The parisienne

22 juin 2019

Nuit Blanche 2019 – tout en mouvement

La Nuit Blanche 2019 va révéler le marathonien qui est en vous , le marathonien de la culture ! Pour l’embrasser et la vivre de façon optimale, vous allez vous déplacer, et pour certains, vous porterez le dossard d’un marathon pas comme les autres ! Découverte.

Nuit Blanche 2019 – la 18ème du genre

La première Nuit Blanche c’était en 2002 : ça ne nous rajeunit pas !

C’est Christophe Girard, adjoint à la Mairie de Paris pour la culture, qui en a repris le flambeau et a choisi Didier Fusilier, président de la Grande halle de la Villette, pour la direction artistique de cet évènement.

Nuit Blanche est devenue universelle. De nombreuses autres villes se sont inspiré de ce concept totalement innovant en son temps. Quelques exemples : Tokyo, Tel Aviv, La Valette et tant d’autres, et cette année encore 4 villes se sont jointes au mouvement : Los Angeles, Accra – capitale du Ghana, Mexico et Prizren, deuxième ville du Kosovo.

La Nuit Blanche a donc fait acte d’universalité, et pour cette nouvelle édition, Christophe Richard explique que l’équipe a embrassé une ambition très grande, celle de comprendre l’époque, de ne pas laisser Paris enfermée dans son périphérique et de donner au plus grand nombre l’opportunité de participer et de découvrir oeuvres et lieux.

Nuit Blanche 2019 – une nuit tout en mouvement

Didier Fusilier connaît bien l’espace urbain, et c’est pour cette raison que lui a été confiée la direction artistique de l’événement. Pour cette nouvelle édition, il souhait ouvrir les ports et les vannes de Paris pour une Nuit Blanche qui va toucher un territoire qui ira au delà de la capitale. Cela passera par la fermeture de cette frontière qu’est le périphérique.

Pour cette édition 2019, quatre évènements clé s’orchestrent dans la ville et sa périphérie.

1 – La Parade

Des œuvres qui vont bouger et le public qui bougera dans les œuvres. Tout commencera à 14h00 entre le Petit Palais et le Grand Palais, interdit à la circulation pour l’occasion. toutes les plateformes seront réunies là avant leur départ pour un parcours qui les mènera dans les artères de la capitale. Ainsi, on commencera par ce musée à ciel ouvert avant de devenir soi même itinérant pour aller à la rencontre de chacune des oeuvres le long de leur parcours.

2 – Les artistes promeneurs

Toujours dans cette démarche de mettre la ville en mouvement, plusieurs artistes déambuleront dans Paris. Pour exemple, à Paris, c’est Pilar Albarracin qui évoluera accompagnée de femmes en costume traditionnel de flamenca. La performance se terminera quand toutes ces femmes s’allongeront au sol, immobiles, en symbole de resistance pacifique à la violence faite aux femmes, cause que l’artiste défend depuis les années 90. Quant à Raphaëlle de Groot, elle ira à la rencontre des populations de la banlieue parisienne avec des ateliers en collaboration avec les Ateliers Medicis de Clichy Sous Bois.

3 – La Grande Traversée

Le marathon que j’évoquais intervient ici. Finies les files d’attente interminables, vive la découverte de hauts lieux culturels et de grandes institutions parisiennes. Deux « marathons » de 8kms partiront de la Place de la Concorde.

Leurs parcours respectifs traverseront des monuments que l’on croit connaitre et que l’on découvrira sous un nouvel angle. Chacun aura un dossard et traversera des établissements tels que le Louvre, les grands salons de l’Hôtel de Ville, les Invalides, le musée de l’Homme et tant d’autres.
Et avant goût de ce qui va se passer pendant les Jeux Olympiques !

L’élément essentiel sera de réserver votre dossard dès le 1er juillet sur le site de l’évènement : il n’y en aura pas pour tout le monde !

4 – Le Vélodrome

Une portion de périphérique transformée en vélodrome géant, sur un emplacement permettant d’admirer une vue spectaculaire sur la ville, et offrant également un spectacle lumineux hors du commun.

Là aussi, il faudra s’inscrire pour pouvoir venir, seul ou en famille, pour cette balade à vélo qui ne se reproduira pas de si tôt.

La Ligne 1 du métro restera ouverte toute la nuit, et la fédération d’athlétisme appuie ce dispositif sportif. alors, prêts à une expérience sportive inédite ?

Nuit Blanche 2019 Samedi 5 octobre 2019

16 juin 2019

Dis, Paris, qu’est-ce que tu fabriques ?

Paris, ses monuments, ses musées, ses restaurants. Haut lieu du shopping, du design aussi. Mais pas que ! Au coeur de la capitale, des centaines d’artisans inventent de nouvelles techniques de fabrication, réinventent des savoir-faire ancestraux, créent, fabriquent. Dans des domaines aussi divers que la mode, la décoration, la joaillerie ou encore la maroquinerie. Alors j’ai décidé de les faire connaitre en allant à leur rencontre. Et j’ai écrit le livre » Dis, Paris, qu’est-ce que tu fabriques » !

Dis, Paris, qu’est-ce que tu fabriques – un guide pas comme les autres

Le guide s’appuie sur 9 quartiers parisiens. Je n’ai pas révolutionné la découpe de notre belle capitale, et nous avons donc Le Marais, Saint Germain, Faubourg Saint-Antoine, et les autres. Le principe : proposer un nombre comparable d’artisans dans chacun des quartiers. Quelque soit le quartier dans lequel vous flânerez, vous pourrez choisir d’aller à la rencontre d’un de ces makers, ou de plusieurs d’entre eux. J’en ai rencontré plus de 70, mais ils sont tellement plus nombreux, je suis déjà prête pour le tome 2, voire même le tome 3. Dans tous les cas, il ne tiendra qu’à vous d’aller plus loin, et d’oser ouvrir d’autres portes que celles que j’ai franchies. Ce sera alors votre découverte !

Pour chaque quartier, j’ai aussi pensé à vous proposer une ou deux adresses gourmandes, histoire de reprendre des forces…

Des dizaines d’artisans, autant de parcours différents

Ils sont nombreux, jeunes ou plus expérimentés, mais comment en sont-ils arrivés là ? Mus par leur passion, ils se sont formés, dès leur plus jeune âge, ou se sont lancés dans l’aventure de la reconversion professionnelle, quand ils ont compris que leur vie était ailleurs. Il y a ceux qui perpétuent, en reprenant une activité qui n’était pas la leur : si je vous disais que le dernier matelassier de France est à Paris, le croiriez vous ?

J’ai été la première étonnée, mais il est bien là, et une fois que vous l’aurez rencontré vous comprendrez que rien ne vaut un matelas fait main. Et que par ailleurs, cela ne coûte pas plus cher qu’un matelas de marque du commerce traditionnel !

D’autres ont hérité avec bonheur d’un savoir faire familial.

Comme cette jeune femme blonde et dynamique qui met de la couleur dans la lumière en créant des vitraux dans l’atelier créé par ses parents.

Et puis il y a ceux qui inventent et font évoluer un métier. Les sacs Archipel sont uniques en leur genre et réinventent le métier de la maroquinerie.

Mais je ne vous en dirai pas plus, il faut que vous les admiriez par vous même.

Le made in Paris – des univers si multiples

Mais au fait, Paris, qu’est ce que tu fabriques, vraiment ? Quand on parle de made in Paris, penserait-t-on à de la mozzarella, de la confiture, ou du papier peint ? Je ne crois pas ! Et pourtant !

Je ne vais pas spolier en dévoilant d’emblée mes artisans, mais voici, pour le plaisir des yeux, un échantillon de leurs créations.

Et bien au delà de ces superbes objets, il y a ceux qui les créent. Et c’est la rencontre avec ces personnes hors normes qui vous touchera plus que tout.

En tous cas, c’est ce qui s’est passé pour moi.

Il ne vous reste donc plus qu’à commander « Dis, Paris, qu’est-ce que tu fabriques » pour le recevoir dès sa sortie, le 4 juillet 2019 !

12 juin 201913 juin 2019

Soins La Mer – un appartement pour découvrir leur univers

Pour celles qui la connaissent, la marque de soins La Mer est associée à une certaine forme d’élégance doublée d’une efficacité reconnue, dans la simplicité et l’excellence. Et pour celles qui n’ont pas encore eu le plaisir de découvrir la gamme, à commencer par la célèbre « crème de La Mer« , le moment est venu, et ça se passe rue Saint Honoré, du 14 au 16 juin.

Les soins La Mer – la genèse

Au commencement était la quête personnelle du Dr Max Huber, dont la peau fut brûlée lors d’une expérience de laboratoire. Il se plonge alors dans l’étude des algues marines et de leur puissance régénérante. Plus de 10 ans plus tard, il créé le Miracle Broth, qu’il incorpore dans une crème. En hommage aux océans qui lui ont offert leurs ressources inépuisables, il l’intitule « la crème de la mer« .

La crème originelle, à la texture riche et luxueuse, a depuis été rejointe par une crème plus légère, un gel crème ainsi qu’une émulsion. Puis elle s’est enrichie d’une gamme complète de soins de beauté pour le corps et le visage. Aujourd’hui, la marque La Mer propose l’intégralité des produits de beauté et de soin indispensables au quotidien.

L’appartement La Mer

Maintenant que vous êtes dévorée par l’envie de découvrir ces merveilles, je peux vous annoncer la bonne nouvelle : du 14 au 16 juin, La Mer vous accueille pour découvrir découvrir et expérimenter son univers. Le maitre mot de l’expérience sera le bien-être. La marque a choisi un espace chaleureux et élégant pour accueillir les amoureuses de beauté tout au long de la journée, au sein duquel vous n’aurez que l’embarras du choix.

Envie de tester les soins et la gamme beauté La Mer ? Des experts seront là pour vous guider et vous accompagner. Tentées par une pause ? Le « Café La Mer », vous proposera une manucure en partenariat avec la marque green The Manucurist. Si je continue à tout dévoiler, ce serait proche du spoiler !

Je peux quand même vous confier qu’il y aura des ateliers de yoga et de méditation, de mélange de thé sur mesure, ou encore un talk sur les bienfaits de La Mer et la micronutrition.

Maintenant, il ne vous reste plus qu’à aller sur place pour tout découvrir.

En accès libre chaque jour, gratuitement & sans inscription : accès au Café La Mer, à nos services soin & manucure avec des Experts La Mer, à la salle zen relaxation.

Pour le reste , pensez à vous inscrire en écrivant à lamerpopup@elceurope.com

Appartement La Mer 352 Rue Saint-Honoré 75001 Paris

6 juin 20195 juin 2019

La maison Arthus Bertrand – des racines et des ailes

La maison Arthus Bertrand revient à ses origines. La nouvelle directrice artistique, Camille Toupet, a plongé dans le patrimoine iconographique et historique de médailleur de l’Empire de la Maison. Elle s’en est inspirée pour réinterpréter, réinventer, et créer ses nouvelles collections. Découverte, au sein du musée de la Légion d’honneur.

Maison Arthus Bertrand – un peu d’histoire

La maison Arthus Bertrand commence son histoire en 1852, en devenant le fournisseur de Napoléon III pour les équipements militaires et les décorations, dont la prestigieuse Légion d’honneur. Elle installe sa réputation et son savoir faire au cours des années suivantes, en développant dans ses ateliers parisiens l’art de la médaille, la frappe et l’émaillage des décorations, la réalisation de trophées de prestige. C’est dans les années 1920 que viennent s’ajouter la création de médailles de baptême et de bijoux de caractère.

Epée d’académicien, grand collier de la légion d’honneur réservé aux chefs d’état, Arthus Bertrand est incontournable dans l’univers des décorations officielles. La maison a également à son actif de superbes collaborations pour ses collections de haute joaillerie.

Une muse, trois nouvelles collections

La muse, c’est elle, la légion d’honneur et ses 5 branches. Emblématique de l’histoire de la Maison, Camille Toupet s’en est inspirée pour dessiner Gloria, Stella et Aurore.

Pour la collection Gloria, les 5 branches emblématiques de la légion d’honneur sont au centre de la création. Colorée, en sautoir ou en bracelet, les bijoux Gloria scintillent, se parent de couleurs pour des sautoirs, bracelets et boucles d’oreille d’une absolue féminité.

La collection Aurore, elle, est totalement graphique, présente par ses volumes et aérienne à la fois grâce aux ajourés qui la définissent.

Le musée de la Légion d’ honneur

Il est de ces surprises que Paris nous réserve. Un musée dédié à l’histoire de cette décoration que tout le monde connait sans savoir vraiment.

Dans un hôtel particulier somptueux comme il en existe tant dans la capitale, vous pourrez découvrir toute l’histoire et l’évolution de la décoration suprême. Ouvert à tous, le musée est gratuit, et largement méconnu, alors pourquoi se priver !

Accès gratuit pour tous
2, rue de la Légion d’honneur (parvis du musée d’Orsay) / 64 rue de Lille 75007 Paris
Horaires d’ouvertures : du mercredi au dimanche de 13h à 18h (dernière entrée à 17h30).

5 juin 2019

Eglise Saint-Germain-des-Prés – elle a retrouvé ses couleurs !

L’église Saint-Germain-des-Près fait partie des lieux mythiques de Paris. Connue pour être une des plus anciennes églises de la capital, elle a connu des heures sombres, au sens propre du terme : manque de luminosité, décors et peintures obscurcis par la suie et la pollution. Ceux qui l’on visitée à la fin du siècle dernier savent de quoi je parle ! Mais elle retrouve enfin sa superbe et devient désormais un joyau aux couleurs éclatantes.

Eglise Saint-Germain-des-Prés – historique

L’église Saint-Germain-des-Prés est fondée au VIème siècle, par Childebert, fils de Clovis, pour abriter les reliques de Saint-Vincent-Sainte-Croix puis de Saint-Germain, évêque de Paris. Elle fut la première nécropole royale, avant la basilique de Saint-Denis. Elle connait ses heures de gloire et d’autres plus sombres. Assaillie à plusieurs reprises par les Normands au milieu du IXème siècle, qui menacent de la détruire, ils l’occupent à plusieurs reprises, la pillant et saccageant ses bâtiments. Au Moyen âge elle reprend vie. Et c’est à partir du XIIème siècle qu’elle se transforme, accueillant un sanctuaire gothique, le déambulatoire et ses chapelles rayonnantes.

Lors de la Révolution, elle manque à nouveau de disparaitre, et est transformée en raffinerie de salpêtre.

On soupçonne aussi que l’église manqua encore d’être détruitependant les travaux du baron d’Haussmann. Il envisageait, lors de ses travaux de réaménagement de la capitale, de prolonger la rue de Rennes jusqu’à la Seine ! Mais elle est toujours là, et depuis 2016, un vaste chantier de restauration a été entrepris pour lui rendre son éclat.

Saint Germain des Près – restauration

Le projet de restauration de l’église Saint-Germain-des-Près en est à sa 3ème phase, celle de la restauration de la nef.

Au XIXème siècle, Hippolyte Flandrin réalise le décor du chœur des moines (1842-1846), une partie du transept (1847), et la nef (1856-1864). Il utilise la technique de peinture murale mêlant huile et cire directement exécutée sur enduit. Pour la restauration, un « traitement en conservation du décor peint » a été effectué , sans repeint, avec dépoussiérage, refixage de la couche picturale, nettoyage doux. La restauration de la nef a duré onze mois et l’on peut désormais l’admirer dans son intégralité.

31 mai 201910 juin 2019

Paris Tel Aviv Air France business : seriously ?

Je me souviens de chaque instant, de chaque minute de mon premier voyage en business. C’était il y a quelques années à peine, et j’en ai savouré chaque instant. Que les choses soient claires : il s’agit pour moi d’un moment unique, d’une expérience exceptionnelle dont je mesure pleinement la valeur. Alors, quand Air France me prive de ces moments de bonheur, en faisant passer une vague amélioration de classe eco pour un vol classe affaire payé au prix fort, je dis non !

Air France Business : c'est écrit dessus ! — Air France Business : c’est écrit dessus !

Paris Tel Aviv Air France business : le confort ?

La caractéristique première d’une classe affaire est un confort incomparable. Sur les longs courriers, les nouveaux sièges se transforment en lit intégral, disposent d’un espace de rangement, d’un écran individuel et j’en passe.

Sur le vol AF1621 Paris Tel Aviv, pas de siège dédié, une assise exactement identique en business et en eco. Cela donne donc lieu à une position en mode « genoux dans le nez », et quand la personne du siège avant décide d’abaisser son dossier. Seule concession : un siège libre pour deux sièges occupés ! En d’autres termes, un siège business correspond à un siège et demi en eco. Mais alors, quand on ne connait pas l’autre personne installée sur la rangée, qui utilise le siège du milieu ? On doit se répartir des créneaux horaire ?!

Le service

En classe affaire, en théorie, chaque détail compte. En théorie, on se sent unique, choyé, traité comme un roi. En théorie, et en pratique dans certains cas. Mais certainement pas dans le cas qui nous occupe !
La serviette humide que l’hôtesse est censée vous remettre avec sourire et délicatesse est sous plastique et on vous la jette en passant.

Personne ne passera ensuite la récupérer : faites en ce que vous voulez. Imaginons maintenant que vous êtes en déplacement professionnel. Vous souhaiteriez naturellement éviter de ranger votre « tailleur / costume / manteau » en mode roulé boulé entre deux valises. En classe affaire traditionnelle, votre tenue sera confortablement installée dans un placard dédié, sur cintre, bien droite. Mais pas sur le vol AF1621 ! Ici, c’est chacun pour soi et on se débrouille comme on peut en enfonçant vêtements et bagages dans les compartiments au dessus des sièges. En business, Air France vous gratifie d’une petite pochette contenant un masque pour dormir, des bouchons d’oreille, une brosse à dents, etc… J’avoue que je les affectionne particulièrement. Habituellement l’hôtesse passe avec un grand sourire pour que chacun choisisse sa couleur puisqu’il y a, pour chaque modèle, plusieurs déclinaisons. Sur le vol AF1621, la pochette, si on la voit, est déjà posée quelque part sur un des sièges en mode chasse au trésor.

Par ailleurs, elle est sous plastique, pourquoi se soucier de l’environnement ! Autant donc pour le plaisir de l’échange avec l’hôtesse, autant pour le plaisir du choix, autant pour le plaisir tout court.

Dans les toilettes, on trouve habituellement une gamme de produits Clarins pour se démaquiller ou se rafraichir. Mais sur le vol AF1621, non seulement pas de produits de soins, mais une poubelle « INOP » – comprendre sans doute inopérante – donnant lieu à un monceau de papiers usagés entassés pendant tout le vol.

Elégant, esthétique, et très hygiénique !

Plaisirs des papilles

Champagne à volonté, petits amuses bouches, repas servi sur une nappe dans de vraies assiettes avec de vraies couverts. Passage encore pour proposer un dernier verre, et puis un café, ses macarons ou autres délices sucrés, voilà ce qui est habituellement proposé. Habituellement ! Sauf que là, rien de tout ça. Un verre pour se détendre une fois installé ? Non ! Un verre après le décollage pour se préparer au repas ? Non !

Quand au repas, intitulé dîner, il a été servi à 17:40 ! Parce que, vous comprenez, les hôtesses ne sont pas exclusivement dédiées à la classe affaire, elles doivent se dépêcher ensuite d’aller s’occuper du service en eco. Et là, pour le coup, ils ont dîné à heure presque plus raisonnable en mode dîner anglais ou Americain pour seniors !

Le repas, parlons en ! Servi sur un plateau en plastique avec entrée plat dessert réunis , un café vite fait, un passage éclair, pour un petit biscuit – dommage, trop tard, on a déjà fini le café. Et c’est fini ! Un autre passage pour le plaisir d’une dernière boisson chaude ou pas ? Non, pour quoi faire !

Divertissements en vol

En ce qui concerne les divertissements, films ou autres séries télevisées, venez avec votre écran où aller voir ailleurs. Il faut se connecter à la WIFI , et croiser les doigts. Une dizaine de films est proposée, il ne faut donc pas faire son difficile. Et si la WIFI tombe en panne, c’est tant pis. Je cite la chef de cabine : » ah ben oui, l’appareil s’est éteint. Je ne peux rien faire, je n’ai pas le droit d’y toucher » ! Alors pour me distraire, j’ai écrit ce témoignage ….

Vous l’aurez compris, le sens de l’humour d’Air France n’a pas de limite. Son sens du mépris pour ses passagers non plus. Parce que qualifier ces 5 premières rangées de business est une insulte à chacune des personnes qui en occupent les sièges.
Et quand il n’y a pas de solution technique et que c’est ce type d’avion qu’il faut utiliser il est assez simple de déclarer que les vols paris Tel Aviv n’ont pas de classe affaire. Point.

Quant aux réponses aux réclamations soumises ( une en vol à l’aller, une deux jours après en ligne sur le site, et la dernière en vol sur ce fameux vol), j’attends toujours une réponse, mais rien ! Rien du tout !

La réponse à ma réclamation

Suite à ma réclamation donc, air France m’a généreusement offert 5000 Miles. Idem pour mon mari, qui est Platinum sur le programme de fidélité Flying Blue ! Dans le mail reçu, on m’invite à lire ce qui est dit sur le site officiel de la compagnie concernant la cabine Business sur ce vol spécifique. Je dois dire que j’ai encore du mal à m’en remettre ! Je n’ai pas pu résister au plaisir de lire entre les lignes.

étude de texte

« À bord, vous disposez d’un siège situé à l’avant de l’avion, dans une cabine séparée – séparée par de charmants rideaux qui restent ouverts au décollage et qui, de toutes façons, n’empêchent personne de passer – vous pouvez ainsi embarquer et débarquer de façon prioritaire. Le siège à côté de vous reste libre pour garantir votre confort et votre tranquillité. Oui, enfin, ce siège libre l’est aussi pour l’autre passager de la rangée : à qui est-il utile ?
Profitez d’un siège en cuir, élégant et confortable, sur nos Airbus 319, 320 et 321. C’est drôle, mais sur la photo de la cabine entière, on constate qu’en eco les sièges sont exactement identiques ! L’appuie-tête, ajustable, est revêtu d’une têtière en cuir rouge, rappelant l’esprit d’Air France. Installez-vous confortablement : les accoudoirs centraux sont entièrement relevables et vous disposez d’un coussin moelleux. Curieux, ces accoudoirs ne seraient-ils pas exactement identiques en eco ? Mais du coup, pour quel avantage précisement payons nous trois fois plus ? Et sur les vols les plus longs*, nous vous offrons une élégante trousse de voyage contenant un masque et un nécessaire de toilette »

Ou comment Air France se moque ouvertement de ses clients !

17 mai 2019

Fabrique ton porte-monnaie – Monnaie de Paris

Chic et utile, l’art du porte-monnaie, c’est le nom complet de l’exposition qui a ouvert ses portes hier à la Monnaie de Paris, la plus ancienne institution de France et la plus vieille entreprise du monde ! Raconter ici l’histoire du porte monnaie tombait donc sous le sens.

Le porte-monnaie : du Moyen Âge à nos jours

Nous avons tous un porte monnaie dans notre sac ou dans notre poche. Cet accessoire s’est imposé comme un objet utile pratique. Mais il en a parcouru du chemin….

Au commencement était la bourse. Petit sac de peau ( parfois de tissus), fermé par un cordon, elle évolue au fil des siècles, change de nom, devient aumônière ou escarcelle. Pendant longtemps, elle se porte à la taille, souvent dissimulée sous les vêtements, mais elle s’affirme et se montre dès lors que les matériaux et l’esthétique de l’objet en font un accessoire plus élégant.

Viennent ensuite Restauration et Second Empire , et là, le porte-monnaie devient un élément indispensable et incontournable de l’élégance et de la féminité.

C’est grâce à la collection hors normes d’un amoureux de cet accessoire que vous pourrez en admirer une multitude de déclinaisons , aux formes multiples, dans des matériaux des plus variés.

Le porte-monnaie d’aujourd’hui, tel que nous le connaissons, est en cuir bien sur. Pas de surprise lorsque l’on apprend que la marque plus que centenaire Le Tanneur est partenaire de cette exposition.

Et pour offrir une autre dimension à la découverte du porte-monnaie, Le Tanneur propose de créer son propre sans couture, modèle iconique et historique.

Fabrique ton porte-monnaie – Atelier

Trois dates sont proposées pour ajouter la pratique à la découverte de l’exposition. Un atelier pendant lequel vous allez pouvoir créer un porte-monnaie en cuir, guidé par un maitre maroquinier de la maison Le Tanneur. Vous choisirez vos couleurs de cuir, apprendrez les subtilités des rivets mâles et femelle, du pliage, pour finalement repartit fièrement avec votre porte monnaie né de vos mains.

Une façon parfaite de conclure la visite non ? Et quelle fierté de pour dire : « c’est moi qui l’ai fait » !

Alors vous imaginez bien que le temps presse, 3 dates, 14 places par atelier, il n’y en aura pas pour tout le monde !

La Monnaie de Paris 11 quai de conti 75006 Paris

15 mai 20194 novembre 2020

Huit adresses de déco à Paris

On connait Paris référence mondiale de la mode, mais on oublie parfois que c’est aussi dans la capitale que se jouent les tendances déco. Le salon Maison et Objets est la référence absolue, et les dernières années ont vu naitre une multitude d’enseignes qui font la pluie et le beau temps de nos intérieurs.

Fleux – pas une boutique de déco à Paris mais cinq

Fleux est désormais devenu un incontournable pour ceux qui cherchent à apporter une touche personnelle à leur intérieur. Petit à petit la marque a envahi la rue Sainte Croix de la Bretonnerie.

Chaque boutique a sa spécialité. L’une propose de la déco, de terrariums en tapis en passant par tous les objets à la mode du moment. L’autre est dédiée aux enfants. Une troisième propose toutes les fleurs et les plantes dont vous rêvez. Et puis bien sur il y a aussi les meubles. Bref, tout, absolument tout pour que votre appartement devienne unique.

Fleux 39 / 40 / 43 / 52 rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, 75004 Paris Tel : 01 53 00 93 30

Borgo delle tovaglie – le lin à l’italienne

Ah, l’Italie… Le pays de la pasta, du gelato, de la mode, et de l’art de vivre.

Borgo Delle Tovaglie est arrivé directement de ce beau pays il y a maintenant 4 ans. Leur spécialité, celle qui a fait leur réputation : les rideaux en lin sur mesure. Puis des rideaux, Borgo Delle Tovaglie s’est attaqué à toute la maison. Aujourd’hui, la marque propose des canapés, coussins, des nappes et des sets de table, et même des draps, des serviettes de bain ainsi que de superbes peignoirs. dans un lieu organisé « comme à la maison », qui donne envie de prendre le temps, voire même de s’installer et de rester un moment !

Chez Borgo Delle Tovaglie, plus qu’un achat, c’est une expérience à l’italienne qui est proposée. Et maintenant que le soleil est de retour, le patio est ouvert, pour finit la journée au grand air, à l’abri des regards, en sirotant un Spritz !

Borgo Delle Tovaglie 4 Rue du Grand Prieuré, 75011 Paris

Merci – comment ne pas en parler

Merci est LE concept store parisien.

Il fête d’ailleurs ses 10 ans cette année. L’offre ici va des tendances mode au mobilier et ustensiles de cuisine.

Au sous sol, la cuisine et les ampoules et autres éclairages, au rez de chaussée, l’installation du moment, et en demi étage, la mode. Pour finir tout en haut sur le linge de maison et le mobilier !

Un tour des adresses parisiennes à voir passe forcément par le 111 boulevard Beaumarchais !

Merci 111 boulevard Beaumarchais 75003 Paris

Concentration d’enseignes déco rue du Bac

The Conran shop – la déco design de luxe

The Conran shop est installé à l’angle de la rue du Bac, face au Bon Marché. N’y voyez aucun hasard. Le luxe discret de la mode et de la beauté rencontre celui du design. Ici, on vient surtout pour le plaisir des yeux, les prix étant …élevés ! Mais c’est ici que l’on peut trouver les objets de déco les plus spectaculaires !

Du mobilier aussi, les plus belles marques de luminaires … (Flos me semble un bon exemple).

The Conran shop - Luminaires — The Conran shop – Luminaires

The Conran Shop 117 Rue du Bac, 75007 Paris +33 1 42 84 10 01

Le grand Comptoir

A quelques pas de là, toujours rue du Bac, le grand comptoir propose de la décoration abordable et de qualité. Moins extravagante sans doute, mais parfaite pour apporter une touche personnelle à son intérieur, et pour en changer aussi, quand on en a envie, et sans se ruiner !

Le Grand Comptoir 116 Rue du Bac, 75007 Paris +33 1 40 49 00 95

Le showroom de Maisons du monde

Enfin, dans cette rue du Bac, connue surtout pour ses adresses gourmandes, c’est pourtant encore une adresse déco qui a installé son show room : Maisons du Monde.

Nous avons tous feuilleté leur catalogue, et pour beaucoup nous sommes aussi entrés dans l’une de leurs multiples boutiques. Mais quand vient la décision d’achat d’un canapé ou même d’un tapis, au delà de l’image catalogue, une jolie mise en situation facilite le choix. Sans parler de pouvoir toucher les textures et les matériaux. C’est ce que propose le show room. Ici, des dizaines d’échantillons, de tapis, de bois, d’etoffes, pour faire un choix en ayant tous les elements en main. Et puis de jolies mises en situation qui permettent de se projeter si simplement dans un univers du quotidien. Passage obligé donc si vous envisager de vous meubler !

Ici, on achète pas. On choisit, on glane des idées, puis on commande.

Show room Maisons du Monde 100 Rue du Bac, 75008 Paris +33 1 40 47 81 90

La déco là où on ne l’attend pas : sur l’Ile Saint Louis.

La cabane de Louise – une vraie mine d’or

Ouverte il y a quelques mois ( les cartons s’amoncelaient sur le trottoir la première fois que je l’ai vue)

Cette charmante boutique est une de ces adresse que je découvre par hasard, au détour d’une balade. Et comme à chaque fois, c’est un vrai plaisir.

une jolie gamme de produits de déco vases, vaisselle colorée, pour se faire plaisir, sans se ruiner. La matière est ici centrale : bois vieilli, ardoise, rotin pour une touche d’authenticité à nos intérieurs citadins.

La cabane de Louise 10 Rue Jean du Bellay, 75004 Paris +33 1 43 54 60 10

Om’Paris

Juste en face, de l’autre côté de cette rue du Bellay qui nous réserve décidément de belles surprises, il y a Om’déco.

On passe du contemporain au délicieusement vintage et on aime !

Om’Deco 3 rue Jean du Bellay
Ile Saint-Louis 75004 Paris tel : 01 43 54 34 16

11 mai 2019

Cabaia – une marque, un état d’esprit

Cabaia est une marque mono produit qui propose un nouveau produit tous les 6 mois depuis sa création, il y a maintenant 3 ans. Mais plus qu’un produit, elle propose un état d’esprit. Joyeuse, colorée, personnalisable, le coup de coeur en toute saison.

Cabaia- met ton bonnet

Au commencement était un serial entrepreneur, Bastien Valensi. Il pense le concept, choisit sa marque. Très vite rejoint par Emilien Foiret, ensemble ils vont faire grandir Cabaia et développer leur premier produit : le bonnet. Bien vu ! Cet accessoire de mode avait commencé à faire son retour sur les têtes des fashionistas. Un bonnet Cabaia, c’est plus qu’un bonnet, c’est un état d’esprit.

Colorés, ils répondent tous à un nom de cocktail. Pour que cet accessoire en soit en fait plusieurs chaque bonnet est livré avec trois pompons. Parfait pour changer de look en un clin de pression.
Ce n’est plus la saison mais je dois vous dévoiler le secret de l’hiver prochain : Cabaia sort une collection de bonnets bébé et enfants, dur le même principe avec une doublure douillette en sus !

Fini le drame de la chaussette orpheline

Cabaia a résolu ce problème auquel nous avons toutes été confrontées un jour : celui de la chaussette orpheline. Leurs chaussettes, vendues en paires ( petit clin d’oeil à une marque qui revendique une solution en vendant des paires de 3 chaussettes! Mais What???) sont inséparables !

Donc, sur les chaussettes Cabaia, les inséparables, un bouton sur l’une, une boutonnière de l’autre. Avant de les mettre à laver il suffit de les assembler et le problème est réglé. De plus, leurs motifs mettent de la joie dans vos chaussures !

Tour du monde en 80 sacs

Last but not least, le dernier né des concepts est le sac à dos. Proposé en 11 couleurs, il offre une multitudes de possibilités de le personnaliser grâce aux 22 pochettes disponibles.

En effet, chaque sac contient une pochette de la même teinte, qui peut rester dans le sac ou de fixer sur l’extérieur. Et une deuxième, imprimée , pour ces jours gris où l’on a envie de mettre de la bonne humeur dans notre vie. Le bonnets portent des noms de cocktails, pour les sacs, ce sont des noms de ville et pour chaque pochette, celui d’un monument historique. Voyage, voyage !

Autre particularité du sac à dos Cabaïa, son design ! Contrairement aux sacs à dos traditionnels tels que nous les connaissons, le Cabaïa s’ouvre par le haut, pour plus de simplicité, et peut aussi se porter à bout de bras, avec ses deux poignées supérieures.

Tant de bonnes raisons d’être séduit par Cabaïa !

3 mai 201929 novembre 2019

L’Isle sur la Sorgue – village monde

L’Isle sur Sorgue est une charmante petite ville du Vaucluse. Connue pour sa douceur de vivre, ses antiquaires, ses deux foires internationales à la brocante. Cette petite ville déjà familière des amateurs de chine et jolis objets vintage, se réinvente et se donne un objectif ambitieux : conquérir le monde !

L’Isle sur la Sorgue – village monde

Depuis précisément un an, la ville a lancé sa propre marque. Fédérer les habitants, privilégier les projets innovants locaux, créer du lien et donner la possibilité à tous de participer à ce grand projet sont les objectifs de cette démarche ambitieuse et unique !

Depuis un an donc, l’équipe de la Mission Village Monde s’emploie à proposer rencontres, projets et idées pour faire découvrir les talents et les savoir faire de cette petite ville. Et ça marche. Le maitre mot : dynamisme !

Brun de Vian Tiran – joyau de l’Isle sur la Sorgue

Dans cette démarche d’innovation et de dynamisme, Brun de Vian Tiran a donné l’exemple avec force et vigueur. Cette entreprise historique de la région, 1^er fabricant de couvertures naturelles en France, a ouvert depuis peu un lieu unique au coeur de l’Isle : la Filaventure.

Cette manufacture de plus de 200 ans propose plaids et couvertures d’une douceur doublée d’élégance comme peu savent le faire. Et pourtant, jusqu’à l’année dernière, l’usine ne se visitait pas, les produits ne s’achetaient qu’en ligne ou dans quelques rares boutiques de la région.

Mais tout cela est fini, bien fini ! Une superbe boutique accueille désormais les amoureux du beau. C’est là également qu’est installé le musée de la manufacture, la Filaventure. Vous y découvrirez les étapes de fabrication qui se déroulent à quelques pas de là. Encore une parfaite illustration du dynamisme de la ville.

L’Isle sur la Sorgue – les nounours de la rue Carnot

Dans la série des nouveautés, l’année dernière, un commerçant de l’avenue des Gobelins dans mon 13ème arrondissement de Paris, a eu une idée géniale. Il a redonné vie à cette avenue méconnue en proposant à tous ses commerçants d’accueillir un nounours. Les nounours des Gobelins étaient nés, bénéficiant d’un capital sympathie qui allait bien au delà des espoirs de ceux qui leur avaient donné naissance !

Les bonnes idées ont la particularité de voyager vite. Et c’est ainsi que je me suis retrouvée nez à nez avec des ours dans une des rues principales du centre de l’Isle sur la Sorgue !

Les commerçants de la rue Carnot ont décidé d’adopter ces adorables nounours et de les mettre en scène dans leurs boutiques respectives ! Avec le même succès qu’à Paris !

L’isle sur la Sorgue – mes adresses fétiches

Je peux dire aujourd’hui que l’Isle sur la Sorgue est ma deuxième maison. J’en suis d’ailleurs devenue moi-même ambassadrice. Quand j’arrive en ville, j’ai mes étapes incontournables. Par exemple, aller saluer quelques uns des commerçants de la ville. Pour commencer, au 15 de la rue Carnot, il y a « Au décor de la Table » et le sourire de Gisou ! Chez elle on trouve des plats à tarte dont le fond perforé garantit une cuisson parfaite de la pâte. Et puis il y a aussi des plats et assiettes qui ressemblent à s’y méprendre à de la céramique, et pourtant… Sans oublier toutes les tasses, gobelets, machines à café à l’italienne dont vous pouvez rêver !

Ensuite, vient le temple de la déco et du mobilier, »Côté Parc« . C’est le repère de Nelly, sa propriétaire au coeur gros comme ça, et au ton bourru.On y trouve tout mobilier et déco, tant pour l’intérieur que pour l’extérieur. Sans oublier ces kiosques de jardin dont elle a le secret.

Et puis je me précipite chez Lillamand, où je déguste avec délice les meilleurs petits calissons de la région !

Enfin, et parce qu’il ne faut pas oublier que nous sommes ici au coeur du monde de la brocante et des antiquités, je passe toujours bavarder avec Anne et Jérôme. Ils sont spécialisés en éclairage et mobilier industriels et sont installés au coeur du plus ancien village d’antiquaires de la ville : « le village des antiquaires » .

Bref, vous l’aurez compris, j’ai l’Isle sur la Sorgue au coeur !