Visiter New-York (dans le froid et sous la pluie)

Je m’appelle Nathalie et je suis amoureuse de New-York. Voilà, c’est dit. Et lors de mon séjour dans la ville il y a maintenant une semaine, mon amour inconditionnel a été mis à rude épreuve. Parce qu’il faut bien le dire, parfois, les éléments se liguent contre toutes les bonnes volontés. Et apprécier la « grosse pomme » alors qu’une tempête souffle sur le pays, et que la température est passée de 20° le samedi  à 5° le dimanche, c’est un challenge de taille. Bon, évidement, il est toujours temps d’aller ailleurs, en choisissant parmi ces itinéraires aux USA. Mais rien ne m’arrête quand il s’agit de New York, et je ne manque pas d’imagination. Alors c’est parti !

Visiter New-York – Toujours et encore

Personnellement commencer un séjour à New York passe par quelques incontournables. Time Square, la cinquième avenue, Central Park en font partie. C’est donc ce que nous avons fait en cette première journée, qui a eu la bonté de nous offrir soleil et douceur dès la descente de l’avion. Et puis il y a Bryant Park, devant la New York Public Library. Ce genre de parc qui n’existe pas à Paris. Des centaines de chaises à disposition, des kiosques pour se désaltérer ou se nourrir, des zones dédiées aux jeux type échecs, dames ou dominos. Un havre de paix au coeur de l’agitation citadine, ouvert du matin jusqu’à la nuit, sans grilles ni portes closes qui en interdiraient l’accès. Les New-Yorkais l’adorent, et moi aussi !

Visiter New-York – et découvrir ses musées

Mais tout ça, c’est possible exclusivement quand il fait beau. Et comme je le disais, le temps n’a pas été vraiment au rendez-vous lors de cette semaine d’avril 2018. Heureusement New York propose une diversité de musées qui n’a rien à envier à notre belle capitale ! D’ailleurs, le long de Central Park, entre la 82nd et la 95th street, se trouve une portion de la Cinquième avenue intitulée : the Museum mile. Tout est dit n’est-ce pas ?

Dans ce périmètre, sagement alignés le long de la cinquième, mais aussi sur Madison, et sur quelques unes des rues transverses, on trouve dans le désordre : le MET Breuer, extension du Metropolitan Museum of Art dédié à l’art contemporain, le MET itself, le Guggenheim, et puis la Neue Galerie , et aussi le Jewish museum. San oublier la Frick collection.

Chacun offre une proposition qui lui est propre, une signature qui permettent de faire son choix en connaissance de cause.  Faisons donc un petit tour d’horizon.

  • Le Metropolitan Museum of Art : c’est l’équivalent de notre Louvre national. Plus ou moins. Parce qu’il faut bien le dire, c’est le Louvre qui caracole en tête des plus grands musées du monde, le MET ayant une honorable 4ème position. Cependant, il faut l’avouer, les collections proposées sont spectaculaires. Même pour la française que je suis. Parce que l’espace dédié à l’art européen du 19ème et début de 20ème propose des oeuvres spectaculaires de nos Monet, Cézanne ou Pissaro. Et puis il y a les collections. Riches, aux propositions multiples. Dans un tout autre registre, il y a aussi l’espace médiéval, impressionnant également. Le maitre mot est le suivant : ne pas manquer le MET, mais préparer sa visite en sélectionnant un, deux ou trois espaces et en renonçant volontairement aux autres. C’est la seule façon de véritablement apprécier sans finir sur les rotules et la tête sans dessus dessous. Et si je ne devais en garder qu’un ou deux, voici les tableaux qui m’ont transportée.
  • Le MET Breuer, qui a pris la place du Whitney Museum désormais installé au Meatpacking. Ici, l’art contemporain est  à l’honneur avec des installations, des évènements, et des expositions éphémères.
  • La Neue Galerie : ce musée est très particulier. En effet, il abrite un des plus célèbres tableau de Klimt : le portrait d’Adèle Bloch Bauer. Ce tableau, restitué par le gouvernement autrichien à sa propriétaire en janvier 2006, avait tout d’abord était volé à sa famille par les nazis durant la guerres. Il a fallu des années à Maria Altmann pour récupérer ce tableau qui représentait sa tante Adèle. Ce tableau est désormais exposé définitivement dans ce musée, où on peut l’admirer, pour la beauté de l’oeuvre mais aussi pour le symbole qu’il représente. Pas de photo de l’oeuvre puisque le musée l’interdit, mais une illustration captée lors de mon passage à l’exposition KLIMT de l’Atelier des Lumières.

Visiter New York – en restant dans des lieux clos

La ville est spectaculaire, ses musées magnifiques, et elle offre également des lieux incroyables qui n’ont pas d’égal ailleurs dans le monde. Commençons par l’extraordinaire New York Public Library.

L’accès en est gratuit, et il ne faut pas manquer la Rose Reading Room ( salle de lecture ) . Elle est ouverte au public et on peut s’y installer pour feuilleter un livre. Un moment suspendu dans le temps.

Et puis il y a la gare, Grand Central Station. Initialement construite en 1861, c’est en 1913 qu’elle revêt son aspect actuel. Elle manque d’être détruite à deux reprises en 1966 puis en 1976 mais ce sera grâce à Jackie Kennedy qu’elle deveint finalement monument historique nous permettant ainsi de pouvoir l’admirer aujour’hui.

Alors voilà, si un jour vous vous retrouvez à New-York par mauvais temps, vous avez l’embarras du choix. Sans oublier le shopping bien sur. Mais pour cela, il faudrait un article dédié. Je vais y penser ! Je vous dis donc à très vite pour une autre visite de New York, et pour les autres destinations de voyage qui pourraient vous tenter, il y a toujours Comptoir des Voyages.

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Frichti et Wework – une idylle est née

Frichti : kezaco ? Wework : mais de quoi s’agit-il ? Vous ne savez répondre à aucune de ces questions ? Une vague idée peut-être ? En tous cas, ce que je peux vous dire, c’est qu’ils se sont associés pour créer une nouvelle offre à leur image. Frichti et Wework, c’était naturel : deux startups qui multiplient les idées. C’est les weworkers qui sont contents !  Décryptage.

Frichti : pour manger frais, bon et à un prix abordable

Frichti est une toute jeune startup de la food tech. Elle vous propose de bien manger en vous faisant livrer chez vous, sur votre lieu de travail, seul ou à plusieurs, et à toute heure de la journée. Enfin, si vous habiter à Paris ou sa très proche banlieue. Des produits frais, en provenance de producteurs locaux. Cuisinés chaque jour dans le laboratoire Frichti du sud de Paris, vos plats vous sont livrés dans un créneau horaire de une heure que vous choisissez vous même, en camions électriques puis vélos ou scooter électrique. 100% propre donc.

Une offre variée, faite de 8 entrées, 8 plats, 8 desserts, et une carte qui change tous les jours, c’est ce que propose Frichti pour ceux qui rêvaient de manger vite et bien, et le tout sans se ruiner puisque le prix moyen du repas se situe entre 9 et 12€

Wework

Comme son nom le laisse deviner WeWork est un espace de coworking. Importé des Etats Unis, le premier espace s’est installé rue Lafayette il y a un an et le succès va au delà des espérances si on en croit la foule de weworkers croisés partout dans le bâtiment. Des bureaux, dédiés ou pas selon le type d’abonnement, mensuel dans tous les cas, un excellent café  à volonté, l’accès aux multiples salles de réunions, voilà ce que vous proposent ces 12000m2 de surface.

Sans oublier la sublime terrasse avec vue sur le Sacre Cœur ! Et puis il y a les lunchs pédagogiques pour favoriser l’échange, le partage, tout ce qui fait l’ADN d’un espace de coworking bien pensé. Un tel succès d’ailleurs qu’il n’y a plus d’abonnement en mode bureau dédié disponible pour le moment !

Frichti et Wework – le garde manger

Wework parle aux startupeurs alors c’est tout naturellement que naît l’idée de ce partenariat avec Frichti. Un point de réception dans l’atrium de ce bâtiment art deco préservé pour vivre une nouvelle vie, un engagement de délai de livraison raccourci puisque c’est en un quart d’heure que l’on peut récupérer son repas, voilà les atouts de ce garde manger qui pourra répondre à tous les appétits et toutes les envies des weworkers.

Alors, weworkers, vous savez désormais où vous fournir pour déjeuner. Et pour les autres, ceux qui n’ont pas de bureau chez Wework, vous pouvez commander Frichti chez vous, ou sur votre lieu de travail, traditionnel ou pas ! Bon appétit !

WeWork 33 Rue la Fayette, 75009 Paris

Hugo and Co – le bébé de Tomy Gousset

On ne présente plus Tomy Gousset, mais pour ceux qui ne le connaissent pas vraiment (c’était mon cas) , ce jeune chef prodige a fait ses classes chez les plus grands pour finalement créer en 2016 son premier restaurant : Tomy & Co. Le succès est très vite au rendez-vous, et il ouvre en mars de cette année son deuxième bébé, qui porte d’ailleurs le nom de son fils : Hugo and Co.

Hugo and Co – le plaisir en partage

Chez Hugo & Co, cuisine ouvertes et grandes tablées facilitent échanges et rencontres. Le chef est toujours présent et disponible pour répondre à vos questions, raconter ses créations. Mobilier sobre et décor brut à base de cagettes réinventées et végétation citadine. Quelques tables sur la rue Monge attendent le soleil estival. La salle est lumineuse et chaleureusement accueillante .

Hugo and Co – ce qu’on y mange

Ici, pas de chichi. La carte est conçue pour que le partage commence par l’assiette. Attention, il ne s’agit pas de portions en mode tapas, chaque assiette consistant en une véritable entrée individuelle si on le souhaite, mais l’intitulé à lui seul pousse à proposer l’échange puisqu’il s’agit d’assiettes « à partager » .

A des plats dans l’air du temps, le chef apporte sa signature, et elle est unique. Il invente également, tout en restant dans la simplicité et l’éloge des saveurs. Le résultat est une magnifique surprise gustative. Et être subjuguée par une entrée, cela n’arrive pas tous les jours. Pourtant, je vous le dis, il y a une touche de magie dans son pancake salé !

Les plats sont savoureux et généreux (lisez « drôlement bons et très copieux  » !) . Quant au dessert, ou plutôt « aux desserts » lees mots me manquent. Et cela n’arrive pas souvent. Commençons par les madeleines. En voyant arriver une assiette de 9 madeleines, on se dit bien sur qu’il ne sera pas possible d’en venir à bout…

FAUX !

Elles sont aériennes, légères, fondantes en bouche, et elles se laissent dévorer sans aucun effort !

Hugo & Co - dessert
Hugo & Co – dessert

Et puis il y a le riz au lait. A priori rien de renversant.. Et bien si justement ! Serait-ce la texture fondant ? Le petit plus du dulce de leche à tendance addictive ? Ou l’alliance parfaite du granola craquant et du moelleux du riz cuit à la perfection ? Je dirais simplement que tout est dans la recette secrète du chef !

Hugo&Co – pourquoi j’y reviendrai

Je reviendrai simplement pour le plaisir. De tout tester, de bavarder, d’échanger. Pour le plaisir de faire de cette adresse une de mes adresses fétiches, presque de quartier. Aucun risque de lassitude : la carte change tous les mois ! Et puis trouver de telles adresses, à la proposition simple et de qualité , cela n’arrive pas tous les jours.

Hugo&Co 48 Rue Monge, 75005 Paris

Atelier Paulin – vous avez un message

A l’origine de chaque belle marque, il y a souvent une histoire personnelle, et une rencontre déterminante. C’est précisément le cas d’Atelier Paulin. Quand Anne-Sophie, sa fondatrice, cherche en vain un bracelet fin et délicat à l’image de sa petite Colette qui vient de naitre, elle finit par s’adresser à un artisan qui confectionne ce bijou talisman qu’elle ne quittera plus. Sarah Colette, du concept store éponyme, la repère, et c’est le succès fulgurant de cette marque aux messages chargés d’émotions.

Atelier Paulin – la naissance d’une marque

Anne-Sophie Baillet et Mathias Lavaux créent Atelier Paulin en 2014. Passionnée de mode et de bijoux, c’est dans l’évènementiel qu’elle fait l’essentiel de sa carrière. De ce parcours  elle gardera l’envie de créer l’expérience et l’évènement autour de chacune de ses créations. Mathias lui est particulièrement sensible au design, à l’artisanat et aux objets rares. Elle s’est lancée, il la rejoint, et ensemble ils donnent naissance à Atelier Paulin. Quant à Pauline, qui m’a accueillie lors de ma découverte de la boutique atelier rue Richelieu, elle travaille dans l’univers de la bijouterie depuis 15 ans et parle avec passion de cette nouvelle vie dans un atelier ouvert qui lui permet de rencontrer ceux pour qui elle va créer et de partager leurs émotions.  « Aller à la rencontre de l’autre met dans une énergie positive« , vous le percevrez immédiatement quand vous la rencontrerez pour concevoir votre bijou.

Atelier Paulin –  un bijou, des messages

Le bijou signature est donc le bracelet. d’une simplicité discrète, il portera un mot, un prénom, un rêve, celui que vous aurez décider de porter ou d’offrir. Intemporel et délicat, il est réalisé dans une technique ancestrale de la bijouterie : le travail du fil de métal précieux. Ici, il peut s’agir d’argentium, de fil goldfilled 9 et 14 carats voire même de fil d’or 18 carats. Lisse, torsadé, il se pliera à toutes vos envies. En complément du bracelet, Atelier Paulin crée earcuffs et créoles, broches et boutons de manchettes. Très récemment les bagues ont également vu le jour. Les bijoux Atelier Paulin ont un pouvoir quasi thérapeutique, chargés de la force du message transmis, portés au quotidien, au plus près de soi.

Atelier Paulin
Atelier Paulin

Atelier Paulin – là où tout commence

C’est dans la boutique atelier 60 rue Richelieu que vous pourrez découvrir les collections, choisir votre bijou, le message qu’il portera, et assister en direct à son éclosion dans les mains expertes de Pauline ou de l’un des autres artisans qui exerce ici son talent. Bien loin du mythe de l’atelier poussiéreux où outils abandonnés côtoient des bijoux en cours de finalisation, tout ici est parfaitement ordonné dans un espace lumineux tant pour le plaisir des clients que pour celui des artisans. Pour les bijoux simples, tout se passera directement sur cet établi pliable et transportable conçu par Mathias. Les commandes spéciales elles seront exécutées dans le studio, simplement séparé de la boutique par de larges baies vitrées.

Atelier Paulin dispose également d’un espace permanent au coeur du Bon Marché. Par ailleurs, toujours pour surprendre, et aller à la rencontre de tous les inconditionnels de bijoux talisman, des évènements sont régulièrement organisés partout en France. Sans oublier New York, ou un corner est installé depuis peu. Les messages d’amour n’ont pas de frontière !

Atelier Paulin 60 rue de Richelieu 75002 Paris

 

Ca se passe à La Conciergerie en 2018

Les pierres de La Conciergerie pensaient avoir tout vu, démonstration est faite qu’elles ne sont pas au bout de leurs surprises. Après avoir accueilli des rois, des condamnés, et de célèbres futures guillotinées, La Conciergerie ne devait pas s’attendre à ce qui lui est réservé en cette année 2018 !

La Conciergerie en 2018 – enquête policière

Vous êtes passionné de mystères historiques et d’enquête policière, vous rêvez d’élucider une énigme apparemment insoluble ? Ceci est pour vous. Durant toute l’année La Conciergerie organise pour vous des murder parties. Alors que vous pénétrez dans la superbe salle des Gardes, au sein de la Conciergerie, à deux pas de la Préfecture de police une horrible nouvelle tombe : un meurtre vient d’être commis dans les cellules révolutionnaires de la Conciergerie. Il va falloir mener l’enquête, découvrir l’Histoire et ses petites histoires connexe pour percer le secret. En famille, entre amis ou seul, mais tous ensemble en équipe vous allez étudier les indices, découvrir des preuves accablantes, et peut être tout comprendre !

Crédit Photo Alexandre_Sim
Crédit Photo Alexandre_Sim

Attention, cette activité ludique est très demandée, alors pensez à réserver.

La Conciergerie – détournement

« La Seine n’a pas de souci, elle se la coule douce, le jour comme la nuit …. Jacques Prévert »

C’était sans compter avec Stéphane Tidet qui décide de s’emparer du fleuve pour lui faire suivre des méandres insoupçonnés.Avec « Détournement » il souhaite revenir sur un évènement historique et aquatique qui a marqué la vie de La Conciergerie : la crue de 1910 lors de laquelle la Seine pénétrait déjà dans les lieux, sans y être invitée cette fois.  Stéphane Tidet détourne donc l’eau de la Seine en la pompant pour la faire passer au dessus du quai de l’Horloge, pénétrer dans l’édifice par les cuisines historiques, surgir en cascade à l’intérieur pour serpenter entre les colonnes gothiques de la salle des gardes. Elle ressort entre les deux tours jumelles, César et Argent, et retourner en cascade dans son lit.

La conciergerie – un peu d’histoire

C’est sur l’île de la Cité qu’est installée la Conciergerie, autrement dit, là où tout a commencé. C’est au VIème siècle que Clovis y installe son Palais royal. Quant à Philippe Auguste , c’est en 1200 qu’il en fait le siège du pouvoir capétien.  Saint Louis apporte tout l’éclat de la Sainte Chapelle à ce Palais Royal.

Aujourd’hui Palais de Justice, il commence sa carrière dans ce domaine avec les grands procès du tribunal révolutionnaire installé au Palais qui marquent le basculement de la Révolution dans la Terreur. Marie Antoinette fut sans doute la détenue la plus célèbre de l’édifice puisqu’elle y séjourna pendant les jours qui précédèrent son exécution.

La Conciergerie 2 Boulevard du Palais 75001 Paris

 

Arlette et Paulette – histoire de famille

Jeune diplômée d’une prestigieuse école de stylisme, Capucine, la créatrice d’Arlette et Paulette, perpétue avec sa marque une tradition familiale de savoir faire. Elle crée pour nous les incontournables d’une garde robe élégante et abordable « Parce que tout le monde devrait pouvoir s’offrir une pièce de créateur «

Arlette et Paulette – Capucine, la créatrice

Arlette, sa grand mère, était chapelière, et Paulette, sa grand tante, modéliste.

C’est avec elles qu’elle grandit et apprend à coudre, à bricoler, à créer. Elles lui transmettent leur savoir faire et elle leur rend hommage en donnant leurs noms à sa marque. Dès l’enfance elle est passionnée de vêtements et tenues féminines. Elle développe rapidement une idée très précise du style qu’elle affectionne. La découverte des matières est le déclic qui la guide vers le stylisme. C’est à ESMOD qu’elle apprend le métier. Elle rêve d’un retour à une consommation raisonnée pour acheter peu mais bien. Et c’est dans cet esprit qu’elle pense ses collections.

Arlette et Paulette – les créations

Ses créations se veulent résolument modernes. Des pièces sobres, basiques revisités, véritables incontournables de la garde robe. Les matières utilisées sont nobles comme le velours en hiver, la soie, le lin ou le coton. Elle sélectionne ses étoffes au coup de cœur en France, en Angleterre ou en Italie.

La marque Arlette et Paulette propose des vêtements de créateur accessibles pour tous. La pièce iconique étant la chemise Denise, à mi chemin entre chemise et bomber, que l’on retrouve à chaque saison.

Et si vous vous demandez d’où vient le ce nom, ne cherchez plus : il s’agit du prénom de la deuxième grand mère de Capucine !

Arlette et Paulette – Atelier showroom

C’est dans un immeuble discret de la rue de Prague que se trouve le showroom atelier d’Arlette et Paulette.

Il est à l’image de Capucine, et à l’image de ses collections : sobre, aux lignes pures, lumineux et au style impeccable.

C’est la qu’elle dessine, coud et pique. Son atelier est au cœur de son village, Paris. Elle s’y déplace à vélo de Republique à la rue de Prague, entre fournisseurs, façonnier et atelier. Un réseau de savoir-faire unique et indispensable sur lequel elle s’appuie, elle qui est seule à la tête de sa marque.
Pour découvrir ses créations, les essayer, il suffit de prendre rendez-vous et elle vous accueillera avec plaisir dans son univers. Pour que vous puissiez vous aussi avoir dans votre garde robe une pièce unique qui traversera les modes et les saisons.

Arlette et Paulette 1 rue de Prague 75012 Paris

Pour prendre rendez-vous : https://arletteetpaulette.fr/pages/contact

L’Ebauchoir – un bistro délicieusement unique

L’Ebauchoir est une belle surprise, une pépite de la restauration parisienne, l’adresse que l’on attendait plus.  Quel bonheur de découvrir qu’il existe encore de si jolies adresses à Paris, accueillantes, et qui proposent une assiette simple, généreuse, et abordable. Et en plus il y a un tel génie dans leur gâteau de riz … !

L’ébauchoir – coup de coeur absolu

L’Ebauchoir est un charmant bistrot parisien à la décoration délicieusement rétro, faite de carreaux de plâtre aux couleurs passées, comptoir boisé et tables en bois pâtiné au pied en fonte.  Niché dans une petite rue piétonne, à deux pas du célèbre marché d’Aligre, l’Ebauchoir est la cantine des habitants du quartier, des habitués du marché, et de tous ceux qui ont eu la chance de croiser son chemin un jour ou l’autre.

L’Ebauchoir – ce qu’on y mange

Deux menus sont proposés pour le déjeuner. Les produits sont frais et de saison, et tout est fait maison. Le label « Mangeons local en Ile de France » en est la garantie. au menu donc, les grands classique du bistro dans leur parfaite simplicité. Dans la version à 14€ l’avocat est parfaitement assaisonné, sa chair ferme et goûteuse, et la vinaigrette de la salade qui l’accompagne quasi addictive. Une proposition courte mais qui répondra à toutes les envies et exigences, que l’on soit plutôt carnivore ou carrément végétarien. Et je me dois de revenir sur ce dessert dont j’aurai sans doute pu finir le plat s’il avait été posé sur notre table : le gâteau de riz grand mère ! Quand on passe à la version 26€, pourquoi ne pas se faire plaisir en se laissant aller à la dégustation d’huitres en entrée, et de profitéroles en dessert ?

L’Ebauchoir – pourquoi j’y retournerai

La réponse est simple : pour le plaisir. Pour le plaisir de tester un autre menu, un autre plat, et surtout un autre dessert. Pour le plaisir du joyeux brouhaha de la salle, le plaisir du sourire du serveur, et celui de la chaleur du propriétaire.

Pour le plaisir aussi de tester d’autres vins que le délicieux Faugères dégusté lors de ce déjeuner, le restaurant travaillant avec la cave voisine : Le siffleur de Ballons.

Pour le plaisir de partager cette adresse en somme.

L’Ebauchoir 43- 45 Rue de Cîteaux, 75012 Paris 

Cécile & Jeanne – rencontre avec Jeanne

Cécile & Jeanne, c’est l’histoire d’une passion. Parce que pour Jeanne, le bijou est comme une évidence. C’est en 1990 qu’elle créé la marque avec son frère et c’est en hommage à leur mère, Cécile, qu’ils choisissent le nom de leur marque. Pionnière du Viaduc des Arts, elle s’y installe en 1996 pour ne plus le quitter.

La créatrice

Jeanne est une conteuse.

Intarissable quand on l’interroge sur Cécile & Jeanne, elle met la même énergie à imaginer, à concevoir et à créer ses bijoux. Comme toute conteuse, elle transmet.

Son amour de la Paix, quand elle dessine sa Colombe en 1995, devenue le bijou-emblème de la marque, pour l’offrir à Léah Rabin après la mort de son mari. Son amour de Paris, où elle crée depuis toujours, d’abord passage Saint-Sébastien dans le 3ème arrondissement, et maintenant au Viaduc des Arts. Et son amour des femmes qui portent ses bijoux. Sincérité, passion et spontanéité guident sa main quand elle imagine ses collections. Ses sources sont aussi multiples que ses rencontres et que les lieux qui l’entourent. Elle a besoin de la lumière qui inonde son atelier. Et bien sûr de Paris, source d’inspiration permanente.

L’atelier – boutique

« Avoir la chance d’avoir un atelier à Paris c’est comme avoir son propre potager pour un grand chef ». Elle ne pourrait plus quitter son atelier du Viaduc. Espace vaste et lumineux, il règne ici un joyeux désordre organisé.

En premier plan, l’espace boutique accueille les clientes et les promeneurs qui découvrent les présentoirs débordant de sautoirs et de bracelets, mais aussi les éléments de bijoux en attente de montage, les étagères chargées de bocaux de perles et de pierres multicolores.

Parce qu’ici boutique et atelier cohabitent en entente parfaite.

Et c’est protégés par un grand comptoir en bois doré que les deux artisans, formés à la prestigieuse école Boulle, fabriquent et créent les pièces des prochaines collections

Cécile & Jeanne – Savoir faire et créations

Les bijoux Cécile & Jeanne sont pensés pour donner un coup d’éclat à la femme qui les porte.

Boucles d’oreilles imposantes ou discrètes, sautoirs et colliers qui se déclinent en mode graphique ou ultra féminin, pour répondre à toutes les envies.  Jeanne réalise elle-même les dessins qu’elle confie à sa maquettiste.

Viennent ensuite moulage ou découpe, assemblage et soudure, serti fantaisie de pâte de verre, de cristal, résine ou pierre dure, et parfois de perles. Quant aux déchets, n’en cherchez pas. Depuis le premier jour elle les réutilise, les intègre dans son processus de création. Pour finir, la touche finale apportée à chaque bijou, un petit cristal incrusté dans le bijou qui garantit son authenticité. Une signature à l’image de Jeanne : lumineuse et étincelante.

L’atelier et boutique sont ouverts au public. Jeanne participe chaque année aux JEMA ( Journées Européennes des Métiers d’Art ) et elle organise régulièrement des visites en sa présence.

Boutique atelier Cécile & Jeanne 49 avenue Daumesnil – 75012 Paris  01 43 41 60 84
horaires d’ouverture : 11h – 19h – lundi au samedi

Les Deux Magots fait sa (r)évolution !

Les Deux Magots est un établissement parisien que tout le monde pense connaitre. Mais ne serait-ce pas son nom seul qui nous est familier, avec son lot d’idées reçues et d’a priori ? Les Deux Magots est avant tout une superbe histoire de famille, un lieu à la fois historique et chaleureux, incontournable de la capitale. Qui fait aujourd’hui son « évolution sans révolution » !

Les Deux Magots – une histoire familiale

Catherine Mathivat est l’arrière petite fille du premier propriétaire de l’établissement, ancien garçon limonadier. L’histoire du lieu est omniprésente dans la salle principale, avec les banquettes et les fresques qui datent de 1914, mais aussi bien sur dans ces deux sculptures déjà présentes dans le magasin de nouveautés installé là à l’époque. De géneration en génération la tradition se transmet et Catherine est très fière de porter le flambeau qu’elle passera, elle l’espère, à l’un de ses fils. C’est donc elle qui impulse en douceur les innovations et changements de ce café littéraire emblématique de tout un quartier. Pour faire de cette institution un lieu vivant et dynamique. Un lieu multiple pour toutes les atmosphères et toutes les envies.

Les Deux Magots – la décoration et les  nouveaux aménagements

Dans la grande salle , les traditionnels rideaux rouge Opéra ont cédé la place à un vert émeraude, couleur d’origine retrouvée sous les couches de peinture du plafond. Quant à la terrasse verrière du Boulevard Saint Germain, elle s’est transformée en espace lecture, proposant des étagères chargées de nombreux ouvrages mis à disposition par les éditeurs voisins.

Et puis il y a les terrasses extérieures, prêtes à accueillir les clients dès le premier rayon de soleil grâce à une exposition particulièrement favorable !

La terrasse jardin est d’autant plus appréciée qu’elle offre une vue imprenable sur la plus ancienne église de Paris.

Les Deux Magots – la nouvelle offre de restauration

Au commencement Les Deux Magots était un café limonadier, servant donc exclusivement des boissons. Au fil des ans, l’établissement commence à proposer une offre restauration légère, faite de salades et croques en tous genres.  La carte s’étoffe peu à peu, tout particulièrement celle du soir. Mais aujourd’hui, le pas est sauté, et la proposition est on ne peut plus complète. Des formules petit déjeuner, un semainier à midi pour déguster chaque jour un délicieux plat complet, et une carte variée pour le soir. Les plats proposés sont cuisinés maison avec des produits de saison, les viandes sont françaises, et le bio fait une entrée fracassante dans la carte.
Pur compléter la carte, le restaurant a établi de superbes partenariats avec des marques françaises de qualité : Hermé pour la pâtisserie, Berthillon pour les desserts glacés, et bientôt Alain Millat et ses jus de fruit.

Les Deux Magots présentent des singularités multiples qui le rendent unique. Par exemple, les alcools qui sont servis à la bouteille devant le client , tradition de limonadier oblige. Ou encore le chocolat chaud maison pour lequel les gourmands seraient prêts à tout !

Les Deux Magots – Litttérature et musique

A lieu exceptionnel, experiences uniques. Le prix littéraire des Deux Magots  en est à sa 86ème édition, mais l’établissement accueille également le prix Pelleas, qui récompense chaque année l’ouvrage sur la musique aux plus belles qualités littéraires, ainsi que le prix Apollinaire, qui célèbre la poésie.

La musique va faire swinguer les lieux avec l’arrivée des jeudis du jazz. Tous les jeudis soir de mi octobre à fin mai sous la houlette de Lionel Bocara, jazzman à la longue carrière musicale, qui jouera mais qui organisera la programmation de ces rendez-vous.

Sachez que vous n’êtes pas au bout de vos surprises : très prochainement des visiteurs innattendus pourraient bien traverser le miroir pour nous rejoindre dans la salle du café….

A très vite, aux Deux Magots !

Les Deux Magots 6 place Saint-Germain-des-Près 75006 Paris
Ouverture non stop de 7:30 à 01:00 7/7 toute l’année

Chocolats de Pâques – 3 escales gourmandes

Si je vous dis chocolats de Pâques, vous répondez ? Oeufs ? Lapin ? Poule peut-être. C’est sans compter avec l’inventivité de talentueux chocolatiers qui font tout pour nous surprendre, année après année. Partons donc pour un voyage chocolaté, parisien, en trois escales gourmandes.

Chocolats de Pâques escale 1 – le 100% arty luxe

Le Shangri-La est un des 10 palaces parisiens. L’excellence est donc la signature de cet établissement, et la proposition gourmande n’est pas en reste.

Cette année le chef Pâtissier du Shangri-La , Michaël Bartoce, prend les gourmands par surprise avec son œuf de Pâques «Galaxio», imaginé à l’occasion de l’exposition « Artistes & Robots » qui se tiendra au Musée du Grand Palais du 5 avril au 9 juillet 2018.

Il y a le vaisseau Galaxio, en chocolat noir caraïbe 66% doux et fruité, parsemé de graines de Kasha, noisettes caramélisées et fleur de sel, mais j’ai clairement succombé à son capitaine : Spacio. Parce que c’est lui qui détient le trésor : un délicieux praliné noisette et Kasha, délicieusement croustillant et fondant en même temps !

Ce vaisseau vous propulsera dans un monde de gourmandise, et vous transportera également dans le futur puisque lors de l’acquisition de cette gourmandise vous vous verrez remettre un laissez-passer pour deux personnes permettant d’aller découvrir l’exposition « Artistes & Robots » au Grand Palais.

« L’Œuf Galaxio » – 500 grammes – hauteur 15 cm – en édition limitée du 10 mars au 5 avril 2018.
En vente à emporter au Shangri – La Hotel, Paris au tarif de 78€ 
réservation 24h à l’avance au restaurant La Bauhinia : 01 53 67 19 91

Chocolats de Pâques escale 2 – le 100% parisien

Il ne reste quasiment plus d’atelier de fabrication de chocolat à Paris, et pourtant la Maison FOUQUET persiste et signe.

C’est donc dans leur laboratoire rue Lafitte que leur praliné est confectionné dans de grands chaudrons en cuivre qui sont dans la famille depuis des générations, préservés avec amour puisqu’ils ne sont plus fabriqués, alors qu’indispensables à la fabrication d’un caramel parfait.

Pour Pâques, les enfants sont à l’honneur. Ils pourront se régaler en confectionnant leur puzzle, ou juste après l’avoir terminé !

Impossible de résister au regard mutin de ce charmant petit lapin ! Même les adultes vont craquer.

La maison FOUQUET propose le meilleur praliné de la place de PARIS, c’est moi qui vous le dis ! Précipitez-vous donc car la production est limitée et les amateurs nombreux.

Maison FOUQUET 36 rue Lafitte 75009 Paris

Chocolat de Pâques escale 3 – le 100% personnalisable

Jadis et Gourmande est un chocolatier artisanal, 100% francilien. Cette dimension à taille humaine lui permet de répondre à toutes les attentes, les rêves et les envies des gourmands qui croisent sa route.

Parce que Jadis et Gourmande s’adapte à toutes les demandes et toutes les envies. Chocolats personnalisés, lettres en chocolat permettant de nommer le destinataire du présent gourmand, tout est possible chez Jadis et gourmande.

Pour l’édition 2018 des chocolats de Pâques, c’est l’univers marin qui est à l’honneur, avec une vitrine aux airs d’aquarium !

Oeufs géants peuplés de créatures aquatiques côtoient des oeufs de toutes les sortes, ce ceux que l’on pourrait tester en omelette à ceux inspirés des célèbres créations de Fabergé.

Et si vous voulez découvrir le nirvana du chocolat, demandez « une tresse » et laissez vous faire. Vous m’en direz des nouvelles.

Jadis et Gourmande 39 rue des Archives 75004 Paris ( ou une des 4 autres boutiques parisiennes)

Et joyeuses fêtes de Pâques à tous !