
De la soie, encore de la soie, toujours de la soie
Pour une mode plus durable



blog Paris : bons plans, restaurants, expositions, shopping…
Tomettes usées, parquet qui craque, un superbe comptoir en bois, des meubles de métier et des trésors à chaque recoin. Bienvenue dans l’univers délicieusement suranné de Marin Montagut. C’est au coeur de Saint Germain des Prés, au 48 rue Madame, que ce voyageur invétéré a décidé de poser ses pinceaux. Pour notre plus grand plaisir.
Après avoir exercé ses talents dans des univers multiples, l’artiste a donc décidé de poser ses carnets.
Et c’est dans cette antre aux mille trésors qu’il nous accueille désormais pour partager ses créations et ses découvertes. L’adresse est nouvelle et pourtant le lieu a déjà une âme.
Chaque objet porte une histoire, chaque création est unique.
Chez Marin Montagut, on a immédiatement envie d’explorer chaque recoin, d’ouvrir chaque tiroir dont on imagine immédiatement qu’ils recèlent tous objets merveilleux et amulettes magiques.
Les trésors qui vont indubitablement vous séduire sont de catégories multiples. Tout d’abord, dans la catégorie papeterie, il y a l’emblématique livre à secrets.
Celui dans lequel vous pourrez glisser vos possessions les plus précieuses. Un nouveau modèle a été créé pour l’occasion en l’honneur du jardin du Luxembourg tout proche et ses chaises emblématiques . Chacun de ces livres est peint à la main dans l’atelier de Montmartre !
Des cartes uniques peintes par l’artiste lui même sont disposées sur un comptoir en bois.
Sur les rayonnages, des bougies côtoient de jolies savonnettes délicatement emballées dans du papier de soie. Des foulards de soie roulottés a la main aux délicieux motifs pastels attendent de s’enrouler autour de votre cou…
Bien sur, je pourrais gâcher votre découverte en continuant à égrener la liste des objets précieux de ce lieu encore secret. Mais je ne voudrais pas vous priver du plaisir de vous y rendre pour continuer l’exploration !
Ce que je peux vous dire ici, c’est que tout respire l’amour de la capitale dans les choix et les création de Marin Montagut. On le sait quand on connait l’existence de son atelier montmartrois. Mais on le découvre au détour de tant de pièces exposées rue Madame.
La vaisselle qu’il a créée pour l’occasion crie « Paris » à chaque motif ! Que ce soit avec l’auvent de la sortie d’une station de métro Guimard ou la chaise traditionnelle du jardin du Luxembourg, c’est Paris à tout va.
Dans la boutique trônent de magnifiques illustrations de Paris. Chacune d’entre elles, présentée comme un parchemin, a été imprimé dans l’atelier parisien d’Antoinette Poisson, expert en papier dominoté, puis peint à la main dans l’atelier montmartrois de Marin. De superbes souvenirs 100% fabriqués à Paris !
Rendez-vous donc chez ce « marchand d’objets en tous genres » !
Marin Montagut 48 rue Madame 75006 Paris
Je n’avais pas imaginé la joie de retourner au musée. Je n’avais pas compris à quel point cela m’avait manqué avant de passer la porte du musée Marmottan . Et de découvrir la superbe exposition « Cézanne et les maîtres – rêve d’Italie »
Des semaines de confinement, une première phase de déconfinement. Et des vidéos à la pelle ! Parce que les musées ont tout donné pour nous offrir ce qu’ils avaient de meilleur derrière leurs portes closes. Mais aujourd’hui, c’est parti : ils ouvrent leurs portes à nouveau ! Pour notre plus grand plaisir !
La Monnaie de Paris est un lieu que j’ai redécouvert à sa réouverture après de longues années de travaux, et que j’apprécie autant à chaque visite. On y découvre l’histoire de la monnaie et le travail minutieux des artisans qui oeuvrent chaque jour pour créer encore et encore.
C’est donc le moment de s’y rendre. En effet, le musée a réouvert ses portes et se visite gratuitement jusqu’au 14 juin, sur réservation obligatoire.
La Monnaie de Paris 2bis, rue Guénégaud, 75006 PARIS ( accès unique actuellement)
reservation obligatoire
Discrètement installé au détour d’une petite rue à quelques pas de Denfert Rochereau se trouve l’Institut Giacometti.
Dans cet hôtel particulier de style Art Déco, vous pourrez découvrir des expositions organisées autour de l’oeuvre de l’artiste. Et surtout vous immerger dans son atelier, intégralement reconstitué grâce à sa veuve qui en avait préservé tous les éléments. On y admire donc les sculptures, le mobilier, et même les murs peints par l’artiste.
L’institut étant de petite dimension, il est indispensable de réserver. Allez-y, vous ne le regretterez pas !
Institut Giacometti, 5, Rue Victor Schoelcher, 75014 Paris
réservation obligatoire
Créée en 2005, du vivant du créateur, l’association Azzedine Alaïa avait pour vocation de préserver les collections et les archives de la maison. Lors de son décès en 2017, elle est devenue Fondation. Elle garantit ainsi la préservation de l’oeuvre du styliste et couturier. Elle permet également d’attribuer des bourses à de jeunes talents, perpétuant ainsi la création française.
Aujourd’hui, la fondation présente une exposition Alaïa et Balenciaga. A ne pas manquer !
Fondation Azzedine Alaïa 18 Rue de la Verrerie, 75004 Paris 11h00 – 19h00 tous les jours
Ce musée est un vrai bijou d’architecture et vaut à lui seul le déplacement. Quand on sait que de surcroit l’exposition Turner est toujours en place, on se demande encore pourquoi on est pas déjà sur place !
Cet hôtel particulier qui date de la grande époque du baron Haussmann propulse dans l’univers de riches collectionneurs de l’époque. On déambule de grands salons de réception en salons privés. Sans oublier le superbe jardin d’hiver. Une promenade dans le temps et dans l’histoire de la capitale.
Musée Jacquemart André 158 boulevard Haussmann 75008 Paris
Réservation obligatoire
L’exposition qui était en cours à la date du confinement à ouvert ses portes à nouveau. Un angle original de l’approche de l’oeuvre de Cézanne y est proposé avec : Cézanne et les maîtres. Rêve d’Italie« .
L’exposition permet d’admirer une mise en regard des plus grandes toiles du peintre avec les plus grands maîtres italiens du XVIème jusqu’au XIXème siècle. Une soixantaine des plus grands chefs-d’oeuvre prêtés par 43 collectionneurs et musées du monde entier. L’occasion est unique, et la visite sur réservation bien sur !
Musée Marmottan Monet 2, RUE LOUIS-BOILLY, 75016 PARIS
Vous l’aurez compris, il y a l’embarras du choix ! Alors, tous au musée ?
Deux semaines se sont écoulées depuis le déconfinement. Deux semaines pendant lesquelles je n’ai pas écrit un mot. Parce que cette période irréelle m’a plongée dans le doute, le questionnement. De quoi après sera t-il fait ? Comment vais-je me comporter dans cette nouvelle normalité, cet après dont personne ne sait de quoi il sera fait ?Le Made in France sera mon premier pas.
Depuis longtemps déjà je suis sensible aux valeurs des lieux et des marques. Depuis longtemps déjà je mets en lumière ceux qui travaillent et fabriquent en France. J’ai même dédié un livre aux artisans parisiens ! On peut donc dire que j’ai cet intérêt dans le sang depuis un moment déjà.
Mais je continuais à céder parfois à la tentation de fermer les yeux sur la provenance de telle ou telle pièce de ma garde robe. Et je m’autorisais à utiliser des produits de beauté sans en connaitre les ingrédients ni le lieu de production. Par facilité, parce que leur image était suffisamment prestigieuse pour que je préfère ne pas y regarder de trop près. Et mes étagères se remplissaient, mes placards explosaient. Et pendant ces deux mois de confinement, j’ai entrepris de faire le tri. Comme beaucoup d’entre nous.
Le constat était clair : j’en avais trop ! Trop de vêtements de marques trop abordables pour être respectueuses de quoi que ce soit d’autre que de leur profit. Trop de crèmes et de maquillage à la composition trop complexe pour être honnête. J’ai jeté, donné, rangé. Et j’ai pris une décision : je ferai désormais attention à ce que j’achète. Je connaitrai la provenance, la composition, et je choisirai en conséquence. Parce que si nous ne commençons pas chacun à notre niveau individuel, comment y parviendrons nous ?
J’en ai rêvé, ils l’ont fait ! Le collectif des boutiques Made in France c’est quoi ? Vingt boutiques multimarques indépendantes qui partagent les mêmes valeurs. Ils ont la conviction que l’on peut se faire plaisir tout en soutenant nos emplois et sans nuire à notre planète.
Avec les 300 marques françaises proposées dans les boutiques du collectif, il y en a pour toutes les envies. Chaque achat est un geste militant, un encouragement pour ces petites entreprises qui font vivre le savoir faire français.
La bonne nouvelle : il y a d’ores et déjà des membres dans toute la France.
Et si nous faisons un focus sur Paris, trois adresses sont déjà intégrées. L’Habit Français, L’Appartement Français et Pépins et Trognons.
Je connais très bien L’Habit Français que j’ai découvert quelques semaines après son ouverture. Catherine, sa créatrice, y vend une sélection mode et accessoires des plus jolies marques françaises. Certaines très connues, comme les Jeans 1083 ou encore Le Slip français. Et d’autres qui méritent d’être découvertes ! Et Catherine s’applique à sélectionner régulièrement de nouvelles marques pour notre plaisir.
Elle propose même actuellement des masques en tissus made in France dont un modèle qui séduira tous les amoureux de Paris. D’ailleurs je le fais gagner sur mon compte Instagram !
Le concept store L’Appartement Français, autre adresse parisienne du collectif, est déjà bien connu des shoppers parisiens. La cause majeure de cette dresse née en 2017 : lutter contre le frenchwashing. Nous avons tous déjà vus ces accroches « Dessiné en France » ? « Imaginé à Paris » ? Ou même « designed à Paris ». Ces affirmations cachent souvent une vérité trouble : un bureau avec deux graphistes et un marketeux à Paris, et une fabrication lointaine. Alors ils regardent pour nous l’étiquette du produit, enquêtent sur les lieux de production, l’origine des matériaux. Pour garantir le vrai « made in France ».
quant à la troisième adresse, Pépins et Trognons, le confinement a brutalement interrompu ses travaux. Il faudra encore patienter avant de la découvrir !
Chère Cristina (Cordula) , en ce jour 49 de confinement, j’ai un nouveau thème à proposer pour ton émission « Les reines du shopping » . Stylée en été avec un masque . Et en plus made in France !
L’eté arrive à grands pas. Et qui sait si nous pourrons partir. Mais il est quand même temps de penser à ce que nous allons porter en ces temps de confinement assoupli et ensoleillé ! Une certitude, pour chacune de nos tenues, il faudra a un masque. Alors je sais, Cristina a toujours dit : « assortir, c’est mémérisant » ! C’est sans doute le cas quand il s’agit d’avoir chaussures et sac dans la même teinte, surtout s’il s’agit d’un beige du siècle dernier.
Mais certainement pas dans ce ca : avec ces superbes espadrilles Payote ! Cette jolie marque française a été créée en 2016 à Mauléon au pays basque. Autrement dit, au coeur du haut lieu de l’espadrille française. Les modèles sont variés, pour tous les gouts. Des plus grands classiques aux plus exotiques. POur le plus grand plaisir de vos pieds.
Payote a compris que le masque deviendrait un incontourable accessoire de mode. Et voilà donc pourquoi depuis quelques jours, pour l’achat d’un de leurs modèles les plus trendy , on reçoit un masque offert du même tissus !
J’ai craqué ! Et vous, lesquelles choisiriez-vous ?
En ce jour 44 du confinement, si l’on fait un premier bilan, on peut lister nombres d’activités tout à fait adaptées à la situation. Cuisine, pâtisserie, sport en salle salon, lecture. Ou encore engloutissage de séries et de films. Toutes ces activités ont envahi nos vies, et nos réseaux sociaux. Et puis il y a l’opération rangement…
Vous remarquerez l’usage volontaire du futur. Parce que je n’ai pas encore commencé. Et pourtant c’était un de mes objectifs majeurs. Enfin, j’exagère. Je me suis attaquée à quelques tiroirs, quelques placards, et aussi quelques étagères.
J’ai le plaisir de vous faire découvrir mon tiroir de tote bags en mode Marie Kondo !
Mais si les vêtements sont un sujet que je n’ai pas encore totalement réglé, les papiers en sont un que je n’ai pas encore abordé du tout. Et je peux vous dire qu’il y a du pain sur la planche.
Depuis quelques jours j’entends le Tic Tac du compte à rebours qui annonce la fin du confinement tel que nous l’avons connu jusqu’à présent. Et une voix me dit que je DOIS en finir avec ce chantier administratif.
Alors que les choses soient claires : tant que je n’aurai pas fini ce rangement qui me pèse bien plus que le confinement et ses contraintes, je n’écrirai plus. Absolument ! Je me concentrerai sur cette tâche ingrate et rebutante avant de venir ici vous retrouver ! Alors à bientôt ! J’espère …
Et vous, avez vous atteint tous les objectifs que vous vous étiez fixés au début du confinement ?
Aujourd’hui, Jour 43 du confinement, le ciel est gris. Hier déjà, la pluie est arrivée. Elle est là pour rester. Au moins pour un moment. Comme si la météo se faisait le reflet de nos humeurs au temps du confinement.
Bien sûr, la vie est plus jolie quand le ciel est bleu. Et aussi quand on peut librement déambuler, choisir ce que l’on fera de ses journées. Sans attestation ni obligations. Sans masque ni gel hydroalcoolique.
Seulement voilà, parfois vient la pluie. L’inattendu qui frappe, et il faut alors s’adapter. Et oui, encore une fois, c’est du côté de Jean-Jacques Goldman que je me tourne. Même si, je le sais bien, Sénèque l’avait dit avant lui…
En cette période incongrue, on se retrouve face à ses propres questionnements, ses propres doutes. Jusqu’à présent, nous étions en confinement. Depuis le discours d’Edouard Philippe, nous ne savons plus vraiment comment qualifier la période du le lendemain du 11 mai. Nous savons juste que rien ne sera plus comme avant. Les règles claires édictées jusqu’à présent vont s’assouplir, un peu. Pendant les jours qui viennent nous allons encore avoir les yeux rivés sur les infos. Pour tenter de clarifier ce que seront nos frontières, au propre et au figuré. Notre département sera-t-il vert ou rouge ? Pourrons nous aller nous promener dans les parcs aujourd’hui fermés ?Quels sont les musées qui peuvent se targuer d’être petits ?
Un des enseignements de ce confinement et des perspectives qui y sont associées est clair pour moi : il faut vivre l’instant, profiter du moment. J’ai compris plus que jamais à quel point il est important d’arrêter le temps pour observer et, quand c’est possible, mesurer la chance que l’on a. Celle d’être en bonne santé, d’avoir quelqu’un à qui parler. Celle d’être bien entouré, ou encore de savoir apprécier la solitude et la vivre pleinement.
Demain risque d’être chaotique, et l’humain a tant besoin d’une forme de stabilité à laquelle se raccrocher dans les moments difficiles. Alors c’est le moment de se concentrer sur l’essentiel. On va en avoir sacrément besoin pour ce qui arrive.
Et vous, vous êtes plutôt « La vie, ce n’est pas d’attendre que l’orage passe, c’est d’apprendre à danser sous la pluie. » (Sénèque) ou bien « On voudrait savoir éviter la pluie Entre les gouttes se glisser Deux, trois nuages et l’on court à l’abri On n’aime pas trop se mouiller»? Jean Jacques a posé la question, et il a donné sa réponse :
«Autant apprendre à marcher sous la pluie, le visage offert»
Jour 42 : il reste deux semaines. Et un constat : je devais faire du sport, muscler mes abdos, perdre 4kgs...Et finalement, j’ai à peine réussi à maintenir un poids que je trouve trop élevé. Quant aux abdos, je préfère ne pas en parler ! J’ai donc trouvé la solution : le sport en ligne !
Vous l’aurez remarqué, de nombreux clubs de sport ont décidé de proposer leurs cours gratuitement en ligne. Sur Instagram en mode IGTV, sur leurs sites, tous les moyens sont bons.
J’ai donc commencé aujourd’hui avec un des cours du très select club de sport : le 21 Blanche. Ce club, est indéniablement un des plus élégant de Paris. Il propose à ses adhérents 3000m2 d’espaces de sport dans un superbe hôtel particulier situé au 21 rue Blanche, comme son nom l’indique.
Du SPA aux appareils de musculation, sans oublier la piscine, et le très chic restaurant, tout donne envie et fait rêver.
Mais aujourd’hui l’établissement est fermé comme il se doit. Et c’est donc ainsi que j’ai eu a chance de tester un premier cours : Pilates à 17h00.
Le cours a commencé à l’heure. Plus de 100 personnes étaient connectées. La coach a sélectionné des exercices adaptés pour tous les niveaux. Aucun matériel n’était nécessaire si ce n’est un tapis, une serviette éponge et une bouteille d’eau. Les explications étaient claires, et la démonstration parfaite. Bref, un cours de qualité, qui permet de renforcer ses muscles profonds sans avoir l’impression de souffrir. Parfait pour moi !
Et vous, vous avez repris/continué le sport pendant cette période de confinement ?
Prenez soin de vous.
Il est trop simple de déclamer son amour pour Paris si l’on ne fait rien pour ceux qui ont besoin d’aide. Aimer une ville ne doit pas être un plaisir égoïste. Voilà pourquoi, en ce jour 40, la fin officielle de ce qu’on appelle une quarantaine, j’ai décidé de parler générosité et solidarité. Pour que nous puissions fièrement revendiquer notre amour pour Paris, en sachant qu’à notre échelle, nous avons fait quelque chose pour aider ses habitants les plus démunis. Parce que c’est maintenant qu’ils ont besoin de nous. Et cela risque de durer longtemps.
Les Ravitailleurs est un collectif lancé par un serial entrepreneur :Pol Maire.
En à peine quelques petites semaines il a mis en place une organisation qui permet de mettre en relation ceux qui ont la matière première avec ceux qui savent la cuisiner, pour pouvoir livrer des repas à ceux qui en ont besoin. Les Ravitailleurs fournissent ainsi des repas aux Restos du cœur, au Secours populaire ainsi qu’à la Protection civile.
Aujourd’hui ils en ont déjà distribué 13255 ! Mais ils en ont besoin de tellement plus.
Alors de quoi ont-ils besoin ? Aujourd’hui ce sont des matières premières qu’ils demandent. Aussi, un particulier peut faire don du nombre de repas qu’il souhaite.
Chaque don de 1€50 correspond à un repas. Quand on donne, le don est immédiatement traduit en matière première que Frichti fournit directement à ceux qui vont cuisiner chaque jour.
Il nous reste deux semaines avant le début du reste de nos vies. Aucun d’entre nous ne sait exactement de quoi l’avenir sera fait. Mais pour ceux qui aujourd’hui déjà sont dans le besoin, l’horizon est bien sombre.
Alors, que diriez-vous de commencer simplement, en offrant un repas ? J’ai créé une collecte : faisons la grandir ensemble ! Je compte sur vous ! Et bien sur, pensez à partager autour de vous !