la solution parfaite pour un repas rapide, goûteux, gourmand et sain.

Et parce que cette rue est en mouvement perpétuel, une nouvelle enseigne arrive : madame Croque Monsieur. En fait d’ailleurs, elle est déjà arrivée !

Et pour le reste

Il reste encore quelques échoppes vestige du temps passé, qui sait pour combien de temps.

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Et puis c’est aussi rue Saint-Sauveur que l’on trouve ce club sportif haut de gamme : le Klay. Ici, traitement personnalisé, et surtout, sélection du coach : que demander de plus.

On peut aussi déjeuner là, et ce tous les jours de la semaine.

Avant de vous donner les adresses, un bémol à connaitre pour éviter la frustration : toutes ces adresses sont fermées le weekend ! (sauf le Klay restaurant)

Big Fernand 32 Rue Saint-Sauveur, 75002 Paris 09 67 22 40 06

Johanna’s Fish&Chips 30 Rue Saint-Sauveur, 75002 Paris  01 42 21 88 78

Kapunka 49 Rue Saint-Sauveur, 75002 Paris

Muesli bar 49 Rue Saint-Sauveur, 75002 Paris

Le Klay 4 bis rue Saint Sauveur – 75002 PARIS

rue de Passy – shopping dans le XVIème !

Rue de Passy

Une rue historiquement commerçante, mais dans laquelle une mutation des commerces a eu lieu ces dernières années, et c’est pas fini. Alors si on y faisait un petit tour ?

Rue de Passy – un peu d’histoire

La rue de Passy tient son nom de sa position dans l’ancienne commune de Passy, qui fut annexée à la commune de Paris en 1867, à l’image de toutes les communes périphériques intégrées  à cette époque. Une répétition du Grand Paris en quelque sorte !

Cette rue a longtemps été une réference shopping dans ce quartier réputé résidentiel et qui a pourtant plus d’un tour dans son sac.

Alors allons donc déambuler afin de mieux cerner l’offre shopping.

Ou se faire plaisir

Dès les premiers pas, quand on commence la promenade par l’ouest, côté des numéros les plus élevés, on comprend qu’on va pouvoir se faire plaisir sans effort.

Il y en a pour tous les goûts, toutes les envies, et tous les porte monnaie.

Commençons par Kookai. Une marque qui existe depuis 1984 ! Autrement dit, une marque que les plus de 20 ans connaissent aussi. Etant donné qu’elle appartient désormais au groupe Vivarte, j’espère qu’elle ne va pas suivre le chemin d’André et autre Minelli, enseignes qui leur appartiennent aussi.

Kookai rue de Passy
Kookai rue de Passy

Puis on continue sur Caroll. Particularité de cette marque : les pantalons sont assez longs pour me permettre d’envisager même de les porter avec des talons ! Le nirvana en fait.

Passy Caroll
Passy Caroll

Autre atout majeur de Caroll : ça taille grand ! Du coup, parfait pour le moral même quand on a un ou deux kilos en trop.

Un petit bijou, ça fait toujours plaisir. Et Mauboussin est là pour ça. Abordable, et désormais quasiment intégralement Made in France !

En continuant, c’est Kujten qui est là. Par ce froid polaire, un cachemire, c’est juste indispensable. D’autant que j’écris cet article au moment des soldes.

En continuant la promenade, on passe sur cette petite place, la Place de Passy.

Place de Passy
Place de Passy

Un café, un énorme magasin Nespresso qui a pris l’emplacement d’une pâtisserie historique de la rue fermée depuis des années mais qui reste gravée dans ma mémoire, la pâtisserie Coquelin. J’avoue qu’à son évocation mon coeur ce serre. Il s’agissait là  d’une véritable institution. Bref

En continuant vers le métro Passy, on constate que COS a pris ses quartiers au 60 de la rue.

rue de Passy COS
rue de Passy COS

Pour les bons basics, la rue de Passy propose une adresse parfaite : Esprit. Vous cherchez un Tshirt, une chemise bien coupée, une robe pull, vous ne pouvez pas vous tromper.

La liste de boutiques est encore longue. Djulla pour les bijoux , Longchamp pour les sacs, et tant d’autres que je complèterai au fil de mes prochaines visites.

Rue de Passy – culture et découverte

Rue de Passy, vous découvrirez un cinéma historique, le Majestic  Passy. Le seul cinéma de l’arrondissement si j’en crois Wikipédia !

Et pour finir la promenade, à quelques pas de là, on l’aperçoit au détour de la rue, la Tour Eiffel vous accueillera si vous êtes pris d’une soudaine envie de hauteurs !

vue depuis la rue de Passy
vue depuis la rue de Passy

Et bien sur, il ne s’agit là que d’un aperçu ! Mais je reviendrai !

Rue Gustave Courbet – pépite shopping du XVIème

Rue Gustave Courbet

Dans ce XVIème que l’on pourrait imaginer résidentiel et peu fourni en commerces se trouve la rue Gustave Courbet, une de ces rues qui nous prouve précisément le contraire.

Un peu d’histoire

Gustave Courbet était peintre. Un peintre du XIXème siècle. Là, je ne vous apprend rien. Etant donné que je n’ai trouvé aucune explication au fait que cette rue précisément porte son nom – il n’est ni né ici, ni mort ici, ce n’est pas un quartier dans lequel il a habité – je vous propose de vous le présenter, lui qui a été en fait bien plus qu’un peintre de son époque.

En effet, il avait des idées républicaines et socialistes, et prit une part active à la à la Commune de Paris. C’est lui qui proposa au Gouvernement de la Défense nationale le déplacement de la Colonne Vendôme, symbole des guerres napoléoniennes, aux Invalides. Mais La Commune décide, le , d’abattre et non de déboulonner la colonne Vendôme. Courbet sera désigné ensuite comme responsable de sa destruction. Mais en , le nouveau président de la République, le maréchal de Mac-Mahon, décide de faire reconstruire la colonne Vendôme aux frais de Courbet (soit 323 091,68 francs selon le devis établi). Acculé à la ruine après la chute de la Commune, ses biens sont mis sous séquestre, ses toiles confisquées. Il s’exile en Suisse, pays où il mourra.

Où se régaler

Il est temps de revenir dans le présent, et de découvrir pour commencer les adresses gourmandes de la rue.

Sachez que vous trouverez là un bar à vodka : le 16ème Sens. Bar, mais aussi épicerie fine et restaurant, dans la plus pure tradition russe. Amateurs de vodkas, cette adresse deviendra votre QG.

Puis, toujours sur ce même trottoir, des numéros impairs – il faut dire que, à l’image des Champs Elysées, la rue Gustave Courbet  à un côté nettement plus riche que l’autre – un restaurant spécialisé en volailles et qui porte bien son nom : Ma  Poule ! Pané, en salades, en version « ailes ou pilons « , l’adresse parfaite pour une soudaine envie de poulet.

 

Petite rue, large choix ! En effet, les restaurants se bousculent rue Gustave Courbet, de façon assez inattendue d’ailleurs. Vient ensuite une crêperie : Gus crêperie.

Il y a aussi Coffee Parisien, qui sert bagel, hamburgers et autres pancakes, mais que je testerai avant d’en parler plus en détails, les critiques sur Tripadvisor étant plus que mitigées !

Où se faire plaisir

Bijoux, vêtements, et montres, sans parler de  la décoration de votre intérieur ou du linge de maison. cette rue qui semble si petite permet une séance de shopping quasi complète !

Commençons par les bijoux et montres. Nous sommes côté pair cette fois et vous trouverez là une des boutiques exclusives Ice Watch. L’endroit parfait pour avoir la collection entière, là, sous vos yeux, et trouver le modèle qui vous correspond.

Ice Watch - rue Gustave Courbet
Ice Watch – rue Gustave Courbet

Pour les amoureuses de bijoux imposants, Philippe Ferrandis vous accueille au 32 de la rue. Ici, bagues, boucles et colliers monumentaux, créés par un parurier parisien, entreprise du patrimoine vivant.

La mode ici se plonge dans le retour des marques oubliées : j’ai nommé K-Way et Fusalp. A vous les tenues de ski rétro élégantes ainsi que ces célèbres coupe vents qui ont fait leur retour, on ne sait pas trop pourquoi !

K-WAY
K-WAY

J’ai comme une envie de chausser des skis soudainement.

fusalp
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Se promener aux alentours

Là, c’est simple ! Quelques dizaines de mètres, on rejoint l’avenue d’Eylau qui guide directement vers la place du Trocadéro et sur une vue imprenable sur la Tour Eiffel. Après une séance de shopping typiquement parisienne, une vue carte postale !

TourEiffel

Le 16ème Sens 3 Rue Gustave Courbet, 75116 Paris Tel : 01 45 53 46 46

Ma Poule 9 rue Gustave Courbet 75116 Paris 01 45 53 55 55

Gus crèperie 19 Rue Gustave Courbet, 75116 Paris Tel : 01 45 53 36 83

Ice Watch 10 rue Gustave Courbet 75116 Paris Tel : 01 44 05 92 18

Philippe Ferrandis 32 rue Gustave Courbet 75116 Paris Tel : 01 45 05 38 45

fusalp 7 rue Gustave Courbet 75116 Paris Tel : 01 42 56 48 64

 

 

Rue Saint Louis en l’Ile – un village dans la ville

Rue Saint Louis en l’Ile – un peu d’histoire

Cette île, j’aimerais l’appeler mon île…

Au coeur de Paris, dans le IVème arrondissement, elle a su se préserver, garder son esprit de village, ouvrant bien sur ses portes aux flots de touristes qui l’envahissent régulièrement, mais parvenant à garder ses habitants, ses commerces de quartier.

Ses habitants, on les appelle les ludoviciens ou ludovisiens.

Au XIIIème siècle, lorsque Paris est fortifié par l’enceinte de Philippe Auguste, un chenal coupe en deux l’île actuelle, alors inhabitée, dans le prolongement des murs d’enceinte. La partie ouest (à peu près les deux tiers) est appelée île Notre-Dame, et la partie est, l’ île aux Vaches.

photo prise sur Tripadvisor
photo prise sur Tripadvisor

Du coup, on comprend mieux le nom du restaurant qui fait l’angle de la rue Saint Louis en l’Ile et de la rue des 2 ponts : l’Ilôt vache !

Des projets d’urbanisation de ces deux îles élaborés sous le règne d’Henri IV mais c’est sous le règne de son fils Louis XIII, que tout se concrétise avec Christophe Marie, entrepreneur général des Ponts.

Il s’agit alors d’une des premières opérations de construction d’envergure à Paris.

Christophe Marie s’associe à deux entrepreneurs, Poulletier et François Le Regrattier, et est chargé à ses frais de combler le chenal, de construire des ponts pérennes et de renforcer les quais, en échange d’un droit sur le lotissement du terrain. Les opérations  se poursuivent pendant une trentaine d’années jusqu’à la moitié du XVIIème siècle.

Le chenal séparant les deux îles est comblé : l’Ile Saint Louis est née.

Entourée de quais pour assurer stabilité et horizontalité de la zone ; leur hauteur permet de maintenir le terrain à l’abri des crues du fleuve. Un plan de rues facile à lire, qui rappelle les plans de Manhattan ! En effet, il s’agit d’un damier où les voies de circulation se coupent à angle droit. L’île est structurée par la rue Saint-Louis-en-l’Île, sa principale artère, qui la parcourt pratiquement sur toute sa longueur d’est en ouest.

C’est donc sur cette rue que nous allons partir à la découverte des commerces de l’Ile !

Se régaler rue Saint Louis en l’Ile

Sur l’Ile Saint Louis, vous trouverez de multiples restaurants, brasseries, cafés et salons de thé.

Si l’on commence du côté ouest, il y a la brasserie la plus photographiée de l’île qui porte si bien son nom : La Brasserie de l’Ile Saint Louis. Avec son auvent rouge, et ses serveurs à la tenue hors du temps, c’est un peu normal !

Immédiatement en face, Le Saint Regis.

Café Saint Régis - rue Saint Louis en l'Ile
Café Saint Régis – rue Saint Louis en l’Ile

Pour les glaces, il y a le célèbrissime Berthillon bien sûr, trop souvent fermé à mon goût, puisque l’adresse historique est fermée en août, mais aussi pendant les vacances de novembre par exemple, et probablement toutes les autres aussi ! Du coup, d’autres spécialistes des desserts glacés se sont installés là, comme Amorino, et un petit dernier, La Paleteria, qui a la particularité d’être sans gluten.

Sans oublier les fromages du 38, ou encore le restaurant italien SORZA .

38 Saint Louis
38 Saint Louis

Amoureux des célèbres pastilles Vichy, la Maison Moinet vous attend pour vous proposer la plus grande sélection de ce type de bonbons à Paris ! Superbes boites, parfaites pour les cadeaux, ou en vrac, pour urgence de consommation immédiate !

Se faire plaisir rue Saint Louis en l’Ile

C’est sur l’île que j’ai découvert les bijoux SOBRAL

Ils portent en eux la couleur du Brésil, leur pays d’origine.

Pour les amoureux de bijoux fantaisie de qualité, mais surtout de somptueux éventails, Sucre bleu vous attend. Vous y trouverez un grand choix des créations de Vera Palo, une espagnole qui redonne vie à cette accessoire typique de son pays.

Il y a aussi les incontournables ustensiles pour la maison en tous genres de Pylônes. Ou l’art de mettre de la couleur dans votre cuisine, votre salle de bain et toute votre maison.

Dernier coup de coeur découverte de la rue Saint Louis en l’île : les sacs O Bag !

C’est chez MASCOR qu’on les trouve, et je sais qu’ils deviendront très vite le IT Bag parisien. Ce serait dommage de ne pas en avoir un avant qu’ils ne fassent les pages tendances du Elle non ?

O Bag - MASCOR
O Bag – MASCOR

Et si jamais vous vous aventurez hors de la rue centrale, là, sur la rue des 2 ponts, vous pourrez céder à votre passion carnets si vous êtes amateur, chez Marie-Tournelle.

Se promener autour de la rue Saint Louis en l’Ile

Une fois que vous aurez arpenté la rue, de long en large, il sera toujours temps d’aller découvrir les alentours, de partir à l’aventure. Là,le long des quais, pour les amoureux, à la rencontre des cygnes, face à une vue imprenable sur Notre Dame !

Alors, vous me suivez sur mon île ?

Le Saint Régis 6 Rue Jean du Bellay, 75004 Paris ( angle rue Saint Louis en l’île)

38 Saint Louis 38 rue Saint-Louis en l’île 75004 Paris

Mascor 38 rue Saint-Louis en l’île 75004 Paris

Sobral 79 Rue Saint-Louis en l’Île, 75004 Paris

Sucre Bleu 64 Rue Saint-Louis en l’Île, 75004 Paris

Berthillon 29-31 Rue Saint-Louis en l’Île, 75004 Paris

La Paleteria 52 Rue Saint-Louis en l’Île, 75004 Paris

Amorino 47 Rue Saint-Louis en l’Île, 75004 Paris

Pylônes 57 Rue Saint-Louis en l’Île, 75004 Paris

Maison Moinet 45 Rue Saint-Louis en l’Île, 75004 Paris

Rue des Martyrs – plaisir des papilles et des yeux

Rue des Martyrs – rue gourmande

La rue des Martyrs est connue pour ses enseignes gourmandes. Tous les noms grands noms parisiens associés à l’univers alimentaire se retrouvent là.

Dans le désordre et en vrac : Popelini, Marlette, Les Grands d’Espagne et leur pata negra, Sebastien Gaudard et ses pâtisseries à tomber, maison Landemaine, Le Pain quotidien, et j’en oublie, ils sont tous là.

Rose Bakery fait partie depuis ses débuts des noms emblématiques de la rue, même si son enseigne a toujours été aussi discrète qu’elle l’est aujourd’hui. Mais l’endroit  était exigu, vitrine de présentation, file d’attente et convives attablés cohabitaient dans une promiscuité peu adaptée à un repas plaisant.

Tout ceci n’est plus qu’un mauvais souvenir. Désormais, plutôt qu’une seule adresse il y en a trois !

La première, Rose Bakery Takeout, permet d’acheter pour emporter. Quiches, salades et pâtisseries sont là, disponibles, frais du jour.

Le restaurant, lui, respire désormais, tables confortablement espacées, lieu lumineux et plaisant, avec une jolie cuisine ouverte. C’est le Rose Bakery nouvelle génération.

Et tout cela est possible en partie grâce à la troisième adresse : Rose Bakery shop.

Parce que c’est de là que viennent tous les produits utilisés pour la cuisine dans les deux espaces précédemment cités.

Et c’est là aussi que vous pourrez acheter ces produits bruts, majoritairement bios, et tous de qualité, pour les utiliser dans vos proposer recettes, chez vous.

Et pour compléter encore la palette des saveurs, le restaurant Belle Maison vient également d’ouvrir ses portes, rue de Navarin, juste en face de l’épicerie évoquée ci dessus !

Là, c’et une ambiance maritime et conviviale qui vous attend. Et en regardant bien, vous verrez rapidement quel est le point commun de ces 4 adresses, au delà d’une assiette gourmande et alléchante….

C’est Emilie Bonaventure. La décoratrice d’intérieur. Sa signature est là : matériaux bruts , naturels, lignes simples, luminosité dans chacun des espaces.

Alors il ne nous reste plus qu’à retourner rue des Martyrs, pour nous régaler encore et encore !

Rose Bakery 46 rue des Martyrs 75009 Paris

Rose Bakery takeout 46 bis rue des Martyrs 75009 Paris

Rose Bakery Shop 1 rue de Navarin 75009 Paris

Belle Maison 4 rue de Navarin 75009 Paris